Davy Mourier

Conciliez votre côté ***Dark*** avec votre fond ***Cute***



Un jeu sur le décalage : des situations inépuisables



Rien que de voir maman mort et papa mort dans la vie quotidienne me fait rire. On s'immerge dans cette vie qui intègre à la fois des paramètres propres à leur statut d'os vivant et à la fois des situations de l'organisation courante d'une famille. Les réactions sont donc souvent uniques et la création de l'univers subtile.

La petite mort va à l'école, a des copains, des animaux domestiques, des crises existentielles comme un enfant lambda. Sauf que tout cela se découvre à travers les yeux d'une gothique de la maternelle qui manie très bien la faux. Elle rappellera à tous ceux qui se reconnaitront les années sombres de leur jeunesse : )



Une idée dans chaque détail



Cette BD m'a eu dès la première page, troisième case, à “va faucher des vieux - pff ! encore”. Je suis un public friand d'humour noir. Elle a tenu ses promesses sur toute la ligne. L'efficacité du dessin est imparable et s'appuie sur des détails tellement bien pensés. La petite mort est toute attachante sur son lit décoré d'un “sleep-in-peace”, avec son chat Sephi et son monstre sous le lit. Chaque page s'orne d'une idée déroutante ou originale. Les fausses publicités intégrées et l'album photo sont truffées de petits clins d'œil. Bien évidemment, mon personnage préféré est le poisson rouge, tellement utile.

J'ai aimé mais j'ai trouvé la fin un peu abrupte même si cela donne envie de lire la suite.



On se retrouve avec une bd dans le style un peu manga qui décrit un univers à la Pokémon où les monstres sont ici remplacés par les rêves des élèves.



On est loin d'un humour "pipi caca" auquel on pourrait s'attendre au vu du titre et des auteurs.

’avais un peu besoin de détente. Du coup, j’ai emprunté cette petite saga de bd à la bibliothèque.

Franchement, j’ai passé un bon moment en compagnie de Petite Mort.

C’est un poil rigolo. Je m’attendais à rire un peu plus mais c’est pas plus grave. Il y a aussi quelques petites références sympas.

Malheureusement, la bibliothèque n’avait pas le dernier tome.

Ah oui, le livre peut-être interactif avec le téléphone. Vu comme je suis douée avec l’informatique, je n’ai pas regardé les vidéos. Il m’a peut-être manqué cela pour apprécier un peu plus cette histoire.

’avais un peu besoin de détente. Du coup, j’ai emprunté cette petite saga de bd à la bibliothèque.

Franchement, j’ai passé un bon moment en compagnie de Petite Mort.

C’est un poil rigolo. Je m’attendais à rire un peu plus mais c’est pas plus grave. Il y a aussi quelques petites références sympas.

Malheureusement, la bibliothèque n’avait pas le dernier tome.

Ah oui, le livre peut-être interactif avec le téléphone. Vu comme je suis douée avec l’informatique, je n’ai pas regardé les vidéos. Il m’a peut-être manqué cela pour apprécier un peu plus cette histoire.

’avais un peu besoin de détente. Du coup, j’ai emprunté cette petite saga de bd à la bibliothèque.

Franchement, j’ai passé un bon moment en compagnie de Petite Mort.

C’est un poil rigolo. Je m’attendais à rire un peu plus mais c’est pas plus grave. Il y a aussi quelques petites références sympas.

Malheureusement, la bibliothèque n’avait pas le dernier tome.

Ah oui, le livre peut-être interactif avec le téléphone. Vu comme je suis douée avec l’informatique, je n’ai pas regardé les vidéos. Il m’a peut-être manqué cela pour apprécier un peu plus cette histoire.

’avais un peu besoin de détente. Du coup, j’ai emprunté cette petite saga de bd à la bibliothèque.

Franchement, j’ai passé un bon moment en compagnie de Petite Mort.

C’est un poil rigolo. Je m’attendais à rire un peu plus mais c’est pas plus grave. Il y a aussi quelques petites références sympas.

Malheureusement, la bibliothèque n’avait pas le dernier tome.

Ah oui, le livre peut-être interactif avec le téléphone. Vu comme je suis douée avec l’informatique, je n’ai pas regardé les vidéos. Il m’a peut-être manqué cela pour apprécier un peu plus cette histoire.

’avais un peu besoin de détente. Du coup, j’ai emprunté cette petite saga de bd à la bibliothèque.

Franchement, j’ai passé un bon moment en compagnie de Petite Mort.

C’est un poil rigolo. Je m’attendais à rire un peu plus mais c’est pas plus grave. Il y a aussi quelques petites références sympas.

Malheureusement, la bibliothèque n’avait pas le dernier tome.

Ah oui, le livre peut-être interactif avec le téléphone. Vu comme je suis douée avec l’informatique, je n’ai pas regardé les vidéos. Il m’a peut-être manqué cela pour apprécier un peu plus cette histoire.

"Ah! Ah! Ah! Des prouts arc-en-ciel!"



Le premier tome m'avait fait rire, j'ai donc eu envie de continuer l'aventure. Je me suis dit que les licornes pouvait réussir aussi bien que les dinosaures. Malheureusement ce tome-ci verse dans le pipi-caca. Si vous avez plus de 10 ans, passez votre chemin!

Cette petite bd de Davy Mourier est absolument délicieuse.

La petite mort, c'est l'histoire de l'enfant de M. et Mme Mort, qui doit apprendre le métier de la grande faucheuse pour remplacer son père lorsque le moment sera venu. Au fil des petites histoires, l'humour jongle entre situations morbides et cyniques, mais toujours amusantes. L'album est entrecoupé de petites histoires parallèles (comme Buzz Aldrin coincé sur la lune) ou des pages de publicités.



Cette petite mort est un personnage attachant et particulièrement mignon, à suivre dans ses autres aventures.

Les fans de la série vont apprécier de retrouver l'univers de la Petite Mort dans ce nouvel opus au rythme effréné, dans lequel son auteur arrive à porter une réflexion sur le temps qui passe et les générations, entrecoupée de moments vraiment drôles.
Lien : https://www.bdgest.com/chron..

L'histoire de la famille Mort avec un bonne dose d'humour noir.

Le style graphique est simple mais efficace.

Certaines blagues font sourire mais d'autres sont tombées à l'eau pour moi.

On s'attache à ce petit personnage qui malgré son destin veut devenir fleuriste.

J'avoue aussi que le personnage de Ludo m'a fait de la peine tant sa situation est réaliste.



En revanche le côté pub façon magazine m'a amusé au début mais m'a donné la sensation de vouloir grossir la bd artificiellement avec du contenu répétitif et pas drôle.

Bon, au niveau dessin, c'est du brutal. Y a pas que de l'aquarelle. Inspiration Lulu la Nantaise....

Question scénario c'est la petite mort, sans doute à base d'absinthe. Mais pas que...

Les héros de BD, Popeye compris, sont découpés façon puzzle.

Trop de références peu claires pour moi, un humour sans pince et sans rire.

Pas aimé.

"Dieu n'aime pas Papa" est une bande dessinée touchante qui aborde de manière subtile des thèmes complexes tels que la religion et la famille. L'histoire tourne autour de Tao, un petit garçon de huit ans qui se trouve face à des questions existentielles difficiles. Élevé par sa mère, il est plongé dans une éducation religieuse stricte qui le pousse à chercher des réponses à ses préoccupations dans la Bible. Cependant, Tao ne peut trouver aucune explication à l'absence de son père et au rejet apparent de Dieu envers ce dernier. Cette quête de réponses devient le fil conducteur de la bande dessinée, et elle est traitée avec une grande sensibilité.



Ce qui rend cette BD particulièrement spéciale, c'est la manière dont elle explore la perspective d'un enfant sur des sujets aussi complexes. Le lecteur est témoin du monde intérieur de Tao, de ses réflexions sincères et de ses tentatives touchantes pour comprendre les adultes qui l'entourent. La narration est à la fois drôle et émouvante, ce qui permet au lecteur de s'attacher profondément au personnage principal.



Un vrai coup de cœur !
Lien : https://www.instagram.com/p/..

Une BD pas mal, mais je l'ai trouvé sans grand plus. L'idée de base était intéressante, mais je n'ai pas été particulièrement touché par la façon dont elle se déroulait.

Je dois dire que j'ai un problème de manière générale avec toute personne qui oblige un enfant à suivre sa confession, donc j'ai déjà un a priori négatif en commençant la lecture. Et ça n'a pas manqué, j'ai été énervé par le comportement des personnages. Du coup, niveau immersion dans la lecture, ça a été difficile.



Cela dit, je reconnais que la BD utilise un concept intéressant avec ce jeune garçon qui a sa façon de voir la religion. Mais j'en ai déjà soupé des concepts religieux, et d'en voir encore, rabâchés sous une autre forme et pour un autre propos, ça me gave un peu.

Niveau dessin, le quatre mains passe plutôt bien, même si on reste sur quelque chose d'assez classique. Les passages en dessin d'enfant m'ont parfois semblé plus pertinent, surtout au vu de l'utilisation scénaristique.



Au final, je crois que le sujet m'a beaucoup bloqué sur la BD, qui reste plutôt bonne, mais je n'ai pas adhéré. Ca peut parler à pas mal de monde, mais je dois être trop en butte avec la religion pour arriver à apprécier ce genre d'histoire. Tant pis, je passerais mon tour pour cette fois.

Je ne m'attendais à rien en prenant ce livre au hasard à la bibliothèque et j'ai donc été surpris par ce récit sur les zombies complètement décalé. À commencer par Michel, le personnage principal, qui est un idiot profond dans tous les sens du terme.

Lorsque les zombies envahissent les environs, Michel trouve refuge chez Jean-Philippe, un écrivain homosexuel. Un choc pour Michel qui, en plus d'être idiot, est un parfait homophobe !

Une histoire plutôt étonnante due essentiellement à ce personnage de Michel qui est un beauf patenté - très stéréotypé il est vrai.

Un récit très prenant au final car les auteurs arrivent à distiller des situations incongrues ainsi que des dialogues cocasses entre ces deux individus que tout oppose. J'étais perplexe également sur la conclusion de ce récit mais la fin est à l'image du récit : étonnant et décalé.

Un humour qui rappelle un peu Kaamelott avec un personnage pas très futé et un autre qui subit un peu sa bêtise ; mais c'est surtout une manière singulière de parler d'homophobie sans se prendre au sérieux pour les auteurs.

J'ai trouvé ce recueil de nouvelles horriques multi-auteurs plutôt bien écrit. J'ai été à chaque fois curieuse de poursuivre mes lectures. Néanmoins, certaines fins m'ont déçues.

Ma préférée restera Douce Julia d'Alexandre Ratel et heureusement car à la base, ce recueil m'a intéressée uniquement pour la participation de Ratel.

Douce Julia : une maman cherche de la compagnie pour sa fille qui vient de perdre sa soeur dans un monde apocalyptique. Elles vont acheter une fillette zombie à un éleveur...

C'est histoire c’est que le père ( la faucheuse) veut apprendre a sa fille le métier d’assassin . Mais la petite mort ne veut pas devenir faucheuse mais veut devenir fleuriste.



Mais le livre et un peu ennuyant à mon gout , je vous le conseille quand même car il est intéressant .

le livre parle de la faucheuse qui veut apprendre a sa fille de tuer des gens sauf que la petite fille ne veut pas et veut devenir fleuriste...





le livre ne pas plu mais est intéressent a lire. sinom le livre reste très intéressent a lire car le livre et facile a comprendre et les images sont belle .

Après avoir laissé le premier tome de cette saga trainer dans ma pile à lire pendant très longtemps, j'ai eu envie de le découvrir - enfin.



Dans cette histoire, nous faisons la rencontre d'Eva, une enfant qui, pour son anniversaire, a reçu trois adorables chatons par son père. Mais le lendemain, à son réveil, son père a disparu. En partant à sa recherche, Eva va se rendre compte que la ville de Saint-Malo est envahie de... dinosaures ! C'est la panique mais, heureusement, les trois chatons ne sont pas des animaux comme les autres et sont là pour protéger Eva...



Je ne me souvenais plus vraiment de l'intrigue, si bien que je m'étais fait une idée assez fausse de celle-ci, avec le temps. Si je m'attendais à une histoire déjantée, elle s'est avérée l'être encore plus que je le pensais ! Venant de Davy Mourier, au scénario, cela ne me surprend pas beaucoup.



J'ai beaucoup aimé le fait que l'histoire se déroule à Saint-Malo, ville où je me rends assez régulièrement et qui n'est pas très loin de chez moi. Cela rendait amusant d'essayer de repérer les lieux illustrés par Stan Silas, lui aussi breton. J'ai d'ailleurs aimé les dessins avec les grands yeux et le trait rond qui rappellent les mangas, ainsi que les couleurs.



C'est une bande dessinée assez amusante, avec beaucoup d'action et trois chatons trop mignons qui vont passer du statut d'adorables à ninjachats en un clin d'œil. L'histoire est simple mais efficace !

BD un peu trash, plutôt drôle sur le thème des zombies. C'est vite lu et le résultat est quand même très convenu. Cela n'empêche pas de sourire à la lecture de quelques passages, mais l'ennui n'était plus très loin lorsque je suis arrivé à la fin. A ranger dans les déceptions pour moi.