La Nuit dernière au XVe siècle

Une histoire entre surnaturelle et loufoque, qui ne serait pas désagréable à lire si elle n'était un peu trop tirée par les cheveux.
Mêlant fantômes, vie antérieur, réincarnation, médium, écriture automatique, hypnose... à cela, s'ajoute un bon nombre de personnages dans le présent, dans le passé... ça fait beaucoup pour ce petit livre !
Un tel imbroglio que je n'ai accroché à rien, ni à personne.

D'habitude j'adhère plutôt au récit de cet auteur et puis comme en général ils sont plutôt court cela se lit assez rapidement mais la pour celui-ci j'avoue avoir très rapidement calé.

Nous suivons le personnage de Jean-Luc qui est contrôleur des impôts, il mène une vie tranquille avec sa compagne et le fils de celle-ci, certes son métier n'est pas tous les jours facile mais il fait avec. Lors d'un contrôle d'une entreprise située dans un château Jean-Luc va se trouver au milieu d'une histoire particulière car une des précédentes occupantes du château désormais décédée s'amourache de Jean-Luc il est d'ailleurs annoncés dans certains textes de celle-ci datant de plusieurs siècles.

Le problème étant ici pour moi qu'Isabeau est totalement nymphomane et "qu'elle se jette" sur Jean-Luc chaque nuit sous forme de fantôme, à ce moment là j'ai complètement décroché du récit, la femme de Jean-Luc adhérant en plus au final à cette situation ce qui est tellement absurde.

Une lecture très particulière qui m'aura coller un mal au crâne durable plus qu'autre chose et cela malgré un petit nombre de page.

J'ai été déçue par ce livre...Je n'attendais pas un chef-d'oeuvre mais au moins une lecture agréable de vacances, de celles dans lesquelles on se plonge avec délice pour retrouver des personnages qui nous ressemblent, une intrigue qui nous fait palpiter, sourire.
Or, je n'ai pas du tout accroché: aucune identification aux personnages, une intrigue cousue de fils blancs qui parfois ont même dû craquer.
Il ressort de ce livre une impression à la fois d'une histoire survolée (le thème se prêtait, à mon goût, à quelque chose de plus approfondi...) et en même temps je me suis suis assez ennuyée.
Un livre de Cauwelaert moins bon que les autres, néanmoins je ne tourne pas le dos à l'auteur pour autant!

Didier van Cauvelaert a beaucoup de fantaisie et j'avais adoré lire (entre autres)
"un aller simple " (goncourt 1994) , mais "la nuit dernière au XV ème siècle" ,cet aller-retour dans le moyen-âge lui réussit beaucoup moins à mon avis et ne m'a pas du tout exalté.
L'intrigue me semble un peu laborieuse et "tirée par les cheveux".
Je n'ai pas trop aimé l'utilisation de l'écriture automatique pour faire parler le passé : dans le récit ça tombe un peu "comme des cheveux sur la soupe ". Les surréalistes en avaient meilleur usage, à mon goût .
Déçue.

J'ai eu du mal à adhérer à cette histoire de contrôleur des impôts qui retrouve une ancienne maîtresse du XVe siècle. Très peu de références historique, le tout est un peu tiré par les cheveux !

Un controleur des impôts du XXIème siècle tombe amoureux d'une jeune femme de la renaissance...

Le livre est bien écrit et se lit facilement mais je n'ai pas du tout accroché avec cette histoire de discussions avec l'au-delà.

Loin d'etre le meilleur de van Cauwelaert, c'est quand même un livre agréable à lire faisant le lit de croyances et mélant histoire et monde actuel

Le livre se lit facilement. Cependant, je l'ai trouvé trop proche de "Hors de moi", du même auteur, que je venais de lire. Une des différence c'est que dans "Hors de moi" la fin donnait une explication rationnelle ce qui n'est pas le cas dans "La nuit dernière au XVe siècle" où nous restons dans l'irrationnel, ce qui me convient moins.

Niveau van Cauwelaert je commence à être rodée, c'était mon quatrième. J'avais lu juste avant La demi-pensionnaire, que j'ai beaucoup aimé. C'était sympa mais pendant une bonne partie du livre je me suis demandée ce que je faisais là. Sympa, mais vraiment trop tiré par les cheveux. Ça a fait passer le temps mais j'avoue n'avoir pas réussi à capter l'intérêt de ce livre.