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4,03

sur 484 notes

Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Reinsnes, au nord de la Norvège. Dina n'est qu'une enfant lorsqu'elle assiste, impuissante à la mort de sa mère, ébouillantée dans un lavoir. Depuis ce jour, elle vit avec le poids de la culpabilité et entre dans une période de mutisme. Son enfance est compliquée. Son père se remarie et l'entente avec sa belle-mère est électrique. Les seuls objets qui l'apaisent sont les portraits de sa mère qui habillent les murs de la maison et un livre qu'elle gardait précieusement. La situation devenant difficile au fil des années, son père finit par la confier à une famille vivant dans une métairie à Helle, à quelques kilomètres de chez elle. Lorch, son précepteur, lui fait alors découvrir la musique.
"Quand Lorch commença à jouer, les yeux gris clair de Dina se révulsèrent comme si elle allait s'évanouir. Les larmes coulaient à flots le long de ses joues, et elle faisait craquer les jointures de ses doigts au rythme du violoncelle. Quand Lorch vit l'effet que faisait la musique sur la petite fille, il s'arrêta, effrayé. C'est alors que le miracle se produisit."

Quelques années plus tard, alors qu'elle n'a que seize ans, Dina épouse Jacob, un veuf de vingt ans de plus. Rebelle, n'aimant pas se plier aux règles et aux convenances, Dina découvre sa nouvelle vie d'épouse.

En trois tomes, Herrbjorg Wassmo raconte la vie d'une femme au destin sombre dans une Norvège hostile des années 1840 dans cette trilogie composée des titres "Les limons vides" (Livre 1), "Les vivants aussi" (Livre 2) et "Mon bien-aimé à moi" (Livre 3). Chaque ouvrage s'ouvre sur une nouvelle période.

Dans les toutes premières lignes, Dina est une femme mariée. Elle se trouve au bord d'une falaise. Il fait un froid glacial, le traîneau qui la transportait elle et son mari est renversé. le vide n'est pas loin. La neige est à perte de vue. Un drame se profile sans qu'on en connaisse encore les circonstances.
A partir de ce moment, on fait un bon dans le passé, on bascule alors dans son enfance.

Dina est une petite-fille trop tôt confrontée au pire. La perte de sa mère et un père absent l'amènent à se renfermer et à devenir ce petit être sauvage qui ne trouve du réconfort que dans le monde qu'elle s'est créé.

D'une enfant perdue, à une adolescente au caractère indomptable, Dina devient une femme de poigne, enfermée dans un univers mystique. C'est également une femme à la beauté exceptionnelle qui fascine autant qu'elle impressionne.

"Le livre de Dina" est le portrait d'une femme dont les obstacles liés à la rudesse du Nordland et à la vie à la campagne ne l'empêcheront pas de découvrir des bonheurs simples et essentiels. Une très bonne lecture pour ce mois de décembre.


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Bonsoir
je viens de découvrir Wassmo pour valider pour un challenge un auteur norvégien
Je souhaitais un petit livre et j ai pris celui-ci au hasard
Une agréable surprise
Un mariage arrangée l'entêtement d une jeune fille qui veut vivre sa vie et se moque des qu'en dira t on
Je ne voudrais pas oublier de vous parles des paysages qui sont sublimes.
Je vais vite découvrir la suite de ce roman.
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Dina, une gamine du nord de la Norvège des années 30 du XIXe siècle, devient un chat sauvage indomptable après un traumatisme subi qui lui fera perdre la parole. Je ne vous dis ni lequel, ni les circonstances du drame (la 4e de couverture en dit d'ailleurs trop et reflète assez mal le contenu puisque Dina n'est pas une recluse) Elle vit avec son père, commissaire, veuf. le père ne sait pas comment gérer sa fille qui n'en fait qu'à sa tête. La seule chose qu'il ne veut pas, qu'il ne supporte pas, ce sont les cris et les pleurs. Il n'a plus la capacité à les supporter - il y a une raison liée à ce que je ne peux vous révéler. C'est aussi un homme à femmes qui se remarie assez vite après le décès de son épouse, Hjertrud. Dagny, la second épouse, ne fait pas bon ménage avec cette petite sauvageonne, qui lui en fait voir de toutes les couleurs. le commissaire décide d'embaucher un percepteur, M. Lorch, qui apprendra à compter, à lire et à jouer de la musique à Dina. Un premier miracle se produit quand elle entend la musique, qui peut exprimer ce qu'elle ne peut dire avec des mots. Et ce fait même lui fait recouvrer la parole.
Si le commissaire souhaite le meilleur pour sa fille tout en ne sachant pas comment la gérer, il commet quand même quelque chose d'assez dingue : il cède à son ami Jacob, 48 ans, Dina, 16 ans, comme épouse. le pauvre type ne sait pas ce qui l'attend ! C'est bien ce qui est cocasse dans cette histoire. Il y a quelques scènes croquignolettes...
Herbjorg Wassmo nous dresse un portrait haut en couleur d'une gamine puis d'une jeune femme qui n'a pas de limites ! Non pas qu'elle soit une femme libre au sens où elle serait consciente de l'être, mais parce qu'elle est traumatisée, ce qui lui est arrivé la poursuit encore et toujours. C'est une vraie furie pétrie de douleur qui ne fait de cadeau à personne. Pas qu'elle soit méchante, mais elle n'a pas d'éducation. Elle ne connait pas les convenances de la vie en société. Il y a un côté naïf et spontané chez elle. En même temps, c'est quelqu'un de très intelligent. Un sacré caractère. Une sorte d'Atilla en jupon (quand elle en a un !). Partout où elle passe, l'herbe trépasse. Lol ! Dina sème la mort sans le vouloir. le livre commence sur un accident de traineau et se termine là dessus. Elle découvre aussi des bizarreries dans les comptes de Jacob, alors que lui, gros bêta, n'a rien vu.

Herbjorg Wassmo écrit sans s'encombrer de tabous. Il y a pas mal de scènes sulfureuses, cocasses voire drôles. Son récit galope comme un cheval indompté, à l'image de son héroïne. On ne s'ennuie pas 5 minutes. Un livre qui plaira à ceux qui aiment l'action.
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Grâce à notre bibliothèque d'entreprise j'ai découvert Herbjorg Wassmo et la littérature norvégienne. Née en 1942, ancienne institutrice, elle vit près du cercle polaire et écrit depuis plus de vingt ans. Elle est très connue dans les pays scandinaves. Les limons vides est le premier tome du livre de Dina porté à l'écran en 2003, avec Gérard Depardieu.

Ce roman est écrit dans un style original, rafraîchissant, presque comme une légende.

Dina est actrice involontaire de l'accident qui va coûter la vie à sa mère. Victime et coupable, elle grandit abandonnée, comme une enfant sauvage, avant d'être initiée à la musique par un professeur de violoncelle et de piano. Jeune-femme indomptable, insoumise et libérée, elle vit entre une réalité sans limites et sans contraintes qu'elle impose à son entourage et un monde parallèle où elle retrouve sa mère.

J'ai déjà hâte de lire la suite Les vivants aussi.
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Mais qui est Dina ?

Une femme qui a cinq ans a tué sa mère par accident, et qui a été jugée comme responsable par son père et rejetée... Sans éducation, elle est devenue une femme sauvage... forte et déterminée, elle ne marche qu'à l'instinct et se moque des conventions.

J'ai adoré...

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"Le chagrin, c'est les images qu'on ne peut pas voir, mais qu'il faut porter quand même."

Cette phrase, a elle seule résume un peu l'ambiance de cette étrange trilogie. Dina, dont on lit la vie en Norvège au 19ème siècle, est un peu déroutante ... et c'est un peu le moteur de notre lecture.

Qui est-elle ? Sauvage et indomptable, effectivement. Subversive et impudique, sans aucun doute. Sensuelle et maléfique, aussi.

Avec une narration sobre, tout en retenue, l'auteure parvient pourtant à nous faire vivre le froid et la sueur, le questionnement et l'introspection.
La découverte de ce personnage entier, qu'on ne peut comprendre qu'à moitié permet aussi de voir, de sentir, et d'imaginer la vie à son époque et dans son lointain pays. Vivre ces nuits absentes, sentir l'odeur du poisson, éprouver les tempêtes. Un voyage géographique et humain, en somme.

Mais malgré tout ce que l'on lit, de son histoire, de sa vie, de ses pensées... Qui est Dina ?
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Littérature norvégienne, je ne me souviens pas avoir lu quoi que ce soit de ce domaine et ayant reçu le Testament de Dina (dernier tome de la saga), je ne concevais pas de le lire sans connaître les précédents romans qui composent cette saga.

Dès les premières lignes, les premières pages, on ressent tout de suite une atmosphère glaciale, un malaise, de par les événements qui sont décrits mais aussi par les personnages et le rythme de l’écriture.

Dina et son cheval Lucifer, rentrent seuls, elle muette et ne pouvant donc donner aucune explication sur l’absence de Jacob, son mari qui aurait dû l’accompagner. On découvre très vite que cette jeune femme est hors norme. C’est une sauvageonne, entière, instinctive, qui n’agit que suivant ses désirs, suivant ses règles.

Dans son enfance, un drame dont elle est peut-être responsable, va avoir des répercussions sur son psychisme, sur sa vie, sur ses actes. Elle va évoluer au milieu des esprits, des fantômes, de la religion (chaque chapitre débute par une citation extraite de textes bibliques) et de ses pensées intérieures.

Je suis Dina, qui regarde le traîneau et sa charge dévaler la pente.

D’abord, il me semble que c’est moi qui y suis attachée. Parce que la douleur que je ressens est plus forte que tout ce que j’ai ressenti jusqu’à présent. A travers une réalité limpide comme le verre, mais hors du temps et de l’espace, je reste en contact avec le visage sur le traîneau. (p11)

Après le prologue qui décrit un épisode tragique mais qui garde des zones de mystère, le roman commence par le Premier Livre, laissant augurer une saga à venir et nous plongeons dans le passé de Dina pour découvrir qui elle est, en remontant dans son enfance.

Je suis Dina, entraînée à la suite de l’homme dans le tourbillon du torrent écumant. Puis il passe de l’autre côté. Je n’arrive pas à saisir le dernier instant, ce qui m’aurait fait découvrir ce que tout le monde redoute. Le moment où le temps s’arrête.

Qui suis-je ? Quand, où et à quel endroit ? Suis-je à jamais damnée ? (p14)

Qui est Dina, comment devient-elle cette femme, sauvage, rebelle, que tout le monde craint et respecte. Dotée de capacités mathématiques exceptionnelles, douée pour la musique, elle joue du violoncelle de façon sensuelle, comme pour s’envelopper dans les notes et faire taire ceux qui l’entourent.

Une bonne femme mariée qui grimpait aux arbres, qui se promenait en sous-vêtements à son propre mariage, qui n’avait pas su lire avant l’âge de douze ans et encore rien d’autre que la Bible, et qui montait à cheval à califourchon et sans selle, devait nécessairement porter les fautes des générations antérieures. (p113)

Elle n’a aucune pudeur, aime plus le contact avec les domestiques, la nature et les animaux qu’avec ses proches. Elle décide qui elle aime, on ne peut lui dicter sa conduite ni ses choix. C’est elle qui fixe les règles : où, quand, comment et avec qui.

L’auteure a construit un personnage entier, presque « animal » tant par sa façon de vivre, son caractère, ne respectant aucune convention, se moquant des remarques et injonctions mais qui est habitée par une vie intérieure faite de souvenirs qui reviennent la hanter.

Il s’agit également d’une femme moderne (l’action se situe au milieu du 19ème siècle) : Herbjorg Wassmo en fait une sorte de féministe avant l’heure, qui ne veut pas que sa vie soit gouvernée par les hommes, par les règles ancestrales.

– Ben, si j’avais été un cheval ? ou un bateau ? Alors j’aurais eu l’droit d’me montrer ? Alors que la Dina, elle doit rester invisible ? (p124)

Elle revendique son droit à la liberté, à décider de ce qu’elle fait de sa vie, ne s’embarrasse pas des lois, elle a sa propre loi. Si elle aime c’est totalement mais si on la blesse, si on lui fait du mal, tel un animal elle se venge

La vengeance de Dina pouvait être terrible. Il commençait à la connaître maintenant. Ce qu’elle voulait, c’était posséder les autres sans être elle-même possédée. (p139)

J’ai rarement lu de récit où le personnage central est une femme d’une telle force, d’une telle détermination, si imprévisible. Rien ne lui résiste : mariage, famille, amitié, elle décide qui elle aime, qui l’entoure, qui devra partir. Comme je vous l’ai dit c’est une instinctive : elle « sent » les gens et quand elle les aime, elle comprend, elle ne juge pas, elle les respecte même. On a parfois le sentiment d’être face à une femme-enfant, une enfant sauvage dont le plus grand plaisir est de chevaucher son cheval, sans selle, d’affronter les éléments, de se nicher au sommet d’un arbre et d’embrasser le monde qui l’entoure.

Elle peut être provocante mais en a-t-elle conscience ? Tout ne semble que jeu, expérience, association de sensations mais elle peut taire certaines choses, être également manipulatrice, dangereuse pour qui n’est pas honnête.

C’est une sorte d’animal doué de sens basiques, d’une logique bien à elle et je pense que dans les livres suivants (dont j’ai déjà commencé le deuxième) je vais découvrir bien d’autres facettes de cette walkyrie, intelligente à sa façon, brutale mais aussi voluptueuse quand elle aime, voire sensuelle.

L’écriture est aussi froide, directe,à l’image du climat qui règne dans ce pays au-delà du cercle polaire, mais aussi à l’image du personnage central. Tout n’est pas révélé, chaque lecteur peut interpréter les événements à sa manière, à moins que l’auteure ne révèle dans les tomes suivants certaines vérités.

On est un peu dérouté au début de la lecture par le style à la fois poétique, mêlant religion, monde intérieur de Dina et réalité. On ne comprend pas tout car tout ne nous est pas donné, volontairement, mais la découverte, au fil des pages, permet de reprendre l’histoire parfois sous un autre jour.

Pour une fois l’héroïne n’est pas idéale, parfaite, ne répond pas aux normes habituelles de la féminité, elle est complexe, mystérieuse, ambiguë, oscillant entre folie, rudesse et bon sens, mais, pour ma part, je l’ai trouvé attachante, déroutante malgré tout justement par ce côté décalé, moderne, hors norme…… Et finalement qui est Dina ?

Mais toute cette antipathie cachait une corde qui vibrait. Une curiosité. Celle de découvrir ce qui poussait les gens, comme Jacob, à de telles folies. Celle de découvrir comment une gamine pouvait prendre le contrôle de toute une propriété. Sans même avoir à lever un doigt. (p161)
Mais toute cette antipathie cachait une corde qui vibrait. Une curiosité. Celle de découvrir ce qui poussait les gens, comme Jacob, à de telles folies. Celle de découvrir comment une gamine pouvait prendre le contrôle de toute une propriété. Sans même avoir à lever un doigt. (p161)
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J’ai eu un peu de mal à entrer dans l’histoire, car la première scène est glauque et sanglante sans que l’on comprenne ce qui se joue (une scène gore qui n’a pas vraiment d’épaisseur ; on ne connait rien des protagonistes). J’ai bien failli lâcher le livre pour ne plus y revenir d’autant que le style me paraissait assez morcelé puis j’ai décidé de poursuivre.
Peu à peu, on remonte le temps et on voit émerger un curieux personnage, mi-homme mi-femme, surprenant par son anticonformisme et sa liberté d’être, de penser. Dina a été frappée par la malédiction dès son plus jeune âge pour avoir par un geste maladroit provoqué sans le vouloir la mort de sa mère, ébouillantée sous ses yeux. Son père, terrassé par le chagrin, lui en tiendra rigueur et la laissera à l’abandon jusqu’à une certaine période où il permet enfin à un étrange visiteur Lorsh de la prendre en main et de faire son éducation ; celui-ci lui apprendra le piano, le violoncelle, le calcul et l’enfant y mettra toute son âme. Puis son père la livre à un homme d’âge mûr, Jacob qui, fol amoureux, l’épouse alors qu’elle n’a que 16 ans…
Lyrisme, sensualité, érotisme, mystère, cruauté : une atmosphère envoutante avec en toile de fond les superbes paysages norvégiens. Tout contribue à captiver le lecteur.
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Dans ce premier tome de la trilogie « Le livre de Dina » , on sait dès le prologue comment le livre va se terminer; reste à savoir comment on en arrive là. Traumatisée parce qu'elle a accidentellement ébouillanté et tué sa mère, Dina arrête de parler dès son jeune âge et seule l'arrivée d'un discret et taciturne précepteur, féru de musique, saura la sortir de son mutisme et lui donner tant bien que mal un début d'éducation. Enfant rebelle, c'est le moins que l'on puisse dire, elle se mariera à 16 ans avec Jacob, qui réalisera vite dans quelle galère il s'est embarqué. On découvre graduellement une Dina égoïste au cube, entêtée comme un âne et finalement beaucoup moins naïve ou immature qu'on pourrait le croire. Elle contrôle tout le monde, sauf peut-être elle-même, mais reste en même temps beaucoup plus calculatrice qu'impulsive même si ce sont la passion qui dicte sa conduite. Je trouve le personnage fascinant même si ses agissements sont pour le moins sujets à caution. L'époque est évoquée avec rigueur et constitue un contrepoint marquant avec le conduite déchaînée de l'héroïne. J'ai hâte au deuxième tome.
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(pour les trois tomes)

C'est l'histoire de Dina, une jeune femme étrange à bien des égards, mal élevée, frustre, sans compromis et brutale, qui vit parmi les siens dans la Norvège du 19ième siècle et qui n'en fait qu'à sa tête.
On ne sait pas trop si elle ne ne l'a pas perdue, justement.

L'écriture met parfaitement en lumière ce que les mots ne disent pas forcément et vient à merveille compléter les impressions du lecteur.
L'auteur plante un décors très précis des paysages norvégiens et des atmosphères différentes qui règnent d'une saison à l'autre, en fonction de la présence du soleil et de la végétation, ou de leur absence.

Une lecture à recommander, vous serez captivé(es) dès les premières pages
Voilà donc une oeuvre qui se lit facilement et qui ne laissera personne indifférent.
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