"(...) Oui, je reconnais préférer voyager, observer et ressentir par moi-même plutôt que de me contenter de l'apprentissage dogmatique et stérile que l'on nous donnait à la faculté. (...)"
Fabien Vehlmann et Matthieu Bonhomme, Le Marquis d'Anaon, tome 3, La Providence, 2004, Dargaud (p. 6).