Les beaux étés, tome 1 : Cap au Sud !

Une belle découverte sans violence. L'éditeur nous dit en présentant la série "elle parle de la vie, la vraie. La vie - jolie - de gens qui, l'année durant, travaillent dur pour se payer des vacances d'été.
En route avec la famille Faldérault, nous sommes l'été 1973, je retrouve avec plaisir des scènes de mon enfance, on se prépare pour les vacances. On embarque dans la 4 l'rouge de surcroît. Chemin faisant en route pour le camping un arrêt à la station service où l'on reçoit petits livrets ou figurines.

J'ai adoré retrouver ce petit coin de mon enfance, les années 70, les petits bonheurs simples, la vie de famille. Joli graphisme, chouette ambiance et dialogues sympas.

Je ne peux que vous le recommander. On nous annonce un tome 2 en 1969.
Un régal.

C'est un véritable coup de ♥

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Une bd rigolote et touchante à la fois : une famille sur la route des vacances de l'été 1973, le couple en crise et les quatre enfants, en 4L de la Belgique au Sud de la France. Des personnages sensibles et cocasses, leurs petits bonheurs, leurs espoirs et leurs désarrois. Très chouette !

Très heureuse d'avoir lu le 1e tome de la série "les Beaux Étés", petite BD rès drôle qui aborde pleins de thèmes sensibles : l'adolescence, le deuil, la séparation des parents, mais tout ça avec douceur ! Une famille belge part en vacances dans leur 4L rouge et c'est parti, en voiture Simone !
J'ai adoré ! C'est simple mais ça fait du bien, on rit, on a la larme à l'oeil et on voyage ! Quoi de mieux ?

Qui a t'il de meilleur en été ?
Les vacances, bien sûr !
Et mieux encore, le fameux départ en vacances !
La préparation, l'attente et surtout la route !
Et quand elle se fait en compagnie de la famille Faldérault, c'est encore mieux !

Alors dans ce premier tome direction 1973, à bord de la 4L rouge la famille prend son temps sur les routes nationales malgré les soucis du quotidien, la parenthèse tient ses promesses et on savoure les joies simples, les petits contretemps.

Une très jolie tranche de vie de famille, où chacun pourra se retrouver, un peu, beaucoup, passionnément mais surtout fort nostalgique et ému par la douceur de vivre des seventies.

Proposé lors des 48h de la BD il y a un an, je me suis lancé que récemment dessus et je ne regrette pas.

Les beaux étés ne peut pas être accusé d'un titre mensonger, on suit ici une famille lors des vacances d'étés et les péripéties lors de ces dernières. Particulièrement fan du style de Zidrou, je retrouve sa faculté à construire des personnages en quelques pages, on cerne tout de suite leur caractère, leur personnalité et dans cé récit, on s'attache très vite à ces derniers. Sans "réel but" (ce n'est pas un titre d'action, un thriller, polar,...), il a tout de même réussi à me captiver tout du long par ces dialogues entre les personnages avec la finesse qu'il lui est propre je trouve.

Ce titre fait écho à mes souvenirs de vacances jeune et à ces moments privilégiés avec mes parents que je ne pouvais que trop rarement avoir en période scolaire.

Pour les dessins, autant dire que Jordi Lafebre nous livre de superbes planches. L'auteur espagnol livre des dessins somptueux et mis en valeur par une variété de couleurs à la fois chaudes et froides.

Un titre que je recommande à quiconque souhaite s'évader sans prise de tête pendant quelques dizaines de minutes.

Une bd qui apporte plein de fraîcheur mais aussi de la nostalgie surtout avec les références musicales de l'époque; ici on entend Sardou et sa" maladie d'amour"
Une bd réjouissante qui sent bon les vacances.

Eté 1973, les souvenirs d'une famille de Bruxelles qui part en vacances avec leur 5 enfants en 4L. Et oui à l'époque certaines familles se tassaient dans de tous petits véhicules et franchissaient ainsi de longues distances. Mais le fond de l'histoire tient avec une menace de divorce sous jacent...
Le dessin est clair et coloré.

Les beaux étés a un graphisme assez sympathique, et surtout cette famille va finir par vous toucher en plein coeur. L'été c'est le moment de se ressourcer, de partir en famille, de voyager, et de vivre des aventures. Il faut dire qu'ils sont beaucoup dans la famille, une ribambelle d'enfants, sans oublier Tchouki. Mais cela suffira-t-il à apaiser les tensions ? Mado, la maman n'est pas contente de son travail, c'est loin d'être son rêve. le père, Pierre, rend ses planches en retard, et retarde le départ en vacances de tout le monde. Il est dessinateur de BD, il poursuit son rêve, mais pour l'instant sans le succès escompté. La vie est compliquée. Heureusement, il y a de beaux et précieux moments, ainsi que des souvenirs. Cette famille avec ses petits rituels est touchante. Ils nous amusent et peut être nous rappelle des choses avec leur voiture, leur envie de Sud, La maladie d'amour de Michel Sardou, le camping, le camping sauvage, le mille borne, l'envie d'éviter les péages etc. Au milieu de tout cela, la vie ne s'oublie pas totalement : Mado est en crise, son couple bat de l'aile. Dans la famille de Pierre, il y a un problème, il appelle souvent, et s'inquiète des ventes de sa bande dessinée. Il y a également des disputes. Rien ne vaut de se prendre du temps, de se ressourcer loin de la vie de tous les jours, des problèmes, même s'ils ne disparaissent pas pour autant. Jordi Lafebre & Zidrou nous content de manière réaliste et touchante en nous faisant rire, nous inquiéter, et tant d'autres choses.
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Cela commence comme une ritournelle annuelle. C'est l'été 1973. La petite famille Pif attend avec impatience le départ en vacances, quelque part dans le sud de la France.
Jolie et limpide chronique familiale entachée dès le départ par la tyrannie du père, plus motivé par ses planches de dessins à rendre que par l'impatience de ses enfants. Petites et grandes contrariétés parsèment leur chemin vers la mer : les places de pique-niques trustées par d'autres occupants, l'attaque de taons mais aussi un couple qui se lézarde ou encore un frère malade resté au pays.
La luminosité des couleurs contraste avec le récit, parfois drôle, parfois triste, souvent doux-amer. Les protagonistes hésitent entre drame et comédie sans pour autant verser dans le mélodrame. Ils restent toujours attachants et touchants.

Pouvoir percer dans la bande dessinée, ce n'est pas chose facile. Ce n'est pas le père de la famille Faldérault qui vous dira le contraire. D'ailleurs, cela commence même à mettre en danger sa vie de famille. Les vacances ne sont elles pas les solutions à tous les problèmes ?

Chaque année pendant l'été, c'est le même rituel. On remplit la 4L rouge avec les quatre enfants et les parents pour un mois de détente et de farniente en direction de la France. Adieu Belgique et bonjour douce France, doux pays de mon enfance. Derrière les caprices et les éclats de rire des enfants, le couple doit faire face à sa fragilité et aborder la séparation. Tout comme devoir parler de la mort d'un proche de la famille et devoir avancer malgré la douleur de lier à l'absence. Mais la bonne humeur et l'optimisme des enfants est contagieux et ensemble, ils vont retrouver le sourire.

Dès la couverture, la bd appelle aux vacances et la détente. On pourrait presque sentir la douceur de la chaleur nous carresser la peau, entendre les grillons qui frétillent de plaisir et sentir l'odeur de la viande qui grille. C'est sans étonnement que les souvenirs reviennent en mémoire avec l'observation des nuages en quête de formes, qu'on se souvient des chansons dans la voiture que l'on chante à tu-tête. L'insouciance des enfants face à l'inquiètude des parents. L'histoire se dévore avec plaisir où le bonheur de regarder les magnifiques dessins avec la belle mise en couleurs va de pair avec la finesse de l'écriture. J'ai adoré suivre cette petite famille avec ces bouts de chou avec chacun un caractère bien à lui. J'ai hâte de les retrouver pour une nouvelle aventure pleine d'énergie, de sourire et de tendresse.

C'est servi avec un trait vif et délicat, plongés dans une ambiance seventies, que ce premier tome nous est proposé. L'innocence des enfants rencontre la difficulté des adultes mais en vacances, le sourire est contagieux. le pansement du bonheur fait son effet jusqu'au retour. Et après ? Vous en saurez plus dans le tome 2.

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