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4,36

sur 12048 notes
Je me suis enfin lancée dans la lecture de cette saga incontournable. Que dire au sujet de ce premier tome ? Cet univers construit par l'auteur, son histoire, ses peuples et traditions... c'est assez incroyable.
Cependant, j'ai parfois trouvé le temps un peu long lors de ma lecture. Beaucoup de chants, que je ne lisais pas, des descriptions... Je pensais qu'il y aurait eu plus de rebondissements, mais en fait on chemine au rythme des personnages ce qui fait qu'il peut ne rien se passer pendant de nombreuses pages. L'intrigue, les personnages, ce monde imaginaire sont géniaux mais parfois je dois reconnaître m'être un peu ennuyée. le style est parfois un peu aride également, ce qui m'a perdue à certains moments. En comparaison, j'avais lu Bilbo le Hobbit que j'avais trouvé plus vivant et rythmé.
J'ai néanmoins vraiment hâte de me plonger dans les deux autres tomes de ce chef d'oeuvre !
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Autant vous prévenir d'entrée, cette critique ne sera pas objective. Je relis le Seigneur des Anneaux une fois tous les trois ou quatre ans depuis mes 15 ans, et j'y trouve toujours autant de plaisir.

J'ai découvert l'univers de Tolkien par ce roman, et c'est donc grâce à celui-ci que j'ai découvert l'existence des hobbits, les semi-hommes aux pieds velus, fumeurs d'herbe à pipe et amateurs de bonne chère. Ce n'est que plus tard que je lirais le Hobbit, qui se déroule avant le Seigneur des Anneaux et qui raconte l'aventure de Bilbon, évoquée à plusieurs reprise dans ce roman.

Ce qui me frappe à chacune de mes lectures, c'est la minutie apportée par Tolkien à chaque détail de son histoire. La Terre du Milieu est si richement décrite qu'elle semble continuer à exister en dehors des pages du roman. D'aucuns pourront pester contre l'abondance de descriptions mais moi j'en raffole et ne m'en lasse pas.

J'aime les personnages. Les hobbits, insouciants et fragiles en apparence, mais qui renferme un courage et une force dont ils ne se doutent pas eux-même ; Gandalf, devenu l'archétype du magicien, surclassant Merlin dans l'imaginaire collectif ; les elfes, Elrond et Galadriel en tête, magiques et majestueux – avec les hobbits, les elfes sont la plus grande réussite de Tolkien ; et Aragorn, le personnage qui me fascinait le plus dans mon adolescence. À la fois humain et un peu plus, il a déjà vécu de nombreuses aventures avant qu'on le rencontre et on sent le poids de son histoire sur ses épaules.

Mais le vrai héros de cette histoire reste Frodon Sacquet, le hobbit, qui a reçu en héritage un anneau dont il était loin de se douter du pouvoir qu'il renfermait. Frodon ne se sent pas l'âme d'un héros, mais il ne recule pas devant la tâche qui lui incombe, aussi insurmontable qu'elle puisse paraître. Heureusement, il pourra compter sur l'aide d'alliés et d'amis sincères, Sam en particulier. Sam Gamegie était le personnage préféré de Tolkien et je partage son avis.

La Communauté de l'anneau n'est que la première partie d'une longue histoire. Elle débute par un anniversaire et se termine par une séparation, et se poursuit dans Les Deux tours, puis le Retour du roi.

Vous l'aurez compris, j'adore ce roman et je vous invite chaudement à le découvrir si ce n'est déjà fait.
Lien : http://lenainloki2.canalblog..
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J'ai lu tous les tomes de Tolkien quand j'avais 20 ans, et cette histoire fait partie de celles qui m'ont marquée à vie, bien que le genre en soit très différent de tout ce que j'aime habituellement en littérature. Mais cette capacité d'un récit à inventer un univers, une géographie, un langage, représente pour moi tout ce que les livres ont de magique. J'avais été complètement emportée dans ces mondes créés de toutes pièces, comme si je tenais entre mes mains tous les pouvoirs : sortir de mon corps, devenir autre, aller ailleurs, loin, vivre mille vies. J'ai retrouvé cette sensation (bien qu'un peu diminuée, à cause de mon âge sans doute...) quand j'ai lu en même temps que mes enfants le premier Harry Potter. Mais quoi qu'il en soit, ce souvenir de lecture reste parmi les meilleurs.
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Ma première lecture du Seigneur des Anneaux, la communauté de l'Anneau remonte à 2001 au moment de la sortie du film de Peter Jackson. Je ne connaissais pas du tout l'univers de Tolkien et je me suis laissée tenter par la bande annonce du film qui m'a beaucoup plu (soit dit en passant). Autant dire qu'au noël suivant j'ai trouvé les livres sous le sapin ^^
Je n'étais alors qu'en 4ème mais sa lecture ne m'a pas du tout posé problème. J'ai même dévoré l'ouvrage. le style de l'auteur mêlé à celui du traducteur m'a vraiment happé. Je l'ai trouvé plein de poésie. Je ne peux m'empêcher de penser à une chanson médiévale qui raconte les exploits de quelques chevaliers ou princes bravant des aventures les plus extraordinaires.
Malgré les quelques longueurs que certains peuvent pointer, je ne me suis pas ennuyée une seule fois. J'ai trouvé même que ces 40/50 pages sur la Comté et les Hobbits apportaient de la profondeur au récit et donc un intérêt à découvrir un nouveau monde. A chaque fois que je me mettais à lire, je partais dans un monde plein de magie, de beauté et de mystère. Tolkien a inventé son monde avec tellement de précisions et de profondeur, que c'en est impressionnant ! Et on prend vraiment beaucoup de plaisir à le découvrir. Je crois d'ailleurs qu'à chacune de mes relectures, je m'attachais à redécouvrir cet univers aussi complexe que merveilleux (de toute manière, je trouvais toujours un élément qui m'avait échappé). Finalement, le mystère ne s'épuise jamais.
En ce qui concerne l'histoire en elle-même, on sent l'influence de la mythologie nordique (l'anneau du Nibelungen ...). C'est peut-être un style d'histoire qu'on a tendance à trop voir en ce moment dans les ouvrages et autres mais je trouve que le seigneur des anneaux est quand même une histoire à part, inimitable.
En dépit des êtres merveilleux qu'on peut découvrir dans l'ouvrage, je crois que mon personnage préféré dans ce tome est sans nul doute Tom Bombadil car il m'interroge beaucoup.
Le Seigneur des Anneaux est aujourd'hui un classique dans la littérature fantasy. Il peut ne pas plaire à tout le monde, j'en conviens, mais une fois entré dans l'histoire on en décroche pas. Lisez-le !
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Et bien, finalement, c'était bien que j'ai lu ce livre il y a si longtemps que je n'avais pas pu donner mon avis, tant le souvenir m'en était lointain.
Il ne l'est plus. La curiosité fut la plus forte, et sachant qu'il y avait une nouvelle traduction, je ne pouvais laisser passer ! Et ceci est donc un avis sur la nouvelle traduction de D. Lauzon !
Alors, oui, il y a quelques changements de noms... le plus bizarre à mon sens étant que Sacquet devient Bessac, et La Comté devient le Comté. Les autres, les noms d'endroits et de rivières, comme de toute façon je ne m'en souvenais plus et que j'ai du me reporter à l'excellente carte sur deux pages fréquemment, ça ne m'a pas dérangée du tout ! D'autant que la plupart sont inchangés, dont le Mordor, ce qui est l'essentiel, après tout ! ;-)

Tous les personnages gardent les petits noms qu'on leur connait, en fait. En bref, ça n'a été que du bonheur, je ne sais même pas où j'ai été péché que les descriptions étaient trop lourdes et longues, tant j'ai apprécié le voyage cette fois-ci. Peut-être est-ce parce que je mets un visage sur chaque personnage ? P. Jackson a fait un excellent travail, on ne le dira jamais assez, et les puristes peuvent aller se morfondre dans leur coin, ne leur en déplaise. le début est certes un peu long, on décrit beaucoup le Comté et les hobbits, mais je ne me suis jamais ennuyée...
Ah oui, pour ceux qui ne le savent pas, les "ne m'oubliez pas" sont des myosotis, tout simplement, ça oui ça m'a un peu choquée que la traduction soit "mot à mot", heureusement que ça m'était resté de je ne sais trop où ! Il y a aussi quelques coquilles choquantes, des manques de mots dans certaines phrases, mais je vais le dire comme je le pense : je m'en fiche... Ce sera sans doute corrigé pour plus tard, attendez un peu si ça vous arrête.

Comme je ne sais plus comment était la traduction précédente, je ne vais pas comparer. Tout au plus je peux dire que j'ai été très surprise parce qu'en fait, c'est très vivant, bourré de dialogues et de chansons, et même le passage avec Bombadil qui m'avait paru si laborieux en première lecture (il y a des lustres donc), je l'ai lu avec un grand plaisir, c'est à n'y rien comprendre...

Les illustrations d'Alan Lee sont juste magnifiques, aussi...
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Il y aura toujours les méprisants pour vous dire que ce n'est, après tout, qu'un « charmant conte de fées », désignation que l'auteur ne reniait cependant pas, en précisant : « pour adultes ».
De mon côté, je crois que c'est bien plus que ça, quoique j'aime beaucoup les contes et leur lecture pleine d'enseignements (il m'arrive d'en écrire) : le Seigneur des anneaux est une épopée digne du voyage d'Ulysse et des légendes arthuriennes.
Plus tard, bien plus tard, des lecteurs qui ne sont pas encore nés se pencheront sur cette oeuvre d'une vie et reconnaîtront dans cette incomparable somme de travail un mythe à part entière de la fin du Second millénaire qui s'est nourri lui-même de nos légendes et notre Histoire.
Je conseille, à la suite de cette lecture, le Silmarillion, indispensable à la compréhension de la Terre du Milieu. J'ose une comparaison dont, j'espère, on ne me fera pas grief : le Silmarillion serait l'Ancien Testament et le Seigneur des anneaux, le Nouveau.
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Depuis la sortie de l'adaptation de Peter Jackson au cinéma (l'un de mes films préférés de tous les temps), je me répète qu'il faut que je lise ce grand classique de la littérature fantasy. Il ne m'a fallu que 20 ans donc (hum hum) pour m'attaquer à ce monument, paru récemment dans une nouvelle traduction.
C'est la version audio lu par T. Janssen que j'ai choisie pour m'accompagner dans la découverte de la Terre du Milieu. Je ne vous ferai pas l'affront de vous résumer les aventures de Frodo le Hobbit et de ses compagnons, sachez simplement que comme bien des générations de lecteurs avant moi, j'ai plongé avec délectation et frénésie dans cet univers, restitué avec un talent fou par le lecteur dans l'audio-livre.
La fête d'anniversaire de Bilbo, les Cavaliers Noirs et leur emprise horrifique, les mille dangers du chemin, les chansons de Tom Bombadil, l'incroyable passage de la Moria, la lumineuse nostalgie qui règne dans la forêt de la dame de Lothlorien, ces mille et une aventures traversées par la compagnie hétéroclite du porteur de l'Anneau m'ont fait passer un délicieux moment. Évidemment on ne peut qu'admirer l'incroyable créativité de Tolkien, ainsi que la cohérence interne de ce monde. Mais rappelons aussi le génie de l'écriture de l'auteur anglais, pleine d'inventivité, de poésie dans les chansons ou les descriptions, et de nuances dans la caractérisation des personnages, jusque dans leur langage. Si vous avez envie d'être émerveillés, n'attendez plus et plongez-vous dans « Le seigneur des anneaux ».
J'ai vraiment hâte de pouvoir continuer mon périple vers « Les Deux Tours », mais en attendant, je m'en vais revoir le film de Jackson (et baver devant Aragorn ! D'ailleurs Dame Arwen est bien absente de ce premier tome …)
Avertissement pour ceux qui l'auraient lu dans l'ancienne traduction, il vous faudra un petit temps d'adaptation parce que le travail colossal du traducteur Daniel Lauzon s'est appliqué à adhérer aux directives de Tolkien en matière de traduction. Par conséquent, il y a beaucoup de changements, notamment dans les noms : Sacquet devient Bessac, Grand-Pas devient l'Arpenteur, etc… Ca peut déstabiliser mais cela fonctionne à merveille.
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Le premier tome du Seigneur des anneaux commence dans l'atmosphère festive de la Comté, un pays de Cocagne peuplé de Hobbits, aussi nommés semi-hommes. Ce terme suscite d'emblée certaines questions : l'humanité serait-elle donc divisible, ou multipliable ? Si les Hobbits sont des semi-hommes, à quel degré d'humanité placer les Nains ou les Orques ? de même, combien faut-il de Hobbits pour faire un Elfe ? Ce qui est troublant, je trouve, c'est que ces différences, Tolkien les décline en termes de races.

Avec Fondcombe et la Lothlérien, la Comté reste l'un des rares endroits heureux du roman, une sorte d'Éden dont l'existence semble hélas menacée. En effet, le monde est en train de dépérir : un mal mystérieux venu de l'est étend peu à peu son ombre sur l'ensemble de la Terre du Milieu. Compte tenu de la date de publication du roman, 1954, on songe bien sûr à une métaphore quelque peu transparente du nazisme ou du communisme.

Tout se jouera donc autour d'un anneau maléfique dont la destruction permettra de limiter la progression du mal. de la limiter seulement, et non de l'annihiler, car le monde selon Tolkien est un monde d'après la chute : le péché et le mal en sont constitutifs et ne sauraient en être chassés. C'est ainsi que la Lothlérien, le merveilleux royaume elfique, est destiné à disparaître, quelle que soit l'issue des aventures de Frodon, le porteur de l'anneau, et de ses compagnons.

Une fois franchies les limites de la Comté, les hardis Hobbits ainsi que leurs alliés se trouvent plongés au coeur d'une nature pleine de chausse-trappes où les attendent arbres carnivores, montagnes homicides et monstres antédiluviens tapis au fond de cavernes humides. On s'aperçoit bientôt qu'ils sont surveillés par une multitude d'espions de tous poils (ou plumes) et traqués par de redoutables spectres à la solde de Sauron, le Seigneur des Ténèbres, une créature manifestement démoniaque, mais dont le principal attribut (un oeil) est paradoxalement l'une des représentation de Dieu ("L'oeil était dans la tombe et regardait Caïn"), ce qui nous ramène au thème de la faute et du paradis perdu.

"Et soudain [Frodon] sentit l'Oeil. Il y avait dans la Tour sombre un oeil qui ne dormait pas. Il sut que cet oeil avait pris conscience de son observation. Il y avait là une volonté ardente et féroce. Elle bondit sur lui ; il la sentit presque comme un doigt qui le recherchait. Bientôt, ce doigt l'acculerait, saurait très précisément où il se trouvait."

Cette traque à distance permet tant bien que mal de maintenir l'attention du lecteur, parfois malmenée, avouons-le, par ce pavé où il ne se passe pas grand-chose : pour ma part, je n'ai compté que cinq véritables scènes d'action pour 717 pages, ce qui est maigre !

Mais le principal intérêt de ce roman réside, à mon avis, dans le destin de Frodon, le christique porteur de l'anneau. Alors que la société décrite par Tolkien est, comme on l'a vu, strictement hiérarchisée en fonction des races, Frodon le semi-homme se montre lui capable de transcender sa pauvre condition : faisant fi de sa faiblesse et de sa couardise constitutives, il se porte volontaire pour porter l'anneau maudit, montrant par là que rien n'est jamais joué d'avance et que les déterminismes peuvent être dépassées.

Une petite lueur d'optimisme dans un roman plutôt grave et crépusculaire.

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Qu'écrire dans cette critique du premier tome du Seigneur des anneaux ? Il ne sert à rien de présenter l'histoire puisque tout le monde la connaît. Ceux qui n'ont pas lu les livres ont sans doute vu les films ou alors ils en ont au moins entendu parler.
Je choisis donc d'évoquer ma propre expérience de lecture. J'ai lu la trilogie lorsque j'étais au lycée, à l'époque où les films ont commencé à sortir. Si j'avais trouvé ça intéressant dans l'ensemble, l'histoire m'était surtout apparue comme complexe et très longue. Je n'ai donc pas gardé un grand souvenir de cette lecture pour laquelle persistait principalement le sentiment d'être un peu passée à côté. Et puis les années ont passé, mon expérience de lectrice s'est enrichie notamment avec la lecture de Bilbo et j'ai commencé à me dire qu'il faudrait peut-être que je relise le Seigneur des anneaux. J'ai gardé cette idée dans un coin de ma tête sans trouver le courage de m'y mettre. Jusqu'au jour où j'ai vu qu'il était sorti une version audio du texte dans une nouvelle traduction. J'ai tout de suite pensé que c'était exactement ce qu'il me fallait. J'aime beaucoup combiner lecture audio et lecture du livre papier pour un même roman. Je trouve que cela me permet d'avancer plus vite dans l'histoire et cela m'offre une immersion différente. C'est tout à fait ce qui s'est passé pour ce premier tome que j'ai tout simplement adoré. Pas de langueur cette fois-ci. Tolkien prend le temps de poser le contexte et le caractère des personnages. Les épisodes s'enchaînent et j'ai eu du mal à m'arrêter dans ma lecture. Je salue particulièrement l'acteur qui lit ce roman de manière si vivante et la nouvelle traduction plus proche de la version anglaise d'origine. Je suis réconciliée avec cette saga, j'admire le génie et l'imagination de Tolkien et je me plonge tout de suite dans l'écoute et la lecture du deuxième tome.
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Totalement hermétique aux films, j'ai entraperçu des morceaux plusieurs fois en ne cessant de me dire : je n'accroche pas, ça ne me plait pas ...
Quant j'ai mentionné l'idée de lire les romans, on m'a dit "c'est long, abstiens toi, regarde les films plutôt!"
Bref, ma relation avec Tolkien avait mal commencé et c'est donc à reculons que j'ai commencé ce premier tome.
Pas besoin de ménager le suspense plus longtemps: j'ai totalement adhéré à cette atmosphère. J'en aime les longues descriptions et les traversées de paysage dans cette quête qui m'a passionnée.
Je suis totalement plongée dans la féérie des histoires et légendes et les personnages m'ont beaucoup plu.
Donc en conclusion, je vais continuer vers le tome 2 (et dans l'univers de Tolkien) et je crois que j'essaierai même de redonner une chance aux films :)
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