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Critiques de Daniel Handler (703)
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Les désastreuses aventures des orphelins Baud..

Ce 8e tome amorce selon moi un petit déclin dans la série Baudelaire. En effet, je n'arrive pas à accrocher au contexte, celui de la Clinique, des Archives, des Volontaires. Pourtant, l'humour du narrateur est toujours présent. On a ainsi le droit à une D.R.H complètement tyrannique et décalée, des Bénévoles hospitaliers joyeux mais d'aucune aide et à un service d'Archives où il ne faut surtout, surtout pas lire les dossiers... Mais vraiment, le contexte, je n'accroche pas, sans réellement comprendre pourquoi.

Hormis ce point, ce tome 8 a une narration à l'identique des 7 premiers tomes. Le sort s'acharne toujours autant sur les Baudelaire et les secrets commencent à devenir légion. . Ainsi, les mystères pullulent, les questionnements aussi, ce qui nous laisse espérer des réponses à nos questions.

Le tome 8 est également le moment où l'on commence à voir vraiment Prunille grandir. Commençant à marcher à la fin du tome 7, son langage se passe de plus en plus de traduction, un petit point cohérent même si les aptitudes Baudelaire sont généralement très invraisemblables ( un bébé aux dents de castor et à l'intelligence d'un intelligence? Non mais vraiment Mr Snicket... )



Challenge Le tour du scrabble en 80 jours ( 6e éd)

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Challenge 50 objets 2019-2020
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Les désastreuses aventures des orphelins Baud..

Daniel Handler, alias Lemony Snicket, a choisi avec sa série des orphelins Baudelaire de prendre le contre-pied des contes de fée. Il s'agit des désastreuses aventures de ces trois enfants. Et histoire d'enfoncer le clou, le premier tome s'intitule Tout commence mal. Outre le nom de famille qui avait attiré mon attention, cette vision de l'auteur me plaisait bien.



Donc, tout commence mal en effet. Comme leur désignation l'indique, les orphelins Baudelaire n'ont plus de parents. Ils sont morts lors de l'inexplicable incendie qui embrasa leur demeure. Violet, Klaus et la petite Prunille se retrouvent gros de chagrin confiés par Mr Poe (leur chargé de succession) à un certain comte Olaf, un oncle jusqu'alors inconnu. Celui-ci est un quelconque histrion (artiste de génie selon ses dires) qui vit dans une maison où mieux vaut avoir tous ses rappels de vaccin et ne pas être allergique à la poussière, aux acariens, etc. C'est dans ce "foyer" que les trois enfants vont devoir vivre. Qui plus est sous la férule tyrannique et machiavélique Olaf qui ne vise que l'héritage des enfants.



Heureusement, ces trois orphelins sont loin d'être dépourvus de ressources. Violet, l'aînée, est une inventeuse de génie. Klaus, son cadet, dévore les livres depuis tout petit et est doté d'une mémoire et d'une intelligence prodigieuse. Quant à la petite Prunille, sa dentition n'a pas son pareil... Et surtout ils sont unis pour déjouer les horribles pièges de leur "cher" oncle.



Ce premier tome pose les bases de la série en en présentant les principaux protagonistes. On se prend très vite d'affection pour le trio débrouillard et fortement complémentaire. Le comte Olaf, lui, est un méchant comme on adore les détester. Un vrai salé type que rien ne rachète. Vil, fourbe, sournois, cruel et instable sont autant d'épithètes qui lui collent à merveille.



La façon de l'auteur d'aborder l'histoire de ses jeunes héros est intéressante et originale. Malgré le titre de sa série, celle-ci ne manque pas d'humour et de beaux moments de bravoure. Bref, tout est concocté pour donner envie de tourner les pages puis de se lancer  sans attendre dans le tome 2.
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Les désastreuses aventures des orphelins Baud..

J'ai encore récidivé et j'ai poursuivi les aventures (toujours autant désastreuses) des orphelins Baudelaire, alors que je m'étais dit qu'il faudrait mieux espacer mes lectures de la saga pour ne pas subir l'overdose des lectures à répétition. Mais que voulez-vous, ma curiosité a eu le dessus... Et en un sens, c'est une bonne chose parce que ce tome cinq avait un petit plus qui me fait espérer pour la suite des événements.



Bien entendu, nous retrouvons le même schéma. Les enfants sont placés dans un endroit lugubre (pire encore que la scierie), un des adultes de l'établissement a comme par hasard eu un accident (on ne sent pas du tout venir le comte Olaf, mais pas du tout), le comte Olaf arrive et les ennuis des enfants vont de pire en pire. Jusque là rien de nouveau. Oui, mais c'était sans compter que les enfants font une rencontre tout à fait intéressante en la personne des enfants Beauxdraps. Une bouffée d'air frais que l'on avait pas connu depuis l'oncle Monty (qui me manque vraiment...), et de là s'installe une tout autre dynamique dans le récit.



En tant que lecteur, on ne se fait pas trop d'illusions non plus, mais le fait que Violette, Klaus et Prunille se fassent des amis permet de gagner un peu d'espoir. Sans compter que se sont des alliés de poids cette fois-ci. Les cinq enfants se soutiennent mutuellement, un peu de vraie gentillesse fait plaisir à voir, et on s'attache très rapidement à Duncan et Isadora. J'avoue que connaissant un peu l'auteur, j'ai eu des doutes sur les deux enfants au tout début. C'est qu'on commence à devenir paranoïaque à force. Mais non.



Tout à fait à l'inverse, le principal adjoint m'a fait grincer des dents dès la seconde où il apparait... Et cela n'a rien à voir avec son "don" musical. C'est un personnage horripilant à un point que ce n'est pas permis. Olaf, lui, a au moins la courtoisie d'être un méchant qui sait se tenir... Pour les autres adultes présents... rien de nouveau... les mêmes comportements qu'habituellement...



Le style de l'auteur est toujours aussi plaisant, même si je me lasse des définitions très présentes dans le roman. J'aime les interventions du narrateur, je les trouve originales et quelque fois drôles, mais j'avoue que je n'accroche pas aux passages "encyclopédiques" (je ne fais pas partie du lectorat ciblé aussi...). Ils alourdissent un peu la dynamique de l'histoire.



Cependant, la fin a de quoi effacer tout cela. Déjà, les enfants réagissent face à Olaf, chose qu'ils n'avaient pas encore faite jusqu'à présent. Je ne sais pas ce que cela donnera par la suite, mais l'événement final nous donne l'impression qu'ils ne sont plus "passifs" dans leur survie face à leur "oncle". Et puis, il y a une information glissée comme ça. On ne sait pas ce que c'est, mais étrangement, on sent qu'elle a une grande importance, si bien, que je serais tentée de lire le tome six très rapidement !
Lien : http://loticadream.com/blog/..
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Les désastreuses aventures des orphelins Baud..

Ce nouveau tome des Désastreuses Aventures des Orphelins Baudelaire est fidèle aux premiers. Il est tout aussi sympa à lire, et l'humour noir de l'auteur est toujours autant présent et rythme le récit. Une lecture jeunesse toujours aussi intéressante.
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Les désastreuses aventures des orphelins Baud..

J'ai poursuivi ma lecture du tome six avec celui du tome sept toujours dans l'espoir de voir les choses avancées et de trouver un peu de nouveauté. Je ne dirais pas que la nouveauté était très présente, car le schéma que nous connaissons depuis le début de la saga est toujours le même, cependant quelques petits éléments sont intéressants.



Nos trois orphelins sont cette fois-ci envoyés non pas chez un tuteur mais carrément dans un village de "tuteurs". Une nouveauté qui aurait ^pu montrer un peu d'originalité, mais au final, les enfants se retrouvent chez une seule personne. Donc on perd carrément l'effet d'originalité. Cependant, Hector se trouve être un tuteur plutôt sympathique, même si, comme les autres tuteurs sympathiques, il a lui aussi ses défauts. On le sait maintenant, les adultes ne servent à rien dans la saga, ou alors à très peu de choses. Mais, on avait encore de l'espoir avec Klaus, Prunille et Violette, n'est-ce pas ? Eh bien, mes enfants... les adultes commencent à déteindre sur eux... J'aime toujours autant les trois personnages, mais l'auteur dans ce tome les fait passer pour des imbéciles, et au moment le plus critique...



Je le répète, je vais poursuivre mais franchement, j'ai de plus en plus de mal. Entre les explications sans fin de mots, les traductions des "mots" de Prunille, et cet éternel schéma qui se répète... C'est lourd, très lourd à lire.



Le seul point positif est sûrement la fin qui nous laisse présager des changements, et aussi une petite note mais alors très petite note d'espoir...
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Les fausses bonnes questions de Lemony Snic..

"Ne devriez-vous pas être en classe ?"



Lemeny Snicket espère toujours mener à bien ses missions. Il sont engagés par le Département d'Education pour enquêter sur la série d'incendies qui a lieu et qui menace les élèves.



Mais les faits sont étranges puisque la bâtisse qui est partie en fumée est une bergerie !



Theodora, son mentor, décide de boucler l'affaire rapidement et contribue à mettre en prison le bibliothécaire !



Mais que se passe t-il encore ? La ville peut-elle être encore sauvée ? Comment se poser (enfin) les bonnes questions ?



Un nouveau tome qui laisse apparaître de nouveaux personnages et complexifie une nouvelle fois la trame. Pourtant, l'auteur arrive à nous envoûter par son imagination débordante.



Un exemple est le jeu qu'évoque le héros en parlant de son frère qu'il nomme "jouer à Beethoven" et qui évoque un dialogue de sourd où chacun transforme les paroles de son interlocuteur en jouant sur les sonorités des mots.



Vous trouverez aussi dans la trame du récit des clins d'oeil littéraires avec notamment une belle évocation du "vent dans les saules".



Lemony Snocket joue avec les mots, les sons, les déguisements, les métamorphoses mais aussi avec le lecteur et c'est jubilatoire ! A poursuivre !
Lien : http://www.nouveautes-jeunes..
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Le cercle des huit

Ce roman est constitué du journal intime d'une jeune lycéenne, elle écrit tout ce qu'elle fait, qu'elle ressent, ce qu'elle pense, sans rien cacher, au cours de sa dernière année de lycée.

Nous savons dès le début qu'au cours d'une fête, un jeune homme sera tué et que tous penseront qu'il s'agit d'un rite satanique. Flannery, l'auteur du journal intime et amie de la victime nous raconte ce qui s'est passé.



L'histoire était alléchante mais malheureusement, il y a des longueurs. Pendant près de 400 pages, on lit presque heure par heure le quotidien de toute une bande d'adolescents et ça donne : "et untel a dit ci, et machin a fait ça, et bidule a séché le cours de math, et truc a mangé un bagel et machine m'a regardé dans les yeux et m'a fait un sourire"...autant dire que ça va bien cinq minutes mais que 400 pages comme ça, c'est vite devenu très lassant car très inconsistant.

Le meurtre lui-même n'a lieu qu'à la toute fin, et au final l'aspect lié au satanisme n'est pratiquement pas évoqué.

L'écriture est agréable et originale mais l'ensemble est quand même archi lent et "survendu", puisque le satanisme est à peine mentionné et que la psychologie des lycéens est vraiment sommaire.



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Inventaire après rupture

Ce roman est en fait une longue lettre que Min adresse à Ed, un basketteur très populaire avec qui elle vient de rompre. A travers l'inventaire des objets qu'elle lui restitue pour tourner la page, on découvre toute leur histoire d'amour avec ses moments forts et les raisons qui l'ont poussé à prendre cette décision...

Le sujet m'a attiré tout de suite : une histoire d'amour qui tourne mal, une introspection pour en découvrir les raisons...

Mais je ne suis pas du tout rentrée dans l'univers de Min : trop de longueurs, trop de références cinématographiques qui me sont inconnues. J'ai poursuivi ma lecture jusqu'à la fin car je n'aime pas abandonner en route, mais ce n'est pas l'envie qui m'a manquée !!!

Une déception !
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Les désastreuses aventures des orphelins Baud..

Ce tome 2 des Désastreuses aventures des Orphelins Baudelaire était tout aussi bien que le tome 1. On reste dans de la littérature jeunesse avec un langage tout de même riche, parfait pour les jeunes lecteurs. On retrouve le cynisme de l'auteur qui rythme le drame de la vie des enfants Baudelaire. Une lecture toujours aussi plaisante.
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Les désastreuses aventures des orphelins Baud..

Personnellement, je trouve que l'auteur a très bien réussi cette fin, publiée un vendredi 13 aux USA. Elle nous laisse un goût doux-amer qui, si on y réfléchit bien, est dans la tonalité de toute la série.



Le trio Baudelaire navigue en pleine mer sur un petit bateau avec le Comte Olaf et se retrouve sur une île peuplée d'une colonie un peu réfractaire à la modernité, encouragée en cela par Ishmaël, bien décidé à garder un espace serein, loin des tensions, des fourberies.



L'intrigue en elle-même ressemble à celle des autres tomes : des personnages caricaturaux, des dilemmes moraux, l'impression que toute l'histoire des Baudelaire est reliée à des événements qui les dépassent, ...



L'auteur annonce à plusieurs reprises que La Fin n'est pas une fin. Il l'annonce dans la 4e de couv' qui est toujours aussi distrayante à lire, dans l'illustration finale avec les ombres sur les vagues formant un point d'interrogation et au cours de ses digressions narratives dont personnellement je raffole.



L'auteur choisit de mettre des points finaux sur certains éléments, sur d'autres, laissent passer des informations si on lit entre les lignes et enfin choisit de laisser des pans entiers en suspens. Je peux ainsi comprendre une frustration (je le suis moi-même et c'est pour ça que je raffole de la série télévisée qui nous apporte un bon complément), pour autant l'auteur reste logique avec lui-même.





Bref, les mystères restent nombreux, entiers. Impossible de connaître toutes les histoires. C'est très bien ainsi.

Même si la partie de moi un peu frustrée va s'empresser de finir la série télévisée, de relire l'autobiographie, d'acquérir "Les Fausses bonnes questions" et d'essayer de dégoter Les Lettres à Béatrice en anglais.

On peut accepter, et ne pas se résigner! ^^



Challenge Trivial Reading VI

Challenge Pavés 2020

Challenges Séries 2020
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Les désastreuses aventures des orphelins Baud..

Encore une plongée rapide dans l'univers créé par Lemony Snicket qui comme de coutume tente de nous dissuader pour mieux nous appâter, vieux renard qu'il est.



On retrouve le trio des Baudelaire dans une scierie. Non pas pour y habiter mais bel et bien pour y travailler. Ce qui donne une bonne idée des talents de Mr Poe, toujours identiques, pour trouver un tuteur digne de ce nom aux enfants.



Le schéma est toujours le même :

- des personnages caricaturaux. Le must étant le patron ultra-capitaliste comme on en fait plus. Et Phil, l'ultra-optimiste, comme on en fait plus non plus!^^

- un Comte Olaf, déguisé, mijotant un plan bien retors dont l'hypnose sera la clé.

- des enfants toujours aussi éveillés, prompts à inventer et à trouver des solutions dans les livres.

- une série de calamités, de la forêt déprimante à la menace d'une scie en passant par des déjeuners aux chewing gum.

- les illustrations d'Helquist, toujours édifiantes sur ce qui va se produire...

- Et surtout une narration toujours exquise. Des références au passé, surtout amoureux de Snicket. Des mises en garde. Des petites leçons. Et beaucoup d'humour noir derrière tout ça.



La recette de ce 4e tome reste la même et c'est tant mieux car c'est pour cela que l'on aime tant le travail de Snicket.



Challenge Le tour du scrabble en 80 jours ( 5e éd)

Challenge Multi-défis 2019

Challenge Trivial Reading III

Challenge Séries.
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Les désastreuses aventures des orphelins Baud..

Les malheurs des enfants Baudelaire sont toujours aussi drôles. L'auteur a ce talent pour rendre humoristique des sujets plutôt graves. Les pauvres orphelins découvrent un nouveau tuteur loufoque et le comte Olaf continue de les poursuivre avec ses déguisements toujours plus ridicules. Le monde de la grammaire et de l'orthographe s'ouvre aux enfants et devient leur allié pour survivre une nouvelle fois à des adultes qui ne veulent pas les écouter.
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Les désastreuses aventures des orphelins Baud..

Dans ce troisième tome des Désastreuses Aventures des Orphelins Baudelaire, on continue de suivre le périple des trois enfants, toujours accompagné de l'humour noir de l'auteur, que j'apprécie bien. C'est un livre jeunesse avec un langage riche et varié, ainsi qu'une trame intéressante. J'aime toujours autant.
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Les désastreuses aventures des orphelins Baud..

La 6e aventure des Orphelins Baudelaire prend de l'épaisseur et s'éloigne quelque peu du schéma tracé jusque-là!



Oh nous avons toujours notre brio trio avec leurs talents variés. Nous avons toujours des tuteurs bien décevants. Nous avons toujours des univers bien délirants, en l'occurrence vivre selon ce qui est in et non out. Nous avons toujours Olaf déguisé et ses plans machiavéliques.

Nous avons également toujours et surtout cette narration si particulière, drôle par endroits : le petit cours de français sur cul-de-sac est tout de même mémorable...



Pour autant, pour une fois, mettre la main sur la fortune Baudelaire ne semble pas être la priorité d'Olaf. Les Baudelaire recherchent activement leurs amis Beauxdraps et un bras de fer s'annonce entre eux et ce triste sire, malheureusement toujours accompagnés d'acolytes aussi sinistres que lui.



Pour autant Lemony Snicket nous offre de beaux coups de théâtre : trahison et leurre sont au rendez-vous.

Il continue également d'exploiter ce mystère V.D.C tout en offrant de nouvelles pistes :



Bref des mystères, encore des mystères. Suite au prochain épisode donc!



Challenge le tour du scrabble en 80 jours (5e éd)

Challenge Séries

Challenge 50 objets 2019-2020
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Les désastreuses aventures des orphelins Baud..

Après avoir été sauvés de justesse des griffes du Comte Olaf, nos trois orphelins Baudelaire se retrouvent avec Mr Poe, en route pour découvrir un nouvel oncle. Quand on voit la couverture avec ce gigantesque serpent noir aux crochets aussi imposants qu'acérés, sans compter le titre du deuxième tome Le laboratoire aux serpents, j'ai pensé que ces braves gamins allaient tomber de Charybde en Sylla.



Lemony Snicket prévient tout de suite: leurs désastreuses aventures se poursuivent. Pourtant arrive un moment de rémission avec ce nouvel oncle, également inconnu, Monty, herpétologiste mondialement reconnu. Soit dit en passant, s'appeler Monty, posséder des serpents - notamment des pythons - et être incarné dans l'adaptation cinématographique par John Cleese, un des fondateurs des Monty Pythons, je trouve cela excellent.

Mais revenons au tonton. Après les terribles épreuves et la cruauté imposées par l'horrible Olaf, quel changement. C'est un personnage fascinant et attachant, un peu farfelu avec tous ses reptiles mais passionné et résolument prêt à s'occuper au mieux de ses neveu et nièces. D'ailleurs, histoire de changer d'air, il prévoit une expédition scientifique au Pérou avec eux. Mais... l'infortuné destin de Violet, Klaus et Prunille les talonne.



Ce second opus reste égal en qualité au premier. L'auteur se fait présent à nouveau en interpellant le lecteur et en lui confiant par avance certains éléments. Le récit nous comble de péripéties. En découvrant la personnalité de l'oncle Monty, j'ai eu envie que les aventures des orphelins Baudelaire s'arrêtent là, auprès de cet homme affable et intelligent. Que faire contre le Destin (ou plutôt contre le côté sadique de l'auteur)?



En tout cas, la série se poursuit avec autant de brio et de dynamisme. On ne s'ennuie pas un instant et la fin du volume arrive bien trop vite. A moi le tome 3 par conséquent!
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Les désastreuses aventures des orphelins Baud..

Les orphelins Baudelaire trouvent enfin une vie plaisante auprès de l'oncle Monty, mais comme vous pouvez vous en douter, ça ne va pas durer. Le compte Olaf n'a pas dit son dernier mot et revient à la charge.

Les évènements ne sont pas gais, mais le ton léger et l'ambiance étrange font de cette série de la bonne littérature jeunesse. On se prend d'amitié pour les 3 enfants, mais jamais de pitié. Et comme eux, j'ai envie de botter les fesses de Mr Poe !

Ces tomes sont un très bon petit encas !
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Les désastreuses aventures des orphelins Baud..

Lus il y a plusieurs années, je ne suis pas sure de pouvoir me rappeler de chaque tome bien précisément. Je vais donc faire une critique globale qui n'ira de toute façon que jusqu'au tome 7 qui est le dernier que j'ai lu.



Tout va mal pour les orphelins Baudelaire, il ne leur arrive que des malheurs, et rien ne s'arrange au fil de leurs aventures, on peut même dire que l'on va de mal en pis !



J'ai été conquise par les trois premiers tomes qui m'ont laissé de très bon souvenirs et pour lesquels l'histoire est un peu plus nette que pour les quatre suivants. Mais j'ai effectivement été lassée par la suite qui ne fait que répéter ce même schéma que l'on retrouve dans pratiquement tous les romans. Les orphelins sont attachants mais de manière générale les personnages manquent un peu de relief, on est effectivement dans du roman jeunesse qui donne envie de lire mais qui ne va pas chercher beaucoup plus loin que le filon de départ.



Est-ce que je lirai la suite un jour ? Peut-être mais pas tout de suite. Cependant je pense que c'est une bonne approche pour les publics plus jeunes.
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Les fausses bonnes questions de Lemony Snic..

Lemony Snicket, bientôt 13 ans, stagiaire dans une association bien mystérieuse, se voit confier sa première enquête sous les ordres d'un mentor plutôt à côté de la plaque, S. Theodora Markson. Le voici donc à Salencres-sur-Mer pour résoudre le vol d'une statuette. Mais les apparences sont souvent trompeuses...

J'avais adoré la série des Désastreuses Aventures des Orphelins Baudelaire du même auteur et je dois dire que j'ai vraiment apprécié retrouver dans ce roman un univers fantasque et une galerie de portraits déjantés qui s'en rapprochent.

L'enquête est hors normes partant dans tous les sens, les personnages secondaires loufoques, le héros rusé, les mystères restent souvent en suspend mais je ne me suis pas ennuyée une seule seconde et j'ai hâte de lire la suite pour en apprendre un peu plus sur toutes les intrigues qui entourent ce jeune Lemony Snicket.
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Les désastreuses aventures des orphelins Baud..

Lus il y a plusieurs années, je ne suis pas sure de pouvoir me rappeler de chaque tome bien précisément. Je vais donc faire une critique globale qui n'ira de toute façon que jusqu'au tome 7 qui est le dernier que j'ai lu.



Tout va mal pour les orphelins Baudelaire, il ne leur arrive que des malheurs, et rien ne s'arrange au fil de leurs aventures, on peut même dire que l'on va de mal en pis !



J'ai été conquise par les trois premiers tomes qui m'ont laissé de très bon souvenirs et pour lesquels l'histoire est un peu plus nette que pour les quatre suivants. Mais j'ai effectivement été lassée par la suite qui ne fait que répéter ce même schéma que l'on retrouve dans pratiquement tous les romans. Les orphelins sont attachants mais de manière générale les personnages manquent un peu de relief, on est effectivement dans du roman jeunesse qui donne envie de lire mais qui ne va pas chercher beaucoup plus loin que le filon de départ.



Est-ce que je lirai la suite un jour ? Peut-être mais pas tout de suite. Cependant je pense que c'est une bonne approche pour les publics plus jeunes.
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Les désastreuses aventures des orphelins Baud..

Lus il y a plusieurs années, je ne suis pas sure de pouvoir me rappeler de chaque tome bien précisément. Je vais donc faire une critique globale qui n'ira de toute façon que jusqu'au tome 7 qui est le dernier que j'ai lu.



Tout va mal pour les orphelins Baudelaire, il ne leur arrive que des malheurs, et rien ne s'arrange au fil de leurs aventures, on peut même dire que l'on va de mal en pis !



J'ai été conquise par les trois premiers tomes qui m'ont laissé de très bon souvenirs et pour lesquels l'histoire est un peu plus nette que pour les quatre suivants. Mais j'ai effectivement été lassée par la suite qui ne fait que répéter ce même schéma que l'on retrouve dans pratiquement tous les romans. Les orphelins sont attachants mais de manière générale les personnages manquent un peu de relief, on est effectivement dans du roman jeunesse qui donne envie de lire mais qui ne va pas chercher beaucoup plus loin que le filon de départ.



Est-ce que je lirai la suite un jour ? Peut-être mais pas tout de suite. Cependant je pense que c'est une bonne approche pour les publics plus jeunes.
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