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Citations de Antoine de Saint-Exupéry (3239)


Antoine de Saint-Exupéry
Une démocratie doit être une fraternité ; sinon, c'est une imposture.
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Le langage est source de malentendus.
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C'est le temps que tu as perdu pour ta rose qui rend ta rose importante.
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les grandes personnes aiment les chiffres . quand vous leur parlez d'un nouvel ami , elles ne vous disent jamais : ''quel est le son de se voix ? quels sont les jeux qu'il préfère ? est-ce-que il collectionne les papillons ? '' elles vous demandent '' quel age a est-il ? combien a-t-il de fréres ? combien pése-t-il combien gagne son pére ? '' alors seulement ils croient le connaitre . si vous dites au grandes personnes ''j'ai vu une belle maison en brique roses avec des géranium aux fenetres et des colombes sur le toit ...'' elles ne parviennent pas a imaginer cette maison . il faut leur dire ''j'ai vu une maison de 100 000 francs '' alors elles s'ecrient ''comme c'est jolie ! ''.
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«  Fais de ta vie un rêve et d’un rêve, une réalité » .
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On ne voit bien qu'avec le cœur.
L'essentiel est invisible pour les yeux.
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S'il vous plaît... dessine moi un mouton !
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Il est bien plus difficile de se juger soi-même que de juger autrui. Si tu réussis à bien te juger c'est que tu es un véritable sage.
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On ne voit bien qu'avec le cœur, l'essentiel est invisible pour les yeux
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Avec l'avion, nous avons appris la ligne droite.
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Rirette savez-vous que l'aviation c'est une belle chose. Et qu'ici ce n'est pas un jeu et C'est comme ça que je l'aime.Ce n'est pas un sport non plus comme au bourget mais quelque chose d'autre,d'inexplicable,une espèce de guerre.C'est beau un départ de courrier au tout petit jour,sous la pluie. Et l'équipe de nuit,somnolente,la tempête signalée en Espagne qui réveillera le pilote,la brume sur les Pyrénées. Puis après le départ,pendant qu'il résout des problèmes on se disperse dans la boue.Rirette,je voudrais trop être parti.
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J'ai l'impression d'être ridicule,je m'arrête.Dans le petit bistrot où j'écris,un piano mécanique fabrique un air sentimental. La caissière tangue de droite à gauche. Le patron qui n'a plus de désir bâille.Le garçon tousse et tourne autour de moi parce que je suis le dernier client,qu'il a sommeil-c'est mélancolique. Je me sens de trop,je m'en vais.
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____Et si tu laisses se multiplier les cafards, me dit mon père, alors naissent les doits des cafards.
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On ne voit bien qu'avec le cœur, l'essentiel avec invisible pour les yeux.
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- Où sont les hommes ? On est un peu seul dans le désert.
- On est seul aussi chez les hommes.
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Les hommes n'ont plus le temps de rien connaître. Ils achètent des choses toutes faites chez les marchands. Mais comme il n'existe point de marchands d'amis, les hommes n'ont plus d'amis. Si tu veux un ami, apprivoise-moi !
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Aimer, ce n'est pas se regarder l'un l'autre, c'est regarder ensemble dans la même direction.
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La nuit : cette demeure...
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Tu regarderas, la nuit, les étoiles. C'est trop petit chez moi pour que je te montre où se trouve la mienne. C'est mieux comme ça. Mon étoile, ça sera pour toi un des étoiles. Alors, toutes les étoiles, tu aimeras les regarder... Elles seront toutes tes amies.
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L’Horizon flamboyant jette au travers des bois
Des lueurs où se mêle un rouge de fournaise
Il fait nuit mais au loin comme un morceau de braise
Un village brûlé s’auréole parfois.

Un jeune de vingt ans, sentinelle française
Songe à son vieux logis quitté depuis des mois
Il soupire en glanant ses rêves d’autrefois
Comme on glane les morts quand le combat s’apaise…

Se tournant vers le ciel il y regarde encore
Le sillage éclatant d’un projectile qui fuse
Mais déjà tout s’éteint, plus de sillage d’or

Et le soldat soupçonne en son âme confuse
Qu’en plein essor, noyés dans l’ombre qui les suit
Nos rêves quelquefois s’éteignent dans la nuit.
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