Davy Mourier

Cet album se présente donc sous la forme d'un cahier à spirales (et ne coute pas 41 €, même si certaines caissières peuvent s'y méprendre). Un cahier à spirales qui pourrait avoir fait office de journal. Le journal d'une dépression, le bilan d'un début de vie...



Pas envie de grandir, envie de rester dans un univers familier et rassurant. Pas vraiment envie d'aller de l'avant, de vieillir. Parce qu'au bout, bah, il n'y a rien.... Et peur de s'engager, parce que s'engager, c'est grandir.... Tout cela mène à quoi ? La rupture, la dépression, la thérapie....



Attendrissant, drôle, mais surtout, mais souvent, triste. Cet album fait réfléchir. Sur la vie en général. Sur la dépression. Sur soi aussi, parfois. Heureusement, l'humour est là pour désamorcer une trop grande morosité. Mais j'ai trouvé certaines pages profondément tristes.



Une bonne BD, une surprise, car honnêtement, je ne m'attendais pas à ce contenu (en fait, je crois que je ne savais pas à quoi m'attendre).
Lien : http://sofynet2008.canalblog..

J'ai découvert cette BD en même temps que Davy Mourier sur la chaîne Nolife, spécialisée dans tout ce qui se passe au pays du soleil levant, et son format "cahier spirale" m'a tout de suite séduite (il m'en faut peu ^^). On découvre qui il y à derrière le masque que porte son auteur, qui se cache derrière le personnage toujours le sourire aux lèvres et toujours en train de rigoler. On y découvre dans cette BD autobiographique, un homme détruit par le départ d' "Elle", celle qui à été là pour lui pendant 5 ans.



Lire la suite de la chronique sur le blog !
Lien : http://iletaitunefoisouat.fr..

Avec un style graphique qui lui est propre, certes loin des classiques de la bande dessinée franco-belge dont ne peuvent se passer beaucoup de puristes attardés dans l’univers de la Ligne claire, mais qui colle parfaitement à l’esprit torturé que nous dépeint l’auteur, Mourier illustre de façon intelligente le malaise des nouvelles générations d’adultes angoissés par l’avenir qui se rassurent en s’entourant de nombreux objets évoquant l’univers confortable de leur enfance.
Lien : http://www.actuabd.com/41EUR..

Si DAvy Mourier ne vous dit rien, peut-être que Régis-Robert vous parle plus ? Acteur dans Nerdz il vient également de sortir sa deuxième BD : 41€ pour une poignée de psychotropes (dont on retrouve une partie sur son blog).



Avec son format cahier d’école, 41€-pr-poignée-psychotropes se remarque dans un rayon de bande-dessinée.



On y retrouve en partie les strips « 41€ » également publié sur son blog Bad Strip (par ici) mais aussi beaucoup de pages dessinées, collées, trafiquées etc.



Pour ceux qui ne connaissent absolument pas DAvy Mourier, les strips 41€ raconte ses séances de psy, de son point de vue bien évidemment. Parfois on se sent un peu gêné de rentrer dans cette intimité (par tant celle du canapé de cabinet de psy que dans la tête et les souvenir de DAvy). J’ai appris, parce que je ne le savais pas, d’où venait la casquette dont il affuble son personnage sans cesse et c’est déjà pas mal.
Lien : http://www.cappuccino-time.f..

Une BD autobiographique jouant sur l'humour pour faire passer les petits désagrément de la jeunesse.

Première copine, premiers boutons ou argent de poche. 50 francs c'est si peu et beaucoup à la fois, le début de la liberté puis, en grandissant, l'inverse.

L'auteur a su maintenir mon attention tout le long, des strips plus classiques, d'autres un peu plus libres, de la couleurs ou du noir et blanc, ou encore des souvenirs d'enfance. L'auteur sait mélanger les styles.

Fait avec passion.

C'est la deuxième bande-dessinée de Davy Mourier que je lis, et celle-ci est un peu une suite de 41€ pour une poignée de psychotropes. Dès ma première lecture, je ne l'est pas considéré comme une suite, et l'auteur lui même nous accueilles avec un « ceci n'est pas une suite, c'est du refoulement ».



Avec ce tome, nous remontons là où Davy n'a pas voulu aller avec 41€ : l'adolescence. Cette période où l'ont découvre l'amour, le sexe, les joies comme les déceptions. Bien entendu, tout reste en lien avec « Elle », son ex. Et toujours ses roadstrips de 3 cases voir plus du passage chez le psy, dont certaines ont été faites par des lecteurs du précédent tome. Elles sont toujours à voir sur le site de l'auteur, Badstrip.



C'est toujours aussi sur fond d'images de Ulysse 31, Skeletor et Capitaine Flam, pour ne cité qu'eux, que notre histoire avance. Avec ses photos, ses dessins et autres post-it, on retrouve le côté « journal intime» toujours aussi bien travaillé.



Le format reste le même, le cahier spirale taché par endroits. Cependant, je réserve 50 francs pour un public avertit, à la vue des dessins de femmes nues. C'est pas grand chose, mais ça pourrait bien choqué les plus jeunes ^^



50 francs pour tout reste dans la même veine que le précèdent tome : drôle et triste à la fois, il se laisse relire à volonté.
Lien : http://onceuponatime.ek.la/5..

C'est plus ou moins une suite de 41€ pour une poignée de psychotropes, un livre que j'avais adoré et qui m'avait beaucoup touchée. Cette bande-dessinée est une autobiographie, plutôt axée sur l'adolescence de Davy Mourier et de son passage à l'âge adulte. Comme pour beaucoup, l'adolescence a été pour lui la découverte de pleins de choses : l'amour, le sexe, les déceptions... Il semble avoir assez mal vécu cette période (à raison, certainement).



Davy Mourier m'a émue à plusieurs reprises, notamment avec une réflexion sur l'amour et sur sa vie "Puis j'ai grandi Lorsque ma première copine m'a quitté. J'étais persuadé que jamais je ne retrouverais un tel amour. Puis, 7 ans plus tard, lorsqu'"elle" est partie. J'étais persuadé que je ne retrouverais jamais l'amour. La preuve : j'en fait trois bouquins avec mon chagrin". C'est beau et c'est triste. J'ai eu envie de pleurer.



Mais il y a aussi des passages plus joyeux (enfin, si on veut) et des moments cocasses. Comme je le répète à chaque fois quasiment, Davy Mourier est un clown triste. Un humoriste qui prend la vie trop au sérieux, comme lui disait son psychothérapeute.



C'est une bande-dessinée très courte, triste et drôle, comme seul Davy sait le faire.
Lien : http://anais-lemillefeuilles..

Une séquelle qui ne fait pas trop avancer les choses mais qui demeure suffisamment réjouissante pour semer le trouble et permettre une belle immersion dans la psyché de son héros.
Lien : http://www.bdencre.com/2012/..

Une BD autobiographique jouant sur l'humour pour faire passer les petits désagrément de la jeunesse.

Première copine, premiers boutons ou argent de poche. 50 francs c'est si peu et beaucoup à la fois, le début de la liberté puis, en grandissant, l'inverse.

Dans la version collector, un cd est inclus, avec plusieurs chansons sur les thèmes de la BD, notamment la très belle "Alice, Peter, et les autres".

L'auteur a su maintenir mon attention tout le long, des strips plus classiques, d'autres un peu plus libres, de la couleurs ou du noir et blanc, ou encore des souvenirs d'enfance. L'auteur sait mélanger les styles.

Fait avec passion.

L’album s’adresse avant tout à la communauté de fans de ses auteurs, qui y retrouveront leur humour potache qui se niche souvent dans les détails et clins d’oeils rigolos. [...] Au final, cette BD semble plus pensée comme une aventure commune, à laquelle il faut adhérer pleinement pour en profiter.
Lien : http://www.bodoi.info/alain-..

Le projet, sous-titré La BD dont vous êtes le crayon, demeure audacieux. Les créateurs sont les premiers à y avoir pensé et il faut les en féliciter. Le concept a toutefois tendance à empiéter sur le récit et le lecteur se souvient moins du propos que de ce curieux objet qui se donne des airs de cahier à colorier.
Lien : https://www.bdgest.com/chron..

Il ne s'agit pas d'un simple objet ludique, défouloir, mais réellement d'une réflexion assez habile sur ce qui constitue une BD et sur les divers procédés qui peuvent amener à un album.
Lien : http://www.sceneario.com/bd_..

En apparence, rien ne laisse deviner en regardant la couverture de BadNews - L'Histoire du porn, que cette bande dessinée renferme une enquête de haut niveau.Car si la pornographie est omniprésente sur la toile -plus de 25% des recherches Google!-, elle existe depuis que l'humanité peut tenir un bâton lui permettant de dessiner. Après un bref aperçu historique, Davy Mourier va, au travers



de quelques interviews d'actrices, nous expliquer l'évolution de la pratique pornographique contemporaine, allant du cinéma X aux Camgirls. Il décrit comment l'industrie du film pornographique a



surtout exploité des jeunes femmes naïves rêvant de notoriété.

Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur le cinéma porno sans jamais oser le demander... En prime la question : pour ou contre le scénario dans les films porno ? Cette bédé revient sur un genre qui est né avec le cinéma et nous raconte la vie de celles et qui y gravitent. Malgré un titre racoleur, ce livre se veut une réflexion pertinente sur le genre et montre de quelle façon les mœurs ont évolué en plusieurs décennies et les exigences de plus en plus contraignantes auxquelles les filles sont soumises. Rien de vulgaire toutefois, il s'agit d'une bédé bien documentée et riche en enseignements.

Après Bad News vs Cuba, vs La télévision et vs La mort, l’auteur Davy Mourier revient avec une nouvelle BD, et cette fois-ci, il va nous parler du Porn. Pour celles et ceux qui comme moi connaissent bien Davy Mourirer via ses nombreuses BD et sa chaine Youtube (notamment son émission hebdomadaire Bad news) on est clairement en terrain connu.



En effet, on retrouve tout l’humour de l’auteur, comm on l’aime. Tantôt lourd et en dessous de la ceinture (vu le sujet, on s’en doutait un peu) tantôt acerbe dans sa vision des choses, il nous dresse une vision simple et réaliste sur le monde de la pornographie.



Loin d’être dérangeant, cette BD est au contraire très intéressante, car comme toujours, Davy Mourier s’est bien renseigné sur le sujet. On notera même plusieurs témoignages de personne issus du milieu, comme par exemple, une Cam-Girl qui nous parlera des salaires qu’elles peuvent toucher.



Comme toujours, c’est édité chez Delcourt, dans la collection Shampoing, dans un petit format proche de celui des mangas, et à un prix tout à fait correct. Une fois de plus, Davy Mourier ne déçoit pas et nous livre ici une enquête intéressante et approfondie, sur un sujet parfois considéré comme un peu trop tabou en France.

Une BD informative, une sorte de tutu sur l'industrie du sexe, une YouTubebd en quelque sorte. C'est vrai, on y apprend plein de choses, il ne faut pas s'attarder sur la qualité du graphisme, mis plutôt sur les petites infos disséminées un peu partout et les rencontres avec de vraies travailleuses du sexe qui parlent sans complexe ni censure de leur boulot et de la rémunération. Il y a une comparaison intéressante avec le fait de manger un bon burger issu d'une vache tuée de façon dégueu....

Malgré une couverture rigolote, cet essai est foncièrement documenté et nous plonge dans l'industrie du porno. Il est en effet bien crédule de croire que cette industrie s'est créée à l'ère du Net. Elle existe depuis que le cinéma est. Cette étudie s'emble à démonter des stéréotypes et nous explique les rouages d'une machine bien huilée, tout en parlant également de l'évolution des exigences de producteurs/ réalisateurs/ exploiteurs quant au physique des femmes ou aux pratiques de plus en plus contraignantes. Si le tonYouTube vous horripile, la lecture de ce BadNews risque d'être assez pénible. C'est dommage, car le propos est riche en informations sur les dessous d'un métier très secret, qui fait fantasmer un bon quart de l'humanité.

Un premier tome assez prometteur ! Pour ses 10 ans, Éva reçoit trois adorables chatons de la part de son scientifique de père : Athéna, Attila et Atom.



Le lendemain, la ville est envahie par... Des dinosaures. Éva veut retrouver sa mère et se retrouve nez à nez avec un tyrannosaure. Le danger est immense, mais les trois p'tits chats s'avèrent être une expérience du papa, génétiquement modifiés pour protéger la fillette. Tous trois sont des Ninchats avec des pouvoirs différents, qui peuvent bien évidemment parler.

Ils sauvent donc Éva des griffes de ce monstre, et commencent à comprendre ce qui s'est passé.



Avec un super mode avion, un chaton très amoureux des cartons et les envahisseurs qui vont revenir, l'histoire est loin d'être terminée !

Après avoir laissé le premier tome de cette saga trainer dans ma pile à lire pendant très longtemps, j'ai eu envie de le découvrir - enfin.



Dans cette histoire, nous faisons la rencontre d'Eva, une enfant qui, pour son anniversaire, a reçu trois adorables chatons par son père. Mais le lendemain, à son réveil, son père a disparu. En partant à sa recherche, Eva va se rendre compte que la ville de Saint-Malo est envahie de... dinosaures ! C'est la panique mais, heureusement, les trois chatons ne sont pas des animaux comme les autres et sont là pour protéger Eva...



Je ne me souvenais plus vraiment de l'intrigue, si bien que je m'étais fait une idée assez fausse de celle-ci, avec le temps. Si je m'attendais à une histoire déjantée, elle s'est avérée l'être encore plus que je le pensais ! Venant de Davy Mourier, au scénario, cela ne me surprend pas beaucoup.



J'ai beaucoup aimé le fait que l'histoire se déroule à Saint-Malo, ville où je me rends assez régulièrement et qui n'est pas très loin de chez moi. Cela rendait amusant d'essayer de repérer les lieux illustrés par Stan Silas, lui aussi breton. J'ai d'ailleurs aimé les dessins avec les grands yeux et le trait rond qui rappellent les mangas, ainsi que les couleurs.



C'est une bande dessinée assez amusante, avec beaucoup d'action et trois chatons trop mignons qui vont passer du statut d'adorables à ninjachats en un clin d'œil. L'histoire est simple mais efficace !

Cette bande-dessinée au titre accrocheur saura plaire aux grands comme aux petits. Il faut dire que l'intrigue est prenante et les personnages attachants, au point qu'on a pas réussi à lâcher l'histoire avant la fin et que la séance lecture ne s'est achevée qu'après minuit (bravo la tata !) Le suspens est tel à l'issue du premier tome que le second, qui confronte nos chatons ninjas à des licornes, sera certainement un succès aussi.