Chrystine Brouillet

Les deux premiers tomes ont tellement trainés en longueur que j'ai perdue tout intérêt pour ce dernier tome. Je le mets de coté et y reviendrai peut être!

Pour moi, c'est le moins bon de la série Maud Graham pour le moment. J'espère que Brouillet ne s'essoufle pas. Voyons voir le prochain.

Une autre intrigue fort intéressante à laquelle s'intéressera Maud Graham, enquêtrice chérie de Chrystine Brouillet. J'adore qu'elle s'intéresse à la psychologie de ses personnes, ça donne des moments de lecture captivants.

Une très bonne histoire et un intrigue captivante. Un tueur en série québécois, intéressant. Et une Maud Graham toujours aussi attachante malgré son caractère de cochon !

Un peu tordue comme histoire, mais tout de même un bon moment de lecture. C'est toujours un plaisir de retrouver Maud Graham et ses défauts.

C'est bon

J'ai trouvé sa trop drole qu'il y a un livre a mon nom et en plus il était trop bon

Elle est une de mes auteures québécoises préférées. pourquoi 4 pour ce livre? parce qu'on connait déjà le criminel donc tout repose seulement sur l'enquête alors que moi j'aime bien jouer à essayer de deviner. en le néo-nazi avait déjà été exploité dans Vanités chez Johanne Seymour que j'ai lu à deux jours d'intrevalles... donc pour un nouveau livre, c'est un peu copié" non????? Reste que c'est du Brouillet et c'est évidemment bon

La première histoire est passionnante : Flora tombe amoureuse et enceinte de Lorenzo, et accouche d'une petite fille, Violetta. Elle a d'étranges pouvoirs : elle attire les serpents, allume les bougies à distance...Mais les desseins de Lorenzo sont funestes : pour avoir plus de pouvoirs, il doit "dévorer" sa fille...

Chrystine Brouillet dresse un portrait réaliste et poignant des femmes en détresse dans ce roman complexe, où les histoires s’emboîtent comme des poupées russes.
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C’est donc un roman thriller sympa à lire, mais qui, je trouve, manque de moment « thriller », des moments qui me font flipper, des moments où j’imagine, « je vois », les faits d’horreurs se dérouler. Ce qui est dommage, vu que l’on a des passages où l’on se retrouve dans la peau du collectionneur. C’est donc le seul « défaut » que je lui trouve et qui fait, que cette lecture ne restera pas graver dans ma mémoire.
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Crimes à la librairie est une anthologie thématique qui regroupe 16 nouvelles d'auteurs de polars québécois qui ont transformé ces paisibles lieux de culture que sont les librairies en autant de scènes de crimes.
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La charmante tueuse sévit de nouveau cet hiver dans Louise est de retour, s'en prenant cette fois à tous ceux qui menacent son confort.
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Fête d'Halloween d'adolescent qui tourne au cauchemar alors que toute les activités organisés tournent mal.

J'ai bien aimé ce livre que j'ai lu sur le tard (16-17 ans) mais que je voulais quant même le lire car j'aime vraiment Chrystine Brouillet. A lire si vous aimez l'histoire, le mystère et des histoires adolescentes typique.

Un des plus récent livres de Chrystine brouillet, un de ceux que j'ai pourtant le moins aimé. Histoire peu intéressante et le lien entre les deux histoires qui sont présenté dans le livre est plutôt mal expliqué. Déception mais qui ne m'a pas empêché d'acheter le plus récent ouvrage de l'auteure.

Chaque roman de Chrystine Brouillet a sa structure: cercles qui s'emboîtent, zigzags, vagues... Saccages est en escalier, son prochain roman sera «saccadé», La chasse est ouverte était circulaire et Le collectionneur était une montée qui se terminait avec un précipice.
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L‘intrigue est très bien menée mais la fin est un peu bâclée. L’auteur fait preuve d’une grande perspicacité dans l’exploitation des points faibles et des secrets des gens. Bien que le livre parle des désordres émotifs et psychologiques des gens, je n’ai pas ressentis pleinement les angoisses et la folie des personnages. Il manque la petite touche, qui fait que l’on s’attache aux personnages.
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Les personnages du roman me plaisent. Chaque personnages que nous rencontrons dans le roman, sont bien décrits et nous pouvons imaginer à quoi ils ressemblent. Par exemple, à la page 10, le personnage principale qui est Louise dans le livre nous est décrit : «Le costume était peut-être ce qu’elle aimait le moins de son travail : une robe rouge avec des garnitures blanches, une coiffe blanche, des souliers blanc infirmière.» Par contre, je trouve que les personnages dans le roman ne sont pas crédibles, car quand Valérie tue les chats de Louise, cette dernière désire tuée Valérie pour la faire regretter de les avoir tués. Par exemple à la page 95 :« Valérie Langlois, je vais la tuer, Balthazar. C’est la seule solution que je vois.» De plus, j’aime l’histoire car durant tout le roman, nous savons qui est le meurtrier mais nous ne savons pas ce qui va se passer par la suite. De plus, le récit garde en haleine durant toute l’histoire, mais malheureusement à la toute fin je trouve que le récit n’a pas rapport avec la fin. L’intrigue lorsque nous lisons le roman est plûtot décevante car nous savons qui sont les meurtriers, tous ce que nous ne savons pas, c’est la suite de l’histoire. Je trouve quand même qu’en général, l’hisoire est bonne.

Pour un premier roman , je l'ai trouvé très bien écrit .

Il a obtenu le prix Robert-Cliche 1982, 11ème Salon international du livre de Québec .

J 'ai été comblée car, sur fond de thriller, la héroïne est une femme terriblement amoureuse de ses chats et elle en parle si bien ! Lecture très agréable .