Écrire une – petite – histoire du cannibalisme en Occident n’a rien de simple ou d’évident. Il faut accepter de briser une grille de lecture bien établie, qui veut que le cannibale est toujours l’Autre et jamais soi-même. Cela passe par un exercice difficile de définition des termes et des concepts qui entrent en jeu dans l’étude. (13)