AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Citations de Brigitte Kernel (154)


Elle tremblait
.La douleur et la caféine ne font pas bon ménage
Commenter  J’apprécie          20
la voix est un révélateur terrible de vie,de joie de peine de colére de peur,Tout s'entend dans la voisx,la peur,les rires la sérénité et meme l'orgasme
Commenter  J’apprécie          20
Il est des phrases que l'on jette innocemment, ce sont des outils qui voudraient réparer, en plein drame elles ne sont que politesses mal placées.
Commenter  J’apprécie          20
La vie contient en elle la nécessité de continuer, la nécessité de rester là.
Commenter  J’apprécie          20
Mon enfant, ma sœur,
Songe à la douceur
D'aller là-bas vivre ensemble !
Aimer à loisir,
Aimer et mourir
Au pays qui te ressemble !
Commenter  J’apprécie          10
C'était toujours ainsi quand je commençais un roman, une addiction montait et je ne réussissais plus à m'arrêter. Je pouvais oublier de boire et oublier de me rafraîchir.

J'étais telle une opiomane prisonnière dans un songe infini. La plume courait sur le papier, assoiffée d'encre.

Les atrocités ne se partagent pas, elles creusent la solitude humaine.

Je me dis que l'amour est un voyage, qu'il faut en accepter la fin pour repartir ensuite dans un autre périple.
Commenter  J’apprécie          10
Il y a quelque chose de l'ordre du contrôle dans le suicide. Nous sommes le tueur à gage qui va officier sans état d'âme.
Commenter  J’apprécie          10
Aucune énigme, aucun crime, pas d'Hercule Poirot, je l'ai mis au placard. Cela ne lui fera pas de mal de prendre la naphtaline. Il est parfois trop encombrant.
Commenter  J’apprécie          10
J'aimerais bien savoir expliquer mathématiquement les émotions, mais papa dit que ce n'est pas possible de faire des équations avec des sentiments.
C'est compliqué, pour moi, les choses inexplicables.
Je crois que je passerai toute ma vie à vouloir tout décortiquer pour en savoir plus, toujours plus.
Commenter  J’apprécie          10
Quand je repense aux douleurs vécues, ces déchirements insupportables qui furent les miennes comme celles de beaucoup de femmes trompées puis abandonnées, je me dis que l'amour est un voyage, il faut en accepter la fin pour repartir ensuite dans un autre périple.
Commenter  J’apprécie          10
Je continuais coûte que coûte. A soixante euros la séance, autant dire que le film doit être bon.
Commenter  J’apprécie          10
Il y a mille formes d’explosifs. Un simple regard d’elle peut en être un.
Commenter  J’apprécie          10
Je veux t'aider, Gloria, tu es si douce, rares sont les êtres bienveillants et purs comme toi. Tu es née dans le mauvais corps, il faut que tu deviennes toi, sinon tu ne feras que survivre puis mourir à feu doux.
Commenter  J’apprécie          10
La célébrité a un prix car, toujours, elle devient agression, et impossible de la ranger dans un coin de sa poche. Comme le ver coupé en deux, elle survit à elle-même.
Commenter  J’apprécie          10
Mais les insultes, c'est le pire, ça ne cicatrise pas. C'est la terreur inscrite en vous, le tatouage odieux partout à l'extérieur et à l'intérieur de soi.
Commenter  J’apprécie          10
Les mots sont plus violents que les coups.
Commenter  J’apprécie          10
Ernie tape sur le clavier de l'Underwood, vite, de plus en plus vite, un forçat dans la pénombre [...] fait plier la fiction pour atteindre le vrai, il tient à courtes brides son texte mais voudrait laisser son inspiration partir au galop pour m'oublier. Oublier ce fils marginal et dégénéré qu'il aime pourtant par-dessus-tout, car il lui ressemble en fait, "ma part d'ombre", a-t-il un jour écrit"(p. 238)
Commenter  J’apprécie          10
Toute sa vie, Greg a mené une bataille perdue [...] Il a manqué de manière critique d'une aide dans son enfance, parce que ses parents étaient incapables ou peu disposés à accepter sa situation, et il a alors essayé de se réconcilier avec lui-même, prenant la voie des études de médecine dans l'espoir de trouver un remède, ou au moins de quoi se soulager. Echouant dans cette voie, il a développé une personnalité alternative, un personnage dans lequel il pouvait se retirer des responsabilités insurmontables d'être, entre autres choses, le fils de son père, et de ne jamais mesurer ce qu'il attendait de lui-même. [Valérie Hemingway , sa seconde épouse / 2003 ]
Commenter  J’apprécie          10
Du côté des soignants, on peut guérir les autres mais on peut aussi s'assassiner soi-même. (p; 306)
Commenter  J’apprécie          10
La castration, ce qu'on ne pardonne pas à une trans ; le sexe coupé, le plus grand des tabous (p. 99)
Commenter  J’apprécie          10



Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de Brigitte Kernel (692)Voir plus


{* *}