Avant Pandemia - Le grand voyage

Troisième nouvelle que je lis de la collection Les petits polars et je commence à y prendre goût.
Même si j'avais préféré Hostiles du même auteur, j'ai quand même passé un bon moment de lecture avec cette courte histoire.

J'ai aimé par dessus tout l'ambiance nocturne de ce huis-clos qui nous embarque sur un paquebot arrêté en pleine mer suite à un incident.
L'histoire se déroule dans son intégralité au sein du compartiment où se trouvent les cabines « low low cost ». Nous y découvrons entre autres Gilda et son fils Jérémy, Alain un chercheur en biopharmaceutique et Mélanie une étudiante en géologie.
Les portes coupe-feu étant bloquées, les passagers n'auront d'autre choix que de patienter dans ce pauvre décor.
De même que le problème semble beaucoup plus grave qu'il n'y paraît.
Cette histoire m'a beaucoup fait penser au roman le ferry pour son contexte et son ambiance.
Ici, l'auteur fait peu à peu monter la tension et la panique collective. L'enfermement, l'isolement, la chaleur et la frayeur ne font qu'accroître le climat d'angoisse avec les heures qui passent. La peur de mourir s'empare de chacun, avec ce sentiment d'être piégé sans pouvoir s'en sortir.
Thilliez décrit parfaitement cette ambiance terrifiante et son écriture est toujours aussi plaisante, mais je n'ai cependant pas été surprise. Je m'attendais à plus de rebondissements.
À lire tout de même, car on ne s'ennuie pas et le suspense est bien présent.

Une petite nouvelle de Franck Thilliez que j'ai téléchargée avant la sortie de Pandemia et que j'ai lu après avoir lu Pandemia oui je sais cela n'est pas tellement logique mais n'a au fond pas d'importance, car si le sujet de fond est le même la transmission d'un virus de l'oiseau à l'homme, le cadre lui n'est pas le même.

On se trouve ici à bord d'un paquebot et de sa traversée en mer lorsqu'un oiseau vivant est retrouvé à bord dans des toilettes, cela inquiète le personnel naviguant qui boucle le secteur d'où vient l'oiseau. Des passagers ressentent ensuite les premiers symptômes de la maladie fièvre, saignement de nez etc....

Cela est très angoissant car les passagers se retrouvent dans un espace confiné et l'armée va plus tard encercler le bateau qui a interdiction de poursuivre sa route. Et si la personne qui a embarqué l'oiseau à bord dispose d'autres oiseaux afin de propagé ce virus?

A Noël dernier on m'a offert « Pandemia » pour mon plus grand bonheur. (Bon j'avoue, il figurait sur une liste d'envie !).

Avant d'attaquer ce pavé avec plaisir, je me suis lancé dans la lecture d' « Avant Pandémia », sorte de préquel, à mon avis, que je pensais indispensable pour bien démarrer la lecture de ce roman dont on a tant et tant parlé. 

Pas mal pour la première partie, ça plante le décor. Lors d'une croisière un paquebot s'arrête en pleine mer. Il y aurait une épidémie à bord à cause d'un oiseau infecté… Mise en quarantaine obligatoire. Certains se mettent à saigner du nez, perdent connaissance, meurent…

En dernière partie Sharko et Hennebelle, nos héros bien connus, ont des soucis d'ordinateurs : infectés par un virus (informatique!)… OK…

FIN

Bon je suppose que je peux attaquer Pandémia… Cet « avant » était bien ‘sympathique' mais je me pose vraiment la question de son utilité…

58 pages, valaient-elles leurs 3 euros ?… A suivre.

J'y reviendrai lorsque je ferai mon retour sur le roman réel : Pandémia.

Sur un bateau de croisière en direction de Barcelone, les passagers low low coast s'agglutinent dans leurs cabines quand un incident distrait leur installation. Un oiseau est enfermé dans les toilettes du pont. Franck Thilliez reprend la thématique de Pandemia dans cette courte nouvelle promotionnelle sympathique mais sans surprise.

Forcément, quand on sort comme moi de la lecture de Pandémia, la critique risque d'être courte et fade....comme ma lecture.
A lire indépendamment du roman avec laquelle elle est jointe (ce qui est le cas pour moi sinon je ne l'aurais pas mentionné évidemment ;) ). J'entends par là qu'il ne faut pas faire comme moi et enchainer les 2..... faut pas, c'est un faux pas!!!

A livre court, critique courte.

Ce livre m'a beaucoup amusé de part les conditions dans lesquelles je l'ai lu. La coïncidence a voulu que ce soit au moment où nous envisagions avec ma femme de faire une croisière à Pâques prochain, sur un grand paquebot, dont Barcelone aurait été une des escales possibles… exactement comme les aventuriers, on peut les appeler comme cela, de cette nouvelle.

Guère de surprises, une narration qui se doit efficace du fait de la brièveté du livre; donc pour patienter chez le médecin pour se faire soigner d'un léger refroidissement ;-) .
Lien : http://quoilire.wordpress.co..

Décidément il y en a certain(e)s qui dévoilent beaucoup trop des intrigues, et pensent même qu'ils ne le font pas ! Je n'en dirai donc rien, seulement mon impression : bien écrit car le caractère étouffant, désespérant et carrément flippant nous contamine totalement, bien construit ( une bonne accroche et un dénouement explicatif).
Comme je n'aime pas trop les "thrillers" qui, par définition, instaure du malaise, de l'inquiétude, je ne mets que 3 étoiles (c'est déjà pas mal) à cette nouvelle que j'ai lu tendu jusqu'au bout.
De toute façon je n'ai pas encore envisagé de me payer une croisière, même pas chère..

Un très bon avant-goût à "Pandemia" !
On aurait pu se demander : comment poser les bases d'un thriller sur 25 pages ? Franck Thilliez l'a fait.
Il ne fallait pas moins ni plus de pages que cela. Tout les événements s'enchaînent très vite, telle la propagation d'un virus justement.
On découvre l'ampleur qu'un virus peut avoir, ici à l'échelle d'un paquebot, mais également par la suite à l'échelle du monde.

Cette nouvelle est super !

C'est vite lu.
Très bien pour passer le temps au cours d'un voyage en train.

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