Il est des livres qu'on voudrait ne jamais refermer et il y en a d'autres dont on se demande quand finira-t-il enfin.
Le sang du renard fait partie de la deuxième catégorie. Dix fois j'ai failli abandonner.
C'est tiré par les cheveux, les dialogues ne sont pas très crédibles, les situations approximatives, pas toujours plausibles.
Pourquoi j'ai continué ? Parce que je voulais savoir qui était Renard qui avait tué la colonelle Jolly-Renard, qui était le père de Nancy…… ;
Mais ces 427 pages de mauvaise écriture, qu'est-ce que ça a pu être pénible !
J'avais déjà lu deux policiers de
Minette Walters, plus anciens et qui étaient nettement meilleurs. Mais là, franchement, elle a fait du grand n'importe quoi et n'a pas du prendre la peine de retravailler son roman.