Dans ce dernier tome, on retrouve Jean Clarambaux, vieux garçon en convalescence en Brabant, chez un veuf et ses deux filles, la pétillante
Marie Rose et la discrète mademoiselle Jeanne, qui gère la maisonnée et recueille les oisillons blessés.
Jean Tousseul y avoue un lien avec son autobiographie et livre son testament philosophique, aigreur vis à vis de la folie des hommes, des guerres, du progrès, éloge du suicide et comme est apaisant le monde des bêtes et des plantes, de ses petits protégés, Mouche la mésange et Poucet le tarin .
Une belle prose, un témoignage et de poignants moments d'amour, plein de pudeur, comme quand pendant la tempête, il dépose son gilet sur la gorge découverte de Jeanne endormie.