Carine Paquin

#LasileDuNord

#NetGalleyFrance



J'ai dévoré ce livre, j'ai beaucoup aimé connaître la vie de Camille, même si celle-ci est malheureusement tragique.

Nous sommes dans une petite commune du Canada, où tout le monde connaît tout le monde, Camille et ses amis vivent une petite vie tranquille comme tout bon adolescent, lycée, sortie, amourette... Un soir, alors que Camille participe à une partie de oui-ja avec ses amies, sa grand-mère décède et Camille, va, à partir de là, être complètement différente, folie, schizophrénie, possession...

L'écriture de l'auteure est vraiment agréable, pas de temps morts, les événements s'enchaînent sans lassitude, le suspense est à son comble du début à la fin, je recommande donc vivement ce roman et je me réjouis à l'avance de savoir qu'il ne s'agit que du tome 1, ce qui laisse présager d'autres aventures dans l'asile du Nord.

Je remercie les éditions Kennes pour l'envoi, via net galley, du roman L'asile du Nord, tome 1 : Camille de Carine Paquin.

Peu de temps après la mort de sa grand-mère, à l’aube de l’an 2000, une jeune fille de seize ans est internée à l’hôpital psychiatrique.

Son diagnostic : schizophrénie paranoïde.

Pourtant, certaines personnes de la ville sont convaincues que l’adolescente n’est pas folle, que ce qui l’affecte n’a rien d’humain.

Existerait-il quelque chose d’invisible à l’homme qui peut s’emparer de lui et détruire sa vie ?

Enfermée entre les quatre murs de cet hôpital, que fera Camille quand elle constatera que sa vie ne lui appartient plus ?

Pour quoi, ou plutôt pour "qui" vit-elle ?

Camille est le tome un de la série L'asile du Nord. Il est bien précisé que la ville et l’hôpital existent bel et bien et que ce roman... est basé sur un fait réel ! On trouve d'ailleurs différents documents qui vont en ce sens dans ce livre.

Franchement, ça fait froid dans le dos ! Et cela m'a fait frissonné d'effroi à plusieurs reprises.

Camille et ses amis font une soirée, ils invoquent les esprits avec une planche de Ouija... alors que la grand-mère de la jeune fille est en train de mourir.. Et c'est le point de départ de drôles de phénomènes.. normaux ou anormaux ???

Camille change, elle voit des choses... Est t'elle atteinte de maladie mentale, ou est ce plus complexe que ça ?

Plus je lis de romans où les ados jouent avec des planches de Ouija pour appeler les défunts, moins j'ai envie d'en faire ! Cela tombe bien, je n'ai pas l'intention de faire joujou avec les esprits ! Et si j'en avais envie, je pense que ce livre m'en aurait dissuadé lol

J'ai aimé ce roman, toutefois le fait que ce soit basé sur une histoire vraie m'a parfois mis mal à l'aise. Notamment la fin !

Les personnages sont intéressants, assez fouillés, et j'ai apprécié de les découvrir.

L'histoire est pas mal du tout.

J'ai apprécié que l'auteure soit très bienveillante dans ses propos sur les maladies mentales. J'ai eu l'impression qu'elle marchait un peu sur des œufs par moment, du fait que c''est une histoire vraie. Du coup à aucun moment elle n'a enfoncé Camille pour son comportement, elle explique bien qu'il n'est pas facile de vivre avec une maladie mentale aussi bien pour le malade que pour son entourage. Que de bienveillance dans ce roman, ça fait du bien surtout que le sujet est sensible.

Ce premier tome est une excellente surprise, j'ai pris plaisir à lire cet ouvrage d'une traite et je lui donne quatre étoiles et demie.

Très probablement l'opus que j'ai le moins aimé. Une très longue mise en place... Je me suis lassée rapidement de ce Je t'aime moi non plus entre Mylène et Marie-Hélène, les deux adolescentes, personnages principaux. Et j'ai eu l'impression que tout se bousculait un peu vers la fin, lorsque les premiers incendies commencent à être racontés. J'aurais aimé encore plus me faire raconter la folie de William, ce pyromane. Mais son histoire est vraiment mise en côté, au profit de l'amitié ambiguë entre les deux filles. Bref, par la meilleur, et celui, en tous cas, dont je garderai le moins de souvenirs.

Un récit qui donne froid dans le dos... En préface, l'auteur nous mentionne qu'en plus, c'est inspiré d'une histoire vraie... Bon, ça reste à voir et c'est peut-être pour rajouter au mystère, mais il reste pas moins que c'est des choses qui se peuvent. Camille, jeune adolescente atypique, puisqu'elle s'intéresse au gore, aux films d'horreur, à l'ésotérisme, etc... Un soir, avec ses copines, elle décide de jouer à Ouija. Et quelque chose se produit. Camille ne sera plus jamais la même. Elle sent quelques fois des choses étranges en elle. Difficile d'en faire un résumé sans trop en dire et sans altérer votre plaisir de lecture. Mais l'histoire va au-delà de la maladie mentale. Bref, une lecture hyper prenante... J'avais même pas fini de le lire, que je me suis commandé dans la foulée les deux autres tomes. C'est dire comme j'ai aimé !

C’est le premier volet d’une série achetée pour le CDI du collège de trois romans d’une autrice québécoise. Classés romans d’horreur, je voulais me faire une idée avant de les mettre en service. Décidemment, c’était une bonne idée car je ne les pense pas adaptés du tout pour un lectorat de début de collège. On y retrouve des thématiques pour des élèves de 3ème et de lycée : dans ce premier tome, premier rapport sexuel, grossesse adolescente et dans le second, homosexualité. Tout cela, sur fond de roman type horreur. Personnellement maintenant: j’ai dévoré ce premier opus en une journée ! Tout est fait par l’autrice pour vous ancrer dans la réalité : l’histoire serait basée sur des faits vécus en rapport avec l’enfance de l’autrice dans un village reculé au Canada où un incendie aurait provoqué la mort de plusieurs mineurs. Ces morts brutales auraient condamné les âmes à hanter de leurs tourments les villageois de Malartic. Les trois volumes racontent les conséquences de possessions d’adolescents par les âmes des mineurs (??) n’ayant pas trouvé la paix. Ici, c’est Camille 15 ans qui à la mort de sa grand-mère se met à apercevoir une silhouette étrange se superposer à la sienne quand elle se regarde dans le miroir. Camille se pense médium et croit y voir sa mère décédée alors qu’elle n’était qu’un bébé. Bien évidemment, ce qui a pris possession de Camille est maléfique et va court-circuiter tous les beaux projets de l’adolescente. Son père Daniel, lui, revit le drame qui a causé la mort de sa femme et assiste impuissant à la flambée des symptômes chez sa fille de ce qu’il pense être une schizophrénie. Camille épaulée par sa famille mais aussi par son petit ami Victor va se débattre aux prises avec cette force maléfique qui jour après jour transforme la discrète et douce jeune fille en adolescente irritable et impulsive qui se mutile le doigt en traçant obsessionnellement dans des moments de transe des huit sur toutes les surfaces. On aime tous ces histoires qui font peur ! On les lit avec impatience en attendant de ressentir le frisson ! Carine Paquin remplit ici parfaitement bien le contrat d’autant qu’effectivement, après recherches sur Internet, les événements tragiques de la mine de Malartic et les photos reproduites dans le livre sont bien réels ! Après, pour le reste de la trame, c’est tout l’art de la romancière de broder autour !

*** Bouleversant, glaçant et dramatique !****



Un grand merci aux Editions Kennes, lors de l'opération Masse Critique, de m'avoir envoyé ce livre, dont je ressors complètement bouleversée ...

Avec L'asile du Nord, tome 1 : Camille - j'ai également fait la connaissance de l'excellente auteure Carine Paquin.



Cette histoire est bouleversante et glaçante, mais c'est une réelle petite pépite car d'une c'est un fait vécu suite à une grande enquête, mais en plus l'auteure a su nous faire aimer Camille et son entourage, bref, c'est comme si on est impliqué dans l'horreur qu'a subi cette pauvre fille.



Donc ... Donc, voilà Camille. Une adolescente comme toutes les autres avec ses amis, sa meilleure amie, son petit copain Victor, son père et sa belle-mère.

Camille n'a jamais connue sa maman, morte dans "un accident de voiture" (d'après ce qu'on lui a dit) peu après sa naissance. C'est sa grand-mère qui l'a élevée dès son plus jeune âge, et un lien très fort était établi entre elles.



La pauvre mémé vient a mourir. Puis Camille change. Elle devient agressive, extravertie puis surtout voit des phénomènes étranges dans les miroirs qui sont sur son passage.

Dans un journal intime, la jeune fille se confie à sa mère, pensant fortement qu'elle a des dons de médium et persuadée que sa maman veut entrer en contact avec elle.

Camille tombe enceinte à seize ans "par accident". Hospitalisée soit disant pour sa grossesse elle se retrouve en psychiatrie, tout son entourage la pensant atteinte de schizophrénie paranoïa. C'est ainsi qu'elle apprend la terrible vérité sur sa maman ...

Mais, Camille est loin de la schizophrénie, ce qui lui fait tant de mal est beaucoup, beaucoup plus gravissime ...

Je n'en dit pas plus ...



Ce livre m'a fortement marqué, tant il est si bien écrit. L'histoire est haletante et glaçante puisque à chaque rebondissement on se dit "oui, mais attention ce n'est PAS un roman ! C'est une histoire terrible mais vraie !"

Le début du livre titille déjà votre conscience avec une note de l'éditeur, puis avec l'effrayante préface de l'auteure.

Dans l'ouvrage, on retrouve des photos de Camille, dont une particulièrement terrible de sa mère la tenant dans ses bras avec cet arrière plan qui vous fait dresser les cheveux. Puis, "cerise sur le gâteau" on a les pages originales du journal intime de l'adolescente racontant ses doutes et ses peurs ...



Autant vous dire qu'on ne ressort pas indemne de cette lecture ! Même la première de couverture est glauque ...



Aujourd'hui j'attends avec GRANDE impatience le tome 2 qui, je pense, fera référence à un autre personnage ayant fréquenté, malheureusement, le terrible hôpital psychiatrique de Malartic, au Canada.

Je remercie vivement Babelio sans qui je n'aurais certainement pas eu l'occasion de lire ce livre et de découvrir Carine Paquin que je vais suivre ... à la trace pour son deuxième tome.



A découvrir d'urgence et surtout ... dites-vous bien que c'est une histoire vraie ...

Premier tome d'une saga basée sur des faits réels.



Quand la grand-mère de Camille meurt, celle-ci se retrouve internée dans un hôpital psy à la suite d'une série d'événements étranges. Elle aurait développé une schizophrénie paranoïde où elle se sentirait possédée.



Elle doute fort de sa maladie, et ce n'est pas la seule de sa ville, loin de là. Plusieurs ami(e)s vont l'aider à trouver des réponses. Elle va ainsi finir par découvrir ses premières relations sexuelles.



Car, après une soirée où le surnaturel avait une place de choix, des événements pourraient démontrer une activité ne faisant pas partie de notre monde. Les miroirs commencent à l'effrayer, elle y voit des choses qu'elle ne devrait pas... Comme sa mère, décédée plusieurs années auparavant.



Les personnages sont plutôt intéressants, mais je doute que tout soit réel. Il y a sans doute une part de vérité arrangée.



Au début du roman, nous avons un petit chapitre qui explique les faits d'origine. On retrouve aussi les pages du journal intime de Camille et des photos.



Les dialogues sont difficiles à suivre, car les caractères ne sont pas les mêmes. Nous avons le texte classique, où les dialogues possèdent une police plus grande, différente et des tirets qui ne sont pas dans l'axe du paragraphe. Personnellement, je n'ai pas apprécié ce côté-là.



C'est une œuvre facile à lire puisqu'elle vise plutôt des collégiens. Par contre la scène de sexe est un peu en décalage avec une première fois... Par ailleurs, les instants dans l'hôpital ne sont que sur les dernières pages. Je pensais que les faits se passeraient là-bas, mais non.



Je suis mitigé 🫣

Roman jeunesse s'adressant surtout aux lecteurs du premier cycle (pour le secondaire), car les personnages sont en 1re secondaire et vont dans une école bien originale. En effet, les deux héroïnes sont de jeunes filles avec des difficultés particulières (cleptomanie, TDAH, impulsivité...) que leurs parents ont choisi d'envoyer à l'école privée Charles-Darwin, école qui a la particularité d'accueillir des jeunes en difficultés et de les encadrer différemment des écoles plus traditionnelles. En plus, les élèves peuvent amener avec eux leur chat ou leur chien qui eux aussi auront des éducateurs spécialisés. Les deux héroïnes ont été réunies dans la même chambre (l'école est un pensionnat) et se détestent immédiatement et aussi sûrement que leur chien et chat respectifs. Cela créé des situations cocasses et assez réalistes pour l'âge et la maturité des personnages. Toutefois, l'intrigue est assez mince et même si le roman se lit très rapidement, il suscitera peu l'intérêt d'un lecteur plus âgé ou qui ne se reconnaît pas dans les personnages présentés.

Motivation de début d’année scolaire oblige, je ferai mes devoirs avec application et lirai cette série jusqu’au bout ! Voilà le tome 2 terminé. Pour les trois quarts du livre, c’était pour moi plus un roman sur les troubles de l’adolescence que réellement un livre fantastique horrifiant. En effet, nous faisons connaissance avec Marie-Hélène, 15 ans plutôt très introvertie comme jeune fille cultivant sa passion du dessin et sa solitude. Bientôt, emménage une nouvelle famille dans la maison d’à côté. Le couple a 4 enfants dont une fille, l’aînée du même âge que Marie-Hélène. Très vite, elles font connaissance et deviennent inséparables. D’autant plus qu’une mystérieuse complicité semble les réunir au-delà de la simple amitié. Evidemment, nous sommes toujours à Malartic et la noirceur suintante de cette petite bourgade va gangréner la jolie histoire d’amour naissante entre les deux adolescentes. Un pyromane s’acharne sur la petite ville en incendiant plusieurs maisons vides. Bien pire encore, des enfants dont la disparition avait été signalée par leurs parents quelques jours plus tôt sont retrouvés victimes des flammes. Marie Hélène troublée par le comportement perturbé de sa nouvelle amie décide de ne pas la quitter d’une semelle pour comprendre les raisons de son trouble. Ce qu’elle va découvrir et bien éloigné de ses suppositions de départ. La fin est réellement prenante même si les projections et tergiversations de Marie-Hélène sont un peu pénibles. Les rebondissements du scénario font froid dans le dos. Dommage que le récit soit déséquilibré par ce trop-plein de psychologie adolescente et par la petite part finalement réservée aux phénomènes paranormaux. Je pense toutefois que les romans de cette série combleront largement les désirs des ados tant sur le plan sentimental que sur la noirceur des âmes diaboliques au centre du roman. Encore une fois un récit à destination des grands adolescents.

Ce livre a eu grand succès et m’avait chaudement été recommandé par une copine, il a de très bonnes critiques, je peine toutefois à partager cet enthousiasme. Pour moi il s’agit d’un livre très moyen. Il est présenté comme une histoire vraie, mais je pense qu’il s’agit plutôt d’un artifice littéraire pour accrocher les lecteurs et les toucher davantage, il y a trop d’invraisemblances pour que ces faits se soient effectivement déroulés.



Camille, seize ans et ses amies Sophie et Virginie organisent une soirée « Horreur » avec visionnement du film L’exorciste et partie de Oui-ja, ce qui nous met directement dans l’ambiance. Camille croit voir sa mère dans un miroir et lance la planchette à travers la pièce. A son retour, la jeune fille apprend le décès de sa grand-mère qui l’a élevée et qui était très malade. Peu à peu le comportement de Camille change, elle voit souvent sa mère, décédée dans un accident quelques mois après sa naissance, lui apparaître dans les miroirs, elle pense avoir un don de medium. Elle devient aussi très entreprenante avec son petit ami mais ne se souvient pas de ce qu’elle fait ou dit. Elle croit que sa mère est décédée dans un accident de voiture, mais voyant l’état de sa fille, son père décide de la mettre au courant : sa mère était schizophrène et s’est suicidée. Comme Camille semble reproduire les mêmes symptômes il l’emmène voir un psychiatre. Une vieille voisine convainc Daniel que sa fille n’est pas malade, mais possédée et qu’il faut plutôt l’exorciser.



Des documents sont censés persuader le lecteur qu’il s’agit bien de faits réels, mais sur ma liseuse Kindle, je n’ai vu que des pages vides. Les personnages ne sont pas très attachants en dehors de Victor, le petit ami de Camille. Un aspect très positif de ce livre est le regard bienveillant posé sur les maladies mentales et la volonté de les dédramatiser. Le psychiatre explique à la jeune fille qu’avec un traitement adapté, elle pourra vivre normalement ou presque. Toutefois vu la toxicité des psychotropes utilisés dans le traitement de ces affections, la fin du roman est impossible, ce qui me fait fortement douter que l’histoire soit vraie. Quant à l’exorcisme, s’il a vraiment été pratiqué de cette manière, il ne pouvait que virer à la catastrophe.



Le sujet est un peu racoleur et m’a fait penser à la série Anna Caritas, de Patrick Isabelle que je trouve nettement plus aboutie. Penser que le jeu du Oui-ja est aussi inoffensif que le Monopoly, comme le dit la vieille voisine de Camille, relève de l’inconscience et on ne devrait vraiment pas inciter les jeunes à essayer.



Pour moi il s’agit d’un livre moyen, il y a nettement pire mais aussi bien mieux, il ne me laissera pas de grands souvenirs. Je remercie Netgalley et les Editions Kennes pour ce partenariat.
Lien : https://patpolar48361071.wor..

▶️ L'école des superhéros T.1 : Attaque mordante de Carine Paquin et Mathieu Benoît

📄 48 pages

🏠 Éditions Michel Quintin



Vous savez déjà à quel point j'adore la littéraire noire (thriller, roman noir, etc.), mais parfois je me laisse séduire par des livres dédiés aux enfants (oui, oui, carrément). Évidemment qu'aucun enfant ne viendra lire cette chronique mais si ça peut donner l'idée à un parent d'offrir ce livre à son enfant (surtout avec Noël qui arrive), ça sera mission accomplie!



L'école des superhéros est donc une BD québécoise destinée à un lectorat jeune; entre 6 et 8 ans. L'intérieur est fidèle à la couverture, très coloré et rigolo.



Dans ce premier tome, Noah nous explique le cycle de vie d'un superhéros : du superbébé au superdécès. C'est donc ici que je vais insérer un petit bémol, une petite incertitude que j'ai trouvé dans cette BD... Le public cible est relativement jeune et je suis bien consciente qu'il faut parler de la mort à un moment ou à un autre à nos enfants et la façon dont on traite ce sujet dans cette BD est apportée avec trop de légèreté. Personnellement, j'ai été un peu gênée mais peut-être que ça passerait ni vu ni connu auprès des enfants. Je conseille de feuilleter le livre avant de l'offrir à votre enfant afin de voir si cela correspond au niveau de sensibilité de votre petit lecteur.



L'histoire se veut très drôle, les dessins sont beaux et originaux. Un supervilain attaque l'école et endort tous les professeurs; nos jeunes apprentis superhéros doivent donc sauver l'école mais sans l'aide des superretraités, cela ne sera pas possible. Ça va barder et les dentiers vont voler dans tous les sens!



Très facile à lire, c'est bien adapté pour que le public ciblé puisse le lire en solo. D'une auteur québécoise et d'un illustrateur québécois, une BD bien de chez nous à mettre sous le sapin!



J'ai offert la BD à deux jeunes garçons de 5 et 8 ans. Leur avis sera à suivre mais ils étaient déjà supercontents lorsqu'ils ont ouvert le sac surprise contenant la BD 🥰



Partageons la lecture et des moments de lecture avec nos petits!

Et voilà le tome 3 de bouclé ! Pour moi, le meilleur malgré de nombreuses coquilles éditoriales et des traductions approximatives. Le fils de Camille, personnage éponyme du premier tome a grandi. Il a cinq ans maintenant et est scolarisé à l’école primaire de Malartic. Il est évident que l’enfant souffre des mêmes « troubles » que sa mère : il ne sourit jamais et ne parle pas. Quand sa maîtresse prend un congé et qu’elle est remplacée par Simone, jeune femme récemment diplômée, l’enfant semble s’animer et vouloir se rapprocher de son institutrice. Simone de son côté, enthousiasmée par ce premier poste, attirée par un jeune professeur du collège voisin, insouciante et légère, ne voit pas les ennuis arriver. Elle pense pouvoir pousser l’enfant à parler. Elle se voit le tirer d’affaire et des griffes d’une famille qu’elle pense être maltraitante. La mère de l’enfant n’étant plus là pour s’occuper de lui, il vit avec son grand-père et une vieille femme aveugle et boiteuse. Le lecteur assidu des deux premiers tomes va dans ce troisième opus rassemblait et emboitait les pièces du puzzle qu’est le mystère de Malartic. Les scènes frissonnantes sont dignes d’un scénario de film d’horreur : assez visuelles dans des atmosphères glauques. C’est bien fait et devrait plaire aux amateurs du genre. Une série que j’ai pris plaisir à découvrir malgré le côté obligatoire de ma lecture et à destination des grands adolescents 3ème et plus. Ma fille en classe de Terminale les a dévorés !

J'adore ce livre!

C'est l'histoire de Léo P. qui a perdu son père. Il découvre que celui-ci était détective privé.

Je vous laisse lire la suite!

Bonne lecture!

D'emblée, je dois dire que même si je n'ai pas aimé ce roman, je crois que beaucoup d'adolescents et d'adolescentes vont adorer cela. Ils sont beaucoup moins exigeant quant à la qualité d'une œuvre (ce n'est pas peu dire!) et raffolent de ce genre de récit d'horreur. Il s'agit de l'histoire de Camille qui est rapidement diagnostiquée schizophrène comme l'était sa mère et qui finira par être internée à l'asile psychiatrique de Malartic, une petite ville au nord du Québec. En parallèle, certains personnages remettent en doute ce diagnostic (de la mère et de la fille) et pensent plutôt que Camille est possédée et qu'il faut l'aider à se libérer de l'esprit maléfique qui a pris possession de son corps.



Ce n'est pas l'idée la plus originale dans le genre, mais les adolescents aiment beaucoup cela, même si tous les clichés y passent et qu'ils ont déjà vu cela mille fois dans des films ou d'autres récits. Personnellement, ça me laisse plutôt de glace comme sujet. Toutefois, ce qui m'a vraiment dérangée, c'est la piètre qualité de l'écriture (syntaxe, orthographe, vocabulaire, dialogues...) Sur le plan littéraire, c'est d'une pauvreté navrante.

Tome 2: Ce livre est encore plus intéressant que le premier! Il y a du suspense (ce qu'il n'y avait pas dans le premier). J'aime beaucoup le passage où il doit s'infiltrer dans l'avion car il doit aller en Italie. J'adore surtout ce livre car il est facile à lire. Je le conseille à toutes les personnes qui aiment l'action et l'intrigue.





Tome 3: plus la série avance plus c'est intéressant car Léo devient un meilleur détective. Léo p. doit résoudre une enquête sur un vol. Encore plus de suspense que dans le tome 3. Désolé pour cette courte critique les livres se ressemblent trop. Je le conseille a tous.

Ce livre est intéressant pour les gens qui aiment les histoires de détective. J'aime ce livre car il est facile à illustrer en tête.

J'aime beaucoup les petits bouts de bandes dessinées car il y a plusieurs belles couleurs. Comme vous l'aurez compris, c'est Léo P. qui veut devenir détective privé. Je le conseille à tous!

Camille se trouve avec son groupe d'amis à une soirée. Elle décide de jouer avec une planche Ouija et d'appeler l'esprit d'un défunt. La soirée ne se passe pas comme prévue et Camille semble envahi pas quelque chose. C'est la même soirée où sa grand-mère décède. Depuis cette nuit étrange, elle a un comportement étrange, elle martyrise sans s'en rendre compte le bout de son index qui finit en sang, a des moments où elle ne se reconnaît plus ni ne reconnaît celle qu'elle voit dans le miroir. Elle voit également sa mère qui pourtant est décédée. Elle présente des symptômes de maladie mentale et son père, voulant la protéger, lui fera consulter un médecin. Mais tout ne se déroule pas aussi simplement. Son petit copain, sa meilleure amie feront tout pour l'aider.



Le sujet de la maladie mentale m'intrigue et m'interpelle. Mon métier d'infirmière m'a permis d'étudier ces pathologies, ses survenues et ses traitements. Je suis toujours sur la réserve lorsqu'il s'agit de lire ou voir un film dont l'un des personnages souffre d'une maladie mentale. Il y a beaucoup de préjugés, comme par exemple à les présenter comme personne dangereuse. Pourtant, de la dépression à la schizophrénie en passant par les dépendances, je trouve cela très intéressant à les aborder dès l'adolescence pour donner la possibilité aux jeunes d'en entendre plus et d'avoir envie de se renseigner.

J'ai trouvé ce thème bien traité dans le livre. Il n'y a ni exagération, ni moquerie, ni "invraisemblable" dans la partie médicale surtout. C'est au Canada que se déroule l'histoire, mais on retrouve des similitudes avec nos prises en charge en France. J'ai principalement apprécié les changements de comportement : leur description est très réaliste, ces moments d'absences hors d'elle ou le fait de ne plus se reconnaitre. C'est très réussi..



Ce livre, un premier tome, m'a fasciné. Même s'il est catégorisé en littérature jeunesse, j'ai eu peur, j'ai tremblé durant certaines scènes et j'ai gardé la lumière allumée dans l'appartement. L'auteure, Carine Paquin, ne nous épargne pas, certaines scènes sont décrit avec ce qu'il faut de détails pour nous garder en appétence pour la suite. Les personnages sont complexes. Suivre Camille dans ses "expériences" lui donne une présence toute particulière. Sa relation avec son petit ami est adorable et étrange…



La construction de l'histoire est simple mais efficace, elle fait le job de mettre notre attention en alerte. Le suspens monte crescendo, on a envie d'aller plus vite dans la lecture, et en même temps, on ne veut pas savoir. Entre réalité et "fantastique", on savoure la lecture. Je n'ai pas envie de vous spoiler cette seconde partie qui a bien contribué à l'effet horreur. La fin de l'histoire, on la prend en pleine figure et on se dit, on espère, que ce n'est pas terminé.



Auteure à suivre et suite à découvrir. Une très bonne littérature jeunesse dans la section suspens, horreur. Bravo !



En bref :



Un premier tome effrayant qui fait son travail. Une histoire captivante dont la fin nous laisse sans voix. Une écriture efficace et qui va droit au but. Une belle réussite !
Lien : https://lecturedaydora.blogs..

C’est connu de tous, s’il y a un animal que les enfants aiment bien, c’est la vache. Facile à imiter, mais surtout facile à reconnaître. Allons voir de plus près les vaches de ce petit album.



Je suis totalement tombée sous le charme de ces jolies vaches. Dès la couverture, j’ai senti que le plaisir serait au rendez-vous. Elle est si colorée cette couverture, qu’elle attire l’œil et donne le goût d’aller explorer l’intérieur. Et c’est aussi coloré et vivant à l’intérieur!



Et que dire des personnages créés par l’illustratrice sinon qu’ils ont l’air bien sympathiques. Leurs visages sont si expressifs que l’on ressent bien les émotions véhiculées par le texte. En fait, l’auteure et l’illustratrice ont fait un excellent travail de collaboration car tout cadre à merveille.



Mais qu’en est-il de l’histoire? Elle est racontée avec des mots simples à comprendre pour votre enfant. Le texte est court et captivant. Impossible de laisser l’enfant indifférent.



De plus, j’ai trouvé bien intéressant le thème abordé au cours de cette histoire. La différence de Bridget, une vache sans taches, vient semer quelque peu la pagaille au sein de la ferme. Non seulement, votre enfant découvrira qu’il y a plusieurs variétés de vaches, mais également que l’on doit aller au-delà des apparences.



Faudrait pas non plus oublier les brins d’humour que l’on retrouve ici et là. Bref, je suis totalement conquise par ce petit album, un gros coup de cœur!
Lien : https://alapagedesuzie.blogs..

Dernier tome parut de la série, j'ignore s'il y en aura d'autres.... En même temps, comme ces bouquins sont basés sur des histoires vraies, je doute qu'il puisse se passer quelque chose de plus dans la petite ville de Malartic !! Ici, Paquin nous fait découvrir l'histoire de Simone, cette jeune prof qui se prend d'affection pour un jeune garçon qui ne parle pas. Ce jeune c'est d'ailleurs le fils de David et Camille, le personnage principal du premier tome. C'était intéressant de lire ce qu'il est devenu, ce petit, même si ce n'est pas tr`s joyeux tout ça. Mais soyez rassuré, ce livre n'est pas la suite directe du premier opus ; il peut très bien se livre indépendamment de Camille. Bref, un bouquin qui lit très facilement, et qui nous fait passer un bon moment angoissant.

C'est le meilleur Léo P. du monde!!!

Il y a tellement de "punch" que si je raconte résumé il va y avoir des "punchs"!!!

De plus il y a beaucoup d'action, de suspense et de mystère ce qui fait que ce livre est trop bon!!!

Je le conseille aux fans de Léo P.!!!

Merci d'apprécier.

Bonne lecture!!!

TheKingOne