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Citations de Clifford D. Simak (329)


" - Je ne ferais pas de saletés, dit Nathanael. Parole d'honneur. Oscar m'a baigné ce soir."
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— La cité est un anachronisme. Elle ne sert plus à rien maintenant. […] La cité a d'abord été un emplacement tribal, l'endroit où les membres de la tribu se rassemblent pour se protéger les uns les autres. Plus tard, on a élevé un mur autour de cet emplacement pour assurer une meilleure protection. Puis le mur a fini par disparaître, mais la cité a continué à vivre en raison des commodités qu'elle offrait au commerce et aux échanges. Elle s'est perpétrée jusqu'à l'époque moderne parce que les gens étaient obligés de vivre à proximité de leur travail et que leur travail était dans la cité.

LA CITÉ.
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Les gens s’en iraient sur Jupiter, abandonnant sans regret leur vie humaine.
Et dans le Système Solaire, tout le Système Solaire à l’exception de Jupiter, le champ resterait libre pour la race des mutants ; ils pourraient y instaurer un mode de vie de leur choix, qui n’aurait plus guère de rapports avec la civilisation de la race dont ils étaient issus.
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Les mutants étaient une race à part, des rejetons qui étaient d’un coup allés trop loin. Des hommes qui étaient devenus de véritables individus, n’ayant besoin ni de l’appui d’une société, ni de l’approbation d’autrui, totalement dépourvus de l’instinct grégaire qui maintenait la cohésion de l’espèce, des êtres sur lesquels les pressions sociales demeuraient sans effet.
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Si seulement on pouvait parvenir à une entente. Si seulement les mutants et les hommes pouvaient travailler de concert. S’ils pouvaient oublier cette guerre sournoise et sans vainqueur, ils pourraient aller loin tous les trois : l’homme, le chien et le mutant.
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Un robot qui servait la famille depuis quatre générations, qui parlait d’hommes morts depuis longtemps comme si c’était hier encore qu’il leur avait apporté leur whisky. Un vieillard qui s’inquiétait du sort d’un astronef qui glissait dans les ténèbres de l’espace, au-delà du système solaire. Un homme qui rêvait d’une autre race, d’une race qui pourrait marcher la patte dans la main de l’homme sur la voie du destin.
Et dominant tout cela, l’ombre à peine évoquée de Jérôme A. Webster, de l’homme qui avait manqué à son ami, du chirurgien qui avait manqué à ses devoirs.
Juwain, le philosophe martien, était mort alors qu’il allait faire une grande découverte, parce que Jérôme A. Webster n’avait pas pu quitter cette maison, parce que l’agoraphobie l’enchaînait à un domaine de quelques hectares.
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«Ne prenez pas ces récits trop à cœur car le désarroi, sinon la folie, guette ici le chercheur trop anxieux de savoir .»
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Il existe des gens, appelés historiens, dont le travail consiste à étudier l'histoire. Or il y a une foule de choses dont ils ne sont pas sûrs parce que ceux qui en ont rendu compte l'ont mal fait. Mais s'ils pouvaient remonter dans le temps pour voir ce qui s'est réellement passé et parler avec ceux qui ont vécu les événements, alors ils les comprendraient mieux et l'histoire serait mieux écrite.
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Quand il y est poussé, l’esprit humain trouve toujours une solution.
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Même si l’intolérance existait, dit Maxwell, je ne vois pas pourquoi elle vous heurterait. Elle salirait davantage celui qui l’éprouverait que celui vers lequel elle serait dirigée. Ce serait non seulement une preuve de sa mauvaise éducation mais aussi de son peu de culture. Il n’y a rien de plus bête que l’intolérance.
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Une dentelle d'éclairs s'étendait dans les cieux, leur éclat encore augmenté par celui de la roue de flammes. La terre même tremblait et le bruit devint si intense qu'il semblait être une force qui vous tenait en son pouvoir.
Un grand nuage s'éleva du centre du cercle de feu. Cornwall l'observa, se rendit compte que c'était la poussière des pierres écrasées montant à travers la roue comme fumée à travers la cheminée.
Tout cessa brusquement. L'anneau de feu s'éleva, se divisa en cinq petites roues qui montèrent comme flèches dans les cieux, tournèrent vers l'est, et disiparuent à une vitesse folle en quelques secondes.
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Quelle multitude de choses futiles pour forger un destin !
P.204
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A dire vrai, je ne suis pas branché science-fiction, mais j'ai vraiment été étonné par l'originalité de la trame. Alors, si vous souhaitez vous aussi vous laissez surprendre, je valide!
Demain les chiens vous tiendra éveillé jusqu'à la fin!
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J'ai lu, p. 148

« — Je ne peux pas revenir, dit Towser.

— Moi non plus, dit Fowler.

— Il referaient de moi un chien, dit Towser.

— Et de moi, dit Fowler, un homme. »
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J'ai lu, p. 10

« Une créature dotée d'une structure nerveuse suffisamment complexe pour créer une culture serait incapable, selon eux, de survivre à l'intérieur de limites aussi étroites.
Selon ces autorités, l'expérience de la cité, si elle était tentée, mènerait à un état de névrose collective qui aurait tôt fait de détruire la culture même qui l'aurait édifiée. »
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Un monde, puis un autre, comme on dévide une chaîne. Un monde qui marchait sur les talons d’un autre qui lui-même allait de l’avant. Un monde pour demain, un autre pour aujourd’hui. Et hier est demain et demain est le passé.
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"Nous voyageons d'étoile en étoile. Plus vite que la pensée. Pour cela, nous nous servons de ce que vous appelleriez des machines. Mais ce ne sont pas des machines. En tout cas, pas dans le sens où vous l'entendez."
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Les traces suivaient systématiquement les sillons. Les tiges de vua étaient toutes sectionnées à trois ou quatre centimètres du sol. Le maraudeur avait agi avec méthode. Il n'avait pas fait sa razzia au hasard. Non, il s'était attaqué aux dix première rangées du coté ouest du champ. Il avait opéré avec efficacité. Et quand il avait eu la panse pleine, il s'était enfoncé dans les fourrés.
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Lorsque je quittai la rue principale de Millville pour bifurquer sur la nationale, je remaruquai un camion à quelque distance derrière moi, un semi-remorque. Il roulait plein gaz ; alors que la vitesse était limitée su ce traonçon qui coupait l'agglomération. A une heure aussi matinale, on ne pouvait s'attendre à ce qu'un routier fatigué prêtât attention aux panneaux.
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Vint enfin le moment où l'Homme fut prêt à admettre que l'espace lui était interdit. Pour la première fois, il avait soupçonné le fait, le jour où Van Allen avait découvert les ceintures de radiations qui encerclaient la Terre, lorsque les techniciens du Minnesota capturaient les protons solaires au moyen de ballons. Mais l'Homme s'était nourri si longtemps de ses rêves que, mis en face de la brutale réalité, il ne put se résoudre à les voir disparaître sans tenter un dernier effort.
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