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Citations de Andrea H. Japp (1110)


Connaître la mort est le dernier respect qu’un médecin rende à la vie.
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Loi oblige et prévaut.
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Un renard ne chasse jamais avec les chiens, tant il est certain de se faire égorger venue la cuirée.
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La reconnaissance d’un homme est d’autant plus vibrante qu’elle ne se monnaie pas.
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On n’entreprenait une guerre que lorsqu’un splendide butin de conquête vous lançait une œillade.
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L’argent change une vie et un être.
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Les mauvaises habitudes se prennent vite et ont peau coriace.
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Avouer est une impardonnable faiblesse. Et puis, lorsque l’on commence à permettre qu’un souvenir sorte de son trou, un vrai, le reste suit. C’est comme une digue qui se rompt. L’eau s’en écoule d’abord paisiblement, à regret presque, puis elle force son passage. Tout dévale, emportant sur son chemin tous ces ridicules et inefficaces petits remparts qui attestent que nous sommes en vie et que nous avons raison de l’être.
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Les tragédies n’ont aucun besoin de logique. Elles se suffisent à elles-mêmes. Le drame humain n’a pas de sens, il n’a ni commencement ni fin. Il est et cela suffit.
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On n’enlève pas tout à un homme que l’on sait courageux, parce qu’on en fait un fauve incontrôlable.
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La culpabilité, ce n’est pas forcément ce que tu fais, Thomas, c’est aussi ce que tu acceptes, ce dont tu te sers, en te disant que de toute façon tu n’es pas responsable. 
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 En réalité le silence est tellement tumultueux, si peuplé. Le silence, c’est décider de se taire. Ce n’est pas un manque, c’est un choix. Il faut l’admettre, c’est simple, mais dérangeant. Il m’a fallu Angel pour le comprendre et pourtant, j’étais une ombre silencieuse. Mais pour moi, le silence était une arme, une autre.
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J’ai toujours vécu avec la mort, la mienne et celle des autres. Elle est devenue, au fil des ans, comme une sorte de grippe fatale, on l’attrape ou on passe au travers. On ne se demande pas à quoi ressemble le virus, ni même quel est son nom.
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Il s’est progressivement allumé, d’abord prudemment, puis comme un brasier. C’était assez beau cette passion, cette conviction qu’il suffirait d’un système pour que l’Homme change et devienne bon. Beau et pathétique.
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Il faut peu de chose pour qu’un soupçon s’infiltre entre deux êtres. Il n’existe, je crois, que deux émotions humaines aussi résistantes que la vie : la foi et la haine.
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Les gens qui aiment sont fragiles, terrorisés au fond d’eux à l’idée que l’être aimé les déçoive ou les quitte.
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Il n’y a rien de plus chiant que les purs. L’avantage des gens que l’appât du gain ou le goût du sexe motivent, c’est que tu peux toujours surenchérir. Même l’amour, avec un peu de subtilité, on parvient presque toujours à le démolir.
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Jadis, je pensais que la brutale austérité de la vérité méritait la blessure. Que savoir c’était être. Tous ces mensonges, ces superstitions, ces inconsciences me faisaient honte. C’étaient, selon moi, des adjuvants de confort, des exhausteurs de bonheur.
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Tes pires crimes ont été de voler le paquet de cigarettes de ton père pour jouer au grand ou de balancer une blague salace à la maîtresse pour jouer au coq. Comment pourrais-tu comprendre ? Tu sais, c’est lorsque la vie se résume à une alternative très simple : survivre ou se faire descendre.
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Il y avait du fric planqué un peu partout dans la verrière. Esprit veillait sur son magot comme sur sa vie. Il aimait entasser, contempler, mais curieusement, il ne comptait pas. Je crois que ce n’était pas tant l’argent qui le fascinait que les combats, les morts qu’il représentait et bien sûr le pouvoir, surtout le pouvoir.
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