Ainsi sont les hommes : aux caresses du temps qui court, ils préfèrent la gloire et ses atours. Aux joyeux soupirs de l'amour, ils préfèrent la guerre, toujours.
L'homme a peur de ce qu'il ignore.
Car ainsi sont les hommes: aux caresses du temps qui court, ils préfèrent la gloire et ses atours.
Aux joyeux soupirs de l'amour, ils préfèrent la guerre, toujours.
Quand le fruit est mûr, il tombe.
Toute chose meurt. La mémoire des hommes elle-même !
La mort est si douce, songea-t-il. Pourquoi avais-je peur d'elle ?
Je n'ai pas besoin d'un homme à mes côtés. Je régnerai seule puisqu'ainsi en a décidé ma destinée.
Une femme seule ne peut régner !
Oublierais-tu, ma sœur, la condition de ton sexe ?
Oublierais-tu la devise de notre famille ?
"Une couronne, un trône, pour les servir l'Homme." !