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Critiques de André Brink (256)
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Un turbulent silence

Encore un très grand livre d'un immense auteur, hélas un peu disparu de nos mémoires. Je n'aime pas raconter un livre, au lecteur de le découvrir, mais ici l'écriture est belle, la leçon d'histoire passionnante, les personnages et les paysages beaux et forts.
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Un turbulent silence

Un livre lu et étudié lorsque j'étais étudiante en lettres modernes. J'en garde un souvenir impérissable. Depuis, je l'ai conseillé à plein d'amis, je l'ai prêté bien souvent, et même offert... Le plus grand livre d'André Brink !
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Un turbulent silence

Un auteur que je ne connaissais pas mais qui m'a énormement plu. Je fus assez surprise par l'intrigue, l'écriture. Une très belle découverte pour moi. Je recommande ce livre vivement. Un thème assez difficile amis tellement intéressant et intense. On ne s'ennuie pas
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Une saison blanche et sèche

J'ai acheté ce livre en vue de mon prochain voyage en Afrique du Sud, regrettant que l'auteur soit décédé à peine quelques mois avant. Je reste sous le choc des révélations qu'il produit, je comprends qu'il ait été interdit lors de sa parution. C'est un livre qui se lit très bien et qui entre dans ma catégorie de livres historiques devant être lus pour le savoir et la postérité, au même titre que "Balzac et la petite tailleuse chinoise" ou "les Chardons du Baragan" et beaucoup d'autres. Du coup, j'ai eu une petite appréhension à aller dans ce pays ce qui est certain c'est que je ne le visiterai pas avec même oeil innocent qu'avant la découverte de cet auteur qui se définit lui-même comme "populaire"...
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Une saison blanche et sèche

qualité d'écritude fluide ce qui favorise la lecture et crée l'illusion du réel
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Une saison blanche et sèche

Fbuleux
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Une saison blanche et sèche

Ben Du Toit, un professeur d'histoire afrikaner, découvre les réalités de son pays et de l'apartheid quand Gordon, le jardiner noir de son école et son fils sont arrêtés et meurent en prison.

J'ai aimé appréhender l'apartheid du point de vue afrikaner car même si ce sont les blancs qui ont mis ce système en place, il est important de préciser que tous n'étaient pas de cet avis. Finalement il existe des "Justes" partout et cela rassure.

On ne se rend compte de la réalité que quand elle nous atteint directement, nous ou nos proches, mais peu importe le plus est la réaction et pour cela Ben Du Toit est un grand exemple de courage.
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Une saison blanche et sèche

A l'annonce de la mort d'André Brink, je me suis rendu compte que "Une saison blanche et sèche" était l'un des nombreux livres "de référence" que je n'avais pas lu. Et donc, il y avait là quelque chose à rattraper.

J'ai toujours une certaine appréhension à attaquer ce genre de livre unanimement encensé : serais-je à la hauteur d'un tel monument, est-ce que je ne vais pas le trouver nul sans jamais oser l'avouer ?

Or donc, ce ne fut pas le cas.

"Une saison blanche et sèche", outre le remarquable témoignage qu'il représente sur la façon dont un blanc peut vivre l'apartheid de l'intérieur et, après l'avoir parfaitement accepté, progressivement ouvrir les yeux jusqu'à ne plus pouvoir supporter de vivre au sein de la société qui a été la sienne.

Ce que ce livre a de particulièrement réussi, outre d'avoir parfaitement rendu ce lent glissement qui accompagne la prise de conscience du héros, c'est qu'il parvient à nous tenir en haleine alors que dès le début on sait comment ça va se terminer (en l'occurence, mal...). On se retrouve un peu comme des gamins, à se dire "non, ça ne va pas se passer comme ça, quelque chose va arriver..." tout en sachant très bien que non.

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Une saison blanche et sèche

Ce livre est sur l’étagère depuis un an, prévu à l’origine pour une lecture commune vers l’Afrique du sud. Au dernier moment je lui avais préféré l’odeur des pommes de Mark Behr (lecture très appréciée, et dont je me souviens encore bien), sans trop savoir pourquoi d’ailleurs, et jusqu’à maintenant avec une occasion de lui faire prendre l’air, rien n’avait dirigé ma main vers ce livre……comme c’est bizarre.

Comment d’un sujet aussi grave et douloureux, l’auteur a-t-il pu faire un livre aussi insipide, et bâtir une histoire d’une banalité déconcertante. Le sujet aurait, pourtant pu donner une œuvre grandiose .Hélas, ce livre m’a laissée de marbre : pas une émotion n’est venue chatouiller mon âme de lectrice ; rien, une neutralité affligeante.

Certes, c’est écrit correctement, André Brink n’est pas un " un mauvais rédacteur". C’est juste que le style de ce livre, n’ait rien d’ambitieux, rien de particulier qui fait que ce livre interpelle, dans un sens ou dans un autre. J’ai en mémoire, le style, et l’écriture de J.K Coetzee, sud-africain également, mais Prix Nobel de Littérature….La voilà l’explication : à force de lire des bonnes choses, je deviens difficile, exigeante, intransigeante peut-être. Peut-être ai-je un cœur de pierre, qui sait ? Mais en ouvrant un livre, je veux être interpellée, je veux vibrer, je veux tout simplement.

J’ai un souvenir encore vivace, du charme un peu désuet de Pleure Ô pays bien aimé qui a laissé son empreinte.

La construction même de ce roman n’incite pas à ressentir. Le narrateur, n’est pas un personnage partie prenante de l’histoire. Il raconte, de loin, ne prend pas position, se s’implique pas, reste en dehors. De fait, moi, lectrice, je ne me sens pas "prise par la main" par un personnage, qui m’aurait dit " voilà ce que j’ai à te dire, voilà comment je vis les choses, voilà comment je les perçois ".

Cette construction linéaire est sans relief, sans détours, sans petits coins perdus dans lequel s’engouffre le lecteur, pour mieux retrouver la lumière. Un peu comme une allée en forêt, rectiligne, et désespérément plate ; à force on s’ennuie, on marche en fermant les yeux sans grand danger.

C’est à peu près comme ça que je lis ce livre : je lis, les yeux suivent les mots, mais le cerveau est ailleurs, encore avec le livre précédent, et déjà avec le livre suivant dont j’attends qu’il me secoue davantage.



Je me pose la question du prix obtenu par ce livre, en 1980…est-ce un choix politique, en relation avec ce qui se passait là-bas, pour faire bouger les choses ?

Écrit dans un style somptueux, riche de couleurs et d’image c’est l’œuvre la plus significative, la plus engagée, la plus achevée, d’un très grand romancier. Pour reprendre la note de l’éditeur, je m’insurge contre le style somptueux et riche en couleur…tout de même n’exagérons rien.



Il semblerait, qu’André Brink, pour ce livre, ne s’y soit pris comme il le fait habituellement dans sa construction littéraire. Pour cela il mérite une seconde chance, quand l’occasion se présentera.






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Une saison blanche et sèche

Ben Du Toit est professeur d’histoire, bon père de famille et chrétien fidèle. Il est afrikaner de Johannesburg. La communauté norie, il la fréquente peut-être un peu plus près que les autres afrikaners de son entourage dans le sens où il prend en "amitié" Gordon le jardinier de l'établissement où il enseigne. Gordon a un fils Jonathan, élève doué que Ben décide d'accompagner en lui payant des études. Jonathan est aussi un anti-apparteid et participe à des manifestations contre le pouvoir blanc afrikaner. Jonathan est arrêté et meurt en prison. Gordon décide d'enquêter sur cette mort. Il l'est lui aussi pris dans la spirale d'un régime dictatoriale pour qui est mal né, raciste et violeur des droits élémentaires de l'Homme et de la Femme. Ben du Toit commence lui aussi une enquête, il veut connaître ce qui s'est passé. Puis il veut savoir REprenant conscience de ce qui se passe dans son pays.



Une saison blanche et sèche est avant tout une somme de souvenirs de mes années lycée et plus exactement de mes cours d'anglais de 1ère et de terminale. Nous avions étudié des passages complets en anglais, notre professeur de français, adepte de la fiche de lecture nous l'avait fait lire pendant des vacances scolaires pour en faire une de ses fameuses fiches. C'était à l'époque du sortie du film avec D. Sutherland et M. Brando au cinéma si bien que nous avions eu droit à une sortie scolaire pour aller le voir en VO. A l'époque, j'avais adoré ce livre (et le film au passage). Sûrement que mon engouement était plus mu par l'affect et les sentiments plus que par une réelle conscience politique.



Je suis tombée sur mon exemplaire du roman de l'époque que j'ai relu. Que me reste-t-il de ce roman ? Un récit très bien mené qui explique avec subtilité la REprise de conscience d'un homme face à un régime bestial et cruel. Je dis REprise car Ben du Toit sait très bien ce qui se passe autour de lui mais comme les autres, je ne vois rien, je n'entends rien, je ne dis rien. Autre subtilité bien expliquée par André Brink la soi-disante amitié de Ben pour Gordon. Soi-disante car il est afrikaner, Gordon est noir, Ben est élevé depuis toujours dans une idéologie politique, sociale, économique et sociologique qui lui dit qu'il est le maître et l'autre l'esclave. A ce tire, il peut avoir de la compassion et de la charité chrétienne et puis c'est tout. Inconsciemment c'est ce que ressent Ben.



Le roman est aussi une enquête qui met en lumière le fonctionnement de la police et de la justice dans l'Afrique du Sud de l'aparteid. C'est bien retranscrit et du coup le lecteur saisit très bien ce fonctionnement racialiste, qui va au-delà de l'injustice.



Enfin le roman c'est aussi une triste leçon : se battre contre l'injustice allant jusqu'à se battre contre son camp intime : sa famille, ses proches, sa situation etc...c'est plus que de la noblesse mais ce n'est pas parce que vous vous battez à partir du bon camp que vous gagnez. Certains intérêts sont plus forts.



Ce roman a peut-être pris un tout petit coup de vieux car l'aparteid , du moins en Europe, n'est plus vraiment étudié ou du moins expliqué. Même s'il nous reste la figure, le symbole de Nelson Mandela, l'étude, la contextualisation et l'histoire de ce régime ne sont plus tellement objet d'intérêts. Dommage !
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Une saison blanche et sèche

Une saison blanche et sèche est un livre qui nous plonge dans les moments terribles de l'apartheid en Afrique sud. Le personnage principal nous montre la résistance et le refus du régime politique. C'est une histoire marquante qui nous permet de réaliser ce qu'étais les horreurs vécues en Afrique du sud.
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Une saison blanche et sèche

Ce livre je l'ai lu dans des circonstances scolaires. J'étais en classe de 1ère. Mais quel impact il a eu dans ma vie ! Le sens du sacrifice, je l'ai appris au travers de ce roman. Un mélange de drame et d'amour, d'injustice et d'humour. Ce bouquin est pour moi un chef d'œuvre. Nous replonger dans cette époque douloureuse de l'histoire sud-africaine avec autant de subtilité, il faut le faire.
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Une saison blanche et sèche

J'ai beaucoup aimé ce roman, car il m'a réellement intéressé notamment sur les questions de société,de libertés,de l'illusion du combat solitaire,de différences,de la conscience humaine et j'en passe..
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Une saison blanche et sèche

Encore un roman de mon adolescence, au moment où l'apartheid régnait encore sur l'Afrique du sud et suscitait l'indignation de jeunes occidentaux comme moi. On y découvre l'histoire d'une professeur : Ben du Toit qui cherche à comprendre la disparition mystérieuse du jardinier de son école et de son fils et va dès lors découvrir et s'interroger sur le fonctionnement de la société dans laquelle il vit. Cette quête de la vérité et ce combat vont l'amener à tout perdre et la machine va le broyer, ce n'est donc pas un message d'optimisme démesuré que nous livre André Brink mais bien un appel à ne rien lâcher. Le roman ft interdit en Afrique du Sud durant de nombreuses années. L'auteur quant à lui n'a rien d'un naïf. Il s'est dit lui même déçu du gouvernement mis en place par les populations noires qui a pu lui aussi connaître des excès. C'est un roman parfois dur, sans complaisance qui dresse le portrait d'une époque et d'une société.
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Une saison blanche et sèche

Une saison blanche et sèche est pour moi, un bon livre qui résume parfaitement la situation de l'Afrique du Sud à cette période de l'histoire. J'ai trouvé qu'André Brink arrivait à nous plonger dans l'histoire, au cœur de l'apartheid. N'en savant pas énormement sur le sujet, ce livre m'a fait prendre conscience de comment les personnes noires de peau vivant en Afrique du Sud étaient traitées à cette période. Ce roman est une sorte de documentaire sur l'histoire de l'apartheid et de la résistance où l'on ne se concentre que sur le même personnage qui est Ben Du Toit, ce qui rend l'histoire encore plus intéressante !
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Une saison blanche et sèche

Une saison blanche et seche est l'histoire d'un grain de sable...



Ce-dernier , Ben Du Toit, afrikaner , mene une vie bien tranquille entre son boulot de prof , sa femme et ses trois enfants..Premier incident notable , la disparition puis le deces suspect du fils de Gordon , le jardinier noir de son ecole..Gordon , voulant elucider bien legitimement cette tragedie disparait egalement dans des conditions similaires..



Ben , refusant de laisser planer le moindre doute sur les conditions de ces deux disparitions , se revele alors en tant que detective tenace , opiniatre et livre desormais un combat qu'il croit naivement pouvoir emporter.

Ce livre n'est pas sans me faire penser a Don Quichotte et ses fameux moulins..Un roman dur , derangeant lorsque l'on voit a quel point il est vain d'etre epris de justice dans un pays ou la recherche de celle-ci est bien souvent synonyme d'emprisonnement , de brimades et de tortures pour finalement deboucher sur l'inavouable...Contrairement au Ying et au Yang , il n'y a qu'une seule couleur qui predomine et il ne fait pas bon etre son contraire!



On ne peut que prendre fait et cause pour Ben et l'on vit avec lui , on l'encourage , le pousse a perseverer , les hauts et les bas s'enchainent et l'on s'aperçoit qu'il est utopique , dans un pays tel que l'afrique du sud ou les clivages raciaux sont si prononcés , de vouloir faire plier l'ordre etabli qui , lui , agit en toute impunité!!



Une saison blanche et seche est l'histoire d'un grain de sable qui s'est mis a rever...
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Une saison blanche et sèche

'avais lu d'André Brinks : Au plus noir de la nuit. J'avais aimé son écriture et son engagement.



Encore une fois je suis sous le charme. Voilà un livre qui peut se lire comme un roman policier mais qui devient petit à petit bien plus que ça: une dénonciation du système d'apartheid d'une effrayante clarté et un manifeste humaniste.



Une écriture fluide, un texte sans hésitation, une réussite.



Le narrateur, blanc, embarqué un peu à son insu dans une affaire qui l'amènera à remettre en cause, seul contre tous, tout un système clôt le roman en disant : « Ecrire, raconter... pour qu’il ne soit plus possible de dire encore une fois : je ne savais pas. » : Tout est dit!



Un livre à lire.
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Une saison blanche et sèche

Un roman très prenant, très sombre, ce qui a constitué le seul obstacle à ma lecture. J'ai beau savoir qu'il s'agit là du passé, de l'Histoire, que l'Afrique du Sud est aujourd'hui une puissance importante, parfois même plus en avance que la France sur certains sujets de société, cette période me semble trop proche pour lire de façon détachée. Je me suis sentie pensive et triste durant toute ma lecture.



J'ai particulièrement aimé la manière dont Ben nous est présenté. Son évolution. Sa nonchalance, son paternalisme inconscient du début face à Gordon. Oui, il veut bien l'aider, mais il n'y a pas à s'inquiéter, tout va rentrer dans l'ordre. Sa foi aveugle, sa confiance totale en la justice, car la justice est sienne, au fond, une justice de sa couleur, blanche, donc infaillible. Puis, le temps qu'il lui faut pour comprendre, pour se réveiller et se révolter. Le combat qu'il mène ensuite, que l'on devine voué à l'échec, qui va l'arracher à toutes ses certitudes, à son équilibre... (suite sur Talememore)
Lien : http://talememore.hautetfort..
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Une saison blanche et sèche

J'ai découvert André Brink il y a bien longtemps, dans les années 80 alors que la lutte contre l'apartheid montait enfin un peu partout dans le monde. Ses livres (outre "une saison blanche et sèche", il y a aussi "un turbulent silence", ou encore "au plus noir de la nuit") ont été un vrai coup de poing pour moi. J'ai pu toucher ce qu'était cette abomination, et ce par des romans aux intrigues savamment écrites, et dans un style très beau (du moins la traduction le montre ainsi). J'ai eu de l'admiration pour cet auteur, qui a osé - en même temps que d'autres, mais si peu - montré la violence, l'abjecte politique menée dans ce pays à l'époque. Et pourtant ses romans parlent d'hommes et de femmes, de vie, d'amour. On est ici quasi dans l'Histoire avec un grand H. Un grand monsieur de la littérature moderne pour moi.
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Une saison blanche et sèche

Quand j'ai lu ce roman d'André Brink, j'avais été fort impressionnée par ce qu'il décrivait... j'étais déjà fort intéressée par l'Afrique du Sud et sensibilisée aux droits de l'homme...

je reprends à mon compte ce que j'ai lu sur cet ouvrage...

"C’est une superbe histoire du combat d’un honnête homme, solitaire, face aux atrocités commises par le gouvernement blanc. La description de Soweto, l’une des multiples « townships » de Johannesburg, est tellement poignante qu’elle coupe le souffle au lecteur.(...)

C’est le combat d’un homme que plus personne n’arrive à comprendre, ne veut comprendre parce qu’il préfère la vérité à son confort".

j'ai aimé le combat contre l'apartheid d'André Brink... ses romans depuis la fin de cette période sombre me paraissent moins forts...

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