Ai Yazawa

Le tome qui commence à faire mal au cœur des lecteurs et des premiers mensonges.

Ce tome marque, selon moi, une vraie transition avec plusieurs “secrets” dévoilés mais également quelques blessures qui en résultent. L’ensemble tient toujours aussi bien la route et est même d’une certaine façon assez réaliste.

Le texte et le dessin sont toujours semblables aux tomes précédents même si Trapnest prenant un peu plus de place dans le récit, le champ lexical se diversifie légèrement.

Niveau personnages, les esprits se torturent de plus en plus dans la bande, les actions se font plus spontanées donnant un très bon rythme à l’ensemble sans pour autant avancer très vite dans le récit. Je trouve que le développement des personnages de Reira et de Takumi est intéressant et leur donne une belle complexité limite attachante.

Je me demande vraiment quelle partie de cette histoire m’attends dans le tome 7, j’ai hâte de le découvrir!

J'ai eu l'envie de me lancer dans la lecture de manga et c'est tout naturellement que je me suis dirigé sur "Nana". Nous suivons l'histoire de deux jeunes femmes, toutes deux portant le prénom de "Nana". Elles ne se connaissent pas et n'ont absolument rien en commun au premier abord et pourtant, un lien particulier va naître entre les deux protagonistes. Nous allons alors les suivre dans leur quotidien et être témoin de leurs histoires d'amour, d'amitié et de musique. "Nana" est un manga emplit d'une certaine poésie, mais qui nous rappelle parfois, souvent, la dure réalité de la vie.

Certains manga vieillissent plus mal que d’autres. Pour celui-là pas du tout ! A part le fait qu’ils n’aient pas de téléphone portable et la coupe de cheveux du héros (encore que !), on plonge dans l’histoire en la trouvant drôle, émouvante, moderne et sans jamais se dire qu’il est temps de passer à autre chose.

Tous les personnages sont attachants.

On retrouve avec plaisir plein de moments clés typiques des shojos qui se passent au collège/lycée (les fêtes d’école, la sortie scolaire, …)

Un très bon moment de lecture pour ce classique qui mérite d’être lu encore maintenant !

Tous les engrenages du Roi des Démons sont enfin à leur place!

L’histoire se poursuit de manière assez irréaliste aux yeux d’Hatchi et toujours tout en douceur. Bien que oui, c’est totalement irréaliste mais la mangaka parvient à chaque fois à mettre ce petit quelque chose qui rend tout possible aux yeux du lecteur.

Une belle flopée de personnages fait sa véritable entrée dans ce tome où chacun commence à déjà bien poser les bases de son caractère.

Rien a dire pour le dessin, l'encrage et les trames qui sont toujours de la même qualité qu’au début pour mon plus grand plaisir.

Même si je connais déjà l’histoire, j’ai hâte de voir le découpage qui sera appliquer dans le prochain tome et si le dessin aura évoluer!

Les ennuis commencent et les langues se délient dans ce tome de Nana. Les nanas échangent un peu plus sur leurs sentiments, même si à la plus punk se cache encore derrière de nombreux secrets

L'histoire bénéficie d'une grosse avancée pour les deux personnage principaux. J'ai trouvé cette avancée pour relancer le récit mais aussi pour donner encore plus de corps aux différents personnages.

Les personnages justement, selon moi, ce complexe bien dans le ressentiment avec ce tome. Ils apparaissent également beaucoup plus fragile, plus réaliste encore.

Niveau texte et descends toujours rien à dire, à la qualité du début est encore au rendez-vous, j'ai pris tout autant de plaisir avec ce tome qu'avec le premier.

J'attends de pouvoir lire le tome 5 avec impatience!

Les mangas d'amour ne sont pas classés dans mes priorités de lecture, mais si je devais en choisir un à me farcir, ce serait lui.

Jamais un personnage féminin de m'auras envoûté de par son trait crayonné. Sans même lire l'œuvre, j'avais déjà repéré le visage envoûtant de cette chanteuse. Mais craignant la lenteur naïve digne des pires bibliothèque roses, je n'ai jamais eu le courage de me lancer, j'uqu'a aujourd'hui.

C'est un très bon départ. Des personnages bien amené, une romance qui ne sonne pas faux de belles images qui surviennent pour nous mettre dans le mood.

Ça commence bien.

Le roi des démons a encore frappé pour Nana Komatsu.

L’histoire se poursuit pour les deux Nana, avec des hauts et des bas donnant une vision réaliste du récit. J'aime particulièrement l'équilibre qu'il y a dans ce tome qui n'est ni à 100 % positif, ni à 100 % négatif, les drames embellis par des moments de joie et inversement m’ont vraiment fait faire un tour sur le manège des sentiments.

On continue d'en apprendre un peu plus sur les personnages, sur leur manière d'être au quotidien, leurs inquiétudes, leurs espoirs, etc. Le tout est agrémenté de nouveaux arrivés et avec eux, aussi leur caractère bien travaillé.

La qualité du dessin et des trames reste toujours très bonne, idem pour l'ancrage. On se retrouve limite même dans un manga plus centré sur une tentative de suivre les aventures agitées du duo que sur l'observation passive de leur vie. Je ne serai même pas étonnée de lire un mot pour le lecteur en mode “Prenez vos affaires, on est parti! Et suivez bien le rythme!”.

Je me demande, et j'ai hâte de découvrir, comment évoluera sur papier la situation des deux Nana dans le tome 4

Les aventures du duo de Nana commencent fort avant même leur aventure à Tokyo!

Les deux Nana se mettent enfin en route pour la capitale avec chacune leurs objectifs une fois sur place mais le Roi des Démons veille et les rassemble!

Les textes sont toujours aussi bien adapté à l’univers du manga et aux personnages car même si l’histoire heurte deux mondes opposés entre eux, le vocabulaire amplifie cet effet de différence. On reste toujours cependant sur du très simple à lire rempli de sentiments, d’humour et de jeux de mots propre à la série.

Les personnages principaux s’affirment beaucoup plus dans ce tome, au détriment de la présence des personnages secondaires malheureusement. On ressent encore plus les caractères affirmés des deux héroïnes et ce qui les rassemble autant que ce qui les différencie.

Pour les dessins, pas de changement avec le tome 1, la qualité reste identique et les détails sont au rendez-vous, surtout pour ce qui entoure la Nana plus enfantine.

Connaissant l’histoire, j’ai vraiment hâte de voir le tome 3, de découvrir jusqu’où il va et si il recèle des surprises!

Véritable génie de la narration et des jeux de symbolismes pour conter son histoire, la mangaka nous épate encore, alors que nous n'en sommes qu'au tome 5
Lien : https://www.manga-news.com/i..

Voilà, j'ai rattrapé ma lecture des trois premiers tomes (je rappelle que j'ai commencé en lisant le tome 4) ! Je vais sûrement relire le 4e du coup (ça m'a donné envie, et en plus ça fait longtemps ! Et puis maintenant je voudrais bien le relire en ayant connaissance de tout le début !).



Encore un tome pépite de chez pépite ! Impossible d'être déçu avec ce manga je crois (une fois qu'il est lancé en tout cas) !



Ce volume commence sur les chapeaux de roues côté humour, avec Nana Komatsu (Hachiko) qui fait des siennes (quand elle croit qu'il y a eu un meurtre, qu'elle n'arrive pas à dormir, etc...) ! Elle m'a tué de rire (comme souvent) !!



D'un autre côté, il y a des moments très tristes dans ce numéro, mais qui sont aussi très réalistes. Et souvent associés à une pointe d'humour afin de faire redescendre la pression. C'est toujours parfaitement dosé.

Ce manga est vraiment exceptionnel, très touchant et qui met l'accent sur beaucoup de points sensibles, des sujets toujours traités avec une justesse absolue !



Les dessins sont une nouvelle fois un régal pour les yeux, je ne m'en lasse pas !



On voit que Nana Osaki devient moins distante avec Hachiko dans ce tome, elle commence un peu à s'attacher. Et on en apprend plus sur son passé et ses blessures, on en apprend et on devine des indices surtout. C'est une femme forte en apparence mais qui cache en réalité une grande sensibilité et une extrême profondeur.

Quant à Hachiko, elle m'a un peu rappelé moi parfois, dans sa façon de se poser des questions, de douter, de s'attacher. Je pense de toute façon qu'il est facile de s'y identifier et de ressentir de l'affection pour elle.



Il était également intéressant d'avoir le point de vue de Shôji sur ce qu'il fait dans ce volume, c'est bien traité et parfaitement amené, de sorte que l'on pourrait (presque) comprendre son comportement.

Je me demande ce qu'il va se passer avec lui par la suite... Je lisais en me disant "de toute façon je sais que..." mais en vérité je savais seulement jusqu'au tome 4, pas après. Ça m'a fait bizarre de me rendre compte qu'il y a une suite en réalité !



Dommage que la pièce de Junko soit si courte cette fois, mais c'est toujours hilarant !



En bref, entre humour, amitié, amour et émotions, c'est une nouvelle fois un sans-faute !

Si elle ne l'a pas déjà atteint, Ai Yazawa se rapproche un peu plus de la perfection à chaque numéro !

Que j'aime le style vestimentaire des personnages d'Ai Yazawa! J'ai pas vu passé les pages de cette intégrale de 900 pages. L'humour des personnages, la quête de liberté et la mode. Un parfait cocktail!



Seul bémol, c'est la vitesse avec laquelle les personnages développent des sentiments après s'être rencontrés. Mais ce n'est que mon avis personnel.



Un josei parfait en somme.

Dernier tome de ce manga cassant sans cesse le mur avec le lecteur, ne se prenant pas une seule seconde au sérieux. Même si je savais très bien comment l’histoire se finissait, un sentiment doux-amer m’a tout de même envahie.

L’histoire continue passer sans cesse des rires aux larmes tout en gardant une certaine logique aux coïncidences typiques et totalement assumées. Les textes restent fidèles à eux-même avec un langage d’ado sans prise de tête tout comme le vocabulaire.

Les personnages arrivent cependant encore à nous surprendre par leur décision et leur façon de penser. Ils restent tous très attachants en cherchant parfois à cacher leur faiblesse avant de mettre leurs sentiments à nu soudainement.

La qualité du dessin ne pâtit pas du fait qu’il s’agisse du dernier tome, la qualité est encore bien là comme les détails et les encrages qui perfectionnent le tout.

Très clairement, j’ai tellement envie de savoir ce qu’il arrive à cette bande de fous et ne pas seulement me contenter de la vision rapide de leur futur.

Premier tome de cette série que j’ai découvert en premier à l’écran et surprise, le début n’est pas pareil du tout à celui de mes souvenirs!

L’histoire se met doucement en place pour les 2 Nana, on découvre peu à peu qui elles sont et d’où elles viennent. On pose très bien les bases et ça m’a fait plaisir de repartir à zéro avec ces deux phénomènes! Ce tome donne un beau bout d'explications au pourquoi cette installation à Tokyo et une nouvelle introduction très intéressante.

Niveau texte, on est vraiment sur un vocabulaire classique à celui de jeunes adultes du début des années 2000 et le peu de mots propres au monde asiatique est très bien renseigné à la fin donc, aucune prise de tête avec ça.

Pour les personnages, j’aurai toujours un coup de coeur pour la Nana au lotus mais j’ai appris à un peu plus apprécier le côté candide de l’autre. Les caractères sont très vite exposés tout comme les goûts et les habitudes de chacune.

Les dessins sont très bien travaillés tout comme les encrages. On a vraiment l’impression visuelle de deux mondes différents près à entrer en collision. On sent même limite un peu plus de travail pour le manga que pour l’animé.

J’ai vraiment hâte de voir comment se déroulera le tome 2 vu la surprise que j’ai eue dans ce tome-ci.

Que d'émotions dans ce neuvième tome ! J'ai eu plusieurs fois les larmes au yeux face à la rupture entre nos deux héroïnes, mais également éprouvais de la colère à l'encontre de Takumi ; quelques passages ont apporté le sourire aux lèvres, bien que ce fut rare.



Les relations prennent de nouvelles tournures : entre brisures, anciens amours et amitiés, comment les deux groupes réagiront face aux entrelacements que tissent leurs membres ?



Cette lecture confirme l'amour que j'éprouve pour cette série de mangas qui malgré les années ne s'est pas tari, bien au contraire.



Malheureusement, je n'ai pas la suite sous la main, mais cela ne serait tarder : Nana, Hachi et leurs compagnons m'ont beaucoup trop manqués – bon hormis certains...

Un tome un peu plus dans le stress que dans l’humour mais pour compenser, l’histoire de la mystérieuse et excentrique Isabella!

L’histoire se clôture doucement en conservant sa logique et avec quelques surprises. On se laisse toujours aussi bien emporter par les préparatifs du concours et les pensées de Caroline.

Les personnages sont toujours aussi attachants par leur réactions exagérées tout en gardant leur côté humain, la découverte de leur passé et leur passion. Petite déception pour Caroline dans ce tome par contre, j’ai eu une légère impression d’enfant capricieux et gâté qui m’a légèrement refroidi.

Pour les textes, on reste sur un vocabulaire de grand ado qui se cherchent sans être bombardé de vocabulaire propre au monde du mannequinat et de la mode. Toujours aucune excuse pour ne pas le découvrir du coup!

Pas de changement sur la qualité des dessins et de l’encrage. On perçoit toujours aussi bien la richesse des textures des tissus, les éclairages et les décors, c’est donc toujours un plaisir de s’attarder sur chaque vignette pour en découvrir la recherche.

Je suis déjà triste de me dire que j’en aurai bientôt fini avec cette série, j’aurai presque envie de retarder au maximum la lecture du dernier tome.

Fan inconditionnelle du travail d'Ai Yazawa j'ai vraiment foncé sur la première opportunité de lise cette série même des années après sa sortie.



Les dessins sont tellement typiques et beaux, l'histoire est mignonne avec des réalités humaine (même si cela reste du shojo donc avec certains codes).

J'aime beaucoup l'évolution de la protagoniste principale et des réflexions de tous les personnages autour. L'histoire est assez rapide mais vraiment agréable et fluide. J'ai vraiment aimer qu'on suivent tous les personnages et pas seulement une héroine principale.



La fin est toute belle et met bien fin au manga (même si un couple ne me plait paaaas et que j'aurais voulu plus de cliché, c'est ainsi !).

Ai Yazawa est une incontournable des années 2000 et ce manga renforce l'amour et l'admiration que j'ai déjà pour son travail.
Lien : https://www.instagram.com/p/..

La bande de George est de retour pour encore plus de scènes déjantées et hilarantes. L’histoire suit toujours aussi bien son cours de manière logique tout en restant fluide ce qui est très agréable.

Les personnages se construisent de plus en plus au fil des pages, dévoilant de nouvelles facettes d’eux, les rendant plus complexe et plus humain.

Pour les dessins, la qualité reste identique. On perçoit bien les différents tissus malgré l’absence de couleur, les différentes ambiances.

Les textes sont toujours riches en vocabulaire sans être incompréhensible ou prise de tête si on n’y connaît rien à l’univers du tissu et de la mode.

Fort heureusement, j’ai déjà le tome 4 en ma possession pour poursuivre les aventures de ce groupe de fous!

Mikako Koda est en première année de l'académie Yazawa, spécialisée dans les arts créatifs. Sa passion : fabriquer des vêtements. Son rêve : lancer sa propre marque. Elle passe son temps dans ce lycée et elle voit souvent son voisin, Tsutsomu Yamaguchi, qui est aussi son amie d'enfance.



Voilà l'histoire simple de ce manga, dans lequel on suit les protagonistes poursuivre leurs rêves, se mettre en couple, renforcer leurs amitiés, régler des problèmes familiaux, bref, vivre leurs vies.

C'est une bulle de douceur dans laquelle nous pouvons nous glisser pour oublier les soucis du quotidien. Des personnages attachants et haut en couleur, une scénographie capable de devenir poignante malgré les dessins qui peuvent paraitre vieillot au premier abord. Sorti en 1995, on peut apprécier ce retour dans le temps, où les écrans ne nous maintenait pas dans notre propre sphère pendant des heures.



Un vrai vent de fraîcheur qui m'a marqué et surtout rendu heureux, une bande de pote que je ne voulais pas quitter et qui m'ont donné moi aussi envie de me battre pour mes rêve et de revoir mes amis.



À lire si vous aimez les tranches de vies et la mode.

Je suis une très grande fan de Nana (et quand je dis très grande, c’est à un tel point que je me souviens plus jeune avoir pleuré toutes les larmes de mon corps et entendre mes parents me dire d’arrêter de me mettre dans des états pareils pour des personnages qui n’existent pas haha). Mais, soyons honnête, Paradise Kiss n’a pas eu un tel impact, à mon plus grand regret.



Nous suivons Yukari, une jeune fille qui poussée par sa mère, étudie beaucoup et n’a aucune passion. Malgré des notes en baisse, tout son être est tourné vers la réussite des examens qui lui garantiront une entrée dans une université japonaise. Seulement, tout va changer lorsqu’elle va faire la rencontre d’un groupe d’étudiants à la recherche d’un mannequin pour un concours que leur école organise. Insatisfaite et peu sûre de ses choix passés, elle décide de tout quitter pour poursuivre ce nouvel objectif dont elle est cette fois-ci à l’initiative. De lycéenne studieuse, elle va être propulsée dans un milieu inconnu, celui de la mode et du stylisme dans lequel elle va apprendre à s’investir mais aussi s’épanouir.





Au delà de l’univers du stylisme, l’autrice explore de nombreux sujets et nous donne à voir des personnages complexes et travaillés. Si vous êtes familier d’Ai Yazawa, vous connaissez probablement son appétence pour les récits mêlant romance et tranche de vie avec des personnages haut en couleur et à la psychologie fouillée. J’aime voir la manière dont elle dépeint les relations humaines, que ce soit dans les bons moments ou bien les périodes les plus compliquées. Cependant, dans cette série Ai Yazawa est allée parfois trop loin peut-être. Alors que pour moi Nana sonnait tellement juste, ici je n’ai pu adhérer aux multiples relations toxiques et abus. Le sujet m’a semblé ici totalement banalisé et ça m’a complètement sortie de ma lecture (voire même énervée puis effrayée pour ensuite à nouveau m’énerver).




Il y a malgré tout des points positifs. Les dessins et le design des personnages sont très bien travaillés. Nous découvrons l’univers de la mode et du stylisme et laissez-moi vous dire que le manga lui fait honneur. Les tenues des personnages sont travaillées et nombreuses ! Chaque habit reflétant la personnalité de son porteur.




Concernant les personnages, tous ne sont pas attachants mais j’aime aussi cette manière qu’a l’autrice de nous montrer des personnages gris, qui apprennent et évoluent encore. Ils m’ont tous à un moment donné touchée ou émue puis la page d’après profondément énervée et frustrée (certains appartiennent juste de manière prépondérante à la seconde catégorie…).



J’ai aimé suivre l’évolution de Yukari, la voir affronter la vie, faire ses propres choix, évoluer, grandir. Sa relation avec Georges m’a profondément frustrée car je l’ai trouvé malsaine mais tellement banalisée. Les personnages secondaires sont interessants et approfondis. J’ai particulièrement aimé suivre Miwako. 


Je reste encore mitigée sur la fin. Je pense qu’au vu du développement de l’histoire, on ne pouvait espérer mieux. J’ai malgré tout été déçue par ma lecture et la manière dont Ai Yazawa a décidé d’aborder cette histoire.

J'ai bien aimé ce manga même s'il était également bizarre et étrange. L'intrigue en elle-même était vraiment bien et j'ai tout de suite adhéré mais j'ai trouvé qu'il y avait beaucoup de moments où ça partait dans tous les sens. L'univers de la mode était bien construit et les dessins superbement réalisés. Les personnages étaient très originaux (étranges), surtout Georges que je n'ai jamais réussi à apprécier. Les différentes romances étaient également toxiques, ça m'horripilait. J'ai bien aimé la fin, pour moi c'est comme ça que ça devait se terminer, même si d'un autre côté je trouve qu'elle arrive un peu comme un cheveu sur la soupe. C'est une histoire que j'ai adoré lire, que j'ai trouvé addictive, c'était rapide, rythmé, il se passait toujours quelque chose mais c'était aussi très étrange et les relations entre les personnages me laissaient souvent perplexes.