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3,88

sur 600 notes

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Chic ! de l'hérétique !

Un livre qui ne plaira pas à tout le monde et dont l'hérésie des propos sera souligné par ces mêmes personnes !
Un vrai livre de Saint Thomas par ailleurs. Méfie- toi José Rodrigues Dos Santos, l'église en a brûlé pour moins que ça !
Mais de quoi s'agit-il ?

D'une odyssée passionnante dans la vie de Jésus. D'une analyse historique sur les mythes théologiques.
Ce roman est très instructif et les thèses défendues peuvent apparaître comme crédibles même s'il sera difficile pour un esprit judéo-chrétien d'y adhérer. Ce sera évidemment plus simple pour les plus cartésiens. Mais que l'on soit croyant ou non, s'interroger sur sa foi ou son absence de foi est toujours utile. du coup les thèses de ce livre vous questionnent aux tréfonds de votre âme.
Les thèses sont intéressantes et paraissent fondées même si certaines sont un peu tirées par les cheveux ou limite intellectuellement parlant. Vous les reconnaîtrez facilement, ce sont celles sur lesquelles l'auteur ne s'attardent pas.
Dos Santos n'hésite pas à utiliser les mêmes artifices ou subterfuges que son personnage principal (qui s'appelle Tomas, tiens donc !) reproche aux rédacteurs des livres du Nouveau Testament. Mais l'ensemble tient la route. Et ne boudons pas notre plaisir, il est très dur de déscotcher de ce livre.

En revanche, si on se penche sur un point de vue purement littéraire, le jugement sera plus tranché. le style est pauvre, vulgarisé pourraient dire les bonnes âmes et les dialogues sont vraiment pitoyables, à la limite du risible parfois. Les personnages sont désincarnés et manquent de consistance et on croit pas du tout à ce qui s'y passe. Arrivé avec dix ans de retard, le lecteur aura l'impression de lire un mauvais pastiche du "Da Vinci Code".
Oui, l'intrigue est plate et le traitement du suspense très artificiel. C'est même irritant ces chapitres inutiles censés donner du rythme à l'ensemble mais dont l'utilité est franchement très discutable.

Alors croira ou croira pas ?

4/5 pour l'intérêt historique, 2/5 pour l'intérêt littéraire ce qui nous fait une moyenne de 3 et c'est super super super bien payé. Votre critique favori est trop généreux !
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Ce livre d'un auteur que je ne connaissais pas avait tout pour me séduire et pourtant il n'a malheureusement pas répondu à toutes mes attentes !

Je vais donc tenter de vous expliquer ce qui m'a plu et déplu dans ce livre. Selon moi, ce livre est à considérer étant composé de trois parties distinctes. La première durant laquelle l'intrigue se met lentement en place et où l'historien, personnage central de ce livre, pose les fondement de son analyse critique de la Bible et où il nous présente son interprétation de celle-ci. La deuxième partie, quant à elle, porte exclusivement sur un travail de recherche historique et d'interprétation de différents passages des Testaments. C'est la partie la plus fastidieuse à lire, selon moi ! Non que les arguments qui y sont avancés soient inintéressants, mais plutôt parce qu'ils sont souvent redondants et qu'ils ralentissent grandement le récit ... n'oublions pas que ce livre nous est présenter comme un roman ésotérique et non pas comme une thèse de doctorat ès histoire. Dans la troisième partie, tout se met finalement en place et on est emporté dans un récit à la "Da Vinci code".

Donc au final, j'ai passé un très bon moment à la lecture de ce livre malgré les quelques inconvénients précités. J'y ai appris beaucoup de choses et j'ai également été incité à prendre mon PC pour en apprendre encore plus sur tout ce qui était développé dans ce roman. Toutefois, à mon sens, la deuxième partie aurait mérité d'être moins développée, ainsi le récit aurait gagné en fluidité et en cohérence.

Comme à chaque fin de lecture, la question métaphysique qui se pose à moi est : "Quel livre vais-je pouvoir lire maintenant ?" Si vous avez la réponse .... Aidez-moi !

Retour à ma petite manie de vous présenter un jeu de société en rapport proche ou lointain avec le thème du livre chroniqué !

Aujourd'hui, je souhaite vous présenter "De Vulgari Eloquentia" dont le rapport avec le livre chroniqué est que les joueurs vont pouvoir essayer de percer les mystères de la bibliothèque du Vatican et pourquoi pas prétendre à devenir le prochain Pape !
"De Vulgari Eloquentia" est un jeu dans lequel les joueurs sont à la quête de la connaissance de la langue italienne (la langue vulgaire par oposition au latin). Pour cela, il faudra parvenir à réunir les manuscrits des différents dialectes italiens ou à percer les secrets de la bibliothèque du Vatican ou, encore, à devenir un riche et puissant marchand. Ou plutôt les joueurs entreront-ils dans les Ordres afin de gravir la hiérarchie de l'Eglise, jusqu'à, pourquoi pas, devenir le prochain Pape.
Stratégie, anticipation et audace seront nécessaires pour affirmer votre statut social et briller par votre culture !
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Autant j'avais été assez enthousiasmé par le premier Dos Santos que j'avais lu (La formule de Dieu), autant je reste un peu sur ma faim avec celui-ci. Pour moi le livre décolle vraiment à partie du dernier tiers, c'est dommage car si le premier tiers passe assez vite (il faut bien mettre l'intrigue en place), le milieu du livre est un peu long avec ces explications bibliques un peu tirées par les cheveux et, contrairement à ce que dit l'auteur dans les notes à la fin de l'ouvrage (notes que je salue car elles permettent de faire la part des choses dans le roman), je n'ai pas été surpris par ces interprétations, étant passionné de théologie, j'avais connaissance de la plus part des faits rapportés.
Selon mon gout l'auteur abuse un peu trop de l'effet de la petite phrase choquante en fin de chapitre qui trouve son explications au chapitre suivant, voire un peu plus loin, cela tient en haleine au début mais finit par lasser...
Heureusement la fin est bien ficelée et la théorie exposée originale (même si Dider van Cauwelaert avait déjà explorer le thème, notamment dans L'Evangile de Jimmy), de plus un rebondissement de dernière minute m'a bien bluffé...
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Une chose est certaine. Ce roman ne plaira pas à tout le monde !

Certains catholiques risquent de se sentir choqués voir offensés par les révélations (avec preuves à l'appui) faites dans ce livre et qui sont pour le moins étonnantes. N'étant pas de confession catholique, j'ai lu le livre avec un oeil objectif et critique. Toutefois, j'étais sidéré par toutes ces révélations qui me font voir les religions sous un autre oeil, ou plutôt qui me confortent dans mes convictions.

Après "La formule de dieu", il s'agit là du 2éme volet des aventures de Tomas Noronha, historien et cryptologue de renommée internationale. Ayant adoré le 1er, j'étais impatient de retrouver notre héros. Les retrouvailles ne furent malheureusement pas à la hauteur de mes espérances.

Non pas que le thème abordé sur la véracité ou non des écrits bibliques n'était pas intéressant. Je reproche surtout à l'auteur d'avoir complètement sabordé le côté intrigue. du coup, le roman s'assimile plus à une critique de la religion chrétienne qu'à un véritable thriller vu la pauvreté du scénario. « José Rodrigues dos Santos» a voulu faire du « Dan Brown » mais la sauce n'a pas pris. A cela s'ajoute, le style parfois lourd et niaiseux des échanges entre les différents protagonistes, notamment entre l'historien et l'inspectrice avec des expressions du style « Qu'est ce que vous dites » répétées à maintes reprises…
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Je ne suis jamais déçue pendant mes lectures des romans de Jose Rodrigues dos Santos.

Son érudition me permet toujours d'apprendre quelque chose, son sens du suspense me tient en haleine tout au long de ses romans, et il me fait souvent voir autrement des faits tenus pour acquis ...

Dans celui là, il démontre comment le Nouveau Testament, écrit bien après la mort de Jésus, est en fait un instrument de propagande utilisé par la Papauté à partir du IVème siècle.

Les seuls textes datant peu ou prou de l'époque où vivait Jésus sont certaines épîtres De Saint Paul, l'Evangile le plus récent ayant été écrit à la fin du premier siècle. 

En s'appuyant sur des extraits des différents évangiles, l'auteur montre les incohérences entre les différentes versions et explique que Jésus était non seulement juif, mais un juif des plus orthodoxes ! 

Le cryptologue, Tomas Noronha, héros récurrent des romans, s'amuse ici à déconstruire les mythes christiques en les racontant à une inspecteur de police romaine.

Un roman instructif, mais dont l'enquête policière est mise au second plan de la déconstruction des Evangiles. L'accélération des derniers chapitres est bienvenue, mais tardive ... 

J'ai d'autres romans de cet auteur en stock sur mes liseuses ... j'espère moins m'ennuyer avec eux !  
Lien : http://les.lectures.de.bill...
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Enfin fini! C est pas trop'tot Et encore j ai lu les 200 dernières pages en diagonale, je n en pouvais'llus et pourtant au départ, je me suis dit «  super, un auteur que je vais suivre... » ça a duré, allez, soyons sympa 50 pages.
Au départ, en plus d une écriture qui rend la lecture fluide, j ai apprécié la facilité de compréhension des parties «  historiques ou techniques », notamment ici, l ancien et le nouveau testament. C est loin d être tjs le cas dans les thrillers ou l'Histoire rentre en ligne de compte. Je pense notamment à Berry ou gibbins ou même cussler ou certaines pages de détails techniques ou historiques sont assez indigestes. Ici, c est agréable à lire et très accessible donc bon point.
L histoire semble bien partir avec un meurtre rituel et les choses avancent bien et puis.... petit a petit...
pour expliquer simplement, petit schéma:
- un meurtre et une énigme
- Tomas : c est évident, c est ça...
- Valentina: mais non, puisque Jesus a dit ça
- lui: ah bon? Vous croyez?
- elle: mais oui, tout le monde Sait ça
- et hop, une quinzaine de' pages lui démontrant qu elle a tort.
- petite protestation de sa part
- hop, on recommence 20 pages d explications
Et le cycle reprend, meurtre, énigme...

Bref, tout ça m a rapidement ennuyée et usée.
Finalement, le corps du thriller en lui même tiens en quoi.... une quarantaine de pages sur 520 environ, ça fait bcp d explications théologiques et génétiques. Très intéressant en soi mais je n attendais pas ça dans un thriller.
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Après la découverte d'un corps dans la bibliothèque vaticane, le professeur Tomàs Noronha, d'abord considéré comme suspect potentiel, est recruté par l'inspecteur Valentina afin de l'aider à résoudre l'enquête et percer L'ultime secret du Christ qui confère son nom au roman.

Il est rare que je me trouve dans un tel cas de figure, mais j'ai trouvé ce livre à la fois incroyablement intéressant… et terriblement mauvais. Tout le problème réside dans la volonté de l'auteur d'en faire une oeuvre de fiction, car si la qualité historique est là, on ne peut hélas pas en dire autant de l'aspect littéraire.

Le style est pauvre, les personnages sont fades et dépourvus de personnalité, les dialogues sont superficiels, la majeure partie des chapitres se terminent sur des cliffhangers affligeant à force de prendre toujours la même forme et l'aspect thriller / enquête doit occuper en tout et pour tout quinze pour cent de l'ouvrage. Vraiment pas de quoi nous tenir en haleine, d'autant qu'on voit venir assez vite les rebondissements, les révélations et surtout le coupable. Il n'y a qu'un seul élément de l'intrigue qui a réussi à me surprendre, autrement dit bien peu.

Le caractère historique de l'oeuvre est en revanche admirable. On sent que l'auteur maîtrise son sujet, qu'il a fait beaucoup de recherches, et même si je connaissais vaguement certaines des questions abordées, j'ai appris quantité de choses concernant Jésus et la Bible.

Le problème, là encore, c'est la façon dont ces explications sont mises en scène, avec les sempiternelles interruptions semi-hystériques de Valentina (qui a paradoxalement l'air de souffrir de grosses lacunes en matière de théologie), ou parfois des éléments qui reviennent en boucle, car ils sont réévoqués avec les nouveaux personnages.

D'où le fait que je ne m'explique pas l'intérêt de l'auteur d'avoir fait de cette oeuvre un roman, de surcroît aux airs de mauvais crossover entre Da Vinci Code et Anges et Démons de Dan Brown (que je n'ai pas spécialement trouvés fameux non plus, surtout le deuxième, comparés aux films), quand il aurait tout simplement pu en faire un excellent essai.

Honnêtement, ce livre vaut la peine d'être lu pour son côté historique et théologique, mais si une relecture de la Bible ne vous tente pas ou si c'est surtout l'aspect thriller qui vous attire, passez votre chemin. Vous serez forcément déçu.
Lien : https://leslecturesdecyrligh..
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Une intrigue complexe maitrisée grâce à une narration de faits tant historiques que scientifiques bien menée et un suspense maintenu jusqu'au dénouement final.
Malgré la complexité des sujets abordés dans ces livres, cet auteur nous fait découvrir un univers incroyable et expose des théories qui bousculent nos idées.
A lire et relire.
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Vincent Beckers a lu et dit :

Intéressant.
Si l'intrigue "policière" est (vraiment) un prétexte pour étaler les théories de l'auteur sur sa vision de la rédaction de la Bible et de la vie de Jésus, les informations qu'il distille par le biais d'une voix neutre (un personnage) méritent le détour.
De quoi avoir - surtout - envie de reprendre le livre le plus lu au monde ... et faire des études, des analyses, des comparaisons, des études.
Un livre qui donne envie d'en savoir plus sur les dogmes de la religion.
Et ça, c'est déjà super !


Vincent Beckers a dit : hugh !

Lien : http://www.ecole-esoterique...
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Au coeur de la Bibliothèque du Vatican, une paléographe reconnue, Patricia Escalona, étudie le Codex Vaticanus, un des plus vieux exemplaires de la Bible, écrit en grec. C'est dans ce lieu prestigieux qu'elle est assassinée, le tueur l'égorgeant avant de laisser un message mystérieux et crypté. Alors, le mystère et la cryptologie, ça me fait un peu rire puisque j'ai cramé de suite qu'il fallait juste retourner la feuille pour en comprendre le sens, mais bon…

Valentina, jeune flic qui mène l'enquête, oblige Tomás Noronha à l'aider, lui qui a su décrypter le message. L'heure est grave, l'égorgement veut automatiquement dire meurtre rituel. Un fou assassine des savants. Un fou particulièrement productif parce qu'à peine Patricia éliminée, il s'envole vers l'Irlande et tue une seconde personne, toujours avec le même mode opératoire, et en laissant un petit message. Interpol marche du tonnerre, l'Italie et Valentina sont aussitôt prévenues. Et crac boum chac, tous deux traversent l'Europe en avion et atterrissent à Dublin. Mais Interpol est vraiment très performant, et sitôt débarqués, les voilà qu'ils sont informés qu'un nouveau meurtre rituel a eu lieu à Sofia, en Bulgarie. On reprend ses valises qu'on n'a pas eu le temps d'ouvrir et Bulgarie, nous voilà. On réfléchit trois secondes à ce qui peut unir les trois scientifiques qui ne semblaient pas se connaître, on trouve en deux temps trois mouvements que tous trois se sont récemment rendus en Israël. Hasard ? je ne crois pas, non…Allez, go en Israël où un flic bien sympa les attend impatiemment. Interpol est puissant. Et ça, c'est en l'espace de quoi, trois quatre jours maximum…Efficacité quand tu nous tiens.

Et entre ses voyages un peu longs, il faut bien chercher des pistes. Et ce sont les messages codés qui vont occuper nos deux enquêteurs. Et au fil de 400 longues pages, on reproduit le même schéma : Tomàs fait semblant de réfléchir sur le sens des messages, trouve en deux-deux leur signification qui a toujours un lien avec un verset problématique de la Bible. Et là, Valentina, italienne, forcément catholique et croyante, s'étonne de tout dans cette confrontation systématique entre le regard de l'historien et celui du croyant, entre lecture historique et lecture théologique. Quoi ? le Nouveau Testament a été écrit presque un siècle après les événements ? Quoi ? les apôtres étaient analphabètes ? Quoi ? les plus anciens textes sont écrits en grecs et pas en latin ? Quoi ? il y a eu des erreurs de traduction, parfois involontaires, parfois totalement volontaires ? Quoi ? il y a des fraudes et des manipulations ? on a rajouté des éléments petit à petit pour des raisons théologiques ? Quoi ? Jésus n'était pas chrétien mais juif ? Horreur et damnation ! 400 pages, sur un roman qui en fait 570, c'est très très long et ça finit par être indigeste, même s'il est toujours intéressant de rappeler que le Nouveau Testament et les écrits apocryphes ne sont pas fiables.

Alors, que se passe-t-il dans les 170 dernières pages ? Place à l'action ? pas beaucoup plus, le discours historique fait place au discours scientifique. Qui dit Israël dit tombeau du Christ. Qui dit tombeau dit os. Qui dit os dit ADN. Et là, on apprend que nos trois scientifiques ont été invités par une organisation puissante, qui a pour but de promouvoir la paix dans le monde. le directeur les mène assez facilement dans un laboratoire ultra-secret et dévoile son grand projet : il veut cloner Jésus pour apporter la paix sur terre. Alors on repart sur le problème « Nouveau Testament » et Tomàs de répéter à nouveau ce que l'on a lu sur 400 pages : Jésus n'était pas chrétien, il ne parlait qu'aux juifs, ne se mêlait pas aux païens, et ne portait pas un message universel d'amour et de paix. Mais quand même, l'ADN de Jésus, c'est fou ! Et c'est justement ce projet que le commanditaire des meurtres veut détruire. La révélation sur l'identité du « Maître » n'est pas franchement une surprise (en même temps, il y a cinq personnages dans cette histoire, ça réduit grandement les possibilités) et la toute fin, si elle fait place à un peu d'action, n'est pas surprenante pour deux sous.

Je suis très mitigée sur ce roman. Si je reconnais que l'érudition y est bien présente, et qu'il était intéressant d'aborder ce thème, le schéma du roman est beaucoup trop répétitif. Au bout d'un moment, ça devient tout simplement ennuyeux. Quant au discours scientifique sur le clonage, il m'a au final fait penser à la secte de Raël, qui avait prétendu être parvenue à cloner un être humain. En résumé, L'Ultime secret du Christ fut une lecture laborieuse et lassante, servie par des personnages assez fades, et une intrigue sans surprises.
Lien : https://enquetelitteraire.wo..
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