B. A. Paris

Très gros cour de cœur pour ce livre, j'en ressort essoufflée, je viens de le finir, je ne pouvais pas le lâcher, impossible de ne pas le finir aujourd’hui. Presque un huis clos, ce livre est une vraie claque, il faut absolument le livre jusqu'au bout, tout y est , le suspens, la terreur, la trahison, l'amour, la passion, l'auteur nous fait passer par toutes ces émissions, très très bon !!!

Méfiez-vous des apparences en particulier quand l'auteur d'un thriller teste sur le lecteur et ses personnages une «mise à l'épreuve ».





Layla et Finn sont en couple depuis un an. En 2006, de retour de Megève - pour l'Angleterre où ils résident – Layla disparait soudainement et étrangement sur une aire d'autoroute française.





Finn, soutenu dans ce moment difficile et hébergé par son ami Harry, noue quelques relations amoureuses éphémères jusqu'à sa rencontre, en 2013, chez Harry, avec Ellen, la soeur de Layla, qu'il n'avait jamais rencontrée auparavant. La relation est sérieuse ; ils déménagent ; une date de mariage est arrêtée après un an de vie commune.





Mais alors que Layla a disparu depuis douze années, celle-ci semble réapparaitre : un ancien voisin dit l'avoir aperçue près de l'ancien domicile conjugal ; sa soeur, Ellen, prétend l'avoir reconnue, et le couple trouve ou reçoit par la poste des poupées gigognes à l'image de celles appartenant aux deux soeurs depuis leur enfance.





Layla est-elle de retour ? que veut-elle ? En toute hypothèse, tout porte à croire qu'elle aurait mis en place un scénario diabolique pour se venger. Mais de qui et pourquoi ?





Le roman, « Dix petites poupées », publié en France aux éditions Hugo Thriller, est le troisième roman de B.A Paris. Le 2 avril 2020, son nouveau roman, « le dilemme». sera édité au livre de poche.





D'origine Franco-Irlandaise, l'auteur vit à Paris. Ses deux précédents romans sont : « derrière les portes » et « défaillances » traduits à plus de deux millions d'exemplaires.





Je suis demeuré très dubitatif après la lecture des deux ouvrages précités et force est de constater que B.A Paris privilégie les thrillers conjugaux. Pourquoi pas.





Mais, à moins de ne jamais lire de policiers ou de thrillers, je n' imagine pas, qu'à la moitié de la lecture de « dix petites poupées », l'on ne devine pas la solution de l'intrigue ; le suspense est faible.





En outre, le récit lent et laborieux.



En bref, c'est un bon petit thriller pour débutant.



Bonne lecture.



Michel.


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J’ai passé un très bon moment en lisant ce livre, terminé en un jour. Le seul bémol étant que pour moi qui suis très cartésienne, l’histoire est un peu tirée par les cheveux. Pour le reste j’ai beaucoup apprécié ma lecture.

2 ème livre de cette auteure qui fait plutôt dans le thriller psychologique efficace.

Un rythme haletant, les pages se tournent toutes seules.

S'il ne révolutionne pas le genre il a le mérite de m'avoir fait passer un agréable moment de lecture. J'ai vu arriver quelques trucs, pressenti d'autres et rien vu venir sur le final.

B.A. PARIS aime tourmenter et malmener ses héroïnes : des femmes fortes qui sombrent au plus bas pour mieux rebondir.

Pour autant, j'ai préféré le premier plus surprenant et plus sombre.

Coucou les mordus je viens de finir derrière les portes de B.A Paris

Nombre de pages:345

Résumé:

Jack et Grace ont tout pour eux. Le charme, l'amour,l'aisance financière, une superbe semeur. Lui, avocat brillant,elle, maîtresse de maison idéale. Le bonheur. Du moins en apparence. Pourquoi ne voit-on jamais Grace sans son mari?

Nous avons tous dans notre entourage un couple comme celui qu'ils forment, le genre d'union qui fait rêver. Et pourtant, parfois, un mariage parfait ca je un mensonge parfait.

Et vous, connaissez-vous vraiment vos amies?

Mon avis : un livre prenant qu'on a du mal à lâcher, j'avais envie de connaitre le dénouement. Cette histoire est tout aussi attachante que choquante. Le suspens est bien présent, on n'a pas le temps de s'ennuyer, ce thriller est rythmé et trépidant.

Si vous avez aimez "les apparences"de gillian flynnn vous allez aimez ce thriller alors n'hésitez surtout pas à le lire😀

Ma note : ⭐️⭐️⭐️⭐️⭐️/5

Après son premier roman, Derrière les portes, énorme coup de cœur pour un contre la montre stressant, je me demandais si B.A Paris parviendrait encore à me surprendre avec un nouveau thriller psychologique palpitant. C'est avec des sentiments ambivalents que je me suis lancée dans cette lecture. J 'étais partagée entre la crainte d'être déçue (peut-on faire mieux ou aussi bien que pour le dernier ?) et l'espoir que cela le soit.

Je me suis trouvée surprise avec cette impression de déjà lu dans les premières pages, la situation me rappelant le début de La disparue de Noel de Rachel Abbot, mais très vite cette comparaison disparaît, hormis le fait que Cass emprunte une route isolée et croise une voiture arrêtée le reste est totalement différent et l'auteure nous transporte dans son univers.

C'est à travers le récit de Cass que l'auteure nous plonge dans une ambiance anxiogène et que lecteur vit les émotions de l’héroïne.

Un personnage qui perd ses repères suite au stress et la culpabilité qui la ronge et Cass s'enfonce jour après jour dans la paranoïa, avec le récit journalier de son quotidien et de son calvaire. Rongée par une culpabilité effroyable notre héroïne sombre jour après jour dans un gouffre sans fond duquel elle ne parvient pas à sortir.

Mais le lecteur de s'interroger : A quel point la culpabilité peut-elle être destructrice ? Est-ce crédible ? Qu'aurions nous fait et ressenti à sa place ? Probablement qu'influencé par le contexte actuel et toutes les mises en garde contre les manigances et les agressions serions-nous passés ce soir là sans rien faire. Mais pour autant nous sentirions aussi coupables de la mort de Jane ? Certainement pas. Alors une intrigue crédible ? Mais nous ne sommes pas Cass avec son profil psychologique fragile, son stress, sa fatigue après une année scolaire épuisante et surtout ses antécédents médicaux. En fait, le décor est planté et tout se joue, B.A Paris nous ayant bien harponnés avec une intrigue addictive qui ne vous lâche pas jusqu'à ce que vous ayez atteint la dernière porte.

L'histoire est particulièrement bien menée avec les défaillances psychologiques de notre personnage principal qui nous touche et nous émeut dans sa détresse.

La méthode de l'auteure est efficace, elle distille le doute insidieusement, nous entraînant dans des pistes possibles, puis tire le tapis, incitant le lecteur a tout remettre en question. Quelles sont les chances qu'un assassin la harcèle ? Pour autant pourquoi les appels n'ont lieu que quand son mari est absent ? Est-elle vraiment épiée ou juste paranoïaque ? Qu'en est-il de sa santé mentale ?

Oui le tout est particulièrement bien ficelé et le lecteur assiste impuissant à la dégradation physique et psychologique de notre héroïne. On s'étonne cependant du peu de soutien de sa meilleure amie tandis que l'auteure brosse un portrait réaliste des comportements d'un mari aimant pris dans un engrenage infernal.

L'ambiance est étouffante, oppressante et le lecteur est avide de souffler un peu, mais B.A ne lâche rien jusqu'au dénouement.

Un dénouement somme toute attendu, sans l'être, c'est toute la subtilité et le talent de B.A Paris, avec un rebondissement de dernière minute assez surprenant car malgré ce que peut imaginer le lecteur en suivant les petits cailloux semés par l'auteure, rien n'a quand même étayé cette piste.

L'auteur maîtrise les codes du thriller psychologique et nous offre une intrigue pourtant logique à laquelle on songe très rapidement mais B.A parvient toujours à instiller le doute.

Pour autant même si j'ai très apprécié cette lecture, j’émets quelques réserves avec quelques points que j'aurais aimé voir davantage développés et que je ne peux vraiment pas aborder ici sans spolier. Une petite discussion avec ma jumelle de lecture s'impose. J'ai d'avoir l'avis de mes partenaires de lecture.

En conclusion je dirais que c'est un excellent thriller psychologique dans lequel on se laisse facilement emporter, particulièrement bien construit qui vous tient en haleine, entre manipulations, mensonges et trahisons. C’est angoissant, prenant et étouffant à souhait et particulièrement addictif. Mais pour l'heure Derrière les portes reste un coup de coeur.

Une auteure à suivre (qui continuera à nous surprendre ), que j'ai eu la chance de rencontrer au Salon de Livre et avec qui j'ai pu discuter. Une auteure Anglaise qui parle parfaitement le français.






Lien : http://missneferlectures.ekl..

- Un mari avocat manipulateur et psychopathe à l'extrême .

-Une femme fragile psychologiquement

-Une soeur trisomique,qui malgré son handicap va aider au dénouement de l'histoire,



Tous les ingrédients sont réunis pour un bon petit thriller psychologique un suspense haletant allant crescendo.Un livre que vous aurez du mal à refermer,une fois ouvert.

Un seul bémol, la chute : sans vous dévoiler la fin ,je l'ai trouvée quelque peu "bâclée " et peu réaliste,quant à la conclusion que la police en tirera.

Mais pour son premier roman c'est réussi donc un auteur à suivre .À conseiller🌟🌟🌟🌟

Quel thriller psychologique!



Que peux bien cacher un couple si parfait? Peut on se fier aux apparences?

Que se passe t il derrière les portes de cette splendide demeure où vivent Grace, et son époux si aimant Jack?



Si l'on comprend des le début que quelque chose cloche, quelque chose de sombre et d'inquiétant, il n'en est pas moins bouleversant lorsque l'on découvre la noirceur des événements.



Le rythme est tellement soutenu que ce roman nous happe facilement et sans crier gare. Si le début posait simplement les choses, très vite j'ai eût du mal à m'en décrocher.



L'histoire gravite autour de trois personnages.

Tout d'abord Grace, jeune femme brillante et accordant toute son attention à sa plus jeune soeur.

Millie, la petite soeur en question de Grace. Un personnage haut en couleur, surtout en jaune! Le rouge ne lui va décidément pas! Cette jeune fille trisomique donne un ton de fraicheur et de douceur à ce thriller.

Enfin Jack Angel, brillant avocat, n'ayant pas perdue une seule affaire, fort amoureux de Grace.



Je n'en dirais pas plus sur ces personnages au risque de dévoiler trop d'éléments du roman.



Merci en tout cas pour cette lecture, qui bien souvent m'a fait froid dans le dos. Mais qui m'a permis de me retrouvée plongée dans une histoire pour le moins glaçante mais prenante.

Grâce et Jack ont l'apparence d'un couple heureux. Mais quand les portes se ferment au départ des invités, c'est une toute autre réalité qui prend forme.



Excellent thriller. Construit sur une alternance de chapitres passé/présent avec des événements qui finissent par se rejoindre, le lecteur découvre avec horreur le machiavélisme qui régente cette relation maritale.

Plus intense que Apparences de Gillian Flynn ou Avant d'aller dormir de S.J. Watson, une des forces de ce roman est sa chute, très originale et en subtilité.

Alors, qu'attendez-vous ? Il vient de paraître, courez chez votre libraire



Merci aux Editions Hugo et compagnie et à Babelio pour cette lecture haletante

Le titre résume bien le roman et offre une projection sur ce à quoi s'attendre. Cette lecture se situe dans la même veine que La femme de ménage, avec quelques différences, notamment une atmosphère malaisante, puisque nous nous retrouvons témoins impuissants des maltraitances. J'ai apprécié la seconde partie où l'espoir renaît et surtout la chute.

🔥 Addictif

En trois mots : couple - psychologique - apparences



« Comme je regrette que la vie ne soit plus aussi simple et innocente ! »



Deux mots me viennent à l’esprit après avoir lu ce thriller :

- addictif

- anxiogène



➡ Il ne faut pas s’attendre à un thriller avec de multiples retournements de situation, pour moi ce n’est clairement pas le but du roman. Oui, certaines choses sont prévisibles mais l’intérêt réside plutôt dans la tension ressentie tout au long du récit.



« Je sais aussi qu’elle va revenir sur le sujet de notre union tardive en espérant lever un lièvre, n’importe lequel, qui induise que notre couple n’est pas aussi idyllique qu’il en a l’air. »



➡ Certaines réactions peuvent paraître invraisemblables, notamment celles de Grace, mais personnellement ça ne m’a pas dérangée car c’est une fiction et en plus une situation complexe qu’il est difficile de juger quand on ne l’a pas vécue.



➡ L’alternance entre passé et présent, pourtant classique, fonctionne très bien ici et nous dévoile petit à petit cette situation terrifiante.



Une excellente lecture, pas parfaite sur le fond mais qui m’a complètement happée sur le moment.

Grace et Jack forment un couple parfait : belle maison, belle situation, ils sont l’image même de l’harmonie conjugale et de la réussite sociale. Mais il faut toujours se méfier des apparences, la perfection a souvent quelque chose de suspect.



B.A. Paris a tenté le huis clos suffocant. L’idée de situer la tension psychologique au sein même d’un lieu censé nous apporter paix et réconfort, le couple, était alléchante et promettait de belles heures de suspens.

Malheureusement, je suis restée un peu sur ma faim.



Le début du livre commence comme une romance à la Barbara Cartland (la jeune fille esseulée qui s’occupe de sa petite sœur trisomique, l’homme riche et séduisant qui en tombe amoureux au premier regard), même si on perçoit tout de suite le malaise au sein du couple.



J’ai trouvé que l’histoire mettait un peu de temps à décoller. Mais surtout, ce sont à mon avis les personnages qui pêchent dans ce livre.



Grace est horripilante : on la croirait tout droit sortie d’un roman de Jane Austen, à se livrer pieds et poings liés au premier homme charismatique qui passe sans penser un seul instant qu’il est trop beau pour être honnête.

Car Jack est une (mauvaise) caricature du gendre idéal : avocat spécialisé auprès des femmes battues, il est riche, beau, célibataire, altruiste et suspectement prévenant. Mais quelle femme de nos jours accepte, même pour ce type de profil, de lâcher boulot et indépendance et de se marier en quelques mois ?



Quant à Jack, que dire ? Il aurait pu être le personnage le plus « intéressant » de cette histoire, le grand méchant machiavélique mais pour autant avec des failles ou une psychologie complexe… mais non, il n’est QUE méchant et machiavélique, rien d’autre. Son passé est évoqué de manière peu détaillée et il n’a pas vraiment de profondeur en dehors de son insondable perversité.



Bref, une oie blanche et un méchant très vilain, voilà à quoi se résume malheureusement cette histoire. Même la fin est assez prévisible et se voit venir à 10 kilomètres. Vraiment pas convaincue.

Je ne sais pas trop pourquoi ce roman est qualifié de thriller psychologique. Pour moi, il m'a tout l'air d'une obscure romance qui en utilise tous les clichés mais inversés.

Nous avons donc une famille composée de deux parents et de deux enfants jeunes adultes. Très vite, on constate que beaucoup de non-dits empêchent tout ce petit monde d'entretenir des relations saines entre eux.

Les deux points d'orgue de l'intrigue reposent d'une part sur la mère qui termine de préparer une grande fête pour ses 40 ans et sur le père qui a fait revenir en secret leur fille de Hong Kong et dont l'avion s'est crashé sans qu'on sache si la jeune femme était ou non à bord.



Le roman se concentre sur le jour de la fête. Et toutes les situations m'ont semblées complètement invraisemblables. Les protagonistes sont immatures, surtout la mère de famille. le père passe 250 pages à se demander s'il va dire à sa femme que leur fille est peut-être bien morte dans un accident d'avion, la mère de son côté se demande tout du long comment elle va annoncer à son mari que leur fille entretient une liaison malsaine, le fils leur ment aussi.... Bref, c'est charmant.

Et puis on a un condensé de clichés tous ramassés sur 24h dont je ne ferai pas la liste au risque de spoiler ceux qui voudraient quand même tenter cette lecture.



Pourtant, ça commençait relativement bien et la plume de l'autrice est agréable à lire. Mais le contenu est sans intérêt et les personnage exécrables chacun à leur manière. Je n'ai absolument pas ressenti la tension qui était supposée traverser le roman, au contraire, je me suis plutôt ennuyée et je n'avais même pas envie de secouer toute cette bande d'adultes incapables de se parler. Bref, j'ai perdu mon temps.

Alice a décidé de quitter sa campagne anglaise pour suivre son compagnon Léo à Londres. Ils s'installent au Cercle, une résidence qui compte une dizaine de maisons, ce qui permet de recréer une petite communauté en plein Londres. Alors qu'Alice tente d'établir un lien avec ses voisins, et elle fait une surprenant découverte...La maison dans laquelle elle vit désormais a été le témoin d'un affreux meurtre, celui d'une jeune femme, Nina...

Alice est alors perdue, elle ne sait plus qui croire et à qui faire confiance, et le prénom de Nina déclenchez chez elle une obsession...Ses relations avec son entourage s'en trouvent alors fortement affectées...

Comme tous les livres de cet auteur, celui-ci est encore une réussite. Les rouages du thriller pyschologique sont habilement mis en place, et comme Alice, le lecteur se retrouve perdu et ne sait plus qui ni quoi croire. C'est un vrai page turner dont on ne veut plus sortir jusqu'à avoir la réponse...



Merci à Netgalley et Hugo Thriller pour cette lecture.

J’ai retrouvé avec plaisir l’imagination de B.A. Paris dans ce thriller domestique passionnant. Après avoir beaucoup apprécié l’an passé Le Dilemme, je me suis laissée prendre au suspense bluffant de ce nouvel opus: Le Cercle de Finsbury est machiavélique !



Le Cercle de Finsbury est une résidence sécurisée de Londres comprenant une douzaine de maisons idéales et accueillantes, dans laquelle vivent paisiblement plusieurs familles. C’est là qu’Alice Dawson, traductrice, emménage avec son petit ami Léo Curtis, spécialiste dans la gestion de risque. Un grand pas pour la jeune femme qui quitte sa campagne natale pour vivre avec l’élu de son cœur. Désireuse de s’intégrer parmi ses voisins qui semblent tous s’être liés d’amitié, Alice décide de les inviter à un apéritif. Les choses se gâtent lorsqu’elle se rend compte sur le tard qu’un parfait inconnu qu’elle a confondu avec un de ses voisins, s’est immiscé dans leur petite fête, allant jusqu’à visiter leur maison… Est-ce un simple pique-assiette ou un homme qui nourrit de sombres desseins?



Lorsqu’Alice apprend qu’une jeune psychothérapeute a été sauvagement assassinée dans la maison avant qu’ils n’y emménagent, le sentiment d’insécurité s’amplifie. Elle a l’impression qu’une présence hante les murs, et que quelqu’un vient les épier pendant leur sommeil… D’autant plus que Léo, qui doit s’absenter quelques jours par semaine pour effectuer des déplacements professionnels semble lui cacher certaines choses… Perturbée par le fait que la jeune femme assassinée porte le nom de Nina, tout comme sa propre sœur décédée par sa faute dans un accident de voiture, Alice s’intéresse de près à cette tragédie et questionne le voisinage sur la mort de Nina. Tout accuse le mari de celle-ci, Oliver, qui après avoir clamé son innocence, s’est suicidé. En emménageant dans cette résidence finalement pas si paisible que cela, Alice est prise dans un engrenage infernal.



Comme le suggère son nom, la résidence a la forme d’un cercle, où toutes les maisons se font face, permettant à chacun d’avoir une vue sur son voisin, voire de l’épier… Dans cette atmosphère qui s’avère rapidement étouffante, Alice, encore bouleversée par un passé qu’elle ne parvient pas à oublier, semble véritablement obsédée par le meurtre qui a eu lieu sous son toit, et que son compagnon a préféré lui cacher, pour acquérir cette maison sans son avis, à un prix très attractif… Entre les deux tourtereaux, ce n’est pas la joie : Alice ne parvient plus à faire confiance à sa moitié. Les relations avec les voisins deviennent rapidement oppressantes: entre messes basses, mensonges, manipulations et apparences trompeuses, tout est là pour créer une ambiance anxiogène.



L’auteure surprend une nouvelle fois dans sa capacité à captiver son lectorat, elle nous prend en otage car on ne peut lâcher ce livre avant d’en connaître la fin, nous laisse le temps de faire nos suppositions avant de nous dévoiler un dénouement totalement imprévisible.



Je remercie Net Galley et les Editions Hugo Thrillers pour cet excellent moment de lecture!
Lien : https://loeilnoir.wordpress...

"Derrière les portes" ressemblent à un téléfilm un peu médiocre. Certes le roman se lit bien et l'écriture est fluide. Mais peut-être un peu trop justement, sans vrai style, et avec souvent une narration vue par Grace, le personnage principal, qui écrase un peu l'action sous un flot de texte un peu linéaire. Et puis pour ma part je n'ai pas vraiment été entraîné dans cette histoire, beaucoup trop "simple" pour être crédible. Une lecture que j'oublierai vite.

Je découvre cette auteure, qui a fait beaucoup parler d’elle avec ces précédents romans. Dix petites poupées est une intrigue psychologique glaçante à ne pas manquer pour les fans du genre.



12 ans que Layla a disparu sur une aire d’autoroute française. 12 ans que Finn se demande où elle est, si elle est vivante. Après le désespoir et la dépression, Finn a maintenant refait sa vie. Mais aujourd’hui, une poupée russe est déposée sur son muret. Qui l’a déposé ? Est-ce Layla ?



Je me répète que c’est un canular, que c’est forcément un canular.



Vous connaissez tous les cocktails alcoolisés que l’on boit comme du petit-lait. Le côté traître . Ici, c’est la même chose. Ce livre est un roman que l’on ingurgite avec une rapidité folle. Qui parait gentillet, car il faut bien avouer qu’il n’y a pas de meurtres à répétition, par d’hémoglobine qui gicle, pas de combat intense. Non, nous vivons le quotidien d’un homme qui se retrouve pris entre son grand amour disparu et sa vie conjugale actuelle. Entre son ancienne vie et celle d’aujourd’hui. Ses rêves et sa raison.



Finn est un personnage que l’on a du mal à cerner. Il a ambiguïté de ces faux calmes qui partent en ébullition à la moindre étincelle. Dès le premier chapitre, nous savons qu’il nous cache des choses.



Voilà la déposition que j’ai faite à la police, dans un commissariat quelque part près de l’A1, en France. C’est la vérité. Mais pas toute la vérité.



J’aime ce genre de roman qui nous raconte que la vie bascule d’un rien. Ici par des poupées russes. D’ailleurs, j’ai adoré l’image, la métaphore que sous les couches se trouve le vrai MOI.



Je me suis approchée rapidement du fin mot de cette intrigue et pourtant la fin m’a surprise. Chapeau à l’auteur qui m’a dupé, j’étais pourtant persuadée d’être la plus forte pour une fois !



Je maintiens que les Anglais sont très fort dans ce style de roman. Après

Défaillances et Derrière les portes, B. A. Paris confirme sa renommée avec ce nouveau roman.
Lien : https://lesciblesdunelectric..

Défaillances de B.A. Paris est cousu de fil blanc et nous savons tout de ce récit le premier chapitre lu. Mais pour le plaisir d'entendre le personnage principal Cassandra penser et s'effondrer tout au long du roman, la lecture s'impose. Un roman noir et blanc comme les films d'Alfred Hitchcock et en ayant en tête la musique du film Pas de Printemps Pour Marnie quand Cass répond au téléphone alors on peut tenir le coup jusqu’à la fin de ce roman. Cass passe son chemin plutôt que de venir en aide et la culpabilité d'apprendre à son réveil qu'une femme a été assassiné et son effondrement qui en suit. Un bon thriller psychologique mais il manque le mystère et la suspicion.

Dans le polar "Derrière les portes" de B.A. Paris, Jack et Grace forment un couple parfait : lui, séduisant et riche avocat spécialisé dans les violences faites aux femmes ; elle, belle trentenaire reine du logis et championne du soufflé. Mais derrière cette belle façade se cachent le machiavélisme, la manipulation et la peur...



Je pense que je vais avoir du mal à vous le vendre celui-là. Non pas qu'il se laisse lire sans intérêt, mais c'est plutôt que je n'y ai pas crû une seconde : la trame est trop énorme pour être digeste, et Jack est vraiment un méchant très très méchant qui pense à tout. Mais bon, dans la salle d'attente des urgences ça m'a bien changé les idées ! Mention spéciale cependant pour les 20 dernières pages, cyniques à souhait. M'enfin je n'en garderai pas un souvenir impérissable !

J'attendais beaucoup de ce livre dont on chantait partout les louanges et finalement, quelle déception ! J'ai beaucoup de mal à comprendre certaines critiques dithyrambiques. j'ai trouvé les personnages et les situations complètement invraisemblables. Une histoire cousue de fil blanc, une intrigue dont on devine la fin dès le premier chapitre, seule le personnage de Molly est plaisant.