Alexis Vildier/5
4 notes
Résumé :
La Légende de Bialowezzia raconte que sa Forêt « couvrirait des richesses inestimables », en tout cas dans celle qu’on conte dans le Grand Nord. Sa forêt est dites primaire car elle est restée vierge de la main des Hommes, aucun n’est parvenu à la trouver. Un seul y parviendra, il se nomme : Arsène De Villeneuve. C’est un Homme de la Ville qui compte faire de cette campagne sa nouvelle terre d’exploitation. Seulement, en débarquant à Bialowezzia, il se rendra compte... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (1)
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Palpitant avec un pur style innovant!
C'est vraiment très bien écrit : profond avec plein de subtilité...je l'ai lu sans me rendre compte du temps passé.
Cette vision de notre Monde qui domine prend tout son sens à travers chaque chapitre...à lire d'urgence !
D'ailleurs, je vais m'y replonger prochainement car j'ai quelques passages qui m'ont plu et qui feront références.
C'est vraiment très bien écrit : profond avec plein de subtilité...je l'ai lu sans me rendre compte du temps passé.
Cette vision de notre Monde qui domine prend tout son sens à travers chaque chapitre...à lire d'urgence !
D'ailleurs, je vais m'y replonger prochainement car j'ai quelques passages qui m'ont plu et qui feront références.
Citations et extraits (23)
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Maintenant on doit se faire chier avec d’la diplomatie de belle gueule et des propriétés privées d’mes couilles. Mais vous savez ce qui me chagrine le plus, camarades ?… c’est qu’autrefois, à la campagne c’était les champs qui nous séparaient… mais ça nous empêchait pas de se voir. Alors qu’aujourd’hui on se marche dessus, on se lâche pas un mot..
Il comprenait que le temps n’avait de valeur que selon la dépense qu’on en faisait. Tout le reste n’était qu’une perte, une illusion. Le temps était la monnaie dont on pouvait, soi-même, fixer la cotation. Plus on y mettait de vie, plus il gagnait de valeur.
Personne ne nous attend. C'est le principe d'un trésor.
Personne n'y croit jusqu'au moment où on le dépoussière.
Personne n'y croit jusqu'au moment où on le dépoussière.
Au siècle dernier, les pauvres gens se faisaient voler leurs terres, aujourd’hui c’est eux qui la vendent. Et de plein gré, en plus.
Car désormais, ils avaient tous ce vice dans l’œil : la tune.
Et c’est ça le pire avec la méchanceté, c’est que les méchants
sont parfois si bêtes qu’ils ne voient pas le mal.
On se sent presque obligés de leur pardonner cette ignorance.
On se sent presque obligés de leur pardonner cette ignorance.
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