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3,7

sur 204 notes

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Jeune princesse à la vie bienheureuse et insouciante, la vie de Marie-Thérèse Charlotte bascule avec les premiers émois de la révolution.
Conduite à Paris, puis emprisonnée avec sa famille au Temple, elle fut la seule rescapée du destin funeste qui s'abattit sur son père Louis XVI, sa mère, Marie-Antoinette et son jeune frère, le Dauphin de France. Je ne vais pas vous raconter L Histoire. On la connaît par coeur...

Ce roman se raconte à la première personne. le « je » renforce souvent le côté intimiste d'un roman, il est censé rapprocher le lecteur de son narrateur et pourtant, j'ai eu beaucoup de mal à me sentir en osmose avec « Mousseline la Sérieuse » ainsi nommée par sa mère. Peut-être parce que l'auteure, Sylvie Yvert, a fait le choix de ne rapporter que des faits bien connus. Des faits vérifiés et éloignés de toutes les rumeurs et extrapolations sur « Marie-Antoinette la frivole et son débonnaire époux royal. ». C'est tout à fait louable de chercher à rétablir les faits et rien que les faits, mais cela donne un ton un peu ennuyeux à ce roman et même parfois agaçant.
Voire larmoyant et apitoyant. A trop vouloir redorer le blason bien terni de ses parents, à trop vouloir les présenter comme des personnes charitables, justes, réfléchies et vertueuses, Marie-Thérèse finit par manquer de crédibilité.
Alors, oui, bien sûr, la Révolution n'a pas été tendre avec la famille royale et sa fidèle noblesse. Certes, ce fut même une vilaine boucherie, une cruauté sans nom, une barbarie ..mais présenter le couple royal comme s'il s'agissait de saints sacrifiés, c'est à mon avis, un peu exagéré et pas forcément réaliste.
Sans doute, Marie-Thérèse avait de ses parents une image hautement idéalisée et de cela, on ne peut pas la blâmer mais j'avoue que cela m'a quelque peu énervée.
Il faut dire aussi que la merveilleuse biographie de Marie-Antoinette toutes en nuances de Zweig a laissé des traces et que j'ai du mal à la percevoir autrement. Marie-Antoinette n'était certes pas cette écervelée, cette catin frivole, cette débauchée à laquelle les révolutionnaires ont prêté les pires vices mais elle était cependant fort dépensière et en cela, elle n'a certainement pas volé son surnom de « Madame Déficit ».
De cela, on n'en parle pas dans ce roman.
Ici, elle incarne plutôt la mère idéale, représentée dans les tableaux de Louise-Vigée-Lebrun, affectueuse, attentionnée et digne. Il en va de même pour Louis XVI.
Un père bon, aimable, indulgent et ce qui est frappant, emprunt d'une dignité sans pareille face à la calomnie. C'est lui qui apprit le pardon à sa fille. Qui lui apprit à pardonner et à continuer à aimer la France, malgré tout.
C'est sans doute cet aspect qui m'a paru le plus poignant dans ce livre :
ce pardon accordé à tous ceux qui leur avaient fait du mal, à tous ceux qui les avaient trahi, à tous ceux qui avaient tué au nom de la Vertu !


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Marie-Thérèse Charlotte de France, que sa mère appelait affectueusement Mousseline la Sérieuse, a grandi dans une royale opulence avant que la Révolution française ne mette un terme à son enfance insouciante. Après la prise de la Bastille, l'invasion du château de Versailles, la fuite à Varennes et l'emprisonnement au Temple, la fille de Louis XVI et Marie-Antoinette va connaître la faim, la solitude, la violence, les humiliations et l'infinie tristesse de perdre son père, sa mère et son petit frère. Au gré des aléas du pouvoir, l'Orpheline du Temple sera haïe ou adulée par le peuple français. Entre exils et retours triomphants, Mousseline gardera toujours au fond de son coeur l'amour intact de la France, sa patrie malgré les souffrances endurées.

Fille de France, duchesse d'Angoulême, Dauphine de France, comtesse de Marnes, Madame Royale, Thérèse Capet, Mousseline la Sérieuse, la princesse Marie-Thérèse a collectionné titres, noms et surnoms et Sylvie Yvert a choisi de donner la parole à Mousseline pour nous la rendre proche et lui laisser donner sa version des évènements qui ont secoué la France et conduit à l'exécution de ses parents. Dans une autobiographie fictive mais basée sur des documents d'époque, l'autrice s'engage dans un plaidoyer forcément partial pour les Capet. le couple royal y est décrit comme aimant, bienveillant, digne et toujours soucieux de son peuple. A contrario, les révolutionnaires sont sanguinaires, avides de pouvoir et peu scrupuleux.
A moins d'être un royaliste convaincu, il est difficile de prendre parti pour la princesse qui n'a de cesse de vanter les qualités, l'abnégation, la dignité et la bonté de ses parents sans jamais évoquer la faim et la misère du peuple. Mais bien sûr, on ne peut qu'être touché par le destin tragique de cette femme qui a su pardonner les offenses et est restée fidèle à son amour pour la France jusqu'au bout.
Un bon rappel de cette période historique agitée, de la Révolution à la Monarchie de Juillet, en passant par le Premier Empire mais vu par le prisme hautement subjectif de celle qui a vécu les évènements de l'intérieur.
Intéressant car c'est une autre vision de la Révolution, écrit dans un style impeccable mais faire de Marie-Antoinette et Louis XVI des saints est un tantinet exagéré.
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Celle que Marie-Antoinette appelait Mousseline la Sérieuse n'était autre que sa fille, devenue l'unique survivante parmi les membres de la famille royale enfermés au Temple en 1792. Si l'on connaît parfaitement ce qu'il est advenu de leurs parents, le sort des enfants est en revanche beaucoup plus opaque. Sylvie Yvert prête sa plume à cette fille oubliée, qui a pourtant vécu jusqu'à l'âge de 73 ans, connu plusieurs révolutions, l'emprisonnement, l'exil et représente un témoin extraordinaire des bouleversements qui ont conduit après maintes tentatives et contre-ordres à la République telle que nous la connaissons. Elle nous livre ainsi les Mémoires que Marie-Thérèse aurait pu décider de publier si elle n'avait pas demandé par testament que tous ses écrits soient détruits à sa mort...

Et c'est passionnant, malgré quelques longueurs. D'abord, l'auteur se place à hauteur d'enfant pour raconter l'horreur vécue au moment de la Révolution, les cris, les insultes, les brimades, les restrictions de liberté et pour finir, l'enfermement. On a l'impression d'avoir déjà tout entendu, vu et lu sur cette période mais certainement pas le désarroi d'enfants qui n'avaient commis pour seul crime que de représenter la continuité d'une monarchie que certains tenaient à éradiquer. Les conditions de détention des deux enfants apparaissent comme particulièrement inhumaines, en rapport avec la folie qui animait les esprits. Marie-Thérèse passera trois ans entre les murs du Temple, dont dix-huit mois sans sortie ni compagnie et sans que personne ne l'ait tenue au courant du sort de sa mère ni de son frère, le jeune Louis XVII mort de mauvais traitements et de défaut de soins alors qu'il développait les symptômes d'une maladie qui avait déjà tué des membres de sa famille. de quoi forger un caractère.

Libérée, Marie-Thérèse est accueillie en Autriche, se rapproche de Louis XVIII en exil en Russie, épouse le Duc d'Angoulême dont la famille est proche dans l'ordre de succession du trône de France et assiste, médusée à la prise de pouvoir de Napoléon 1er. Puis ce sera Londres, le retour en France après l'exil de Napoléon, le règne de Louis XVIII, sa mort, la régence... Attachée à la France malgré tout ainsi qu'à la monarchie, elle prend son mal en patience, tantôt fêtée tantôt rejetée au gré des bouleversements politiques, espérant toujours le rétablissement d'une monarchie. Lorsqu'elle meurt en 1851, la première élection au suffrage universel vient d'avoir lieu même si les termes en sont encore ambigus et qu'elle aboutit à l'élection d'un Prince-Président...

Marie-Thérèse est un personnage à la fois attachant de tant de pudeur, ne voyant dans Louis XVI et Marie-Antoinette que ses parents bien aimés, que d'autres qualifiaient de monstres, et décidée à ne pas blâmer le peuple de France pour les crimes de quelques-uns. C'est surtout un témoin privilégié des mouvements politiques qui ont conduit à tant de volte-face et de revirements, cette difficile marche vers la démocratie.

Il n'est jamais inutile de se replonger dans L Histoire et de se souvenir des heures sombres, des difficultés et du sang versé. Ce livre, par le truchement de l'Histoire est surtout éminemment politique en ce qu'il nous rappelle le prix de la liberté.
Lien : http://www.motspourmots.fr/2..
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Je lis plutôt rarement des romans historiques, je me suis tournée vers cette lecture pour faire avancer mon challenge Abc avec la lettre Y.

Je suis heureuse d'avoir lu ce livre qui sort complétement de mes lectures habituelles, il est question ici de la fille de Marie-Antoinette et de Louis XVI qui se nomme Marie-Thérèse Charlotte.

Ce récit raconte les années de détention au Temple de cette jeune fille, la perte de sa famille, son exil. L'auteur a pris le partie de faire de cette jeune fille le narrateur du récit ce qui rend celui-ci d'autant plus vivant. Sylvie Yvert est parti des lettres que Marie-Thérèse Charlotte a écrit durant sa vie pour baser son récit ce qui le rend d'autant plus poignant.

Une biographie romancée très intéressante à mes yeux.
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Dans ce beau roman historique,Sylvie YVERT donne la parole à Marie-Thérèse fille de Louis XVI et de Marie-Antoinette, surnommée Mousseline par sa mère. La chute de la monarchie et la tourmente révolutionnaire nous est présentée à travers le filtre du regard d'une enfant aimante qui ne comprend absolument pas les raisons de la déchéance de ses parents.
Si les éléments historiques sont soigneusement mis en avant par l'auteur qui a manifestement effectué un très gros travail et documentation et de recherche pour étayer son récit, il ne faut pas rechercher dans ce texte des éléments objectifs permettant d'aborder la Révolution Française. le parti pris de la narratrice est voulu et tout au long de cette biographie romancée, elle ne cherche qu'à exposer ce qu'elle a personnellement ressenti des épreuves qu'elle a dû traverser toute sa vie.
On ne peut qu'être frappée d'horreur devant la description quasi chirurgicale de la déchéance de la famille royale privée de ses prérogatives, de sa liberté et enfin de la vie. Il faut cependant replacer les évenements dans leur contexte historique à une époque où la torture était encore habituellement pratiquée et les exécutions publiques courantes. La sensibilité contemporaine s'accommode mal des atteintes "aux droits de l'homme" commis par les révolutionnaires à l'encontre de la famille royale , mais le système politique généré par la monarchie absolue n'a t'il pas été lui même à l'origine de ces débordements ? Les historiens peuvent se poser la question.
J'ai beaucoup aimé le style soigné du texte qui rend parfaitement crédible la fiction littéraire des mémoires de "Mousseline". J'aurais aimé qu'elle ne se borne pas à des reflexions politiques et qu'elle parle davantage de sa vie privée et notamment de son mari tant aimé. En effet ,elle n'aborde le sujet de ses relations avec les siens qu'à travers le prisme des évènements qui se déroulent et en mettant toujours en avant le souci de son rang et de sa prestigieuse descendance. Bien sûr c'est crédible, mais cela ne rend pas le personnage particulièrement attachant et c'est dommage.
Je suivrai cet auteur pour sa connaissance du 18ème siècle et de l'ancien régime en espérant qu'elle nous livrera prochainement un "vrai roman" laissant place à tout son talent inventif .
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Lors de la dernière masse critique de Babelio, j'ai repéré Mousseline la Sérieuse de Sylvie Yvert, un roman historique consacré à Marie-Thérèse de Bourbon, fille de Louis XVI et de Marie-Antoinette, qui vécu avec sa famille la Révolution et qui fut la seule à en réchapper.Si la Révolution de 1789 est loin d'être ma période historique préférée, je trouvais originale l'idée de découvrir cette époque à travers les yeux de ceux qui ont certainement le plus subi les événements. J'ai bien évidemment sélectionné ce titre et j'ai eu la chance d'être choisie pour le recevoir.

Venise, 1850. Marie-Thérèse de France, au crépuscule de sa vie, revient sur son histoire. Née princesse, elle grandit dans l'insouciance et les splendeurs de Versailles. A dix ans, tout change : elle est plongée, avec le reste de sa famille, dans la Révolution de 1789. Elle connaitra alors les pires heures de sa vie : les émeutes, la violence, l'emprisonnement au Temple, la perte de ses parents, puis de sa tante et enfin celle de son jeune frère. En 1795, elle est finalement libérée et est jetée sur les routes de l'exil pendant près de 25 ans avant de pouvoir rentrer en France en 1814 sous la Restauration qui verra régner ses oncles. En 1830, une nouvelle révolution chasse de nouveau les Bourbons du trône et Marie-Thérèse ne reverra plus la France jusqu'à sa mort en 1851.

Sylvie Yvert reprend le même principe que Françoise Chandernagor dans L'allée du Roi. Elle se glisse dans la peau de Marie-Thérèse pour nous livrer ses mémoires fictives. L'héroïne revient donc sur sa vie de son enfance choyée à Versailles jusqu'à l'exil définitif de France. Elle s'attarde longuement sur les années révolutionnaires et revient sur le calvaire qu'elle et les siens ont vécu alors.

Bien évidemment, j'ai été touché par le parcours de cette princesse qui semble vouée au malheur. Comme elle, je me suis sentie oppressée par la foule de plus en plus hargneuse à l'égard de la famille royale. J'avais la gorge serrée quand elle a du dire adieu à Louis XVI la veille de son exécution : car on en vient à ne plus voir le roi mais le père de famille. Marie-Thérèse perd ainsi un à un les membres de sa famille.
Quand elle est libérée quelques années plus tard, on lui souhaite bien évidemment de trouver le bonheur. Mais ce dernier lui échappe : si elle fait un mariage heureux avec son cousin, celui-ci restera stérile. Puis, quand sa famille revient sur le trône, c'est pour mieux le perdre quelques années plus tard.

Ce roman m'a permis d'augmenter mes modestes connaissances sur la période révolutionnaire et surtout d'avoir un point de vue originale sur cette époque. Par contre, je regrette que la deuxième partie du roman n'ai pas été plus développé car je ne doute pas que la Restauration est également une période où l'héroïne aurait eu à dire. du coup, il y a une disproportion dans le livre : les dix-sept premières années de vie de la princesse au cours les deux tiers du livre et les cinquante-cinq dernières, le reste…

Par ailleurs, j'ai trouvé qu'il manquait un vrai souffle romanesque à ce livre. Si je ne doute pas que l'auteur s'est longuement documentée, j'aurais aimé qu'on sente moins les citations dans le texte et surtout qu'elle développe peut-être un peu plus les émotions de son héroïne. J'ai eu l'impression qu'en voulant coller au plus près à la réalité, elle en a oublié de prendre possession du personnage.

Mousseline la Sérieuse est un roman historique qui se révèle original de par son point de vue mais, pour moi, il manque quelque chose pour le rendre passionnant. J'ai également regretté une disproportion dans le traitement des différentes parties de l'héroïne. Un roman intéressant mais pas incontournable.
Lien : http://tassedeculture.com/20..
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Lecture agréable, mais esprit très partisan de l'auteure. "Vivent nos rois et nos princes et à bas l'odieuse révolution !"
Néanmoins, pris par le roman, on souffre de la captivité de la famille royale. Ce qui est dommage dans ce travail sur Mousseline la Sérieuse, c'est l'après prison du Temple, c'est à dire le dernier petit quart du livre. C'est un peu court et un peu réducteur. J'ai eu l'impression de 60 années d'une longue mélancolie. Les sources n'existent pas, mais il y avait matière à développer. C'est quand même l'histoire d'une longue vie (elle a 17 ans lorsqu'elle quitte la France). D'abord vingt années d'exil à travers l'Europe, un mariage, la découverte des cours étrangères, le monde des exilés, forcément la fille de Louis XVI a dû rire, pleurer, aimer, malgré le traumatisme de sa jeune captivité... Ensuite vint la Restauration des Bourbons où elle redevient princesse de France avec le luxe qui va avec. de plus cette période fut riche et agitée (terreur blanche, crime de Louvel, charbonnerie, complot militaire, agitations étudiantes, guerre victorieuse en Espagne...), bref toute une atmosphère qui a inévitablement agité son existence. Ensuite, nouvel exil, nouvelle vie, etc... Bref de sa position, des événements subits, il y a eu forcément de l'adrénaline, de l'émotion forte, de la passion, en deux mots une vie bien remplie (pour ne pas dire aventureuse) qui aurait méritée d'être longuement imaginée.
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Je renoue avec plaisir avec l'Histoire de France avec ce livre de Sylvie Yvert qui prête sa voix et sa plume avec brio à la survivante de la prison du Temple, Marie-Thérèse-Charlotte de France.

Écrit à la première personne, ce récit raconte les dernières heures de la royauté, de la prise de la Bastille, des morts de Louis XVI et de Marie-Antoinette à l'atroce agonie du petit Charles dans un texte qui nous fait entrer dans l'intimité de cette famille royale décimée. Il nous raconte aussi ce qu'il advint de Marie-Thérèse après ses plus de trois ans de captivité, elle pour qui l'exil succéda à l'emprisonnement.

Celle-ci dresse le portrait de ses parents dans ces heures sombres : un Louis XVI bonhomme et qu'elle aimerait voir plus combatif et une Marie-Antoinette forte et peu encline à renoncer face aux révolutionnaires.
Marie-Thérèse est parfois critique envers son père et les décisions qu'il a prises, toujours admirative de sa mère.

On sent dans tout le texte un véritable amour de sa part, ce qui la conduit parfois à beaucoup d'indulgence, voire à trop vouloir montrer ses parents comme des personnes bienveillantes, justes et dignes, victimes de la cruauté impitoyable de leurs tortionnaires.
Des personnages idéalisés dans un récit qui assume totalement sa subjectivité. Un parti pris qu'il faut accepter pour entrer totalement dans ce récit imprégné de la sensibilité de Marie-Thérèse et de son seul regard sans aucune voix contradictoire.
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Je ne me suis jamais trop intéressée a cette partie de l'histoire de France. Trop de violence, trop de morts. Étudiée trois fois en cours.....J'espère qu'ils ont revu leurs programmes. ET puis je me suis laissée tenter par "ce petit opus", ( 350 pages) à la couverture sympathique. Tiens me suis je dis, qui était donc la fille de Marie Antoinette ?
Et j'ai vraiment apprécier ce livre. L'histoire de cette petite fille qui n'avait qu'un tord : porter un nom Honnit. Être la fille d'un roi et d'une reine que le peuple avaient décidé d'éliminer. Je ne rentrerais pas dans les détails car il s'agit de l'histoire de France que tout le monde connaît. Je resterais dans ce livre, qui m'a permis entre autre de découvrir un peu mieux notre histoire de France post révolutionnaire. Je n'ai qu'une critique, j'ai trouvé la seconde partie ( celle ou notre petite mousseline devenue adulte retrouve une vie quasi normale), un peu courte, un peu bâclée. IL aurait peut être fallu en faire deux tomes ?
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la révolution vu par la monarchie , évidemment ça ne correspond pas à ce que l'on a pu lire dans les bouquins d'histoire , mais ce qui est surtout intéressant c'est la suite , Napoléon , Louis XVIII , louis Philippe , Charles X , enfin une période à priori compliquée expliquée clairement .
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