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Les sentiers obscurs de Karachi est un bon exemple de roman bancal, promettant beaucoup, et offrant finalement autre chose.

Le 8 mai 2022, quatorze personnes mourraient dans un attentat à la bombe contre un bus de civils : 11 ingénieurs de la DCN (Direction des Constructions Navales, le successeur des arsenaux de la République) et des Pakistanais, présents au mauvais endroit au mauvais moment. Ce drame est encore aujourd'hui vécu dans les souvenirs des familles de ceux qui ne sont pas revenus, dans les incompréhensions des enfants des victimes qui n'ont pas ou peu connu leur père. Une cérémonie annuelle organisée à Cherbourg, là où les plans des sous-marins vendus au Pakistan ont été conçus, ravive la douleur de ces proches et de ceux que cet événement a marqué.

Ce roman est la face pakistanaise d'un attentat qui n'est plus aujourd'hui dans les médias nationaux qu'un événement au sein d'un scandale plus large : l'affaire de Karachi, ou quand l'arrêt du versement de rétro-commissions par le gouvernement français aurait entraîné des représailles pakistanaises.

La vérité n'a jamais été vraiment connue – a t-elle d'ailleurs été vraiment cherchée ? L'idée globale qui en ressort aujourd'hui étant que la décision du président Chirac de ne pas honorer le paiement de ces « faux frais », liés à un contrat signé à la va-vite avant la présidentielle de 1995 par le gouvernement Balladur, aurait conduit indirectement à cet attentat.

Ce n'est pas ce qui intéresse Olivier Truc. Et d'ailleurs, pendant presque cent pages, on ne comprend pas où l'auteur veut en venir. Il multiplie les allers-retours entre présent et passé, met en scène des personnages sans les placer dans un ensemble. Ce début est un tel embrouillamini qu'il n'a pas été loin de m'arrêter.

Le personnage principal, le journaliste cherbourgeois Jef Kerral, s'est passionné pour cette histoire au travers de discussions avec le père d'un copain, le morose Marc Dacian, sorti blessé du bus déchiqueté. Une partie de ses pensées est restée là-bas à Karachi, avec son ami l'officier marinier Shaheen.

Le récit ne décolle véritablement qu'avec Karachi, les bruits de la foule, les rickshaws, les bazars, les regards qui se détournent au passage des femmes, l'omniprésence de l'armée, et celle plus discrète de l'ISI, les services secrets. C'est cet environnement que Jef Kerral découvre en partant à la recherche de Shaheen. Qu'est-il devenu ? Pourquoi se cache t-il aujourd'hui ?

Pour le contacter, le journaliste passe par une femme officier médical de la marine pakistanaise, Sara Zafar, et son père, Firaq, ancien ami de Shaheen, désormais médecin d'un dispensaire dans un village de pêcheurs pauvres, des zikri, stigmatisés car adeptes d'une secte islamique violemment combattue par les fondamentalistes sunnites.

Les méandres du récit du pays des « hommes purs » constituent le coeur de l'ouvrage, que l'auteur parsème de vers de poésie en ourdou.

Toute la partie liée à la découverte du pays et de ses difficultés, est ce qu'il y a de meilleur dans ce livre. Les morts violentes, les dizaines de morts à chaque attentat, les disputes tribales, ne sont pas rapportés chez nous, selon la loi journalistique du mort-kilomètre : les glissades sur le verglas en France intéressent plus que des morts à des milliers de kilomètres.

La partie liée à l'attirance entre Jef et la jeune et belle officier Sara est, elle, assez convenue.

Le roman est donc inégal, parfois intense, parfois quelconque. Il a toutefois le grand mérite de rappeler qu'au delà d'une affaire de gros sous, de corruption ici et là-bas au Pakistan, il y a eu des victimes qui se contentaient de faire leur travail pour l'État français.
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Encore un polar deux jours après la fiction d'anticipation politique qui fait froid dans le dos de Thomas Bronnec, et si on allait à des années lumière pour se laisser guider par Olivier Truc sur Les Sentiers obscurs de Karachi, son nouveau thriller géopolitique ??

Olivier Truc, journaliste, spécialiste des pays nordiques et baltes, auteur d'une fameuse série sur la police des rennes en Laponie, s'intéresse cette fois au Pakistan et à ce qu'on a appelé, en France, « l'affaire Karachi et notamment centré autour de l'attentat du 8 mai 2002 à Karachi, au Pakistan.

Attentat qui s'est transformé en scandale politique français, celui des commissions et rétrocommissions qui ont servi à financer la campagne électorale d'Édouard Balladur en 1995. L'aspect pakistanais de l'affaire a quant à lui été occulté.

L'écrivain s'attarde surtout sur les hommes, différents par leur culture mais mus par le sens du travail bien fait, du partage et de leurs valeurs morales.

Le lecteur découvre à travers les yeux du héros, Jef, jeune journaliste, une ville et une culture qu'il connait si mal.

Des personnages attachants et une enquête rigoureuse nous plongent dans les mystères de la ville de Karachi, mais nous dévoilent aussi les luttes de pouvoir régionales et syndicales en France.

Un thriller remarquable, furieusement décoiffant, au rythme addictif.

Un récit implacable et additif autour d'une affaire aux ramifications innombrables.
Lien : http://www.baz-art.org/archi..
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Olivier Truc est un journaliste français, vivant à Stockholm, et correspondant au Monde, et surtout auteur de la série sur la police des rennes. Dans ce roman, l'auteur nous emmène bien loin des pays scandinaves. Sous la forme d'une enquête journalistique, il emmène le lecteur sur les traces de l'attentat survenu à Karachi le 8 mai 2002, qui fit de nombreux blessés, tua 14 personnes dont 11 français. Mais en France ce qui nous marqua le plus ce fut le scandale politique qui en découla, les rétrocommissions destinées à financer la campagne politique d'Édouard Balladur.
Jef Kerral, jeune journaliste dans un quotidien local à Cherbourg, part à Karachi pour tenter de découvrir les dessous de l'affaire. Les 20 ans des commémorations de l'attentat lui servent de prétexte pour mener cette enquête, mais il a aussi l'espoir de pouvoir faire un grand reportage et devenir ainsi un grand journaliste. Va t-il réussir à découvrir la vérité 20 ans plus tard ?
En tant que lecteur, on se balade avec Jef dans la ville de Karachi et on découvre certains des anciens protagonistes. L'ambiance de la ville est bien décrite, c'est une autre culture, un autre mode vie. Ses investigations vont lui permettre de mieux comprendre l'implication des services secrets pakistanais. Et comment cet attentat a bouleversé la vie de plusieurs personnes.
Il y a aussi l'amitié entre 2 hommes, qui vivent à des milliers de kilomètres l'un de l'autre, sur des continents différents, des pays différents, avec des coutumes différentes, des religions différentes mais qui ont des valeurs communes. Et comment cet attentat a bouleversé la vie de plusieurs personnes.
Dans ce roman, l'auteur nous donne un point de vue pakistanais, mais surtout humain. Ce livre n'a pas pour vocation de nous révéler la vérité. C'est une fiction qui s'inspire de faits réels.
L'auteur nous initie également à la poésie ourdous.
Une lecture très agréable où se mêle complot, corruption et mensonges. le style d'écriture est fluide,je me suis laissée emporter par cette lecture.
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Délaissant momentanément sa série fétiche consacrée à la police des rennes, Olivier Truc nous emmène au Pakistan sur la trace sanglante (et malheureusement authentique) de l'attentat de 2002 qui couta la vie à quatorze personnes dont onze ingénieurs français tous originaire de la base nautique de Cherbourg.
On se souvient que la France avait vendu trois sous-marins au Pakistan mais était sur le point de conclure une autre vente avec l'Inde, son ennemi juré. Pour tenter de comprendre l'origine de ce carnage, Olivier Truc a imaginé une enquête menée vingt ans plus tard par un jeune journaliste de la Presse Quotidienne Régionale qui se rend sur place avec comme contacts le nom d'un ingénieur pakistanais droit et intègre formé à Cherbourg et celui d'une jeune traductrice. Mais à Karachi, il se sent surveillé et manipulé. Ses investigations lui permettront toutefois de mieux comprendre le rôle de l'armée et des services secrets pakistanais, mais aussi l'implication de son propre père.
On connait les conséquences politiques de ce drame dont l'enquête menée par les français permis de dénoncer un vaste trafic de commission occultes ayant alimenté la caisse de campagne d'un candidat à l'élection présidentielle de 1995. Olivier Truc s'intéresse surtout aux victimes de l'attentat et sa propre enquête réalisée à Karachi vise à identifier les vrais responsables. Un roman passionnant qui s'appuie sur des faits véridiques et des analyses géopolitiques pertinentes.
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L'auteur, par le biais de la fiction, tente de nous donner un autre éclairage sur ce que nous connaissons comme "l'attentat de Karachi" de mai 2002 dans lequel sont morts des ingénieurs français en mission au Pakistan. Jef, le personnage principal du roman, journaliste comme l'est aussi son auteur, habite Cherbourg. Il connaît bien les victimes et les survivants de l'attentat. Pour préparer la commémoration de 2022, il décide de se rendre à Karachi afin de rencontrer un ancien ingénieur pakistanais, lui aussi concerné par cet attentat et qui semble avoir mené une enquête de son côté dans laquelle sont impliquées de nombreuses personnes à des degrés divers.
La fiction permet à l'auteur d'émettre des hypothèses, et surtout de montrer ce qu'il a perçu du Pakistan, central dans ce récit et représenté sous différents aspects par différents personnages. On y lit surtout les contradictions de ce pays et les nombreux maux qui le gangrènent, même si l'espoir d'une belle histoire d'amour est toujours possible.
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En 2002, à Karachi, un attentat a coûté la vie à 14 personnes dont 11 ingénieurs français de la DGA, qui travaillaient sur un projet de transfert de technologie à la Marine pakistanaise après son achat de sous-marins français.

2022, à Cherbourg, la Ville et la DGA organisent une commémoration de cet attentat en présence des familles, des blessés et des notables. Jef Kerral, un jeune journaliste doit couvrir l'événement ...

Mais il décide de mener l'enquête pour connaître les tenants et aboutissants de cet attentat. L'enquête officielle avait mis au jour des rétrocommissions ayant financé la campagne présidentielle d'Edouard Balladur, mais point de coupable.

Aidé des contacts de Marc, blessé dans l'attentat et ex-ami de son père Jef s'envole pour Karachi et va mener sa propre enquête aidé par d'anciens collègues locaux de Marc...

Olivier Truc nous plonge dans l'ambiance étouffante d'une ville surpeuplée où rickshaws et taxis se croisent dans un vacarme assourdissant où tout le monde surveille tout le monde.

De l'Alliance française au Bazar Urdu, dans les rythmes de la poésie ourdoue dont nombre de strophes agrémentent la lecture, nous suivons Jef dans sa quête de la vérité et ses rencontres amicales.

L'écriture vive, sans fioritures excessives contribue à donner un rythme  vif à ce roman ... impossible à poser.

Loin des polars nordiques auquel l'auteur nous avait habitués, on découvre ici une autre facette de son talent !

Un auteur que je redécouvre ... et il va falloir d'ailleurs que je termine sa trilogie de la police des rennes ! 

Je remercie NetGalley et les Editions Métailié qui m'ont offert cet ouvrage 

#LesSentiersobscursdeKarachi #NetGalleyFrance
Lien : http://les-lectures-de-bill-..
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Ce livre fut une lecture véritablement prenante. Alors oui, je ne l'ai pas lu d'une traite, parce qu'il est impossible, avec les aléas de la vie, les obligations de la vie plutôt, de lire un livre d'une traite. Je peux dire simplement que j'avais hâte de retrouver ce roman, cette intrigue, que sa lecture fut un coup de coeur, et que, maintenant que j'ai écrit cela, il faut que j'explique pourquoi ce fut un coup de coeur, et c'est nettement plus difficile.
Déjà, en lisant, je n'ai pas pensé « construction de l'intrigue », « caractérisation des personnages » parce que tout est là. Je ne sentais pas la construction de l'intrigue, je ne me disais pas que les changements de points de vue, les retours dans le passé s'enchaînaient avec logique et fluidité puisque tout me paraissait couler de source. de même pour les personnages, que le lecteur reconnaîtra immédiatement dès qu'il les aura rencontrés une première fois, non à cause d'un long et immense portrait, mais parce qu'il suffit d'un détail, d'un trait de caractère, d'un lien qui unit un personnage à un autre pour que celui-ci prenne vie, y compris les personnages que l'on pourrait juger secondaires.
D'ailleurs, l'on peut s'interroger : qui sont les personnages principaux ? Jeff et Sara ? Lui est un jeune journaliste français, loin des personnages de journalistes que l'on trouve dans certains romans. Il est journaliste, oui, mais il n'est pas un baroudeur infatigable, prêt pour sa prochaine mission. S'il a déjà couvert des sujets d'actualité important, il peut aussi se retrouver à écrire un papier sur un événement local affreusement banal. Il a envie d'écrire sur d'autres sujets, et son amitié avec Marc, un des survivants de l'attentat de Karachi, lui donne une ouverture. Parce que Marc a survécu, mais a vu ses collègues mourir autour de lui. Parce qu'il est fâché avec Claude, le père de Marc, pour des raisons qui seront élucidées au fur et à mesure de la lecture. Parce que Marc se demande pourquoi la France n'a rien fait, ou si peu, pour que les auteurs de l'attentat soient identifiés, jugés. Oui, cela ne se passait pas sur son sol, mais il y a eu des hommes politiques, un juge, qui ont tenté de redonner une impulsion à l'enquête, pour que justice soit faite. Vingt ans après, l'on en est loin, comme si seul l'aspect financier avait eu de l'importance, non l'aspect humain – les morts étaient si loin.
En effet, dans ce roman, c'est véritablement l'aspect humain qui compte, pour donner vie à ceux qui ne sont plus, pour montrer ceux qui subissent l'insécurité permanente de ce pays – les attentats, on ne les compte quasiment plus. Et pourtant… comme partout, les hommes, les femmes, souffrent, endurent, et ne veulent pas se taire. Et pourtant, ils doivent toujours faire attention, y compris à ce qu'ils disent. C'est sans doute pour cette raison que, dans les dialogues, ce qui est sous-entendu est aussi important que ce qui est dit.
Les Sentiers obscurs de Karachi – un roman prenant sur des thèmes universels.
Lien : https://deslivresetsharon.wo..
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Grand fan d'Olivier Truc, j'attendais beaucoup de ce polar pakistanais basé sur des faits réels, l'attentat de Karachi qui a coûté la vie, en 2002, à quatorze personnes, dont onze ingénieurs français venant de Cherbourg.
Autant le dire de suite, j'ai été grandement déçu.
Si la documentation sur cette affaire et cette partie du monde inquiétante et peu connue (en ce qui me concerne) semble très sérieusement réalisée, je n'ai à aucun moment été transporté comme dans la fabuleuse série de la police des rennes située en Laponie.
Les raisons sont nombreuses :
- le style, tout d'abord, est radicalement différent. Finies les lentes descriptions majestueuses qui permettaient de s'immerger totalement dans les immenses étendues glacées et désertiques du grand Nord scandinave. Place à un style brut, haché, très (trop ?) rythmé, sûrement de nature à mieux ressentir le danger, la chaleur, la démesure, la fureur, la puanteur et la misère de Karachi. Mais un style dont je ne suis pas friand et qui ne m'a pas accroché.
- le thème, ensuite. Enrober de fiction les investigations criminelles qui ont suivi cet attentat, forcément ultra techniques et sensibles, ne m'a pas, là encore, convaincu. Qu'est-ce qui relève de la terrible réalité ? Qu'est-ce qui, au contraire, relève de la vision de l'auteur, et donc de la fiction ? Documentaire ? Enquête journalistique ? Thriller ? le mélange des genres, ici, est très perturbant.
- Les allers-retours incessants entre Karachi et Cherbourg, entre 2002 et 2022, enfin, ainsi que le lien, un peu facile et superficiel, entre la vérité recherchée et les écrits de poètes locaux, a achevé de me faire décrocher.
Du coup, j'ai vraiment hâte de retrouver Klemet et Nina, de la police des rennes...
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Le 17 avril 2002, Marc Dacian, chef mécanicien-monteur à la DCN de Cherbourg atterrit avec quelques collègues à l'aéroport de Karachi. le 8 mai de la même année, un (terrible) attentat va faire exploser le bus militaire qui les transportait et tuera 11 employés français. Marc Dacian est un « miraculé » qui rentrera invalide …

Le 13 avril 2022 (quatre semaines avant la commémoration de l'attentat perpétré vingt ans plus tôt) Jef Kerral, journaliste et ami d'enfance de Grégoire Dacian (le fils de Marc) couvrira l'attaque au couteau de Heidelberg (Allemagne) et fera le portrait de la jeune victime, une artiste cherbourgeoise. Il va également devoir couvrir les deux cérémonies communes aux commémorations, à l'Arsenal et à la mairie de Cherbourg.

Le même jour, à Karachi, Sara Zafar échappe de peu à un nouvel attentat pakistanais, sur le pont de la rivière Lyari, dont une école sera hélas également la cible. Nombre d'enfants innocents mourront …

Jef Kerral veut comprendre pourquoi son père (collègue de Marc Dacian) a rompu sa solide amitié avec ce dernier, après l'attentat de 2002. Afin d'aider Marc Dacian, il va décider de se rendre à Karachi et de retrouver Shaheen Ghazali qui fut proche de celui-ci à l'époque …

Attentat islamiste après l'horrible septembre 2001 ? Représailles contre DCN, pour une histoire de rétrocommission ? Trahison, terrorisme, vengeance vénale, aucune hypothèse n'est écartée. Un roman bien écrit, un style clair, des protagonistes plutôt attachants, bref : voici une intéressante intrigue que j'ai lue avec plaisir. Même si habituellement les polars de type « politico-espionnage » n'ont pas ma préférence. Une fois n'est pas coutume !
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La chronique jubilatoire de Dany pour Collectif Polar
En 2002, à Karachi, un attentat terroriste tue quatorze personnes, dont onze ingénieurs français travaillant à la mise au point d'un sous-marin acheté par le gouvernement pakistanais. Vingt ans plus tard, aidé par une lieutenante et un homme loyal, un journaliste local enquête sur les coupables. L'investigation révèle peu à peu les mystères de la ville et les luttes de pouvoir en France.
Si vous avez fait connaissance avec l'auteur en Laponie, vous serez surpris de le croiser au Pakistan. C'est là que nous entraîne son intrigue, tel un roman d'aventure, loin d'un guide touristique. Une fiction prend-il le soin de nous informer car il serait incongru … ou pas, d'y voir le rétablissement de la vérité sur l'attentat de 2002. Avec la précision qu'on lui connait, Olivier Truc va nous faire découvrir les coulisses du cette affaire d'Etat.
Pour en savoir plus c'est ci-dessous sur Collectif Polar
Lien : https://collectifpolar.fr/20..
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