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Citations de Elizabeth Gaskell (736)


… Mlle Matty se coucha peu après sept heures afin d'en terminer le plus vite possible avec la nuit. » p 178
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… les dames répètent : « quand je me marierai », alors que les messieurs, eux, s’en tiennent à « si je me marie un jour ». La plaisanterie était faite non sans tristesse, et je me demande si l’une des deux eut cœur à sourire. » p 208
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« Mon père, reprit-elle, nous obligea autrefois à tenir un journal avec deux colonnes. Dans l’une, nous devions mettre le matin ce que nous pensions devoir attendra de la journée à venir et le soir dans l’autre inscrire ce qui se serait effectivement passé. Pour certains gens, ce serait une manière assez désolante de raconter leur vie. » » p 209
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… savez-vous que parfois je rêve que j’ai un petit enfant – toujours l même – une fillette d’environ deux ans ? Elle ne vieillit jamais, bien qu’elle soit dans mes pensées depuis des nombreuses années. Je ne crois pas que lui prête des mots ou des sons, Elle est très calme. On ne l’entend pas. Mais elle vient vers moi quand elle a un gros chagrin ou une grande joie, et je me réveille avec ses chers petits bras noués autour de mon cou. » p 210
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Nous mîmes plus de temps que d’habitude ce soir-là à allumer la bougie et, aussi longtemps que cette lumière ne nous fit pas honte de notre silence, nous restâmes toutes deux taciturnes et tristes. » p 246
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Moralement parlant, je dois vraiment être une espèce de kangourou !
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Avec les jeunes gens d'un age aussi tendre, il n'est pas rare de voir l'appétit et l'amour jouer à la balançoire...
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Comment diable un homme peut-il avoir envie d'élever une fille ?
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N'avez-vous donc pas encore découvert que les hommes ont le plus grand mal à suivre leurs propres préceptes?
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Napprenez pas trop de choses a Molly; elle doit savoir coudre, lire, écrire et calculer; mais je veux qu'elle reste une enfant et si je juge désirable de l'instruire davantage je veillerai à y pourvoir moi-même. Car, voyez-vous, je ne suis pas si sûr qu'il soit nécessaire de savoir lire et écrire. Plus d'une excellente femme se marie en signant son nom d'une simple croix; à mon avis, I instruction ne sert qu'à diluer l'intelligence naturelle; mais nous devons, cependant, nous incliner devant les préjugés de la société, Miss Eyre, en sorte que vous pouvez lui apprendre à lire.
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"Le plus petit objet auquel on dit adieu
N'a plus sa petitesse à l'heure du départ."
Elliott
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Il est le premier industriel, le premier homme engagé dans le négoce qu'il m'ait été donné d'observer, papa. C'est comme ma première olive : permets-moi de faire une grimace en l'avalant.
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Ceux qui l'ont connue la décrivent comme une enfant grave, sérieuse et tranquille qui faisait plus que son âge. Son enfance ne fut pas une enfance. Il est rare que ceux qui possèdent des dons particuliers connaissent la bénédiction de cette époque insouciante : leurs dons extraordinaires agissent en eux et, au lieu de la normalité d'une vie de perception - objective, comme disent les Allemands -, ils débutent par une vie profonde de réflexion - subjective.
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La présence de la maladie et de la mort nous affine, aussi longtemps que nous sommes sous son influence. Il y a des moments où nous n’avons envie ni d’élever la voix, ni de nous quereller ; nous nous détournons des choses terrestres, parce qu’un sentiment interne de respect envers la présence plus proche du monde invisible, nous fait envisager, avec calme et sérénité, les petits incidents de la vie.
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La bergamote et la citronnelle, bien que d’essence végétale, n’en étaient pas moins proscrites par lady Ludlow ; elle les considérait comme trahissant des goûts peu élevés chez les personnes qui en faisaient choix, et remarquait avec tristesse une petite branche de l’une de ces plantes à la boutonnière d’un jeune homme à qui elle s’intéressait : elle avait peur qu’il n’aimât les plaisirs grossiers, et je crois qu’elle y voyait la preuve d’une tendance à l’ivrognerie.
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- Voyons, jamais Margaret n'envisagerait de s'attacher à un homme tel que lui, j'en suis certain. Jamais une idée pareille ne lui a traversé la tête.
- Il suffirait qu'elle lui ait traversé le cœur.
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Elle me sourit à travers ses larmes. Elle aurait voulu que je voie seulement le sourire, non les larmes.
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La lettre de mon père ne se distinguait en rien de ce qu’on écrit quand on est un homme, autrement dit elle était très plate…
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[...] on n’a pas besoin d’être toujours du même avis pour s’aimer parfaitement.
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- [...] J’ai envie quelquefois de me tourmenter pour devenir un peu plus mince ; mais cela n’avance rien, c’est contre ma nature ; aussi je me remets à rire et à engraisser. Je serais bien contente d’être un peu inquiète et de maigrir assez pour ne plus étouffer dans mes robes, que ces couturières font toujours trop étroites.
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