Lionel Wehrlé/5
1 notes
Résumé :
Avec ce premier recueil de poèmes, Lionel Wehrlé s'engage dans un périple intérieur puissant et élévateur. D'un pèlerinage introspectif en terres arides, il tire les fils de son passé avec pudeur et sincérité. Si souffrance et ténèbres jalonnent son chemin, il sait pouvoir compter sur des oasis de lumière et de vérité. Les émotions explosent, sublimes, et nous emportent sur des dunes clairvoyantes. Ici, désert nécessaire, là-bas, oasis salvatrice. Du désert aux nuag... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (1)
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Comme le funambule sur son fil, le narrateur de sa plume légère et profonde nous invite à un voyage dans lequel les mots seraient une échappée à la colère, la haine pour se transformer en joie, amour et lumière.
Une rédemption ?
Une écriture salvatrice ? Une libération ?
" Ces pages de ma vie marquée de pierres noires
Deviennent dans ta bouche des perles de nacres."
La voix donne vie laissant les silences se briser. Donne vie à toutes ces voix de l'homme assassin à l'homme amoureux, le poète confie au lecteur avec pudeur et tout en émotion ses sentiments des plus sombres aux plus vertueux.
Un tout premier recueil sensible, intime à fleur d'émotion vive.
Une rédemption ?
Une écriture salvatrice ? Une libération ?
" Ces pages de ma vie marquée de pierres noires
Deviennent dans ta bouche des perles de nacres."
La voix donne vie laissant les silences se briser. Donne vie à toutes ces voix de l'homme assassin à l'homme amoureux, le poète confie au lecteur avec pudeur et tout en émotion ses sentiments des plus sombres aux plus vertueux.
Un tout premier recueil sensible, intime à fleur d'émotion vive.
Citations et extraits (2)
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Le silence est le terreau de toute ma vie
C’est lorsqu’il se brisait que mes voix se cassaient
Le silence est le terreau de toutes mes voix
C’est lorsqu’il se brisait que ma vie se ruinait
C’est lorsqu’il se brisait que mes voix se cassaient
Le silence est le terreau de toutes mes voix
C’est lorsqu’il se brisait que ma vie se ruinait
Les nuages sont comme des foulards de pluie
Qui cacheraient du ciel le suçon enflammé
Déposé au matin d'une nuit étoilée
Par l'amant discret qui tout le jour se languit
Qui cacheraient du ciel le suçon enflammé
Déposé au matin d'une nuit étoilée
Par l'amant discret qui tout le jour se languit
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