Ce livre fait état d’une conscience extrême du réel, les procédés descriptifs débordant paradoxalement du réalisme pour aborder les territoires du fantasme.
« Toutes ces nouvelles témoignent de beaucoup d’intelligence, d’habileté, de vulnérabilité. La conscience extrême du réel semble n’avoir parfois d’issue que dans la folie et la mort. » (Madeleine Ouellette-Michalska, Le Devoir)