Je me suis replongé dans ces romans que j'aime d'amour avec ce 5ème tome qui, bien que n'étant pas mon préféré (le tome 3❤), m'a beaucoup plus.
Au bout d'un moment, et en enchainant la les tomes de cette saga, on peut commencer à ressentir un côté redondant à l'histoire, le schéma narratif étant sensiblement toujours le même entre les romans. Et c'est d'ailleurs pour cela que je n'enchaine jamais mes lectures de cette saga.
Mais malgré cela, j'adore sincèrement retrouver ces histoires à chacune de mes lectures. L'humour de
Jodi Taylor, et la personnalités de ces personnages, me donne une sensation de « retour à la maison », à chaque fois que je me plonge dans ces romans.
Chaque d'eux contient son lot de surprises et les personnages ne cessent de jouer avec le danger, et la mort, rendant chacune de ses lectures passionnante (malgré les schéma narratifs répétitifs que j'évoquais plus tôt). Max est une catastrophe ambulante, enchainant actes inconscients et maladresses dramatiques, le tout mêlé à son côté têtu et sarcastique.
Chaque tome vient se pencher sur un évènement, une période, différentes de l'histoire. Et en tant que grande fan d'histoire, chacune de ses découvertes (ou redécouverte) me fascinent.
Pour ce tome, nous allons faire la rencontre de Botticelli à Florence durant le bûcher des vanités, mais aussi se rendre à la fameuse bataille des Thermopyles, que je ne connaissais pas et ai adoré découvrir.
En conclusion, c'est toujours un immense plaisir pour moi de retrouver la bande chaotique de l'université de St Mary, et je continuerai de faire la propagande de cette saga !