Ai Yazawa

L'histoire des deux Nana est plus que réaliste, elles affrontent des problèmes du quotidien (d'ordre : financier, sentimental, relationnel, professionnel).

La plume d'Ai Yazawa est très belle, elle retranscrit de manière poétique les sentiments /émotions de chaque personnage.

J'ai accroché du début à la « fin ». Et oui, fin entre guillemets car le manga « se termine » au volume 21 en plein milieu de l'histoire. Il n'y a pas encore de fin, il a été mis en suspens depuis 2009.

Le dernier volume est terrible car il laisse les lecteurs dans une peine qu'éprouvent les personnages suite à un décès de l'un d'eux. Je vous raconte pas la déception d'apprendre la mort d'un des personnages que l'on adore puis hop de se retrouver sans suite.



Sinon, ce que j'aime aussi ce sont les dessins et l'atmosphère qui y règnent. Je suis vraiment fan de ce genre d'histoire. Je trouve que ce manga est même adapté aux adultes.
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Fin de saga...



J'avais adoré le premier tome de Last quarter, le deuxième tome m'avait quelque peu déçu, ce troisième opus vient clôturer la saga de manière poétique.



Nous retrouvons nos personnages qui nagent cette fois en pleine confusion. Tentant désespérant d'aider Eve, les révélations du tome précédent, ont laissés nos protagonistes dans le flou. Mais le temps presse, et dans ce tome l'urgence est bien présente, les choix seront difficiles, et les pertes seront douloureuses.



Les dessins sont toujours travaillés, et j'ai adoré les minis bulles de souvenirs.



La fin du manga se révèle poétique et belle. J'ai beaucoup apprécié.



En bref, 3 tomes d'une saga que j'ai apprécié et que je recommande.



Bonne lecture à tous.

Avec ce troisième tome, on arrive à la fin de cette petite série et j’ai beaucoup aimé comment toutes les informations convergeaient pour aboutir à la résolution finale.



Je tire un grand coup de chapeau à cette bande de petits enquêteurs en herbe.

Hotaru, Sae, Masaki et Tetsu auront su tenir l’histoire sur leurs frêles épaules et, chacun à sa manière, aura contribué à éclaircir le mystère. Je dois d’ailleurs dire que je les ai trouvés particulièrement perspicaces, surtout pour leur jeune âge, mais il était nécessaire que les informations soient apportées.



J’ai aimé leur combativité et cette course contre la montre qu’ils choisissent de mener. Sayaka a pris possession de l’esprit d’Eve et sa seule volonté est désormais de rejoindre Adam, quitte à ce que Mizuki en meure pour cela.

Du coup, ça remet un petit peu le petit ami de Mizuki au centre de l’action et, pour un personnage qui n’était jusque là vu que comme, au mieux, un boulet, j’ai aimé sa combativité.



C’est une très belle histoire que Ai Yazawa a écrit ici, avec des dessins sublimes et un scénario mélancolique qui sait mettre en avant son univers onirique et sa passion pour la musique.

Toutes les réponses ne sont pas apportées, il reste des zones d’ombre sur ce qui s’est passé et je pense que c’est pour le mieux.

Last Quarter n’avait pas besoin qu’absolument tout soit expliqué la conclusion apportée par Adam est parfaite.
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Quand j’étais adolescente, j’étais une Nana addict, je le suis toujours d’ailleurs. Je n’ai regardé que l’anime (plusieurs fois) mais malheureusement, il ne va que jusqu’au tome 12 sur les 21. Frustrée, j’ai entrepris d’acheter la suite que je n’ai jamais pris le temps de lire. Quand j’ai trouvé les 6 premiers tomes d’occasion, je me suis dit qu’il était temps pour moi de me replonger dans cette aventure qui m’avait fait vibrer.



On découvre deux filles, deux destins qui pour l’heure, ne se sont pas encore croisés. D’un côté, Nana Komatsu rêveuse et très superstitieuse, elle veut aller vivre à Tokyo. Sa particularité ? Elle tombe amoureuse, comme elle change de chemise. De l’autre, Nana Ôsaki, un peu plus sombre et les pieds sur terre. Sa particularité ? Elle est chanteuse, une très bonne chanteuse.



J’ai lu ce premier tome avec beaucoup de nostalgie. Il ne débute pas comme l’anime et j’ai trouvé le découpage des histoires des deux Nana original et intéressant. Elle ne se connaissent pas encore et on est plongé dans une partie de leur passé et ce qui va les amener à partir vivre à Tokyo. L’émotion était présente car ces deux adolescentes sont des personnages coup de cœur. Elles sont très différentes l’une de l’autre et on a envie de voir comment leur histoire va évoluer.



Pour moi Nana est un grand classique des Shôjo, un incontournable. Son histoire est profonde et ne manque pas de détails. Il ne met pas en scène des gamines écervelées qui couinent à chaque page mais de réels personnalités hétéroclites, bien travaillées. Le seul manga qui m’a presque autant ému que Nana, c’est Orange d’Ichigo Takano.



J’ai lu ce premier tome en écoutant en boucle la bande originale de l’anime Nana qui est excellente. Je ne me lasserai jamais de ces musiques chargées de souvenirs pour moi.



Ce premier tome est, sans surprise, un coup de cœur. Les deux personnages principaux sont introduits, ainsi que d’autres emblématiques qui vont graviter autour des deux Nana. L’émotion est au rendez-vous, une histoire recherchée, une magnifique plume émouvante et des personnages marquants et surtout inoubliables.
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Dans ce tome, nos deux Nana se retrouvent et redeviennent un peu plus proche, je trouves. Je m'en vais de ce pas découvrir le tome 18.

L'intrigue avance même si ça reste assez léger.

J'ai confiance en l'auteure et vais donc continuer !

Un premier tome qui pose doucement les bases d'un univers prometteur et surtout de personnages bien délirants et touchants.

On y retrouve la touche unique de la créatrice de Nana.

Un second tome qui trouve son rythme de croisière entre humour et émotion. Les personnages sont très attachants et j'adore suivre leur quotidien !

La mangaka de Nana a vraiment le don de mettre en scène des personnages uniques.

Au terme de ce quinzième tome, mon avis sur l'évolution de l'histoire est à double tranchant.



D'une part, j'ai du mal à me faire un avis fixe sur Takumi. Il passe de compréhensif à calculateur, de violent à attentionné. Il est décidément très difficile à cerner.

Tout le tapage médiatique sur les couples, les mariages prend le dessus sur le véritable but de Blast et Trapnest : la musique. On parle beaucoup moins des groupes, il n'y a que des histoires de manigances avec les journalistes.

Je trouve assez triste qu'un tel niveau de médiatisation casse ou brise les relations entre les personnages.

On les sent irrémédiablement devenir plus distant entre eux. Je trouve ça dommage pour la suite.



À côté de ça, la série reste toujours aussi prenante.

À voir comment tout ça évolue.

C’est à peine le deuxième tome et c’est déjà un énorme plaisir de retrouver mes deux Nana qui partent à l’assaut de Tokyo.



Le récit est raconté du point de vue de Hachi, qui nous parle depuis le futur, et on s’attache donc à la suivre dans son installation chez Shöji et les premiers désagréments qu’elle rencontre.

Toujours aussi fofolle, elle passe évidemment son temps à se faire des films sur son petit ami et sa rivale virtuelle Sachiko.



Bien que les choses ne se passent pas aussi bien que prévu entre nos deux amoureux, c’est un tome plein de vie et très joyeux, avec le regard bienveillant de Kyôsuke et Junko que j’adore dans leur petit couple bien installé. Ces deux personnages sont vraiment attachants.



La nouvelle rencontre entre les deux Nana et leur installation ensemble annonce beaucoup de bonnes choses en perspective.



Si l’autre Nana a l’air plus calme, plus posée, plus adulte, Hachi grandit elle aussi et gagne en indépendance.

Leur duo fonctionne très bien et elles semblent se compléter.



C’est un tome très amusant et plein d’humour et le retour dans l’intrigue de Yasu et Nobu annonce de l’animation en perspective.



Quant au dessin, il est toujours aussi beau et le graphisme, des vêtements notamment, est splendide.
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Encore un tome sur le fil du rasoir, des révélations risquent de tout faire exploser. C'est tendu !

Le bonus sur Nobu permet de mieux connaître le personnage et les liens qui le lie à Nana, Ren et Yazu.

Vite je vais lire la suite !

Nana est vraiment un manga unique, qui mêle toute une foule d'émotions et de sentiments.

C'est fort, dur et tendre et ça ne va jamais là où le pense.

Dans les tomes 7 et 8 les personnages sont mis à mal, leurs liens fragiles se tendent de plus en plus vers une rupture.

Je vais vite voir où la mangaka va nous mener !

Un prologue prometteur, avec de beaux dessins et une ambiance pleine de sensibilité.

Je suis curieux de voir où tout cela va mener.

Un peu déçu de ce tome, un peu de trop de blabla pour ne rien dire. C'est ennuyeux par moment, on comprend plus grand chose, on sait pas ce que devient la relation Takumi et Reira, c'était surtout sur ça que je voulais savoir vu ce qui y avait dans le tome précédant maintenant c'est Shin, là je sais plus où donner de la tête.

Un tome qui m'a fait plaisir à lire, avec pas mal de peur pour certain personnage je dois l'avouer, une séparation qui m'a surpris et une fin qui me tarde de voir de le prochain tome, il y a de quoi surprendre pas mal de lectrices ou lecteurs. J'espère de ne pas trop m'emballer pour la suite.

Ce deuxième tome n'a fait que renforcer le sentiment l’inachevé procuré par le tome 1. Ai Yazawa propose toujours des intrigues avec des personnages torturés mais j'ai trouvé qu'elle n'allait pas explorer aussi profondément les sentiments que dans ses autres séries.

On sent vraiment que ce sont ses débuts et c'est bien dommage.
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Je ne pouvais pas passer à côté de cette nouvelle édition d'une vieille série d'Ai Yazawa (la géniale mangaka de Nana).

On sent que cette série fait partie de ses débuts. Son trait n'est pas aussi affirmé et l'intrigue peine à sortir des clichés du shojo.
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J'ai adoré tout les tomes sans exceptions, mais celui la...celui la....c'était l'apogée niveau sentiment, j'ai été submergée de tristesse, comme dans chaque tome, Ai yazawa décrit parfaitement les relations humaines, leurs sentiments, et les interactions entre les personnages.

elle décrit la vie telle qu'elle est, difficile, avec par instant des moments de joies, mais toujours un combat envers les autres et sois-même! mais j'ai envie de dire: quelle tristesse! mais je pense que c'est ce qui fait la puissance de ce manga! à lire avec un paquet de mouchoir à coté de vous!

Madame Ai Yazawa , par pitié....donnez nous une suite!

L’histoire d’un amour d’enfance inavoué entre Arikawa et Tachibana qui vont avoir une seconde chance quatre ans plus tard. Vont-ils cette fois réussir à dépasser les non-dits et profiter au maximum de cette nouvelle occasion qui leur est donnée ?



Tomoyo et Ippei viennent compléter notre duo et pimenter leur relation. Ce quatuor de jeunes lycéens se veut hétérogène avec la jeune fille sage, timide et innocente, le « beau gosse » mystérieux…



Chaque page est occupée par un dessin en pleine page sur lequel viennent généralement s’ajoute deux à trois autres plus petits. Un graphisme très précis qui parvient notamment à rendre avec brio les émotions des différents personnages.
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Cette oeuvre de jeunesse de Yazawa manque parfois un peu de subtilité, malgré ses très nettes qualités. Autant le premier tome réussissait à éviter la lourdeur et les maladresses, autant celui-ci verse un peu trop dans le sentimentalisme et accumule les retournements de situation dramatiques.



Ce n'est pas forcément un mal, mais Yazawa, à l'époque de ce manga, ne maîtrisait pas avec autant de finesse qu'aujourd'hui l'expression des sentiments chez ses personnages.



Bien sûr, ses héros sont entiers, comme tout adolescent peut l'être. Mais accumuler les scènes "tire-larme" -alors qu'elle réussit dans ses autres oeuvres à nous émouvoir avec juste le quotidien- nous montre simplement qu'elle n'avait pas encore atteint la maturité qu'on lui connaît aujourd'hui.



Malgré tout, elle reste une mangaka d'un immense talent, et ce tome 2 confirme que dès ses premiers mangas, Yazawa avait les clés en mains pour devenir le génie qu'elle est aujourd'hui (et dont on atteint avec grande impatience le retour sur Nana).