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Critiques filtrées sur 2 étoiles  
Bonjour, très déçu de cet ouvrage qui n'est en fait qu un roman ! Je travaillais au Pakistan jusqu'en janvier 2008 - départ après l assassinat de B.B à rawalpindi! Il faut être Informe et connaître la situation mentalité esprit féodal système corrompu de la base au plus haute sphère de l'état au Pakistan le côté géo politique ou on un rôle important à cette époque les USA et l ISI Pakistanaise ! Des règles et mesures de sécurité sont à privilégiés dans ces pays ( itinéraires horaires différents déplacements en véhicule par 3 personnes maximum , changer de chauffeurs et sécurité locales régulièrement ...éviter les lieux fréquentées et administratifs ! Suivre les informations de la sécurité au consul à KARACHI, des USA ou des pakistanais !
D.Pearl avait été également kidnappé torturé exécuté décapité ! La tension était extrême au Pakistan !
Cet attentat artisans doute suite à un chantage corruption dans un business mal géré et non respecté !
Le Pakistan reste malgré tout un superbe pays ( nord et cachemire ) Sud et désert balochistan ! de merveilleux auteurs poetes !
Belle lecture à tous !
Santé bonheur
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Aucun espoir de révélation à l'ouverture de ce livre! le propos de l'auteur est clair. Il s'agit d'un roman qui ne saurait déstabiliser les arcanes d'une géopolitique aussi mystérieuse que nauséabonde.
De l'attentat de Karachi, pour nombre de français qui s'en souviennent, n'est resté que ce relent de corruption dans le financement de campagne d'Édouard Balladur en 1995. Frégates d'Arabie Saoudite ou sous-marins au Pakistan, même combat. Contrats juteux, technologies promises, intermédiaires douteux, commissions, rétro-commissions, mises en examen, et puis plus rien.
Cette fois ci pourtant, 14travailleurs ont péri dans un attentat le 8 mai 2002, dont 11 salariés de la DCN (Direction des Constructions Navales). 20 ans après, survivants et familles persistent à demander justice.
Olivier Truc, journaliste au Monde, prend le parti de s'intéresser au volet pakistanais de l'affaire en incriminant notamment les services secrets pakistanais (ISI) sans dédouaner les cadres de la DCN qui auraient "omis" d'honorer certaines clauses des contrats en matière de tranferts de technologie. Il imagine un jeune journaliste épris d'idéal parti sur les traces de Marc, victime survivante, et de Shaheen son ami officier de l'armée pakistanaise.
Cela nous vaut de belles envolées sur le métier de journaliste, la quête du vrai, les longues heures à remonter des fils ténus. Un peu de dissonance cognitive ne fait pas de mal au regard de médias inféodés à leurs milliardaires de patrons et aux subsides de l'État, se contentant de reprendre les dépêches de L'AFP, officine toute aussi douteuse que les fact-checkers qu'elle soudoie.
Vous l'aurez compris, Tintin à Karachi ne m'a pas séduite, même si je reconnais avoir pris plaisir aux descriptions de cette ville tentaculaire vénéneuse et mystérieuse. J'y ai aussi découvert la poésie Urdu, arme de résistance au choeur du chaos. Et de conclure avec Ahmed Faraz qui offre un résumé pertinent.
Vous êtes fous depuis toujours et les fous ont ce vice:
Mettre le feu à leur demeure pour illuminer la ville
Mon cher! Sans force que vous êtes
Qui vous a conseillé de mener ce combat?
Se faire mater en tentant de mettre en échec les rois?
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En 2002 à Karachi, 11 employés français de la DCN meurent suite à un attentat à la bombe. Jef, un jeune journaliste cherbourgeois, décide d'enquêter et part au Pakistan à la recherche de ceux qui pourraient mettre en lumière ce que l'on étouffe sous le boisseau depuis trop longtemps.

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Voici un texte qui m'aura laissée sur le seuil de son histoire au cours d'une bien grande moitié alors même que le sujet traité avait tout pour me plaire.
J'ai d'abord cru que l'alternance des époques à chaque chapitre nuisait à ce que je me fonde dans l'histoire. Or, non. Une fois Jef arrivé à Karachi, l'intrigue démarre au bazar mais reste faiblarde ; le feu n'a pas pris. Les personnages m'ont paru sans relief si bien qu'aucun n'est sorti du lot. À aucun moment je n'ai eu l'impression de lire un thriller, un roman haletant.
Émotionnellement, je n'ai gravi ni sommets ni dévalé de pentes. Je n'étais pas plus à Cherbourg qu'à Karachi. J'ai manqué d'identités fortes pour apprécier ma lecture. Dommage.

Une prochaine fois, je partirai dans le grand Nord avec l'auteur. Peut-être éprouverai-je quelque chose.

Merci à Babelio pour cette masse critique et aux Éditions Métailié pour l'envoi du livre.
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