" Un beau jour, un jour comme un autre, alors que je marchais dans les rues de Buenos Aires, je vis une inscription sur un mur. De la peinture colorée sur une surface sans âme. Quatre mots : Patricio, te amo. Papa. C'était la première fois, en presque cinquante ans, que je voyais un graffiti écrit par un père à son fils. Dans ce monde mélancolique et triste, où l'âme est accrochée au temps, tout paraît épique et grandiose. Même un geste aussi simple. Dix-sept lettre... >Voir plus