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Critiques de Armand Lanoux (17)
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Le commandant Watrin

Sans le commentaire de Marie-Pierre, je n'aurai sans doute jamais lu cet ouvrage que mon père avait acquis en 1956 dès sa publication. J'avoue que « les grandes vacances » de Francis AMBRIERE m'ont vacciné contre les publications consacrées aux prisonniers de guerre (et particulièrement les gradés) et je suis entré dans ce roman avec des préventions qui ont disparu au fil des chapitres.



En grande partie autobiographique, ce récit confronte le lieutenant de réserve François SOUBEYRAC (instituteur socialiste pacifiste) au Commandant WATRIN (enfant de mineur, soldat glorieux de la Grande Guerre devenu militaire de carrière) dans une tragédie en trois actes.



La nuit de Volmerange exécute un soldat rebelle. La compagnie d'infanterie se rend aux allemands lors de la La nuit du Bois Joyeux à l'issue de la bataille de Rehel. La nuit de Tempelhof voit les deux officiers disparaitre du camp d'internement après la représentation d'une pièce d'Armand SALACROU…



Armand LANOUX nous dépeint l'évolution morale et psychologique des deux hommes et de leur entourage, dans un contexte qui fissure les préjugés des uns et les réflexes de castes des autres. Le vernis disparait, la vérité des hommes se révèle au fil des pages et des dialogues dans une narration qui rappelle certaines pages de François MAURIAC et révèle aux protagonistes leurs vocations. le tout dans une langue superbe.



Un roman bouleversant qui rend hommage aux héros du printemps 1940 et m'a rappelé la mémoire de Paul NIZAN (passé du royalisme au communisme puis au socialisme après le pacte germano soviétique) mort pour la France le 23 mai 1940 lors de la bataille de Dunkerque.
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Une histoire de la commune de Paris, tome 2..

Dans ce second tome, c'est la destruction de la Commune qui est évoquée.

Ceux que l'on appelle les Versaillais vont massacrer les Communards pendant la semaine sanglante.

Sous les ordres de Adolphe Thiers , ils vont bombarder Paris , exécuter et déporter les Rouges comme ils appellent les hommes et les femmes de la Commune , tout cela sous l'oeil amusé de Bismarck et des Allemands qui bien sur, laissent faire toutes ces exactions.

A la lecture de ce livre très instructif et complet , on ne comprend pas comment Mr Adolphe Thiers par ailleurs auteur d'une Histoire de la Révolution Française, peut avoir autant de rues et de places à son nom dans notre pays.

Cette Histoire de la Commune est malheureusement rarement évoquée et encore moins enseignée en France .
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Une histoire de la commune de Paris, tome 1..

Ou comment les politiques de l'époque ( les Jules) ainsi que certains militaires, qui ont fait en sorte que la France perde la guerre de 1870, ont donné naissance à la Commune.



Cette population parisienne qui, par patriotisme, ne voulut pas donner ses canons aux Allemands, déclencha presque à son insu , une révolution qui sera malheureusement réprimée dans le sang

Grâçe à ce livre , je découvre cette histoire, pour moi méconnue, de la guerre de 1870 et de cette Commune de Paris.
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Le commandant Watrin

Coup sur coup, la lecture enthousiasmante de « Miroir de nos peines » de Pierre Lemaitre, puis le beau film de Sam Mendès « 1917 » m'ont replongée dans l'atmosphère de la guerre … Pourquoi exhumer ce roman de 1956 qui valut à son auteur, Armand Lanoux (1913 – 1983) le prix Interallié ?

Essentiellement parce que l'intrigue de ce roman se déroule, dans sa première partie, dans un village de Lorraine, Volmerange … Exactement comme mon père avait, en ce début de juin 1940, héroïquement combattu, avant de se faire capturer puis emmener en captivité en Poméranie. Et c'est ce qui arrive au jeune Lieutenant François Soubeyrac, instituteur dans le civil, socialiste et opposé à la guerre, mais qui la fera de la belle manière, lui comme tant d'autres.

Soubeyrac n'est pas tendre au début avec le Commandant Watrin : un militaire de métier dans tout ce qu'il exècre, une « vieille culotte de peau », qui a fait la guerre de quatorze, un homme imperturbable, muré dans le silence avec sa moustache drue et ses yeux couleur de mer. Vraiment, il ne comprend pas cet homme …

Comment vivent ces soldats, tout à coup précipités dans l'action après une longue période d'attente, la « drôle de guerre ». Un assemblage disparate de destins que rien n'aurait permis de se rencontrer … une galerie de portraits pleins de tendresse et de talents, avec une forte proportion de cht'is et leur accent à la limite du compréhensible pour le non-initié.

Le roman se déroule en trois parties ou « nuits » : celle de Volmerange où l'élément dramatique est la condamnation d'un soldat accusé de rébellion, celle du Bois Joyeux où le bataillon est encerclé par les blindés allemands, celle de Tempelhof, dans le Stalag - les officiers, rassemblés dans des camps séparés des prisonniers de la troupe - ne devaient pas travailler - au bord de la Baltique où les officiers captifs organisent une véritable université ou, comme l'entreprend François Soubeyrac, mettent en scène une pièce de théâtre d'Armand Salacrou. Une façon de tuer le temps, dans une attente qui va encore durer deux années.

L'évocation des combats, les réactions contrastées des hommes, la souffrance des blessés, la peur, la quête du ravitaillement, les défaillances du matériel, la soudaineté de la mort, l'évolution de la pensée des protagonistes … Tout paraît vrai, terriblement actuel. Je comprends ainsi pourquoi ce livre figurait en bonne place dans la bibliothèque de mon père …

Car l'histoire de Soubeyrac est en grande partie autobiographique : l'auteur a l'âge de son héros et fut aussi instituteur avant d'être mobilisé … En tous cas, on écrivait sacrément bien dans les années 50 !
Lien : http://www.bigmammy.fr/archi..
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Zola ou la conscience humaine

Un très bon portrait d'Emile Zola et un focus sur la société française de la fin du XIX siècle au travers de l'engagement de l'écrivain dans l'affaire Dreyfus, qui constitue il faut bien le dire l'essentiel de cette biographie.

Biographie d'où jaillit néanmoins l'homme, avec toute sa sensibilité, toute son humanité, mais aussi avec ses fragilités.
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Quand la mer se retire

Seize ans après les derniers coups de feu, que reste-t-il d'une guerre ? Des paysages trompeurs, des mémoires percées, des témoignages douteux... Et puis la vie, la vie qui va au café, qui prend des bains de soleil, qui se tortille devant les juke-boxes et qui, patiemment, semble vouloir effacer toute trace du carnage. C'est ce dont Abel Leclerc fait l'amère expérience, lui le soldat québécois, débarqué en juin 1944 pour délivrer la Normandie de ses ancêtres et qui, à la faveur d'une commémoration, revient sur les lieux que son ami Jacques et lui ont découverts sous les bombes. Le pays qu'il retrouve n'a plus rien à voir avec celui qu'il a connu : sur les plages du débarquement, les vacanciers ont pris la place des cadavres que les crevettes venaient jadis ronger à marée haute et les anciens combattants allemands se font photographier devant leur bunker par des vétérans alliés. Abel lui-même s'avère incapable de retrouver l'endroit où il a débarqué.

Et puis vient la rencontre de Bérengère, jeune femme libre des années soixante, au passé douloureux, qui va le guider dans sa quête. Quête de Jacques, son ami mort dans des circonstances atroces. Quête d'une France qui, comme Bérangère, s'étourdit de plaisir pour tenter de surmonter les rancœurs et les fractures héritées de la guerre. Quête de lui-même, enfin, qui est revenu brisé de la tuerie : « … je suis orphelin, confesse-t-il. Orphelin depuis 45. » Et le miracle s'opère : d'abord « enlisé dans aujourd'hui », Abel parvient (comme au cours d'une analyse) à remonter le passé, à le reconstituer bribe après bribe, jusqu'au traumatisme initial. Bien sûr, tout cela reste fragile, et ces images, souvent d'une rare violence, que le personnage arrache au passé, rien ne nous garantit qu'elles soient exactes : «Ça recommençait le bal des incertitudes ! » s'écrie-t-il d'ailleurs dans les derniers chapitres.

Il n'empêche, c'est un homme apaisé qui repart chez lui, à la fin du roman. Un roman faulknérien magnifiquement écrit, où présent et passé s'interpénètrent en permanence, et où le récit s'organise autour de grandes métaphores, que l'auteur file avec talent comme les leitmotivs d'une symphonie.

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Madame Steinheil ou La connaissance du Présid..

J'hésite entre deux tentations : écrire la critique de cette biographie brossée par Armand Lanoux en 1983, ou simplement raconter le destin hors norme d'une femme sublime mais légère, fantasque, libre et ensorceleuse, dont le procès aux assises défraya la chronique internationale en 1909.

Marguerite Japy (1869 – 1954) est issue d'une famille d'industriels protestants spécialisée dans la mécanique (les machines à écrire, entre autres). A l'âge où l'on songe à la marier, la famille ne peut la doter aussi généreusement que sa soeur ainée. Son père refusant une union avec un jeune officier sans fortune, elle épouse le peintre Adolphe Steinheil, plus âgé de 20 ans mais qui ne discute pas la dot. Adolphe est un artiste académique, connu pour ses portraits mondains et les scènes de genre dans les tons de brun, neveu de Meissonier, il peine à vendre ses toiles.

Marguerite est une jolie femme qui a reçu une très bonne éducation : elle parle anglais, joue du piano, chante à ravir. Mais elle est dépensière. Elle aura une fille – Marthe – mais très vite le couple ne fonctionne plus, même s'ils refusent de divorcer et cohabitent.

Marguerite Steinheil plaît beaucoup. Elle tient salon littéraire et républicain, dreyfusard et politique. Elle collectionne de nombreux amants, qui contribuent aux dépenses du ménage, elle promeut les tableaux de son mari, lui fait obtenir des commandes publiques …

En particulier, elle devient la maîtresse quasi officielle du Président de la République Félix Faure. C'est en sa compagnie que celui-ci, un soir de 1899 à l'Elysée, fait une attaque mortelle, sans doute après avoir abusé des aphrodisiaques. On exfiltre prestement la jeune femme … qui sera qualifiée de 'Pompadour provinciale et bourgeoise d'une jeune Troisième République qui cherche ses aristocrates" et autres sobriquets graveleux.

Madame Steinheil reprend bientôt ses activités de salonnière. Son mari ferme les yeux d'autant plus qu'une rumeur prétend qu'il préfère la compagnie de ses modèles masculins …

En mai 1909, on retrouve à leur domicile de l'impasse Roncin les cadavres d'Adolphe et de la mère de Marguerite, et la belle Meg ligotée à son lit de cuivre. Elle prétend avoir vu quatre personnes affublées de lévites et de perruques rousses, qui auraient dérobé une importante somme d'argent et des documents à elle confiés jadis par le président.

Elle s'emmêle dans ses déclarations, lance des accusations absurdes, s'enferre dans ses mensonges … En tant que seule survivante de cette tuerie, elle est bientôt accusée de meurtre et de parricide, est emprisonnée à Saint-Lazare pendant une année avant un procès retentissant. Faute de preuves, elle est néanmoins acquittée sans que jamais le mystère de ce double meurtre n'ai été élucidé.

Dans son livre, Armand Lanoux cependant fait état des hypothèses du célèbre expert Edmond Locard, fondateur de la police scientifique, qui évoque dans les dernières années de sa vie ce qui s'apparente à un secret d'Etat. La belle Meg n'a jamais "mangé le morceau".

Mais la carrière de Marguerite Steinheil ne s'arrête pas à ce procès. Elle se réfugie en Grande Bretagne où elle épouse en 1917 le baron Lord Robert Brooke Campbell Scarlett et devient Lady Abinger. Devenue à nouveau veuve en 1927, elle meurt à 85 ans, toujours aussi belle dit-on, dans le Sussex.

Le livre d'Armand Lanoux, plein de verve et de portraits acérés des protagonistes de l'affaire, nous entraîne dans l'ambiance folle de cette Belle Epoque, avec les « Grandes Horizontales » comme la comtesse de Loynes, les tourbillons de l'Affaire Dreyfus, l'antisémitisme virulent mâtiné d'anti protestantisme, le rôle de la Presse à grande diffusion, la violence des publications illustrées …

C'est pétillant, plein de références littéraires et politiques … Quel destin !
Lien : http://www.bigmammy.fr/archi..
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Bonjour, Monsieur Zola

Cette biographie d'Emile Zola, très justement documentée par Armand Lanoux, retrace la vie, de la naissance à la mort, de celui qui sera qualifié de "chef de file de l'école naturaliste". Ce livre rappelle les origines italiennes et l'adolescence misérable de ce romancier puissant, créateur de la famille des Rougon-Macquart mais aussi, journaliste engagé, critique littéraire. Nous prenons connaissance des début de Zola comme commis chez Hachette et nous le suivons au fil de ses rencontres, de ses amitiés - avec Claude Monet- jusqu'à la consécration littéraire.
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Le commandant Watrin

Un livre de guerre écrit par quelqu’un qui l’a connue. Mais plus qu’un livre sur la guerre c’est un livre qui nous interroge sur la contradiction qui existe parfois entre défendre la paix et défendre la liberté.

On suit les aventures du lieutenant Soubeyrac et son point de vue sur le commandant Watrin qui évolue au fil du livre.

Avec ça, le roman est rythmé, avec de l’action, bien documentée et pour cause et les personnages sonnent juste.

On plonge littéralement dans la Campagne de France et dans les camps de Poméranie. Le final est émouvant.

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Adieu la vie, adieu l'amour

Lanoux posséde une grande qualité.

Il sait raconter une histoire.

C'est le minimum quand on veut devenir romancier.

Un bon moment de lecture.
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Quand la mer se retire

C'est une autre façon de voir la guerre notamment le débarquement du 6 juin 1944. Une très belle découverte littéraire sans oublier l'auteur qui nous fait plonger assez rapidement dans l'histoire grâce à sa belle plume. Je conseille cet auteur à tout le monde
Lien : http://leschroniquesdemilie...
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Maupassant, le bel-ami

Très belle histoire. J'ai passé un super moment avec ce livre, le personnage se développe tout au long de l'histoire et il se lit très facilement dû à l'écriture très fluide de Maupassant.

Un must read!

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Maupassant, le bel-ami

j'aime
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Quand la mer se retire

Un très beau roman qui nous place dans le regard d’un canadien, Abel, qui revient sur les plages où il a débarqué et perdu Jacques, son ami. La fiancée de ce dernier espère trouver sa tombe et entraîne Abel dans sa quête de vérités.

Si le paysage a changé, rendant pour Abel le retour difficile, c’est lui-même qu’il finira par trouver pour repartir libéré vers le Québec.

Une écriture très belle mais une lecture un peu compliquée, alternant souvenirs et présents, on s’y perd parfois.

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Une histoire de la commune de Paris, tome 1..

Ouvrage en deux tomes on ne peut plus complet, mais parfois un peu complexe à suivre.



Beaucoup de protagonistes, aux ambitions bien diverses, entrent en compte dans l'équation. Parfois il est difficile de s'y retrouver. Mais cela est plus dû à l'Histoire avec un grand H, qu'à cet excellent livre.

On pourra peut-être regretter les aller-retour chronologique qui peuvent là aussi perdre un peu un lecteur novice.



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Quand la mer se retire

Un livre difficile à lire. Le thème, la guerre, est souvent abordé mais, pourtant, on ne peut pas dire qu’il fasse parti des livres de d’habitude. On sort un peu des sentiers battus et on est propulsé tantôt vers le passé, en somme vers l’horreur, puis transporté dans le présent, un présent difficile, fait de souvenirs douloureux, d’images qui ne s’effacent pas, de corps sans vie qu’on ne peut oublier. Un personnage qui s’accroche à la vie tant bien que mal mais qui est retenu sans cesse par les chaînes du passé, qu’il lui faudra briser définitivement en essayant de reconstituer les drames et les traumatismes d’autrefois.
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Madame Steinheil ou La connaissance du Présid..

Arrivé péniblement à la page 130, j'hésitais entre poursuivre ma lecture en diagonale, uniquement mu par la curiosité du dénouement de l'enquête sur ce double meurtre, ou arrêter.

La belle critique de Bigmammy, dont je salue la plume et l'esprit de synthèse m'a convaincu de la deuxième solution.

Merci Bigmammy pour cette mini biographie complète, à la fois sur cette femme et sur l'affaire.



Le style de l'auteur ne m'a pas convenu. Trop de détails, trop haché, une intrigue qui avance trop lentement, une forme de récit très romancée avec beaucoup de dialogues extrêmement précis qui font douter de de la véracité des scènes, loin du style biographique habituel. J'ai la désagréable sensation que l'auteur se met trop en avant, qu'il se fait plaisir, qu'il en rajoute. J'accorde à l'auteur son humour et le fait qu'il sache écrire.

Bref, je n'avais qu'une envie, savoir comment cette histoire se termine.



Mme Steinheil, l'ancienne maîtresse du Président de la République Félix Faure mort dans ses bras, dont la mère et le mari sont assassinés, point de départ du récit, est antipathique, mythomane, affabulatrice, menteuse, intrigante, un phénomène de foire, mais que j'ai finalement trouvé inintéressant, fatigant.



Le mélange d'une enquête policière et d'une biographie tronquée peut paraître une bonne idée, je préfère me réserver pour une biographie pure ou un policier pur.



Pour autant je ne cherche pas à dissuader un(e) éventuel(le) lecteur (trice). Un troisième avis serait le bienvenu. Il faut prendre son temps pour apprécier ce livre. J'étais sans doute pressé.



La citation proposée illustre à la fois l'humour de l'auteur et son style légèrement surchargé, haché, et l'éloignement désagréable du style biographique au profit du style fictionnel. La scène rapportée par l'auteur est le fruit de son imagination même si le fait que Mme Steinheil aille pêcher des amants devant les stations de métro est sans doute vrai, mais même cela est une rumeur, puisque l'auteur dit "on chuchotait que..."
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