Madame Royale retrace à son chevet la mort de son père Louis XVI, son enfermement avec sa mère sans savoir le sort qui leur serait révélé. Elle aborde la maladie de son frère et la haine que le peuple leur voue et qu'elle ne comprend pas.
Une très grosse déception car ce sujet a déjà été traité par le livre d' Alexandra de Brocca avec pour titre "la princesse effacée".
J'ai eu par moment l'impression de lire le même récit.
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J'aime les romans historiques, mais celui-ci n'était pas fait pour moi : je l'ai malheureusement abandonné après une centaine de pages parce qu'il ne me procurait aucun plaisir…
Sur le papier, il avait pourtant tout pour me plaire : présenter une vision de la Révolution depuis l'intérieur de la famille royale, par la fille même de Louis XVI !
Mais décidément, ça n'a pas pris avec moi. Trop de détails politiques qui donnent l'impression de lire un livre d'histoire et surtout trop de jérémiades de la part de cette petite princesse déshéritée par le peuple. On comprend bien que la situation personnelle du roi et de sa famille est difficile voire même tragique, mais l'autrice insiste beaucoup trop sur les désagréments et la « dignité » de la famille royale et cette impression de victimisation était très agaçante (et je ne parle pas de la guillotine, je n'ai pas tenu jusque-là. Juste de l'expérimentation de quelques désagréments, du genre qu'on ne leur parle plus avec respect ou alors elle ne peut pas recevoir le traditionnel collier de diamant pour sa communion).
J'avais été attirée par ce titre car il me semblait l'avoir beaucoup vu sur les réseaux depuis sa sortie, je ne suis donc très surprise de ne pas l'avoir apprécié…
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