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Critiques de Elise Fontenaille (743)
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Les filles de l'Aigle

Depuis que j'ai découvert, il y a jusque quelques semaines, cette auteure passionnante, au regard très particulier sur les cultures du monde, j'ai le désir de lire tous ses livres ! Après des études de sociologie et d'ethnologie, elle vit au Canada deux ans et c'est au cours de cette période qu'elle s'inspire de rencontre et découverte, pour écrire et nous amener de sa plume de conteuse, dans des univers extraordinaires. J'invite les enfants, adolescents, comme les petits, avec cet album par exemple à lire ces histoires riches humainement comme sur le plan historique...



Les filles de l'aigle est inspirée des Indiens Haïdas qui vivaient au nord-ouest du Canada, au bord de l'océan pacifique. Pendant plus d'un siècle, des années 1885 aux années 1960, le gouvernement canadien a volé les enfants de ces tribus : Kill the Indian in the child, voilà leur devise : " Tuer l'Indien dans l'enfant".



C'est donc à travers les filles de l'aigle qui raconte la capture de deux sœurs, Dana et Keena qu' Elise Fontenaille rend un très bel hommage à ce peuple.



IL est nécessaire que les nouvelles générations découvrent aussi ce passé ! Les albums pour les plus jeunes, des livres pour les plus âgés sont là pour permettre une meilleure connaissance du monde.



C'est aussi ma mission de lectrice publique de donner Vie à ces magnifiques albums ! C'est pourquoi je lis dans les écoles, les librairies .......les musées ......



Lisez !
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On a volé les poules de Clémentine !

Une enquête de Mado et Lili, une collection où l'amitié est à l'honneur. Deux petites filles, voisinnes, vont à chaque volume, résoudre une problème.



Cette fois, les poules de Clémentine ont disparu. Mado et Lili vont suivre leur piste, interroger les suspects et remonter le fil de cette inquiétante absence.



La fin surprenante et inattendue amenera à trouver un compromis entre des intérêts divergents.



Entre temps, elles auront montré l'importance d'une vie de quartier collaborative ! Le lecteur découvre ainsi des portraits colorés de ses habitants : un danseur, un graveur mexicain, une mamie crêpe ou encore un graffeur.



Les jolies illustrations se promènent gaiement sur la page pour renforcer le côté gai et vivant du livre.



Un joli moyen de découvrir le genre du roman policier.



A partager !
Lien : http://www.nouveautes-jeunes..
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Les trois soeurs et le dictateur

Les sœurs Mirabal sont des figures emblématiques de l’histoire de la République Dominicaine. Elles sont le symbole de la rébellion face au dictateur local Trujillo qui opprima les habitants de Saint-Domingue et de sa région pendant des années. Leur courage a marqué l’histoire comme nous le fait découvrir Elise Fontenaille à travers cette fiction documentaire et les yeux d’une jeune fille qui découvre par la même le passé tragique de sa famille.



Plus précisément, il est de ces textes qui vous ouvrent au monde, vous donnent envie d’en savoir plus et vous conduisent à vous interroger sur la société actuelle. Les 3 soeurs et le dictateur est pour moi de ces livres-là. J’ai été émue face au courage et à la détermination de ces trois jeunes femmes à vivre selon leurs règles, à trouver le courage de garder leurs convictions face à l’oppression.



J’ai vraiment été émue par cette histoire tragique si bien racontée par Elise Fontenaille. Une histoire à découvrir sans attendre.
Lien : http://boumabib.fr/2015/01/0..
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Le palais de la femme

Un livre étrange. Une héroïne atypique et sensuelle, une ambiance baroque, surréaliste, des recettes abracadabrantes, des divagations…

D’où un ressenti plutôt mitigé.

D’autant qu’une erreur est répétée plusieurs fois, à propos des groseilles épépinées à la plume d’oie. L’auteur, pourtant née à Nancy, mentionne plusieurs fois Bar sur Aube, comme lieu de cette spécialité. Or, en bonne Lorraine que je suis, je revendique haut et fort qu’il s’agit de Bar le Duc, dans la Meuse.

Mais bon, passée cette erreur, il y a quelque chose dans l’écriture d’Elise Fontenaille, mais au final, ce roman ne m’a pas emballée plus que ça.

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Chasseur d'orages

Herb vivait avec John, son grand-père lorsque celui-ci meurt brutalement. Obligé de retourner vivre chez son père avec qui il n'a aucun atome crochu, Herb décide de prendre la route avec l'urne contenant les cendres de John pour aller les répandre dans un endroit qui lui tenait à coeur, les Lightening Fields, dans le Sud des Etats-Unis. Très vite, il tombe sur une bande de jeunes qui veut bien l'accompagner dans cette fugue. Tous sont comme lui des ados seuls, sans attaches. Ils s'embarquent alors pour un long road-movie...



Un petit roman très bien construit et touchant, bien qu'assez peu vraisemblable (personne, parmi les gens rencontrés en route, ne se pose de questions sur ces grands ados qui voyagent seuls). Les différents personnages sont très attachants et leurs quêtes empreintes de sincérité et de recherche de vérité. Malgré le manque de réalisme et le manque d'épaisseur (au sens propre!) du livre, j'ai été touchée par cette histoire, à la fois road-movie et buddy-movie. Nul doute que les ados accrocheront, eux aussi...
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Le garçon qui volait des avions

Colton Harris-Moore, le bandit aux pieds nus, a échappé à la police et au FBI pendant longtemps.

Notre avis : Cette histoire vraie ne peut que captiver : le suspense, l'aventure, l'action et le dynamisme sont permanents et les personnages sont intensément attachants.

Lisez la suite en cliquant sur le lien !


Lien : http://123otium.canalblog.co..
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Les disparues de Vancouver

Tout commence autour d'une plaque commémorative dédiée à la mémoire de onze femmes où sont rassemblées "une centaine de femmes, la plupart indiennes" et "quelques hommes". Le lecteur apprend que ces onze femmes ne sont pas mortes, du moins pas officiellement. "Elles ont juste disparu". Chacune leur tour, en se passant le talking stick, les personnes rassemblées là évoquent ces disparues : toutes ont en commun d'être des filles du Downtown Eastside, "le pire quartier de Vancouver", "le paradis des pédophiles" où s'entassent et survivent les junkies, très majoritairement indiennes, qui se livrent à la prositution pour se payer leur dose. Leur mystérieuse disparition a été signalée à la police. Mais celle-ci rechigne à mener une enquête. Alors, pour tenter de faire bouger les choses, Wayne Leng, l'amour de Sarah, une de ces disparues, a monté un site Internet qui leur est dédié : MISSING. "C'est devenu sa vie, il y travaille jour et nuit". Il est aidé par d'autres comme le georaphic profiler Kim Rossmo qui déclare ouvertement avant de quitter le pays que "si les Disparues avaient vécu dans les bons quartiers de Vancouver, si elles avaient été des femmes blanches convenables, la police ne serait pas restée aussi longtemps sans réagir, on aurait déjà arrêté le meurtrier".



Wayne se transforme donc en enquêteur pour savoir ce qu'est devenue Sarah, sa "métisse de Black et d'Indienne", adoptée par une famille blanche libérale, qui aurait eu tout pour être heureuse si elle n'avait pas été victime du racisme et du rejet dès l'école. Le récit prend une allure de thriller effroyable qui n'est pas sans rappeler les meurtres de Jack l'Eventreur (qui s'attaquaient à des prostituées). Les coups de fils anonymes à Wayne annonçant la mort de Sarah se multiplient. Le nombre de disparues ne fait qu'augmenter, la peur gagne aussi les quartiers "blancs", la mairie de Vancouver jette quelques dollars pour tenter de calmer le jeu. Jusqu'au soir où Wayne reçoit l'appel téléphonique d'un homme l'informant d'une drôle de découverte dans un mobile home : des sacs tâchés de sang avec des cartes d'identité. Mais il faudra encore 2 ans et 69 victimes avant que la police ne mette son nez dans les affaires d'un fermier de Coquitlam et découvre son congélateur avec "six têtes de femmes et deux pieds aux ongles laqués sous chaque tête". Le lecteur pense alors être arrivé au bout de l'horreur une fois le meurtrier arrêté. Mais non! Les Indiennes continuent de disparaître dans l'indifférence générale alors qu'il suffira d'un seul meurtre de femme blanche, la soeur d'un adjoint au maire de Vancouver, pour qu'on trouve la mise en garde suivante: "Ne courez pas seule dans les parcs de la ville de Vancouver, faites-vous accompagner." Alors que 69 femmes indiennes, et sans doute davantage, ont été assassinées de manière barbare, transformées en viande hâchée et mangées. "Une scène du crime comparable à un charnier du Kosovo après purification ethnique, à Ground Zero...". Ou encore qu'une seule femme blanche soit assassinée sur l'Autoroute des Larmes pour que les medias se déchaînent, alors que 29 Indiennes y avaient péri ou disparu.



Dans ce récit tiré d'un fait divers réel, Elise Fontenaille dénonce sans détour les conséquences du laxisme des autorités canadiennes vis-à-vis des filles du Downtown Eastside et l'indifférence générale des "autres" citoyens canadiens : le génocide des Indiens par le meurtre de femmes. Pour elle, l'affaire Pickton n'est que la partie émergée d'un iceberg sanglant. Une affaire qui a ébranlé tout le Canada mais ne le rend pas moins coupable, une souillure honteuse . On ne tue pas 69 Indiennes parce que le climat est humide...

Un récit-choc, au style fluide et simple, très documenté, sur les conditions sociales des Indiennes. Un livre dérangeant, qui donne la parole aux victimes, aux rescapées, aux amis et à leurs parents et qui sensibilise le lecteur à une réalité méconnue, à travers une affaire dont on a peu entendu parler en Europe, sauf erreur de notre part. Un livre dédié à la mémoire de Claude Levi-Strauss - et à toutes les Indiennes disparues - qui n'est évidemment pas un hasard. Un bel hommage à ces femmes que l'on n'entend pas.

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Banksy et moi

Darwin est un adolescent qui vit avec sa mère dans un quartier populaire sur lequel les promoteurs sont en train de faire main basse à grands coups d'expulsion. Un matin, le vieux mur de garage devant sa fenêtre est recouvert d'un immense dessin à la manière de Banksy.

Au collège, Darwin rencontre Eva, qui vient d'arriver et qui ne se lie avec personne, sauf lui, d'autant plus qu'elle dessine vraiment très bien.

Le récit est court et parfois un peu décousu, comme pour y faire entrer un maximum de personnages en un minimum de pages, ce qui rend certains enchaînements un peu caricaturaux.
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La sourcière

Dans ce court roman, on suit l’enfance de la jeune Garance, recueillie par la brodeuse Gallou suite à la mort en couche de sa mère. Ensemble, elles vont vivre paisiblement jusqu’à ce que le tristement célèbre Saigneur apprenne l’existence de la jeune fille et qu’il cherche à abuser d’elle.



Ce livre, entre le roman et la poésie, est magnifiquement écrit. Les premières lignes m’ont fait un peu peur puisque je n’étais pas sûr de réussir à entrer dans un roman à l’écriture si particulière, mais il m’a suffit de quelques pages pour être conquis.



Le sujet n’est pas des plus simples ni agréables à lire, mais la virtuosité de la plume permet d’aborder le sujet des violences sexuelles avec subtilité et douceur.



Si le thème est difficile, on parle aussi d’amour (filial et amoureux), de pardon, le tout sur un fond de magie et de respect de la nature et de toute vie.



On pourrait regretter que le récit atteigne à peine les 100 pages mais pour moi, il avait la longueur parfaite pour pouvoir vraiment le savourer. A découvrir absolument !
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Kill the Indian in the child

Il faut être bien accroché pour aborder ce roman qui monte en puissance au fil des pages. Mukwa passe quelques heures avec son père avant de partir pour le pensionnat où il va être éduqué. C'est bien là le mot qui tue, éduqué et non élevé.



On passe donc d'un monde de douceur d'écoute de partage et d'encouragement à un monde froid, violent, fait de privation, de mauvais traitements, d'humiliations où les enfants doivent oublié leur langue, leur culture.



C'est insupportable pour Mukwa qui décide de s'enfouir avec son ami des premiers jours.



Elise Fontenaille ne nous épargne rien même si c'est dit à demi mots. Inspirée d'une histoire vraie, cette histoire m'a rappelé "Magdalena Sister" par la cruauté des actes perpétrés par ces religieux. L'horreur est à son comble quand on découvre que ces tortures n'ont cessé qu'en 1996.
Lien : http://keskonfe.eklablog.com..
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Kill the Indian in the child

Elise Fontenaille comme souvent a pour point de départ un fait réel, pas toujours connu de tous et elle nous l' expose, au travers de l' histoire d' un personnage en particulier. Elle nous en parle avec son écriture limpide, claire, sans fioriture. Elle nous parle ici de maltraitance subie par des enfants ( jeunes, très jeunes pour certains) au seul motif qu'ils sont indiens.

Elle nous entraîne dans un pensionnat canadien où sont regroupés les enfants pour faire d' eux ce que l' établissement a décidé.

Un récit glaçant surtout quand on sait qu' on parle d' un fait réel.


Lien : http://biblioado.canalblog.c..
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Kill the Indian in the child

Kill the indian in the child est un roman tiré d’une histoire vraie, celle d’Indiens envoyés en pensionnat canadien où ils ont vécu les pires horreurs et les pires sévices. Je dois avouer que j’étais plutôt ignorante de cette partie de l’histoire, et cela m’a fait un vrai choc de constater dans la postface que tout cela avait vraiment eu lieu.



Dans cette histoire, on suit Mukwa, un jeune indien de 11 ans qui quitte son père pour être envoyé à Sainte-Cécilia, un pensionnat religieux canadien, afin d’apprendre à lire, écrire, parler anglais. Toutefois, son père est loin de se douter que derrière les portes de cette institution, son fils va vivre un réel enfer. Là-bas, le quotidien est rythmé par les coups, l’humiliation, la privation de nourriture, les attouchements, les abus… Les enfants y sont maltraités, subissant à longueur de journée les cris, les insultes. Tout est organisé pour complètement annihiler l’identité de ces indiens ce qui se résume bien par le maître mot de l’histoire : Kill the indian in the child.



Rapidement, Mukwa va faire la connaissance d’un autre Indien, Ahmik, qui va rapidement lui souffler l’idée qu’il faut fuir, avant qu’il ne soit trop tard. Mukwa va donc être guidé par cette idée, voulant à tout prix rejoindre et retrouver son père.



Sans vous en dire plus, je peux vous assurer que cette histoire, aussi brève soit-elle, est aussi très intense. Je l’ai lue en moins d’une heure, mais je crois honnêtement avoir retenu mon souffle pendant toute ma lecture. Les mots d’Elise Fontenaille sont percutants, horrifiants, et on a parfois du mal à croire que de telles horreurs aient pu être commises. A certains moments, je me suis demandée si l’auteure n’exagérait pas ses propos. Et pourtant non, tout ce qui est raconté dans ce livre est fidèle à la réalité.



La lecture de ce roman a été pour moi très troublante, révoltante. J’ai trouvé que l’écriture était très dure mais aussi très belle, d’une certaine façon. La fin m’a chamboulée, m’a fendu le cœur. On ne peut qu’être sidéré face à de telles atrocités qui font pourtant partie de notre histoire.



Kill the Indien in the child est un roman court mais qui ne laisse pas indemne, c’est certain. C’est un roman douloureux mais je pense qu’il est nécessaire de faire connaître ces histoires et de donner une voix à ces enfants oubliés, à ces Indiens qu’on a un jour tenté de tuer.



Un livre à conseiller à tous, avec un avertissement tout de même puisque ce qui y est décrit est choquant, parfois à la limite du soutenable. Dans tous les cas, le pari est relevé pour Elise Fontenaille qui m’a beaucoup fait réfléchir avec ce petit livre.
Lien : https://abookcatcher.wordpre..
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La révolte d'Éva

J'apprécie beaucoup Elise Fontenaille car ses histoires sont toujours exceptionnelles, sensibles et touchantes. Celle-ci ne déroge pas à la règle. Inspirée d'un fait divers s'étant déroulé il y a une vingtaine d'année le récit raconte la vie d'Eva, jeune fille de 16 ans devenu parricide.



Le sujet est grave mais c'est là que le talent de l'auteur fait la différence. Au lieu d'avoir une histoire plombante avec une foule de détails sordides on a un récit clair, à la précision chirurgical mais sans pathos. L'auteur donne la parole à Eva qui nous raconte pourquoi elle en est arrivée à prendre un fusil et à tirer sur son père. On a un peu l'impression de lire un conte comme ceux qui ont berçé notre enfance... mais même si l'auteur en a fait une fiction les faits sont bien réels et sont sans aucun doute toujours d'actualité malheureusement.

Dès la quatrième de couverture on se doute que l'issue sera fatale pour cet homme violent qui tape sur ses filles dès qu'il en ressent le besoin, l'envie ou pour n'importe quelle raison. Admirateur d'Hitler, cet homme craint d'un village entier et de sa propre famille, a fortiori, laisse libre court à sa folie en administrant des raclées à ses quatre plus grandes filles dont Eva, trop belle et celle dont la naissance a le plus déçu ce père en attente d'un enfant mâle.

J'ai trouvé ce très très court roman vraiment prenant et très bien raconté. En lisant ces lignes, j'ai eu l'impression d'entendre Eva me raconter son histoire, tout simplement, comme si on était assise autour d'un thé et qu'on papotait.



J'admire vraiment cet auteur qui sait si bien transmettre les sentiments de ses héros. A chaque fois je m'identifie à eux, au contexte et ça donne à ma lecture une valeur ajoutée indéniable.



Un auteur à découvrir si ce n'est pas déjà fait.
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EBEN ou les yeux de la nuit

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Bonjour Babélio.



A ne surtout pas lire après 20:00.



Avant de lire le livre je m'attendais a un livre avec beaucoup d'action , au début c 'était une lecture scolaire mais apres je me suis de plus en plus plongé dans le livre avec une impression d'être avec Eben à coté de lui.

Il y à pas mal beaucoup de passage dur , ou il faut vraiment avoir le coeur accroché a des passages.

Le personnage principal et Eben il vient de Namibie.

Les deux premiers chapitres sont pas très intéressant, c'est plutôt une description sur Eben et son entourage ( Famille, amie...etc)

Pendant toute cette histoire Eben fera tout son possible et passera par toute les situations pour que sa ville sache ce que les Allemands on fait a la Namibie.

Pour la suite du livre il se passe un retournement de situation au début du chapitre 3.Je vous en raconte pas plus ,et vous laisse découvrir le livre.



Bonne journée



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Bonjour,mes chère amie de Babelio !

En empruntant ce livre j'étais persuadé qu'il parlait de l'esclavage au 18éme siècle , j’étais un peu déçu quand j'ai su que ce livre ne parlait pas de sa mais l'histoire m'a beaucoup intrigué .

Ce merveilleux livre raconte l'histoire de ebenzebe .Eben à la peau sombre comme sa tribu (les Hereros ) mais il a les yeux bleu , il a tenter de se les arraché le jour ou il a découvert que ses yeux venait d'un ancêtre allemand qui avait torturer les Hereros au 18éme siècle . Au début Eben nous raconte le passer douloureux de ses ancêtres , ensuite l'histoire se déroule a nous époque a Lüderitz en Afrique prés de l’atlantique ou il vit avec son oncle issac depuis la mort de ses parents .Le jolie désert du Kalaharie se recouvre de fleurs quelque jours par ans pour ne pas oublié les personnes qui sont mortes pendants cette terrible période . Je ne vous en dit pas plus mais sa vaut vraiment le coût de le lire ...

C'est plutôt un livre de genre historique donc si vous n'aimez pas ce genre de livre il n'est pas fait pour vous! Ce livre n'est pas très facile a lire , il est plus adapter au adulte mais pour adolescents de 12-14 ans il est un peu compliquer a comprendre .Il y a certaines pages qui ne nous apporte rien dans notre lecture elle sont limite inutile, cela m'a fortement énervé puisque j’étais très intéressée par l'histoire d'Eben. Ce livre nous raconte beaucoup de chose sur l’histoire de la Namibie. Avant de lire ce lire j’ignorai complétement qu'il y avait eu une guerre entre une tribus de la Namibie et l'Allemagne. Je fini donc par vous dire que toute l'histoire ma énormément plu car ce livre m'a appris beaucoup de chose. J’espère que je vous est donné envie de lire ce livre.

Je vous le conseille !

Bonne lecture !
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Banksy et moi

Dans ce livre , Darwin un adolescent vit avec sa mère ,dans un appartement face à un vieux mur gris . Un jour , il découvrira un tag sur ce mur ;qui apparemment a été fait par Bansky un célèbre tagueur . Avec une de ses amies Darwin réagira aux injustices de son quartier où des gens se font expulser et se retrouvent sans rien .Il taguera des signes à chaque endroit où l'on a forcé des gens à partir .



J'ai beaucoup aimé ce livre car il est facile à lire même les gens qui n'aiment pas la lecture liront ce livre sans problème .



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Blue book

Alors qu’elle souhaitait écrire sur son aïeul, le général Mangin, qui était à la tête de la Force Noire durant la Grande Guerre, Elise Fontenaille apprend l’existence d’un génocide, au tout début du XXe siècle, dans ce qui était alors la colonie allemande du Sud Ouest africain. Elle découvre alors l’existence du Blue Book, un rapport anglais sur les exactions des allemands. Submergée par l’horreur, elle décide de partager ces connaissances avec le grand public, et nous raconte un génocide occulté quasiment jusqu’à son centenaire, en 2004.



Dans ce livre, l’auteure revient aux origines de la colonisation allemande au Sud-Ouest de l’Afrique, à partir de 1883. Elle retrace les différentes étapes de l’installation des colons, et de la répression qui se durcit peu à peu envers les populations indigènes. Une répression qui donnera lieu à une rébellion des Hereros, l’ethnie la plus importante du pays. La réponse allemande, orchestrée par le général Lothar Von Trotha, n’est rien de moins qu’un génocide. Les Hereros doivent tous mourir, femmes, enfants et vieillards inclus. Puis viendra le tour des Namas, seconde ethnie du pays. En quelques années, ces peuples brillants et cultivés sont décimés, puis internés dans des camps de travail.



Ce qui fait froid dans le dos, en dehors des horreurs commises, c’est cette impression d’une répétition générale de ce que le régime nazi reproduira quelques décennies plus tard. Les hommes qui ont inspiré Hitler ou le docteur Mengele ont fait leurs premières armes en Namibie. (On sait néanmoins que les allemands n’ont pas inventé cela tout seuls, quelques années plus tôt les britanniques mettaient en place des camps de concentration en Afrique du Sud, et les belges ont meurtri le Congo). Des hommes capables de supprimer un peuple déclaré inférieur, tout en créant des parcs naturels pour sauvegarder des espèces animales rares. Enfin, pour parachever le tout, l’auteure nous raconte la manière dont ces événements ont été étouffés, occultés avec la complicité des autres puissances coloniales, pour ne resurgir qu’à l’aube des années 2000.



L’auteure nous conte horreurs et violences, mais elle le fait avec toute son humanité. Elle n’a pas écrit ce livre comme un documentaire, mais comme un roman, même si les faits sont réels : elle imagine les réactions des Hereros et des Namas, ce qu’ils ont pu avoir dans la tête et dans le cœur. Elle s’identifie à eux. Cela n’atténue pas l’horreur, mais génère une profonde empathie. Le livre est écrit dans un langage simple, rendant accessible à tous la connaissance de ces événements, il ne se destine pas à un public de spécialistes.



Ainsi, cet essai écrit avec le cœur nous en apprend beaucoup sur le génocide perpétré en Namibie, et son lien avec la doctrine nazie. Un génocide longtemps ignoré du grand public, avec la complicité des grandes puissances. Une lecture éprouvante mais importante, au nom du devoir de mémoire. Et ce même si, j’en suis sûre, nous ignorons encore une grande part des brutalités de la colonisation. Mais ce livre-là a le mérite d’exister, et il est extrêmement intéressant.
Lien : http://romans-entre-deux-mon..
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Le garçon qui volait des avions

J'ai bien aimé ce livre inspiré d'une histoire vraie: les aventures d'un adolescent Américain qui adorait les avions
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Banksy et moi

Darwin vit seul avec sa mère dans un quartier en complète réhabilitation. Tous les jours des gens sont expulsés des squats où ils vivaient pour laisser place à des logements neufs qu'ils seront incapables de s'offrir. Un matin sur le mur gris situé en face de chez eux, Darwin et sa mère découvrent un graf de Banksy, un artiste engagé...



Un court roman très agréable à lire. Dans le quartier de banlieue, un peu en marge de la société vit toute une population que l'auteur à la suite de Darwin nous fait découvrir. Chacun avec son histoire, sa richesse cherche sa place dans ce monde en bouleversement.



Pour tous dès la 5e

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La cité des filles-choisies

Ca aurait dû m'interesser, et je suis passée à côté ! Empire inca, une jeune fille qui va être choisie pour aller à Cuzco pour l'Empereur va vivre l'invasion des espagnols.



Je n'ai pas aimé le styled'Elise Fontenaille dans ce court roman.

En fait, j'aimerais qu'elle produise moins mais qu'elle détaille, approfondisse les personnages, les intrigues de ses romans. C'est trop court, on sent qu'elle se documente, mais elle aurait pu aller plus loin....
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Les trois soeurs et le dictateur

J'ai beaucoup aimé ma lecture de Les Trois soeurs et le dictateur, qui m'a permise de découvrir un fragment de l'histoire d'un pays que je ne connais presque pas : la République Dominicaine. On sent qu'Elise Fontenaille, dans ce roman, avait vraiment envie de raconter cette incroyable histoire vraie, et elle ne s'attarde donc pas beaucoup sur le personnage de Mina, nous livrant le minimum de détails. Ce livre, très court, ce lit vraiment pour le destin de ces trois soeurs, véritables héroïnes de ce roman, la visite de Mina à Adela n'étant qu'un prétexte pour découvrir ce récit. ça ne me gêne pas qu'Elise Fontenaille ne s'attarde pas trop sur Mina car j'ai bien aimé découvrir le destin de ces trois soeurs et je suis contente de connaître maintenant cette partie de l'histoire de la République Dominicaine. Je pense qu'Elise Fontenaille raconte très bien cet événement historique, avec un récit qui est vite prenant par la gradation des événements qu'il raconte, conduisant au drame inévitable.
Lien : http://www.lirado.fr/trois-s..
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