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Extases. Ou secousse sismique, orgasme, frénésie masturbatoire et copulatoire, émerveillement face à ce miracle de la nature, etc.

Tout est BON dans ce volumineux album ! 😍
JL Tripp y retrace sa sexualité sans fard mais sans vulgarité, du zizi de petit garçon coincé dans la fermeture de pantalon à l'orgie romaine entre vieux potes, via le premier french kiss avec une petite Anglaise - tiens, comme mes camarades de 4e !

Moins gratuit/impudique que 'Fraise et chocolat' (A. Aurita), quelque part entre Pennac ('Journal d'un corps'), le JC Tergal de Tronchet (en plus subtil et plus travaillé), et Hugo de Bbl (en plus illustré), les confidences de l'auteur, franches, touchantes et émoustillantes, montrent bien les questionnements, tâtonnements, délices & déconvenues liés à la sexualité et à l'amour (avec, en filigrane, l'influence de l'éducation). Beaucoup d'humour dans le ton, grâce au sens d'autodérision de l'auteur
et à son talent pour les métaphores.

Deux mini-bémols : la couverture, et le fait qu'il y ait une suite, alors que la fin de ce premier opus s'essouffle un peu. Cela dit, comme l'auteur est né en 1958, je suis curieuse de découvrir sa sexualité de sexa-, s'il continue à ne pas tricher (honnêteté dans le propos, et pas de Viagra dans la mécanique - j'aime pas les vieux libidineux genre DSK)...

A faire lire à ses grands enfants ? Pour décomplexer les garçons, si besoin, et rassurer les filles sur les obsessions masculines qui peuvent sembler malsaines quand on 'débute'. A vous de voir où ils en sont avec 'tout ça', car l'album est très explicite.

• 4.5/5
___

♪♫ https://www.youtube.com/watch?v=XBM6wdMq8CI
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Connu pour sa participation à la série BD 'Magasin général' avec Régis Loisel, l'auteur JeanLouis Tripp raconte ici la manière dont il a vécu sa sexualité depuis sa pré-adolescence.
En introduction et en interview, il jure de dire toute la vérité, rien que la vérité, prenant malgré tout la précaution de changer les noms et les apparences de ses partenaires par égard pour elles/eux.

Si chacun conserve nécessairement un jardin secret en la matière, il apparaît néanmoins que l'auteur nous livre dans cet album une bonne partie de sa vie sexuelle, faisant part avec sincérité de pratiques et de réflexions que beaucoup n'oseraient probablement pas avouer publiquement (masturbation, infidélité, expériences homosexuelles, addiction à la prostitution en tant que client…).

Présenté ainsi, le propos de Tripp peut sembler cru voire vulgaire, mais il n'en en rien car il questionne systématiquement ses comportements, tentant d'en distinguer les pulsions physiques et les sentiments (nuances ô combien difficiles à établir tant les choses sont imbriquées…). Le graphisme mêle habilement réalisme et représentations abstraites, à l'image de la couverture - seule planche colorisée de l'ouvrage.

Cette lecture captivante est de nature à amener chaque lecteur (et lectrice ?) à s'interroger sur ses propres fantasmes et comportements, de manière décomplexée.
Je recommande donc vivement cet album, dès 14-15 ans pour les garçons, à condition que les jeunes puissent accéder à d'éventuelles explications complémentaires.

Une suite est annoncée. En deux volumes aussi épais ? Plus de 250 pages ? C'est surprenant, on aurait pu penser qu'avec l'âge, ce 'queutard' aussi joyeux que tourmenté avait à peu près fait le tour de la question...
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Jean-Louis Tripp, qui a notamment cosigné avec Régis Loisel la série Magasin général, nous propose ici Extases, un roman graphique suggestif. Vu le thème et l'auteur, autant le reconnaître d'emblée, ce titre n'aurait pas retenu mon attention en librairie. La description faite par Babelio a en revanche fait mouche. Et c'est donc grâce à l'opération Masse critique que j'ai pu découvrir cette bande dessinée. Merci !

Assurément, sans cette opération, j'aurai fait l'impasse sur ce volume. Pourquoi ? le prix, les dessins en noir et blanc, le thème et surtout les très nombreuses planches suggestives qui m'auraient rebuté après (dans le meilleur des cas) un vague survol. Car oui, cette lecture est à réserver à un public averti mais pas forcément aux plus de dix huit ans, quoique…

Bon d'accord, je sens que là je vais choquer… mais tant pis ! Précisons toutefois les choses. La première partie de ce roman, sans doute la plus intéressante d'ailleurs, évoque les premiers émois du jeune Jean-Louis, les premières expériences. Cette plongée dans le passé est agréable, permettant de mettre en mémoire notre propre passé. Mais le propos va plus loin. Il s'agirait presque d'une sorte d'initiation à la sexualité. Tout cela est présenté de manière habile, touchante et plutôt réussite.

Une petite mise en garde aurait toutefois été la bienvenue. Il s'agit là de souvenirs et d'expériences qui remontent à une époque où les risques et les maladies n'étaient pas les mêmes qu'aujourd'hui. Aussi, les précautions qui sont d'usage n'étaient par forcément rentrées dans les moeurs à l'époque…

Les choses se gâtent après cette première partie. C'est à partir de ce moment-là que le livre doit être urgemment retiré des mains de vos adolescents.

De discrètes, les scènes osées deviennent omniprésentes. du débutant, Jean-Louis passe directement dans une catégorie de pratiquant sans complexe. L'objectif n'est pas ici de distinguer ce qui est vraiment biographique de ce qui l'est moins, ni de juger. Mais franchement : trop c'est trop ! L'auteur a la délicate attention de présenter son point de vue tel qu'il est, d'expliquer comment il en est arrivé à rejeter toute forme de carcan. Si ce cheminement est bien présent, il passe au second plan au profit de séquences franchement… courageuses.

Car, oui, il faudra également laisser de côté préjugés et limites propres à chacun pour poursuivre ici sa lecture sans être choqué. Et il a de quoi : entre des jeunes hommes qui vivent nus et finissent par… faire des découvertes ensemble, puis la vie de l'adulte, certains passages mettront mal à l'aise. Il faudra d'ailleurs faire plusieurs pauses avant de revenir ici.

L'âge adulte n'est pas forcément celui de l'âge de raison. Si la séquence du gadget peut, à première vue et surtout pour un spectateur, sembler drôle, elle cédera assez rapidement la place au point d'orgue du roman graphique : la fête romaine. Fête qui finira à son tour en orgie annoncée. Les séquences de l'orgie en question sont inénarrables. En revanche la montée en intensité jusqu'au moment fatidique reste plutôt bien amené.

Ce paroxysme marque presque la fin de l'ouvrage. Il aurait sans doute été plus opportun de s'arrêter ici. Deux anecdotes sont encore présentées. La seconde, sur laquelle s'achève le volume, semble tout droit issue du film Mary à tout prix, quoique… ouille ! La manière de les introduire (pardon, de les présenter) est assez originale mais laisse dubitatif. Serait-ce une manière de convaincre le lectorat de rester pour la suite ?

Compte tenu du nombre de page l'usage du noir et blanc s'explique assez facilement, même si la couleur aurait ici été la bienvenue. Elle aurait été partie prenante dans ce voyage vers ce contient que le volume est cessé offrir. Malgré ce handicap, les dessins restent sympathiques, maîtrisés dès le premier coup de crayon.

C'est un sujet qui a été ici sacrément travaillé et cela ne fait aucun doute. L'on pourra toutefois regretter que certains personnages soient plus travaillés que d'autres. Hormis le protagoniste, ceux-ci ne donnent pas l'impression de vieillir. Les séquences oniriques sont plutôt décevantes, tout comme les cases qui font l'objet d'un gribouillage. Ces effets artistiques tombent à plat mais sans vraiment desservir l'ensemble pour autant.

La mise en page est dynamique à souhait. Les planches comptent un nombre variable de cases et certaines d'entre-elles proposent des panoramas, des grandes caricatures, des épisodes particuliers. Tout cela évite l'ennui.

Une suite est déjà annoncée. D'ailleurs le volume comporte le chiffre « 1 » ce qui sous-entend qu'il va y en avoir d'autres. Soyez toutefois rassurés : vous pourrez arrêter votre lecture à la fin de ce premier volume. C'est d'ailleurs à cette décision à laquelle je suis parvenu, pour l'instant du moins…
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Il m'a fallu longtemps pour me plonger dans ce roman graphique. Il a trainé, là, au pied de mon lit, comme un slip sale ou une chaussette orpheline, pendant des jours, des semaines, des mois… Les dessins sont en noir et blanc et je n'aime pas tellement les dessins en noir et blanc. La couverture est molle et je n'aime pas tellement les couvertures molles. L'image sur la couverture me faisait penser à de la science-fiction et je n'aime pas tellement la science-fiction. Et puis, un soir, j'ai fait le grand saut : hop ! J'ai lu « Extases » de Jean-Louis Tripp. Je l'ai lu d'une seule traite ! Cul sec ! J'ai enfourché ce cheval fou et l'ai monté à cru ! Quel pied ! J'en ai pris plein les yeux, plein les narines, plein les oreilles… Une bouffée d'air frais à m'en faire péter les bronches ! Enfin, un mec qui a des couilles ! Au sens propre comme au sens figuré ! Dans cet opus autobiographique, Jean-Louis Trip se met à nu, nous avoue tout de sa vie sexuelle débridée, même ce que beaucoup d'entre nous passent toute une vie à cacher ! J'ai adoré ! Merci pour cette leçon de courage, cette leçon d'humilité, cette leçon de vie.
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Bande dessinée très psycho-sociologique sur la vie sexuelle de son auteur. On y suit ses découvertes adolescentes, sa vie d'adulte, son rapport à son corps et à ses organes. C'est presque comme une autobiographique de son phallus,parfous assez allégorique dans les moments de tiraillement entre jalousie et excitation. Cette lecture est un conseil que j'ai bien fait de suivre. J'espère sincèrement que le second tome sera aussi bon.
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Jean-Louis, l'auteur, nous conte dans une étonnante autobiographie sa vie sexuelle. La découverte des filles, les premiers baisers, les premiers émois de l'adolescence, la perte de la virginité, les copiais, les copines et aussi l'amour. Sans pudeur, sans rien nous camoufler de ses expériences, l'auteur, par le biais de l'humour, d'un trait séducteur, partage alors toutes ses expériences, bonnes ou mauvaises, le combat contre certains préjugés. Il nous emmène dans sa jeunesse, au coeur des années 70 qui profitaient des de la libération sexuelle et aussi de l'absence du sida qui va franchement plomber l'ambiance pendant les années 80. Les dessins sont charmants, le scénario tient du roman graphique et l'auteur ,ne cherche aucunement nous faire la morale ou à nous influencer sur nos comportements. Je pense qu'à certains moment de cette lecture, nous nous retrouvons tous dans certaines situations, d'autres nous ont peut-être fait fantasmer sans jamais avoir eu la chance de concrétiser nos désirs les plus fous. Il nous parle aussi d'amour, de jalousie, de lassitude. Bref, il nous offre pratiquement trois cents pages savoureuses malgré que parfois, il y a peut-être quelques petites longueurs qui auraient pu être évitée. Donc, je donne quatre étoile à cette bande dessinée pour le moins originale et souvent drôle. Je suis curieux de découvrir la suite.





































































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Contrairement à beaucoup de critiques que j'ai lues, je n'ai pas du tout apprécié ce roman graphique. Bien que la première partie soit réussie (la découverte de la sexualité, les interrogations, les pensées et les premières expériences liées à la sexualité d'un jeune garçon sont illustrées de manière à la fois humoristique et réaliste - ça aurait pu en rester là que ça aurait fait un bel ouvrage intéressant pour les adolescents), c'est le reste de l'oeuvre qui est insupportable : égocentrisme et nombrilisme extrême de l'adolescent qui devient un homme, puis de l'homme qui vieillit sans avoir rien d'intéressant à dire, qui ne fait qu'exprimer son propre vide existentiel par un désir d'expérimentation sexuelle sans fin, sans but, qui ne sait même pas reconnaître le bonheur qu'il possède peut-être à un certain moment, qui n'a rien de mieux à offrir comme réflexion autobiographique que les récits peu exaltants, peu édifiants et sans contenu... C'est beaucoup plus pathétique qu'intéressant. Pour réaliser un récit autobiographique, encore faut-il avoir quelque chose à raconter ou, du moins, être un sujet assez intéressant pour retenir l'attention du lecteur (là, à part l'attention du voyeur...)
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Extases où l'itinéraire d'une vie sexuelle. Ce premier tome sous-titré « Où l'auteur découvre que le sexe des filles n'a pas la forme d'un x… » s'étire de l'enfance au début de l'âge adulte avec quelques détours dans un passé beaucoup plus récent. JeanLouis Tripp, co-auteur avec son complice Régis Loisel du fabuleux Magasin général, dit tout et annonce la couleur en introduction : « Tout ce que je raconte dans ce livre est vrai. […] le personnage principal, c'est moi, JeanLouis ».

On retrouve donc JeanLouis à l'école, dans les années 70. La vie en province, les parents communistes, les premiers questionnements autour de ce qui se cache sous les jupes des filles. le premier baiser pendant un voyage en Angleterre, la première branlette, les premiers touche-pipi au collège avec la peu farouche Véronique. Et puis le lycée. Caroline. LE grand amour. La première fois. Des mois, des années avec Caroline. Des envies d'infidélité, une sexualité de couple qui tombe dans la routine, des tentatives pour relancer la machine. le plan à trois, Caroline avec un autre homme, les partouzes. JeanLouis accro aux prostituées, JeanLouis et ses expériences homosexuelles. Tout est mis sur la table, sans fard ni faux semblant.

Rarement (voire jamais) un auteur aura autant dessiné sa bite. Et dans des proportions tout à fait raisonnables, il est important de le préciser. JeanLouis Tripp ne se met pas à nu pour fanfaronner ou pour la gaudriole. Sa biographie entièrement centrée autour d'une sexualité débordante n'a rien du grand déballage malgré les apparences. Loin d'une bête confession intime sans saveur, il allie franchise, modestie et pudeur (si, si, je vous jure !) avec une justesse des plus touchantes. Les trouvailles graphiques sont nombreuses pour analyser avec pertinence un ressenti brut et alimenter la réflexion. On ne cache rien mais on ne force pas le trait, on suggère autant que l'on montre. L'équilibre est fragile mais les fondations restent solides, en grande partie grâce à un sens du récit absolument bluffant.

Évidemment, ce n'est pas à mettre en toutes les mains. C'est cru, très cru. Jamais vulgaire pour autant, ni particulièrement excitant. Un album à découvrir pour sa sincérité, son autodérision, son mélange de sérieux et de légèreté et la limpidité de sa narration. 270 pages dans ce premier volume et il en reste deux à paraître. Autant dire que la vie sexuelle de JeanLouis Tripp est loin d'avoir livré tous ses secrets.

Lien : http://litterature-a-blog.bl..
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Quand il y a quelques années, Aurita Aurélia avait réalisé Fraise et Chocolat, les loups ont crié en meute au scandale car ce fut l'une des premières bd autobiographiques qui parlait de sexe dans son intimité la plus crue. Aujourd'hui, quand Jean-Louis Tripp fait exactement la même démarche, on crie au chef d'oeuvre et au génie. On loue également avec une certaine ferveur ce côté dévoilement de sa vie intime qui était analysé comme crade et dérangeant voir tabou chez Aurita. Je cherche toujours à comprendre cette différence de traitement qui n'est malheureusement pas motivée que par le talent.

Certes, on n'attendait pas cet auteur sur ce registre après l'aventure du Magasin général. Je dois dire que c'est un véritable pari audacieux qui est gagné haut la main. Il y a encore certaines personnes qui conseillent à cet auteur un stage de formation en dessin en achetant des bd sur Amazon afin de se perfectionner. Sic ! Je dois bien dire qu'elles sont complètement à côté de la plaque et dans l'ignorance la plus totale du monde de la bande dessinée. Même moi qui suis pourtant difficile et critique, je dois admettre que le trait est parfaitement maîtrisé. En effet, le dessin est réellement de toute beauté avec une certaine sensualité surtout pour les corps féminins.

Il n'est pas trop question d'amour mais surtout de sexe. C'est un peu normal à l'âge de la découverte de son corps et de celui des autres. Les expériences vécues par l'auteur sont peu communes et c'est vrai que c'était assez intéressant. de là, je n'irai pas à conseiller cela à mes enfants comme une lecture obligatoire ou un passage obligé car il y a une barrière que les psychologues du monde entier conseillent de ne pas franchir dans la relation parentale. Après tout, à chacun de faire la découverte du plaisir. C'est vrai qu'il y a quand même un côté voyeur à pénétrer dans l'intimité de la vie sexuelle d'un auteur. Je ne m'inquièterai pas pour le nombre de ventes qui va sans doute exploser.

Le ton demeure léger comme pour mieux faire passer la pilule. Il y a également de la tendresse et pour tout dire un certain talent. On ne s'ennuie pas une minute tant les thématiques sont traitées de manière tout à fait originale dans l'approche. J'ai beaucoup aimé ce côté regard sur le corps de l'autre qu'il soit féminin ou pas. Toutes les expériences possibles ont été tentées ce qui confère une certaine maturité d'esprit. Les connaisseurs peuvent parler sauf à considérer que l'intimité ne doit pas se dévoiler afin de respecter la vie privée. Je suis un adepte de la liberté donc cela ne me pose pas de problème.

C'est frais et c'est adulte : tout ce que j'aime dans la bd. Oui, malgré toutes mes critiques, force est de reconnaître une oeuvre d'une rare originalité dans l'approche d'un sujet pour le moins érotique. On ne fera pas la fine bouche.
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Raconter en BD toute sa vie sexuelle sans tabou, il fallait oser! Je pensais que c'était une BD pour les ados et en fait non. le seul manque est que les sujets de la contraception et des MST ne sont pas abordés. Les années 70', avant le SIDA, mais quant même.
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