Sixième album des aventures de Ric Hochet et le dernier en 60 planches. Les autres en feront désormais tous 44.
Cet épisode est encore une fois une belle réussite. L’histoire tient la route et nous tient en haleine, les rebondissements sont nombreux et l’action omniprésente. Pas de temps mort pour nous permettre de réfléchir un peu aux solutions possibles. Pas de temps mort non plus pour se rendre compte en cours de lecture des invraisemblances du scénario !
Si l’on ajoute à cela que les trois quart de l’histoire se déroule sur un paquebot transatlantique, pour les amoureux de ce genre d’histoire, c’est une aubaine. Et quel paquebot, le mythique France, le plus beau du monde à l’époque et dont la fin peu glorieuse a inspiré la célèbre chanson !
Le commissaire Bourdon accompagné, évidemment, de Ric Hochet, doit escorter une sommité scientifique française, le professeur Hermelin, pour son voyage aux États-Unis. Le savant est un personnage irascible, susceptible, imbue de sa personne et donc terriblement drôle dans ses répliques. Mais pour le coup, très difficile à protéger. D’autant plus que Ric et Bourdon ont déjà déjoué une tentative d’enlèvement en France, alors que va-t-il se passer sur Le France.
Cela ne manque pas, les seconds couteaux d’un énigmatique personnage tentent soit d’enlever le professeur, soit de mettre hors d’état de nuire le journaliste de la Rafale. Jusqu’à ce que leur plan connaissent enfin le succès. Mais alors, dans ce lieu fermé qu’est le paquebot, Où est séquestré Hermelin ?
L’intrigue est une réussite magistrale pour le genre et pour l’époque (1966). De l’action, du suspense, un gentil mystère et beaucoup plus d’humour que d’habitude avec les piques du professeur Hermelin et le commissaire Bourdon qui n’arrête pas de se perdre sur le navire. Après tout, c’est un bateau gigantesque, capable de croiser mille ans ! (je sais c’est trop facile, mais très difficile d’y résister !)
Ric Hochet est égal à lui même et nous donne à la fin une explication qui m’avait plutôt impressionné enfant. Maintenant, elle fait sourire, mais je reste impressionné par l’imagination des auteurs !
Le commissaire Bourdon joue plus que dans les autres albums le rôle du faire-valoir, lui manquant la capacité de mobiliser les forces de police du continent.
Les dessins sont du même niveau que dans l’album précédent, c’est-à-dire excellents, dans la veine ligne claire du magazine Tintin. Les décors réalisés par Mittéï mettent en valeur le paquebot. C’est en presque une publicité pour le célèbre navire.
Pas de morceaux de bravoure comme dans l’album précédent, mais les scènes d’action et de bagarre sont encore une fois très immersives comme celle qui a lieu autour des lettres France, près des cheminées du transatlantique.
Si ce n’est pas le meilleur album de la série, il se dégage un charme désuet et presque nostalgique de ces pages et un plaisir certain à sa lecture.
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Cette cinquième aventure du journaliste Ric Hochet est dans la même veine que les trois précédentes. Une intrigue policière matinée de suspense et d’action pour tenir en haleine, planche après planche, semaine après semaine, les lecteurs du journal Tintin de 1965.
Alors que Ric Hochet est interviewé à la télévision, et qu’il se rend ensuite chez la sœur du commissaire Bourdon, le petit neveu de ce dernier, Christian, est fauché par une voiture. Ric est témoin de l’accident et se jure de retrouver le chauffard. Ça commence comme dans un Simenon.
Après avoir découvert la marque de l’automobile responsable, une américaine luxueuse, il s’aperçoit qu’il n’y a que trois propriétaires connus dans le secteur. Heureusement que dans les intrigues policières, les criminels n’utilisent pas la voiture de monsieur tout le monde !
Après un début d’enquête assez classique. Ric rencontre les trois personnes en questions. Le dernier de la liste est un drôle d’énergumène qui dispose d’un véritable zoo dans son parc privé.
L’intrigue évolue alors, pour notre plus grand plaisir, vers une histoire à suspense et la tension monte. On connaît assez vite le coupable, mais l’intérêt se déplace de « Qui est le coupable ? » à « Qui est-il ? » Dans le sens de que fait-il ? Pourquoi faire? Est-il dangereux ?
La liste des personnages s’étoffent. A Ric et au commissaire Bourdon, deux célibataires purs et durs, comme dans presque toutes les histoires pour la jeunesse de cette époque, s’ajoutent la sœur de Bourdon, mais surtout sa petite nièce, Nadine qui joue déjà un rôle important dans cette enquête et qui reviendra par la suite, en tant qu’« amie » de Ric Hochet.
Le journaliste est égal à lui même, intelligent, courageux, empathique, mais un de ses défauts récurrent apparaît encore, celle d’accepter les rendez-vous nocturnes d’inconnus, de s’y rendre sans armes et sans protection en pensant que cela fera avancer l’enquête alors que… non, c’est un piège. Mais tant pis, à l’album suivant ou à celui d’après, il recommencera. Un défaut du personnage ou des auteurs ?
Niveau dessin, Tibet est à maturation. La ligne claire permet une lisibilité limpide de l’histoire, mais cela n’empêche pas quelques planches saisissantes, comme la troisième, celle de l’accident avec ses clairs obscurs, la poursuite en voiture des planches 11 et 12 ou celle du parachutage de Ric (planches 37, 38) la nuit au milieu des fauves.
Les décors, réalisés par Mitteï, sont souvent superbes dès la première vignette avec cette auberge des Trois Clefs. Mais aussi avec les paysages ruraux de la Marne ou l’inquiétant parc du Dr Vogler.
Cet album de Ric Hochet est une véritable réussite, loin, à des années lumières, des épisodes insipides qui sortiront à partir des années 1980.
Une intrigue qui tient en haleine jusqu’au bout en restant à peu près crédible. Une atmosphère années 1960, délicieusement nostalgique, une dose de suspense très agréable. Une des belles surprises de la série.
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Suite des enquêtes franco-belges de Ric Hochet sur le thème éprouvé de l’entourage douteux d’un ascendant à héritage.
Un album moins « physique » pour notre enquêteur et où il est toujours assez surprenant de constater la violence de la représentation de deux meurtres et une allusion directe à une scène de sexe interrompu.
Ric Hochet visait donc un public plus adulte tout en continuant de paraître dans Tintin qui, il est vrai, se lisait de 7 à 77 ans.
A noter qu’il s'agit d’une aventure à suivre dans « L’heure du Kidnapping ».
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Quatrième aventure du journaliste Ric Hochet, l’ombre de caméléon est un très bon cru, une des belles réussite de la série.
L’intrigue tient la route dans le style policier et au milieu des Bandes dessinées jeunesses des années 1960, c’est même du haut de gamme.
Tout commence par l’arrestation de Ric Hochet (planche 2), mais on sait très vite (planche 3) qu’il s’agit d’une combine pour infiltrer une prison et faire un reportage sur le sujet. On le sait très vite, mais en 1966, il a fallu attendre 1 semaine la parution du magazine Tintin pour le savoir. Ces histoires sont faites pour paraître planche par planche de façon hebdomadaire, ne n’oublions pas !
En prison, Ric est mêlé à une évasion dont l’un des protagonistes est caméléon, l’ennemi de sa première aventure (il n’est pas obligatoire de lire le tome 1 avant mais ce serait très dommage de le lire après).
Caméléon se débarrasse du journaliste et se met à recommencer sa vie criminelle en annonçant ses forfaits, à la manière d’un Arsène Lupin, afin de ridiculiser la police. Ric Hochet et le commissaire Bourdon se démènent comme il le peuvent, le bandit a toujours un coup d’avance ! Mais comment fait-il ?
L’intrigue avance sans temps morts, et on est plongé nous aussi dans la perplexité la plus profonde quant à l’arrestation de ce damné caméléon.
Des braquages, des courses poursuites à pieds, en voiture, sur terre dans les airs. Les héros se mettent en danger et en subissent les conséquences. Ric Hochet ressemble alors au Bebel de l’homme de Rio et réellement, ça fonctionne. Mais il faudra plus que des cascades pour découvrir la tanière du bandit.
Cerise sur le gâteau, les révélations finales surprenantes permettent de terminer cet épisode en apothéose.
Alors bien sûr, c’est de la BD des sixties, avec les codes du genre et de l’époque, mais c’est quand même parfaitement maîtrisé de bout en bout.
Cela manque un peu (beaucoup!) de présence féminine. C’est aussi une constante de l’époque. Les prochaines tomes, essayeront d’y remédier.
Côté dessins, Tibet rend une superbe partition avec l’aide non négligeable de Mittéï pour des décors particulièrement immersifs dans cette France provinciale des années 1960.
Les scènes d’action sont justes et dynamisent le récit malgré le classique (et incontournable à l’époque) gaufrier.
Loin des déceptions et de la médiocrité qui caractériseront cette série à partir des années 1980, les premières aventures du journaliste détective sont revigorantes et pour les plus anciens, constituent une très belle madeleine de Proust, à déguster sans modération.
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Gros coup de mou au niveau du scénario pour ce huitième tome de la série.
Je n'ai pas aimé cette histoire de chantage, j'ai trouvé que les enchaînements dans l'histoire ne se faisaient pas bien ou reposaient sur des ficelles un peu grosses, notamment quand Ric agit sous l'emprise de la drogue. Le méchant n’est pas non plus bien identifié entre le serpent et le docteur, c’était plus clair avec Caméléon dans les tomes précédents.
Le seul intérêt de cet album réside peut-être dans le fait que l'on découvre que Ric possède 2 exemplaires de son horrible veste en cas de besoin…..
Et puis il y a toujours ce charme suranné avec des expressions totalement datées (comme buisson creux par exemple) qui nous font replonger dans la France des Trente Glorieuses. Cette BD en retire presque une valeur de témoignage historique.
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Je retiendrai de ce tome les quelques cases consacrées à la Brasserie Cantillon, qui abrite également le musée bruxellois de la Gueuze. Si vous ne connaissez pas la Gueuze... vous ratez quelque chose. Mais inutile de lire ce tome en guise de punition...
Ric Hochet et Bourdon se retrouvent mêlés à des meurtres commis dans le cadre d'un club de spirites. Quelques célébrités en mal de sensations fortes font tourner les tables... Esprit es-tu là et tutti quanti. Cela vaut quelques saillies de Bourdon très en verve au début du tome. Hélas, dès que les morts s'accumulent, Bourdon redevient bougon et son humour s'étiole.
Mais Ric va avoir la partie difficile. Au cours d'une partie de spiritisme, l'esprit de Moriarty se manifeste et c'est un Sherlock Holmes réincarné qui affronte le journaliste.
Le tome se sauve légèrement par une dernière planche très bien amenée et qui rebat un peu les cartes. On découvre un Ric Hochet différent, sans spoiler, qui prend quelques libertés avec la vérité et met son ego dans sa poche avec son mouchoir par-dessus.
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Un ric Hochet de facture classique mais non mois agréable à suivre.
En tout cas, un opus où les femmes sont très présentes y compris les admiratrices du beau détective.
Mais il a un rival ici, le commissaire Mariel, qui a toute l’apparence de… Gérard Depardieu !
Cette idée donne une autre dimension à cette « Bête de l’Apocalypse ».
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Sur un scénario de porteurs de masques à l'apparence de l'entourage de Ric, se déroule une intrique passablement embrouillée.
On ne sait plus très bien qui est qui et ,à la vérité, on s'en désintéresse assez vite.
Le réalisateur italien, victime d'une demande de rançon, a tout de Marco Ferreri et c'est peut-être le seul protagoniste original d'un album bien décevant.
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Bourdon : Un problème de local clos ! Décidemment, « on » nous gâte !
Ric : Oui ! Une intrigue taillée sur mesure !…
Clin d’oeil des personages à leur créateur pour une nouvelle histoire de meurtres en série. Une de plus, malheureusement et bâtie sur le même schéma que toutes les précédentes.
Univers provincial, malédiction, meurtres… Duchâteau a bien du mal à se renouveler depuis quelques temps.
Tibet et Desmit suivent et travaillent toujours aussi consciencieusement.
Quels traits d’humour tentent d’agrémenter un tout bien morne. Comme cette confirmation depuis quelques albums d’un petit côté dragueur du commissaire Bourdon qui semble apprécier les belles brunes à forte… personnalité.
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Une nouvelle histoire, une nouvelle énigme policière assez machiavéliquement orchestrée par le grand Duchâteau dont on ne dira jamais assez le talent. Il était égal à celui de bien des auteurs de romans policiers à énigme pourtant beaucoup plus connus que lui.
L’intrigue est accrocheuse et se situe cette fois encore en plein coeur de Bruxelles. Il faut à ce propos signaler les fabuleuses vues de la ville que l’on doit à Didier Desmit qui collabore depuis plusieurs albums au duo Tibet/Duchâteau pour les décors.
Ric, cette fois, se fait assommer trois fois et tirer dessus mais il a le crâne dur et le cuir solide. Je crains toutefois qu’il ne finisse par déclencher une maladie d’alzheimer à l'égal de ces vieux boxeurs aux neurones trop ébranlés !
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Surprise, il a fallu atteindre le tome 44 pour savoir que Ric Hochet est finalement plus petit qu’il en a l’air et porte des chaussures à talons vachement haut ! Que le commissaire Bourdon n'est pas insensible au charme de belles cavalières et qu'il rivalise de spiritualité avec des spirites !
L’enquête révèle aussi l’orgueil du journaliste qui ne supporte pas que l’on puisse rivaliser avec lui et celui du commissaire qui ne supporte pas que l’on ne parle pas de lui !
Ric ne supportant pas l’échec et pourtant…
Un très surprenant scénario de plus de l’excellent Duchâteau pour un Ric Hochet peut-être moins mouvementé mais d’autant plus accrocheur.
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Il n’est pas mal, ce tome…
Bon, certes, un peu tordu.
Parce qu’on sait dès le départ, dès le titre, qu’il va y avoir une astuce et que ça ne sera pas des extraterrestres. Et donc, on cherche l’astuce tout du long en s’étonnant tout de même qu’autant de monde marche dans la combine…
Et finalement, si tout se tient au final, c’est quand même parfois un peu tiré par les cheveux, avec cette impression d’avoir vu un Scoubidou où on justifie des trucs improbables comme on peut mais comme ça suit avec les personnages, ça passe…
L’astuce finale est sympa même si là aussi, on sait qu’il y a un truc…
Donc toujours vif, bien dessiné, mais un poil tordu.
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Ric Hochet ne croit pas aux phénomènes paranormaux, il l’a affirmé haut et fort à plusieurs reprises. Aussi, les pièges de cette maison hantée n’impressionnent ni le journaliste ni le commissaire Bourdon invités à donner leur opinion sur des événements déroutants.
Le scénario a un air de déjà vu, il nous donne quand même la sympathique occasion de rencontrer quelques célébrités du monde des polars des années 80 et de retrouver l’inénarrable professeur Hermelin qui n’a jamais brillé par son courage mais c’est bien loin d’être suffisant pour nous passionner.
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Ric face aux forces psychiques en pleine action sur la Côte d'Azur !
Une enquête parapsychologique et en maillot de bain or le journaliste de « La Rafale » ne croit ni aux fantômes ni aux doubles assassins.
La sexy Nadine va aider de son mieux à la résolution de cette nouvelle énigme et son oncle finira aussi par être de la partie. Tout ce petit monde en profitant quand même pour faire bronzette alors que Ric fait d’intenses allers-retours vers Paris, New-York ou Hong-Kong !
Le tout étant peu crédible et au final fort peu intéressant aussi.
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« Face au crime » est un collage plus ou moins habile de plusieurs courtes enquêtes de Ric Hochet et de son ami le commisssaire Bourdon.
Je n’ai jamais apprécié le genre de ces courtes histoires réunies en album.
L’ensemble est toujours inégal, y compris au niveau des dessins de Tibet qui par moment ont même l’air d’être bâclés.
Un album d’archives qui n’apporte rien de plus à la série.
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Non, ce n’est pas la peine de courir aux Antilles pour assister à des maléfices vaudous, il suffit de lire Ric Hochet !
Parfois, on a cette impression que les Albums de Tibet et Duchâteau sont un peu comme des Simenon illustrés, mâtinés de fantastique.
Petits bourgeois ruinés, lâches, avares et mesquins, fils à papa fainéants… La France provinciale de Ric Hochet fait froid dans le dos mais s’approche tellement de la réalité.
Réalité qui va d’ailleurs de plus en plus avec réalisme. Ici, on montre les cadavres enterrés depuis plusieurs jours, on les remue dans leur cerceuil.
Un sombre histoire, une référence au Thomas de Quincey et à son « De l’assassinat comme un des beaux-arts », l’empreinte d’un sadisme latent, tout cela laisse une impression de malaise.
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Plaisante aventure de Ric Hochet au pays des vampires qui roulent à gauche et conduisent à droite.
Bel hommage aussi aux fameux studios et réalisateurs de la Hammer tout comme aux romanciers anglais qui nous ont intrigués et effrayés.
On se replonge ainsi dans l'ambiance du « Chien des Baskerville » de Sir Arthur Conan Doyle et des romans à clef d'Agatha Christie, de ses réunions de personnes invitées à élucider le mystère de meurtres renouvelés à travers les siècles ou de constater si le manoir dans lequel elles vont passer le weekend est hanté ou pas comme dans cette effrayante « Maison de Diable » de Robert Wise.
Superbes dessins, comme à son habitude de Tibet et comme toujours deux ou trois bons coups sur la tête de son pauvre Ric qui y laisse aussi sa mini de location.
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Cet album est délicieusement rétro et nous plonge dans les années 60.
En effet, il se déroule sur le paquebot France dont on nous vante la technologie, les équipements, le confort, la gastronomie.
J’adore aussi les expressions utilisées par les personnages qui nous replongent dans cette époque et pour certaines nous font sourire car on les avait presque oubliées.
Au niveau de l’intrigue, ce n’est sans doute pas le meilleur album de la série, mais cela reste très correct et très dense, bien que là aussi on pourrait dire que l’album est un peu daté par certains aspects du scénario.
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Un Ric Hochet tout en tension psychologique mais qui ne néglige aucunement l'action. Même s'il me semble reprendre un scénario déjà vu dans un des feuilletons « Les mystères de l'Ouest », cela se suit avec intérêt.
Dessins de Tibet, assisté de Desmit toujours aussi efficace et remarquable approche réaliste de tous les véhicules utilisés, du bon travail comme à l'habitude des créateurs de la série.
Paris tenus pour Duchâteau : assommer Ric, (le moins difficile) et détruire sa Porsche dans presque chaque album !
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