Cadastres décrit des dimanches oisifs, des heures grises et enfuies qui ne laissent rien d’autre, dans leur sillage, que la vision « d’une vertèbre sur un dos nu ».
La poésie de Célestin de Meeûs saisit ce qui échappe : êtres, moments et choses.
Cette poésie, apparemment désinvolte et lasse, s’accompagne souvent d’humour et d’autodérision.
Les images évoquées par Célestin de Meeûs surprennent aussi par leur justesse : elles rappellent... >Voir plus
Les gamins tentent tant bien que mal d'attraper froid
La nuit aura fini par nous mettre à la bourre
Et dire qu'il nous faudrait juste un chouïa
De "je" en moins pour être enfin au diapason avec nous mêmes.