La meute du Phénix, tome 1 : Trey Coleman

Il est très rare que j'achète des livres classés "Romance" et "Surnaturel". Non pas que cela ne m'intéresse pas, c'est tout simplement parce que j'aime lorsqu'il y a un peu d'action et un soupçon d'horreur. Alors pourquoi ai-je acheté le premier tome de la Meute du Phénix ? Parce que les éditions Milady ont proposé plusieurs ouvrages à 3,99 euros afin de découvrir des séries. Alors pourquoi pas des loups garous (que je préfère aux vampires) ? En outre, les sagas de Patricia Briggs avec des lycanthropes m'avaient plu, donc pourquoi celle-ci aurait fait exception ? D'autant plus que la note moyenne de cet ouvrage était plus que correcte sur Babelio ou les autres sites dédiés à la littérature...
Mon ressenti final ? de la déception.

Comme beaucoup de lecteurs l'ont souligné, l'auteure emploie des mots crus et vulgaires à plusieurs reprises. Personnellement, le fait de voir le mot "queue"/"b*te" toutes les quinze pages m'a grandement refroidie. Je ne suis pas prude ni choquée par ce genre de propos, j'ai tout simplement trouvé cela affligeant et peu nécessaire. Est-ce que c'est vraiment utile de parler aussi vulgairement ? N'y a-t-il pas d'autres mots plus adaptés, ne serait-ce que pour varier le vocabulaire employé ? D'habitude cela ne me gêne pas plus que ça de voir ce genre de mots de temps à autre... Mais là, c'est trop !

Puisque l'on parle de sexe, autant s'attarder un peu sur le sujet. Parce que si, comme moi vous vous attendiez à une histoire de loups-garous avec une véritable intrigue de meute, vous pouvez passer votre chemin. Vous aimez "Cinquante nuances de Grey" ou les autres dérivés comme "Before"/"After" ? Alors celui-ci pourrait vous plaire, surtout si vous aimez le style urban fantasy. Personnellement, j'estime l'ouvrage de Suzanne Wright comme un mauvais porno. Une sorte de Harlequin érotique version "je teste tout". En effet, nos deux dévergondés vont presque tout tester : le sexe doux, hard à la limite de l'évanouissement tant c'est douloureux, l'oral, l'anal, les poignets attachés, avec un polichinelle dans le tiroir, en version lupine, ... Il n'y a que le sextoy qui n'a pas eu son heure de gloire car, pour reprendre Trey, il n'y a que Sa queue qui a le droit d'aller dans le "joli petit cul" ou entre les cuisses de sa compagne. Faut pas pousser mémé/Greta dans les orties !

A vrai dire, leurs parties de jambes en l'air répétitives ne correspondent pas du tout à ce que j'apprécie dans les ouvrages romantico-érotiques. Ici, ce n'est pas vraiment du viol, mais ce n'est pas à cent pour cent du consenti non plus au début. C'est de la dominance avec des insultes à tout va, des coups de rein violents, des griffures et des cheveux violemment tirés... Franchement, lire des "à qui est cette queue ? Dis le, Taryn !" à chaque relation sexuelle, c'est d'un lourdingue... Non, je n'ai pas trouvé leur couple romantique ou attachant, désolée. Surtout avec de telles scènes détaillées et remplies d'insultes... Je conçois que leurs coucheries sont bien décrites, mais je ne supporte pas ce genre de conversations pendant l'acte.

Continuons avec d'autres déceptions en vrac... En commençant par l'histoire que j'ai trouvé hyper prévisible, classique et clichée. En plus de la fin attendue, je pensais trouver plus d'action... Mais il y en a surtout eu sous la couette ! de plus, ce que je souhaitais voir développer (la meute) est finalement un point assez léger. le côté lycanthrope est mis de côté au dépend de la relation de Trey et de Taryn... Cette dernière est une véritable héroïne de Bit-Lit : une nana ultra badass belle, forte et intelligente qui ne se laisse pas faire. Elle fait mieux que les Hommes et sait se défendre que ce soit avec ses poings ou sa langue. Mouais... Je n'ai pas trouvé ce personnage très crédible. La femme parfaite mais "salope" (elle se qualifie elle-même ainsi), ça va bien cinq minutes...

Le soucis, ce sont surtout les redondances... Alors, oui, la narration alternée est intéressante, mais ce point positif ne fait pas le poids face aux répétitions. Taryn et Trey pensent toujours la même chose... J'ai l'impression qu'ils n'évoluent pas beaucoup (si ce n'est à la fin). de plus, les scènes sexuelles sont nombreuses et toutes similaires. Elles ponctuent régulièrement le récit, souvent au détriment de l'intrigue, ce qui ralentit l'avancée de l'histoire. A un moment, mon intérêt a été éveillé par la présence d'un traitre qui tente de faire passer des messages à Taryn (oiseau, voiture, agression), toutefois cela est vite retombé. Aux trois quarts du livre, j'en avais sérieusement assez, je trouvais cela long et avais envie de vite achever ma lecture pour passer à autre chose. Même les répliques Taryn-Greta (qui au début me blasaient et avaient fini, à force, par m'amuser...) ne relevaient pas le niveau.

Vous l'aurez compris, je ne porte pas cet ouvrage dans mon coeur et n'achèterai pas la suite... Pourtant Suzanne Wright a une plume qui se lit bien et propose des personnages hauts en couleur ! Hélas, ce n'est pas suffisant pour me plaire. La faute au langage vulgaire et cru beaucoup trop présent... E. C.

Même si certains passages du livre m'ont vraiment plu, j'ai vraiment été gêné par la vulgarité presque omniprésente dans les propos de l'héroïne. Serte, l'auteur décrit son héroïne comme une femme forte et battante qui a su surmonter la mort de sa mère et de son âme soeur et a vécue toute sa vie au sein d'une meute où elle était méprisée, mais cela ne justifie pas toute cette profusion de langage ordurier pour montrer qu'elle a de la répartie. D'autre part le livre est une succession de relations sexuelles entre les deux héros qui n'apportent pas grand chose au récit, somme toute assez plat, en dehors de quelques scènes d'action intéressantes. Et cela ne suffit pas à en faire un bon livre.

L'absence totale d'intrigue au profit de scènes de sexe répétées sans intérêt m'a plus que gênée d'autant que le tout est baigné d'une bonne dose de culture du viol.
L'autrice joue ainsi sur la nature des protagonistes pour entériner le principe bien connu que quand une fille dit non, elle pense oui… C'est juste qu'elle veut que le beau mâle lui prouve sa virilité. Dans une société saine où les femmes ne seraient pas violées tous les jours en raison de ce principe, cela aurait pu éventuellement passer (avec un message rappelant la nécessité de respecter le corps d'autrui), mais à l'heure actuelle, c'est juste insupportable… Cette pseudo justification du viol vole d'ailleurs en éclats quand l'héroïne se fait réveiller par un cunnilingus quand elle avait expressément demandé à son compagnon de ne pas s'aventurer sur ce terrain. Il faudra m'expliquer comment cette scène peut prouver la virilité d'un homme. J'y vois plutôt l'arrogance de disposer du corps d'une femme comme il en a envie nonobstant ses demandes…
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J'aime beaucoup les histoires de loups-garous et j'aime bien la bit-lit, deux raisons qui m'ont fait emprunter ce roman.
J'en sors très mitigée.

Je commence par ce que j'ai aimé : les loup-garous.
Les querelles entre meutes, le comportement hiérarchique, l'agressivité et le fait que dans leurs relations, ils sont très tactiles (Trey passe son temps à mordiller sa compagne), j'ai trouvé que cela faisait des loups-garous très vraisemblables. Comme je suis fan de ces créatures-là, j'ai passé un bon moment.
Deuxième point : le personnage principal, Taryn.
Moi qui aime les héroïne fortes, volontaires, là je suis servie. Taryn est une coriace, une battante, une "badass" qui sait ce qu'elle veut . Malgré cela, elle est attachante car on découvre au fil des chapitres sa vulnérabilité. La perte irrémédiable de Joey qu'elle considérait comme son âme soeur et de sa mère l'a marquée à vie. J'ai trouvé la scène où Trey la trouve endormie dans une chambre isolée, recroquevillée sur elle-même et serrant sa boîte de souvenirs, particulièrement touchante.
Et cerise sur le gâteau : elle a une répartie folle.
Cela m'amène au troisième point : l'humour.
L'auteure a voulu insuffler une touche d'humour à la série et caractériser ses loups-garous très portés sur le sexe (comme la plupart des loups-garous de bit-lit, d'ailleurs). Les allusions salaces ou graveleuses volent, certaines plutôt drôles, d'autres très lourdes mais c'est le contexte qui veut ça. A cet égard, les échanges entre Greta, la grand-mère de Trey et Taryn sont représentatifs de cet humour sarcastique.
Tous ces points pré-cités sont les aspects du roman que j'ai appréciés.

Côté points négatifs, je commence doucement avec l'intrigue et le manque d'originalité du monde de Suzanne Wright. L'intrigue avec un vague suspense est là surtout pour servir de fond à la romance entre Trey et Taryn et m'ont fait ranger ce roman plutôt dans les romans d'amour paranormaux que dans les romans fantastiques avec romance. Pour preuve, les personnages ne cherchent à aucun moment vraiment sérieusement le traître dans la meute.
D'autre part, on ne peut pas vraiment dire que l'auteure apporte de la nouveauté au monde des loups-garous. Je n'ai rien lu dans ce début de série que je n'ai lu ailleurs.
D'autre part, même si cela se lit bien, l'écriture ne ressort en rien. La construction du récit est linéaire, simple. Bref, le style est lisse, passe-partout.
J'aborde ensuite ce qui m'a le plus dérangé : la vulgarité des scènes de sexe. L'auteure considère peut-être que c'est excitant de lire des scènes de sexe cru avec des personnages qui font des commentaires orduriers mais moi, cela m'a énervé plutôt qu'autre chose. Et c'était un peu répétitif.
On atteint là les limites de ce genre de littérature. On répond certainement à des attentes, vu l'aspect bestial des protagonistes et vu que c'est une histoire d'amour pour adultes mais quand même, un peu de travail, bon sang! Consulter un dictionnaire de synonymes, le Kama-Sutra, je ne sais pas moi, mais étoffer un peu! Au final, c'est paradoxal mais ces scènes qui devaient apparaître torrides, voire choquantes, m'ont paru bien mécaniques et convenues, limite politiquement correct (le comble! Et j'exagère!).
Enfin, ce qui a fait bondir la féministe en moi, c'est ce comportement de domination dans les jeux sexuels du couple principal. L'auteure laisse entendre que même si Taryn est forte, une dominante, une femelle alpha, elle n'attend qu'une chose : se faire finalement dominer par un mâle. Tout le tralala autour de l'âme soeur et de l'attirance irrépressible ne sont là que pour enrober ce fait. Leurs rapports relèvent quasiment de la maltraitance et Taryn en redemande.
Bon, je sais que cela fait "loup-garou" mais cela m'a hérissé le poil (c'est le cas de le dire) et j'en sors avec un sentiment de malaise. Comme je l'ai dit "c'est la féministe en moi qui parle".
Cela étant dit, j'ai lu d'autres séries de loups-garous qui tiennent la route avec ce thème de la dominance sans en arriver là. Par exemple, les séries avec Mercy Thompson, Lily Yu ou Kitty Northville (elles sont d'ailleurs les héroïnes des séries. C'est peut-être ça la différence).

Résultat de tout ça : une ambivalence de sentiment, quant à ce livre, qui me fait mettre deux étoiles et demie.
Je vais tenter de mettre la main sur la suite pour voir ce que cela donne.

Histoire : Si il a un point de l'histoire que j'ai aimé, c 'est bien toute l'histoire autour de l'imprégnation, de l'âme soeur et de la construction global des loups-garous. C'est bien fait et bien expliqué sans revisiter le mythe des loups-garous.

Dommage que l'histoire soit tissée de fils blancs : notre héroïne est née dans une meute horrible où personne ne l'aime (elle est latente) et change de meute et là, boom jackpot ! Presque tout le monde l'aime direct, même son statut de latente (Une garou qui ne peut pas se changer) ils s'en foutent royalement. Mouais... Je reste sceptique. Une fois passé les premiers chapitres, on rentre en frénésie de sexe où chaque problème est résolus par une partie de jambe en l'air (trop répétitive). Et ce, jusqu'à la fin du roman. Un bon point cependant : les joutes verbales entre notre héroïne et son entourage en particulier avec Greta (la grand mère de Trey) même si elles n'ont pas suffit à maintenir mon intérêt.

Personnages : Notre héroïne m'a plus dès le début et m'a prise au dépourvu. J'ai vu beaucoup de prétendues filles avec de la répartie mais là, je trouve que c'est particulièrement réussi ! Sinon, elle est standard, belle avec des courbe sexy, puissante et tout le tralala... Trey, le sexy man du livre est pareil : beau à tomber, puissant, chef de la meute et soi disant psychopathe sur les bords. Je ne l'ai pas trop sentis, il est brusque et au sang chaud mais de là a le traiter de psychopathe....

Les problèmes du couple sont standard : « est-ce qu'il m'aime ? », « Qu'est-ce que l'amooour » et, mon préféré « J'ai peur d'aimer donc je vais me comporter comme un connard ». Aucun, je dis bien, aucun, clichés de couple ne nous est épargné.
Les personnages secondaires sont sympa mais trop parfait, trop gentils, trop faux. Seul Dante (le bêta) m'a plus.

Style de l'auteur : le seul reproche que je peux faire à son style, c'est la grossièreté de ses personnages. Je n'ai rien contre mais, là, l'auteur dépasse ma limite. Les insultes fussent beaucoup pendant les scènes sexuelles comme jeu mais, moi perso, ça me refroidit carrément. Les termes comme « sale chienne, tu vas voir comme je vais te mettre » et autres me laissent de marbre. Je saisi le trip autour de la chienne par rapport à la louve et tout mais, non, ça me gène, c'est trop fort comme insulte.

Univers : L'auteur a repris les bases du loup-garous. On a des meutes, des alliances, un haut conseil et tout ce que l'on a l'habitude de voir. J'aurai appréciée un peu plus d'originalité mais bon, ça passerai si tout le reste n'était pas si conventionnel.

En bref : J'ai fait une overdose de sexe avec ce roman (bon sang, je ne pensais pas vraiment écrire ça un jour XD). L'histoire est simpliste et attendue. Sans surprise et sans saveur. Seule la répartie de Taryn m'a enchantée. Pas assez pour maintenir mon intérêt. Je vais faire l'impasse sur le tome 2.
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J'ai commencé ce livre pour me distraire de la lecture du Déchronologue (oui j'aime lire une histoire simple à côté d'une autre plus intrigante) et pour le coup, je suis assez mitigée, pour ne pas dire déçue.

Le synopsis est proche de toutes les autres bit-lit métamorphe, des loups, des problèmes de meute, des ébats passionnés, oui mais. Lorsque les problèmes de meute sont très basique et relégué très loin dans la trame narrative et que les ébats passionnés sont à la limite de la pornographie de mauvais goût, l'histoire en elle-même devient bien moins plaisante à lire.
La rencontre entre les deux héros est déviante dès le départ et au final, on se retrouve avec un jeu de domination qui plaira aux aficionados du genre mais qui dégoûtera les autres. Taryn se fait traiter comme de la merde, ou presque, Trey dépasse souvent la ligne entre, machisme séducteur et connard de première mais de si peu qu'on pourrait l'excuser. Les scènes de sexe, me faisant plus pensait à des scènes de viols qu'autre chose sont très, trop, nombreuses, me faisant lever les yeux au ciel à force de ne lire presque que ça.

Au final, je n'ai pas aimé mais, comme je suis du genre à vouloir donner une seconde chance, je vais lire le deux afin de me faire une idée d'ensemble. Puisque je n'avais pas aimé le premier tome Chasseuse de Vampire mais qu'au final la série elle est géniale, qui sait... je pourrais être surprise en bien.

Ce roman qui s'inscrit dans la lignée des romans sulfureux a pas mal fait parlé de lui. Auteur un peu inconnue qui se fait doucement un nom.
Son univers de métamorphes est volontairement chargé en testostérones et phéromones, nous offrant une débauche de luxure et de mâles alpha.
L'héroïne a un certain sens de la répartie - bien que parfois un peu limite question vulgarité - et son mâle est le cliché typique de l'Alpha qui contrôle tout et ne souhaite rien lâcher.
L'héroïne est latente et c'est ça qui plaît : elle se bat malgré tout et son étant la met à part (même si je regrette clairement la facilité de l'auteur sur le coup, j'aurai préféré éviter ce twist qui ne surprend personne).
Les scènes sont sulfureuses mais sont surtout tellement nombreuses qu'elles noient tout ce qui aurait pu servir d'intrigue. Au final il ne se passe quasiment rien et Taryn est acceptée bien trop facilement.
C'est n'est pas une histoire de métamorphe mais plutôt de l'érotisme paranormal, ce qui est très différent à mon sens.
C'est plus pour les lecteurs étant attirés par l'érotisme que ceux cherchant une bonne histoire de métamorphes - avec ou sans scènes osées.
Il paraît que le tome 2 est un peu mieux, on verra.
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je ne vois plus l'intérêt des 300 pages à suivre.
Pour moi, tout était devenu simple et clair mais évideeeement, pourquoi faire simple quand on peut faire compliquer ? C'est par excellence ce que nous montre les deux protagonistes de ce premier tome.

Et là, maintenant, tout de suite, je lance un appel international à tous les auteurs de romance de l'univers : arrêtez de faire nier à vos personnages leurs putains de sentiments tout le long de vos bouquins ! Vous nous faites tellement chier, nous les lecteurs !!

La suite sur mon blog 🌈
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Le livre se lit bien, le style de l'auteur est fluide, on rentre bien dans l'histoire. La love story est un peu prévisible mais on a envie de savoir quand même le déroulement. Par contre la vulgarité des scènes de sexe m'a profondément dérangée...c'était plutôt lourd et inutile dans l'histoire ! Une lecture légère, divertissante (et un brin érotique) que je conseille aux amatrices de romances paranormales.

Au début, j'ai eu du mal à rentrer dans cette histoire qui m'avait pourtant emballé à la lecture de la 4ème de couverture. Les descriptions sont très pesantes et l'action tarde à se mettre en place. Pourtant à un moment l'action décolle. Je ne dirai pas que c'est le meilleur livre de bit-lit mais il m'a fait passer un bon moment de lecture. de plus les scènes de sexe sont vraiment savoureuses.

Je regrette cependant le caractère un peu trop excessif de l'héroïne qui passe son temps à se moquer de tout le monde et à avoir un langage ordurier. On a du mal à apprécier le côté Sarah Connor en colère de manière continuelle.

Je suis donc partagée mais assez alléchée pour lire le tome.
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