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EAN : 9782809840902
300 pages
Ecriture (11/03/2021)
3.53/5   18 notes
Résumé :
Quand Charles Baudelaire rencontre, en 1842, Jeanne Duval, jeune comédienne du Théâtre de la Porte Saint-Martin peinant à se faire un nom, le poète ne connaît pas encore la notoriété et entame tout juste l'écriture du recueil qui le rendra célèbre, Les Fleurs du mal.
Mais cette relation passionnelle, qui permettra à Charles d'écrire certains de ses plus beaux poèmes (« Le serp... >Voir plus
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Que lire après Baudelaire et Jeanne : L'amour fouVoir plus
Critiques, Analyses et Avis (13) Voir plus Ajouter une critique
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Cette biographie romancée raconte la relation amoureuse et passionnée de Charles Baudelaire avec Jeanne Duval. Ils se sont rencontrés en 1842,Charles avait 21 ans. Jeanne est alors une belle jeune femme noire dont on ne connaît pas les origines, elle ne voudra jamais en parler . Elle joue au théâtre des petits rôles de soubrette, danse et se prostitue, "elle a des protecteurs" pour arrondir ses fins de mois. Charles Baudelaire vit d'une rente envoyée par sa mère. . Il va entretenir Jeanne avec cette rente et demandera sans cesse des rallonges d'argent à sa génitrice . Il sort beaucoup, fréquente le club des haschichins. Ses disputes avec Jeanne sont fréquentes, violentes. Ils se battent, se séparent et finissent toujours par se rabibocher. La mère de Charles déteste Jeanne, qu 'elle accuse de mauvaise influence sur son fils chéri, de surcroît elle est noire et madame Aupick est raciste.
Charles passe son temps à écrire et peaufiner ses poèmes qui seront éditer plus tard, car il a peur des refus. Il écrit aussi des chroniques, des feuilletons et des critiques d'art dans les journaux de l'époque, pour gagner sa vie. Il fera également des traductions de romans d'Edgar Poe. Car avec Jeanne, ils dépensent sans compter. Charles aime les beaux vêtements, il aime s'habiller en dandy, il fréquente aussi les brocanteurs, les antiquaires, les bistrots, les restaurants. Il boit beaucoup, consomme de l'opium aussi qui l'aide à surmonter ses douleurs., car Charles a contracté la syphilis, il fréquente toujours des prostituées. Il avoue aimer se rouler dans la fange et toucher le fond, le sordide. Ce qu' il retranscrit dans ses poèmes.. Certains, à leur sortie en 1857, seront interdits, car trop choquants pour les moeurs de l'époque, car le second empire se veut très conformiste.
Charles aura d'autres aventures, il s'éloigne de Jeanne, mais finit toujours par revenir, car Jeanne, il l'a dans la peau. Ils se font mal, se détestent, s'insultent et se réconcilient, c'est sans fin, c'est notoire et ça sera ainsi toute leur vie. Avec le temps, la passion de Charles se transforme en empathie, il aime Jeanne comme un père, il veillera et pouvoira à ses besoins jusqu'au bout. Jeanne est malade, elle a fait une attaque, et devra marcher dorénavant avec des cannes..Charles paie les frais d'hôpital et veille à ce qu'elle ne manque de rien.
Charles, est atteint de dépression et pense souvent à la mort, au suicide. Il part en Belgique pour donner des conférences bien rémunérées, car il croule sous les dettes, il vivra en Belgique de 1864 à 1866. Il fait une attaque et s'écroule dans la rue en 1866, il est victime d'une aphasie et d'une hémiplégie. Sa mère le fait rapatrier à Paris où il s'éteint le 31 août 1867.
Livre lu dans le cadre de la masse critique Babelio non fiction. Je remercie Babelio de m'avoir permis de découvrir ce livre.

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Un récit sur la passion amoureuse qui a uni Baudelaire à Jeanne Duval.
Un point de vue intéressant qui mêle fiction et réalité, l'amour qui unit les deux protagonistes au plus près de ce que l'on peut imaginer.
De nombreux vers du poète étaye l'ouvrage, nous replongeant agréablement dans Les fleurs du mal.
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Charles Baudelaire est un auteur que j'apprécie également beaucoup. Je me souviens avoir étudié Les fleurs du mal pendant mes études au lycée, avoir travaillé certains de ses poèmes, et je me souviens plus particulièrement de la chevelure qui m'avait beaucoup marquée, et aussi du très célèbre Invitation au voyage avec son dernier vers qui m'inspire toujours : « Là, tout n'est qu'ordree et beauté, luxe, calme et volupté. »

Je me souviens avoir étudié sa vie personnelle, et d'avoir abordé le sujet de sa maîtresse et muse, Jeanne Duval, mais sans plus de précision. Je suis donc très contente d'avoir pu découvrir cet auteur plus intimement. Brigitte Kernel apporte quelques précisions en tout début de lecture sur ce qui est réel et ce qui est romancé. Elle s'est appuyée sur la correspondance de Charles Baudelaire pour écrire ce livre et elle nous explique que pour se repérer, lorsque dans le texte, elle cite l'auteur par son nom, Baudelaire, c'est donc que c'est la réalité, et lorsqu'elle le cite par son prénom, Charles, c'est de l'ordre du romancé. Pareil pour Jeanne Duval. J'ai trouvé cela très ingénieux de la part de l'autrice, cela permet au lecteur de discerner la réalité de l'histoire.

J'ai donc suivi avec beaucoup d'intérêt la vie de Charles Baudelaire. Il rencontre Jeanne Duval à 21 ans, et va lui consacrer sa vie. Cette liaison avec Jeanne est très mal vue. Jeanne est une femme d'origine métisse, elle est comédienne, d'une nature plus dévergondée, rieuse, désinvolte, parfois grossière, elle ne passe pas inaperçue dans une société austère, surtout aux côtés de son amant Charles Baudelaire, plus grave, d'allure hautaine. le couple marque les esprits et occasionne pas mal de ragots. Leur amour n'est pas de tout repos. Jeanne s'emballe souvent, pique des colères, elle a des amants, masculins ou féminins, Charles le sait et l'accepte. Ils en paieront le prix puisqu'ils seront tous deux atteints de syphilis, maladie très grave et mal soignée à cette époque. Ils se sépareront souvent, se déchireront et se retrouveront. La mère de Charles, Madame Aupick, sera toujours opposée à cette liaison et ne le cachera pas à son fils, refusant de l'aider quand il en a besoin. Une relation vraiment très tumultueuse qui durera toute leur vie.

Cette liaison, cet amour tiraillé, inspirera à Baudelaire les plus beaux de ses poèmes. Celui que j'aime par exemple, cité plus haut, La chevelure, est justement inspirée de Jeanne, de ses cheveux frisés et bruns. Elle en a inspiré plein d'autres que j'ai découverts maintenant, certains ont même été refusés à la parution, jugés trop tendancieux et trop osés, sur les sujets de l'amour libre et les lesbiennes par exemple. Il était un précurseur sur beaucoup de sujets. Il avait un siècle d'avance. D'ailleurs l'oeuvre originale ne fût intégralement publiée qu'en 1949, quatre-vingt ans après la mort de Baudelaire. Quand on lit ces poèmes maintenant, on peut se rendre compte qu'ils ne sont vraiment pas vulgaires, ça montre bien comment était la société de cette époque.

J'aime beaucoup suivre la vie des auteurs célèbres. Je suis toujours épatée des autres grands noms de la littérature ou des arts qu'ils peuvent croiser. Charles Baudelaire a été ami avec Hugo, Théophile Gautier, Alfred de Musset, Gustave Flaubert et plein d'autres. Il a aussi rencontré de grands peintres, Eugène Delacroix qui lui fera un portrait, Gustave Courbet avec L'atelier du peintre où Charles est présent, et aussi Jeanne qui a été effacée mais dont on voit l'ombre tout de même. Jeanne, d'ailleurs, a elle aussi son portrait, avec La maîtresse de Baudelaire peint par Édouard Manet. J'aime beaucoup quand un livre est plein de références réelles, je m'amuse toujours à faire alors des recherches sur le net, à aller voir les tableaux, pour avoir certains secrets de leurs réalisations. C'est très enrichissant.

Et l'autrice a eu la très bonne idée de mettre à la fin de l'ouvrage les poèmes entiers de Baudelaire dont elle parle dans le livre et qui sont généralement ceux inspirés par Jeanne Duval. Elle a mis aussi ceux qui ont été longtemps interdits. J'ai beaucoup aimé replonger dans les vers et les mots de ce poète. Cela m'a donné grande envie de relire Les fleurs du mal, je me suis rendue compte en les lisant, que j'avais une autre compréhension de certains, j'ai pris de l'âge par rapport à ma première lecture et je ne vois plus la vie de la même façon. La signification change, les mots ont une autre portée.

Je me suis vraiment régalée avec ce livre. Il est très bien écrit, le style de Brigitte Kernel est très fluide. Elle a su mêler les faits réels et ceux créés avec une extrême finesse, s'il n'y avait pas l'indice des noms et prénoms, il est impossible de se rendre compte de ce qui est vrai ou romancé. Je me suis laissée porter par les mots de Brigitte Kernel, par la vie de Charles et Jeanne. Je me suis attachée à eux deux, j'ai essayé de les comprendre, ils sont tous les deux très touchants et n'ont pas été gâtés par la vie. le choix narratif de l'autrice à la troisième personne du singulier permet de garder une certaine distance avec les personnages et les émotions et j'ai apprécié. Je suis également épatée par le travail de recherches qu'a dû effectuer Brigitte Kernel pour fournir autant de précisions et de références dans ce livre. Tout est bien précis, documenté, sans pour autant être lourd ou indigeste à lire. C'est finement dosé et cela se lit sans aucune difficultés.

C'est un livre comme je les aime et qui m'apporte tant de choses. Il m'a permis de me divertir, de me changer les idées en rentrant dans la vie de ce couple avant-gardiste. Et il m'a permis aussi de m'enrichir de nouvelles connaissances, sur cet illustre poète, sur son époque, sur les difficultés de la vie d'alors, et sur ses écrits bien sûr que j'ai pris beaucoup de plaisir à relire. J'ai très envie de le lire à nouveau. Cette nouvelle collection des éditions Écriture est vraiment très belle. Après Rimbaud et Baudelaire, le prochain à paraître en novembre devrait porter sur Gustave Flaubert. Comment vous dire à quel point j'ai hâte de le lire, Flaubert étant un auteur que j'ai aimé lire aussi.

Je ne peux sincèrement que vous conseiller et recommander ces livres et celui-ci plus particulièrement sur Baudelaire et ses amours tumultueuses. C'est un livre plaisant à lire, à la portée de tous, c'est un bon moyen de s'enrichir tout en passant un moment de lecture sympathique.


Lien : http://marienel-lit.over-blo..
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J'ai adoré les deux romans précédents de de Brigitte Kernel et me réjouissait de ces retrouvailles. L'amour fou entre Baudelaire et Jeanne, voilà de quoi éveiller ma curiosité !

Pourtant dès les premières pages, je suis intriguée : pourquoi préciser qu'une partie de l'histoire est romancée, mise en garde qui sera répétée au long du livre comme s'il fallait s'en excuser ? Et pourquoi dès les premières lignes décrire Jeanne comme "grossière dans sa manière de marcher et déglutir"? Et pourquoi n'y a t'il dans tout le livre aucun portrait de Jeanne (alors qu'il en existe plusieurs dont des croquis faits par Baudelaire) ? Une histoire d'amour s'écrit bien à deux ?
Passé ces remarques, la lecture se révèle intéressante, très bien documentée. Brigitte Kernel a habilement associé le récit et les poèmes de Baudelaire pour nous décrire cette relation faite de passion et de destruction. de bonnes descriptions, les costumes, les plaisirs, Paris et sa vie artistique, ses célébrités, c'est réaliste ! L'auteur a su retracer intelligemment la psychologie de l'époque, à la fois cruelle envers tout ce qui dérange un certain ordre bourgeois, et à la recherche d'expériences nouvelles. J'ai beaucoup aimé les échanges imaginés entre Baudelaire et Nadar, donnant une touche vivante au livre.
Cette liberté prise par l'auteure, le récit devenant enfin roman, j'aurais voulu la retrouver pour Jeanne. Or les citations de ses contemporains la laissent prisonnière de la misogynie de l'époque (époque qui appartenait aux hommes et où les femmes ne pouvaient être intellectuelles).
Même si l'auteur émet quelques réserves sur ces critiques négatives, elle paraît hésiter à s'en écarter et les qualificatifs de grossière (dès les premières lignes) et de peu intelligente interpellent.
Comme les amants terribles tiraillés entre passion et répulsion, l'auteure paraît hésiter entre simple récit et vrai roman, nous ballottant entre un poète cultivé et artiste et une Jeanne fade et inconsistante voire perverse et cupide.
Jeanne aurait pu être revue avec un regard neuf, celle d'une femme certes imparfaite, mais sans être grossière, avec des qualités suffisamment inspirantes pour être une muse et amie.

Merci à Babelio et aux éditions "Ecriture" de m'avoir fait découvrir ce livre qui est une excellente introduction à la (re)lecture des "fleurs du mal".


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Après la Muse ténébreuse de Charles Baudelaire de R. Confiant et Crénom Baudelaire de J. Teulé, je termine ce troisième récit de B. Kermel, Baudelaire et Jeanne.

Trois prises de vue différentes sur la passion qui a uni et détruit durant 20 années Jeanne Duval et Charles Baudelaire, inspirant à celui-ci une bonne partie des Fleurs du mal.

La plume de B. Kermel, est celle que je préfère, une prose plus douce (féminine, dirais-je), d'où est absente la rugosité de ses deux confrères se complaisant avec facilité dans une certaine trivialité tout au long de leur récit.

B. Kermel met, avant tout, l'accent sur l'amour, la passion entre le poète et sa muse et apporte les preuves du dévouement de Charles à Jeanne jusque dans la déchéance de celle-ci.

R. Confiant présente les choses de façon différente et termine son récit avec des accents de haine et d'amertume mettant dans la bouche de Jeanne des propos durs à l'égard de son poète.

RC s'est intéressé à Jeanne, avant tout. J. Teulé, à Charles, et B. Kermel, aux deux sur un pied d'égalité. Sa prose est bien plus équilibrée ; elle ne cherche pas à produire des effets de style ou de vocabulaire, mais elle montre la vie de Charles et de Jeanne dans toutes ses vicissitudes, avec simplicité et, à l'évidence, avec beaucoup d'empathie pour Jeanne et Charles.

Dans chacun des récits on va naturellement retrouver les rapports difficiles de Charles avec sa mère Caroline Aupick, la haine de celle-ci pour Jeanne, haine réciproque, les indignités de la courtisane, l'échec de Charles en Belgique et sa haine injustifiée des Belges, ses amis artistes, la Présidente qui a suscité un béguin passager chez le poète, etc. etc.

Les hasards de l'édition, pas tout à fait, puisque ces ouvrages datent de 2021, année de la célébration du centenaire de la naissance de Baudelaire, offrent une espèce de trilogie biographique romancée, bien entendu, et tout à fait intéressante.

Cette "trilogie" m'a permis de redécouvrir Baudelaire, de relire ses poèmes (oubliés depuis longtemps) et de découvrir cette Jeanne dont on ne nous parlait pratiquement pas lorsque, au collège ou au lycée, il nous fallait étudier certains des textes du poète. En tout cas, je n'ai point le souvenir d'en avoir entendu parler durant mes jeunes années.

Conclusion, je vote pour Brigitte Kermel. Pat.
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Citations et extraits (3) Ajouter une citation
Il y a des femmes qui inspirent l'envie de les vaincre et de jouir d'elles, mais celle ci donne le désir de mourir lentement sous son regard.
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Tout enfant, j'ai senti dans mon cœur deux sentiments contradictoires : l'horreur de la vie et l'extase de la vie.
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Mon enfant, ma sœur,
Songe à la douceur
D'aller là-bas vivre ensemble !
Aimer à loisir,
Aimer et mourir
Au pays qui te ressemble !
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Videos de Brigitte Kernel (29) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Brigitte Kernel
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