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Citations sur La planète des chats (72)

Le besoin de savoir est un virus contagieux. Quand on comprends l'intérêt de l'instruction et qu'on la voit chez les autres, on a envie d'en bénéficier soi - même.
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Non mais je rêve. Qu’est-ce qu’elle me prend la tête, celle-là, à un moment aussi crucial ! Si les humains se jugent à leur race, pas étonnant qu’ils soient aussi divisés.
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Ne t’attache à rien ni à personne, car les gens autour de toi finiront tous par partir.
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— Vous êtes sûre qu’être prophète, c’est mieux qu’être reine ?
— Être reine ne consiste précisément qu’à régner. La reine gère des guerres et donne des ordres. Ça n’est que du court terme. Une prophète continue de diffuser sa pensée après sa mort. Elle influence les rois et les reines qui lui succèdent, par la seule puissance de ses idées.
Elle continue :
— Être prophète, c’est donner un sens au passé puis, de là, déduire l’avenir. Être prophète, c’est avoir une vision personnelle originale du futur. Et ça, je crois que tu en es capable, Bastet.
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Plus que jamais, je me dis que les humains, si intelligents qu’ils soient, ne méritent plus de régner sur cette planète.
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p.256.
- C’est nous qui lui avons fait ce cadeau, il doit nous en être reconnaissant.
Et au moment où je prononce ces mots, je me souviens que ce monde n’est fait que d’ingratitude et qu’en général ceux qui rendent service sont mal récompensés.
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Bref, quand il y a un décalage entre notre conviction et les faits objectifs, nous nous mentons à nous même pour ne pas avoir à gérer cette contradiction.
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Que se passerait-il si l’humanité disparaissait soudainement ?
Au bout de dix jours : les animaux d’élevage, n’étant plus nourris, mourraient.
Après un mois : le système de refroidissement des centrales nucléaires ne fonctionnant plus, le cœur des réacteurs chaufferait jusqu’à exploser, ce qui entraînerait des Tchernobyl en chaîne. Les radiations tueraient les espèces les plus fragiles.
Après six mois : les satellites sortiraient de leur orbite et commenceraient à chuter.
Au bout d’un an : dans les zones tempérées, les plantes recouvriraient les constructions humaines, routes, immeubles, maisons, champs, jardins. Les forêts se remettraient à pousser et le CO2 serait absorbé plus rapidement.
Au bout de cinq ans : la température baisserait et les hivers redeviendraient plus froids. Les espèces chassées, comme les sangliers, les renards, les lapins, les cerfs, les loups, les ours, se remettraient à proliférer en Europe. Dans le reste des écosystèmes, la biodiversité reprendrait ses droits.
Au bout de trente ans : tous les immeubles en béton finiraient par s’écrouler. Les ruines deviendraient des niches pour les animaux. Dans les océans, les barrières de corail se reconstitueraient. Les poissons, dont certaines espèces ont été affectées par la surpêche, pourraient de nouveau se reproduire. Notamment les thons, les requins, les dauphins, les baleines. Les méduses par contre deviendraient moins nombreuses.
Au bout de deux cents ans : l’air serait entièrement exempt de tout le CO2 produit par l’homme. Les barrages céderaient, permettant aux rivières et aux fleuves de retrouver leur lit naturel.
Au bout de trois cents ans : les constructions métalliques, comme les ponts suspendus ou la tour Eiffel, s’effondreraient du fait de la corrosion par la rouille.
Au bout de cinq cents ans : toutes les forêts retrouveraient leur faune d’il y a dix mille ans.
Vingt-cinq mille ans plus tard : les déchets nucléaires commenceraient à devenir inactifs.
Cinquante millions d’années plus tard : les monuments en pierre auraient tous disparu depuis très longtemps, cependant resteraient encore les objets en plastique.
Cent millions d’années plus tard : même les objets plastique disparaîtraient et il n’y aurait plus aucune trace du passage des hommes sur terre.
Encyclopédie du Savoir Relatif et Absolu. Volume XIV.
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Quand il y a deux humains qui discutent, il y a… trois opinions.
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Dans la vie, face à un péril, il n’y a que trois attitudes possibles : 1) combattre, 2) ne rien faire, et 3) fuir.
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