Davy Mourier

Toujours aussi piquant et moqueur !



La Petite Mort a grandi et entre maintenant au collège. Viennent alors les problématiques liées à l'adolescence : bouleversements physiques, poids du regard d'autrui, pression du paraître, premier amour, amitié et rupture amicale, orientation professionnelle... Mais aussi des thématiques plus générales, comme le deuil notamment.



Le style graphique est assez particulier et ne plaira pas à tout le monde...



Davy Mourier s'est encore amusé à détourner des figures de la pop culture, pour notre plus grand plaisir !





Cette BD est sans prise de tête, drôle, décalée, parfois absurde, mais pas dénuée de sens ni de réflexion.



Vivement que je mette la main sur le tome 3 !

Très sympa à lire

C’est une très bonne bd traitant d’un sujet d’ordinaire tabou. On découvre pas mal de chose sur un côté de la mort que l’on imagine pas forcément, avec un humour bien dosé.

Prenez un super beauf, catégorie compétition, vulgaire, sans gêne et homophobe. Enfermez-le avec un écrivain râleur, angoissé, gay et maladroit. Lancez des hordes de zombies tout autour de la maison. Laissez mijoter. Encore un peu. Et, contre toutes attentes avec une recette aussi risquée, vous obtenez une comédie savoureuse.
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« Chatons contre dinosaures », c’est du divertissement pur, une abondance de rebondissements, parfois loufoques, toujours inattendus. A lire à tous les âges.
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Des gags absurdes, des références à foison et un soupçon de critique sur la société, le tout baignant dans un humour dont Davy Mourier a le secret.



C'est un régal à lire !

Semblable à un échantillon satirique de The Walking Dead, Les Souvivants dénonce l'absurdité de la discrimination et lance, au-delà de la rigolade, un appel à la tolérance.
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A la fin du tome précédent, la Petite Mort a du choisir entre ses deux meilleurs amis. Pourtant, il regrette son choix et l'assume...tout les jours il va se recueillir.

Puis vient l'entrée au collège, avec ce que cela implique comme évolutions adolescentes et comme "supplices". Voilà qui bouleversera la Petite Mort et le forcera à revoir sa vision des choses.

Heureusement, le squelette dans le placard apportera un peu de piment à cette vie si morne...enfin du moins jusqu'à la fin de l'ouvrage où elle deviendra mortelle...



Si j'ai un peu moins ris que pour la première, en raison de l'effet "second tome" et de cette absence de découverte de l'univers, je n'en ai pas moins passé un bon moment avec La Petite Mort². On retrouve l'humour noir, signature de Davy Mourier, sans pour autant sombrer dans le graveleux. On est touché par les situations, tour à tour heureux ou triste, riant où s'émouvant.

Et une fois l'ouvrage refermé, on ne regarde plus cette licorne avec le même regard.



A travers ce tome 2 l'auteur va aborder les thèmes du collèges, et des évolutions adolescentes, et de la famille. Entre secrets de famille et une amitié douloureuse, les jours de la Petite Mort ne sont pas bien roses...Pourtant j'aime cette façon de voir les choses, et je suis curieuse de voir ce qu'il va lui arriver par la suite...car quelle étonnement que cette fin !

Davy Mourier est un grand...enfant. Son univers est unique, et il le prouve une fois de plus avec l'histoire de la petite mort.

Ce dernier doit succéder à son père et faucher les êtres humains mais lui veut devenir fleuriste. Voila une histoire pas banale.

Beaucoup d'humour mais aussi de vrais moments moins drôles mais qui nous touchent.

Du coup je me commande les deux autres BD de l'artiste :)

Et n’hésitez pas à le suivre sur Instagram et Youtube, en plus d'être un talentueux dessinateur/senariste il nous concocte des sketchs et des histoires, beaucoup de délires en perspective :)

Le monde semble infesté par les zombies. Pourquoi, comment ? On ne sait pas et on s'en fout un peu.



Michel, c'est le genre de mec qui essaie de bien se fringuer, qui fait attention à son apparence et en bon gars viril qu'il est, il est fan de JCVD, Chuck Norris etc. Il se fait attaquer, et des choses en amenant d'autres, se retrouve à entrer en slip chez Jean-Philippe.



Jean-Philippe, lui, c'est un gars tranquille qui a un peu la frousse. Écrivain qui s'est barricadé chez lui avec son petit chien très teigneux : Sucette.



Ces deux bonshommes se voient donc obligés de rester ensemble dans la maison pour survivre. À question est : Comment un petit gars chétif mais pas trop con, un stéréotype de l'homme hétéro viril un peu bête et un petit chien hargneux vont-ils rester en vie avec une horde de zombies dehors ?



Les Souvivants c'est l'histoire de deux hommes que tout oppose deux antihéros, qui s'allient pour le meilleur et pour le pire pour ne pas se faire manger.



Les graphismes sont sympas, un peu typés Comics. Le scénario n'est pas très compliqué mais est bourré d'humour. On reconnaît bien la plume de Davy Mourier, et on passe un très bon moment !

Pierre, c'est un gars d'une trentaine d'années, fils unique et fan de BD. Pierre, c'est un peu le pote geek qu'on a tous dans notre bande : un peu renfermé, un peu frileux des émotions.



Pierre, c'est celui à qui les filles disent qu'il est leur meilleur ami et il a fini par s'y faire, il a l'habitude que ses histoires soient courtes. Alors quand il rencontre Manon, et que leur histoire dure plus de quelques semaines, il est un peu perdu.



Une vie à deux qui commence : un appartement avec Manon et son père qui décède subitement et le voilà projeté dans la vie d'adulte. Éternel adolescent, il n'est pas, mais alors pas du tout prêt.

Après l'enterrement de son père, il revoit de vieux amis... Et se met à réfléchir sur sa vie. Sur les paroles dures de son père concernant son rêve d'écrire des BD, sur ses amours d'enfance, les paroles d'une amie, son couple.

Il retourne quelques temps chez sa mère histoire de faire le point, en résulte cette citation qui résume tout :

"- J'en peux plus, maman. Je ne veux pas être un adulte. Je ne suis pas prêt.

- On n'est jamais prêts, mon chéri"



Pierre va devoir se prendre en main pour réaliser ses projets et prendre son courage à deux mains pour avouer une vérité qu'il se cachait depuis bien longtemps.



Cette BD est agréable à lire, drôle et pleine d'émotions. On s'y retrouve tous un peu. C'est une tranche de vie d'un mec banal mais raconté différemment... Et c'est bon ! Les dessins sont tout en légèreté, les couleurs bien choisies. En un seul mot ? Magnifique.

La plus grande partie de cette BD s'apparente à un "journal de bord" dans lequel Davy Mourier nous raconte le court stage de thanatopraxie qu'il a fait. [...] C'est avec humour que l'auteur nous parle de tout cela ; sans que cela empêche certaines réflexions profondes de poindre.
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Vous ne verrez plus votre chat de la même façon après ce premier tome ultra-vitaminé. Un mix osé, mais la sauce prend sans trop de difficulté grâce à un graphisme efficace et beaucoup d'action.
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Les ninchats en action



Premier tome d'une toute nouvelle série BD Chatons contre dinosaures a tout pour séduire petits et grands : chatons à grands yeux, dinos féroces, humour et action sont au rendez-vous.



Pour son anniversaire Eva reçoit 3 chatons trooooop mignons. Mais le lendemain quand la petite fille se réveille (un chat sur le visage, comme tout propriétaire de félin qui se respecte) son père a disparu et Saint-Malo est envahi de... dinosaures.

Eva va donc partir à la recherche de son père en bravant tous les dangers grâce à l’aide de ses 3 petits chats vraiment pas comme les autres.



C'est complètement déjanté (des ninchatons quoi !) et j'adore ça !

C'est bourré de références à la pop culture qui m'ont régalée.

C'est Chi en tenue de Dragon ball. C'est un terriiiiiiible méchant (mais moins que Thanos).

Il y a de la magie. Non de la technologie. Non... il se passe des trucs un peu fous façon Power Rangers. Mais ça reste hyper mignon.

(OK le côté chatons à grands yeux me rend hystérique, ils sont beaucoup trop choupis).



Les illustrations sont toutes en rondeurs, les personnages ont de grands yeux expressifs sans le côté excessif des mangas par exemple. Les couleurs sont superbes. C'est frais et doux comme un bonbon de notre enfance.



Et puis les chatons...

J'ai déjà dit que les chats sont hyper craquants ?!?

J’ai déjà hâte de rencontrer AthénAtom et AttilAtom !



Elora est également conquise et veut savoir ce que le méchant réserve encore à la petite Eva.



Des dinos, des chats et des extraterrestres... qui peut résister à ça ?



Pour rire et frissonner dès 7-8 ans. (Pas avant parce que si tu dois faire la lecture à voix haute à ton bout de chou tu vas avoir un petit problème avec Gurty, sa planète et ses répliques... Cf la photo ci-dessous).



Un jour les chats seront les maîtres de l'univers... mais après la sieste !
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Révélant une dessinatrice débutante, Héloïse Solt, l’album sonne juste, et la simplicité de l’illustration laisse toujours place à une belle sensibilité. Une jolie réussite pour l’hyper-productif Davy Mourier. Et on imagine la part personnelle qu’il a pu mettre dans cette histoire...
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"Déconseillé aux gens qui vont mourir un jour"



Davy Mourier nous fait entrer encore un peu plus dans son monde avec un nouveau VS, et cette fois, c'est pour traiter d'un sujet très présent dans ses œuvres : la mort.



Il nous fait découvrir par le biais d'un stage, le métier trop peu connu de thanatopracteur. Il observe sa maîtresse de stage s'occuper de différents corps, l'écoute raconter certaines anecdotes.



Très intéressant et surtout, grâce à la plume et aux dessins de Davy, très drôle. C'est sympa de pouvoir en apprendre plus sur un sujet délicat et qui peut faire peur tout en pouvant sourire.

Un petit mixte d’humour noir et sa touche macabre...



Comme son titre l’indique, ici la mort est à l’honneur.

En commençant cette BD, j’ai été surprise par le mélange entre l’aspect funèbre et l’humour presque puéril de l’histoire.

Mais après quelques pages, j’ai réussi à m’imprégner du style et le plaisir m’a accompagné.



Le personnage principal de la petite mort est attachant malgré son côté cynique.

Ce petit squelette encore tout jeune doit apprendre à faucher les gens, comme son papa mort, alors qu’il rêve d’un autre avenir : devenir fleuriste.

On le suit à l’école où il doit côtoyer des êtres humains qui ne l’acceptent pas vraiment.

Les quelques passages à la maison avec ses parents morts et les animaux domestiques sont amusants. J’ai adoré le personnage du poisson qui est complètement déjanté.

Mais on le suit surtout dans l’évolution de son apprentissage pour faire passer les vivants dans l’autre monde.

Ce protagoniste hors-norme laissera-t-il tout de même une place à l’amour et à l’amitié, bien que sa destinée le force à tuer ?



On jongle entre les vignettes en noir et blanc aux touches sépia et les planches aux couleurs criardes.

Les fausses pages de publicités entre les différentes séquences sont vraiment drôles.

Davy Mourier possède le talent de bien représenter les émotions de ses personnages à travers leurs expressions faciales.

On a beaucoup de jeux de mots et de petits clins d’œil sur des sources connues comme Le petit Prince, Star Trek, Tim Burton, South Park ou 24h chrono...

Quand on aime ces références, c’est forcément plaisant de les retrouver.



Cette BD sombre et marrante à la fois m’a conquise. Je lirai donc les prochains tomes avec grand plaisir.

Tranche de vie d'un mec sans envergure, d'un éternel insatisfait, cette histoire a vraiment peu d'intérêt : on est témoin de faits mais on ne voit jamais arriver de solution, on revit des flashback mais sans être sûr qu'ils sont des explications.
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J'adoooooooore !!

J'adore tout dans cette BD : Autant les dessins, l'histoire, les personnages etc.

Dommage que cette série se soit arrêtée en cours de route !! J'adore l'univers un peu "jeux vidéos" et le concept d'avoir un monstre constitué des choses qu'on aime, nos rêves etc est tout simplement génial !! Je recommande à 100%, il y a autant d'humour que de philosophie (c'est un grand mot, je dirais plutôt qu'il y a une morale) dans cette BD !

PS: super caca est trop mignon

Après « Davy Mourier VS Cuba » et « Davy Mourier VS La télévision » notre cher geek auteur et dessinateur de bandes dessinée revient avec un nouveau titre choc « Davy Mourier VS La mort ».



Edité dans la collection Shampoing chez Delcourt, ce récit respecte totalement la ligne éditorial définie par Lewis Trondheim (son créateur) : « Ça lave la tête et ça fait des bulles. Shampooing, c'est pour les grands qui savent rester petits et les petits qui veulent devenir grands ! ».



Ce nouvel album nous propose de nous frotter à un sujet qui met beaucoup de monde mal à l’aise, l’auteur de ce titre en tout premier lieu : La mort. Nous allons suivre le cheminement intellectuel de Davy pour essayer de dépasser cette peur qui le hante depuis toujours.



Comment se débarrasser d’une peur tenace ? Il suffit peut-être de mieux comprendre le sujet pour le dédramatiser. C’est donc un jeune homme ordinaire qui va aller se frotter au monde du post-mortem pour essayer d’exorciser sa hantise.



Davy Mourier a réalisé un stage auprès d’une thanatopractrice pour comprendre son métier et un peu mieux appréhender tout ce qui a trait à la mort. Il nous raconte son expérience dans cette bande dessinée. Cela donne lieu à des situations cocasses, parfois drôles, parfois un peu terrifiantes. On apprend aussi beaucoup en lisant se titre. Tant de choses semblent tabou dans un domaine que la plupart des gens préfèrent ne pas connaitre.



J’ai vraiment passé un super moment de lecture en découvrant comment un individus lambda (un peu perché tout de même) va essayer de trouver des réponses à ses questions. La tranquillité d’esprit passe peut être par la connaissance, tout simplement !



Tous les fans d’humour noir et délirants ne peuvent qu’apprécier cet album qui vous fera bien plus rire que pleurer. Alors n’hésitez pas à vous plonger vous aussi dans cet univers d’ordinaire si peu attractif. Vous ne serez pas déçus !