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Critiques de Elvire Murail (471)
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Le petit cœur brisé

On se laisse emporter par ce roman qui met en scène une sombre histoire familiale.

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La chambre du pendu

Encore un Moka que j'ai relu suite à conversation sur Babelio !

Je m'en souvenais comme d'un de mes préférés, notamment à cause de son humour.

J'avais oublié combien les romans de Moka peuvent être noirs, même en collection Médium !

Ici, il y a une histoire de secret, pas vraiment de famille mais presque, parfaitement sinistre et tout à fait haletant.

Mais l'humour présent tout le long de l’histoire apporte une légèreté et permet de lire avec grand plaisir.

Il y a un vrai suspens, même si on peut deviner certaines choses, on est obligé d'avancer dans sa lecture car on veut savoir la suite !

Si vous ne connaissez pas encore les livres jeunesse de Moka, n'hésitez pas !
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La prophétie de Venise

La Prophétie de Venise initie une série d'enquêtes teintées de surnaturel qui s'annonce prometteuse ; on suit les pérégrinations des personnages avec grand plaisir, dans les fils de cette difficile enquête. Le roman plaira, à n'en pas douter, tant aux jeunes lecteurs qu'à leurs parents !
Lien : http://encres-et-calames.ove..
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Jusqu'au bout de la peur

Le titre dit tout .........En lisant ce roman, nous irons jusqu'au bout de la peur . !
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La prophétie de Venise

Maxime Dancourt est détective. Un jour, il est engagé par un richissime notable pour enquêter sur le meurtre mystérieux de sa petite-fille qui a eu lieu... 16 ans auparavant !

Mais Maxime est aussi père. Et son fils, Lubin, est un ado aussi brillant que pénible. Ce dernier parvient à faire accepter à son père de le laisser enquêter à ses côtés sur cette étrange histoire.

J'ai beaucoup apprécié ce livre. L'intrigue est bien ficelée, les personnages originaux, l'écriture fluide.

L'histoire est particulièrement bien trouvée. Elle mélange fanatisme et surnaturel. Personne n'est tout blanc ni tout noir dans ce roman. Chaque personnage semble être investi des meilleures intentions tout en commettant d'horribles actes.

A lire !
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Trois pommes

Mathilde adore ses quatre grands-parents, mais... car il y a un mais, elle supporte difficilement le fait qu'ils ne soient jamais d'accord et que cela entraîne des disputes. Elle a beau savoir que c'est parce qu'ils ont tous une origine différente (Grand-mère Morgane est Bretonne; grand-père Helmut, Allemand; grand-mère Ingrid est Suédoise et enfin grand-père Michel est Parisien!!!), elle n'est pas contente du tout de devoir aller passer quelques jours avec eux dans la maison de campagne de ses parents. Alors, dès la première altercation, elle sort en douce dans le jardin. C’est là qu’elle découvre un petit nain grincheux qui a perdu la mémoire. Elle le prénomme Trois-Pommes et le conduit auprès de ses aïeuls. C’est le début d’un grand voyage car chacun voudra ramener le nain dans sa propre région à laquelle il est certain que le nain appartient. Tout au long de ce périple, Trois-Pommes fait preuve de mauvaise humeur, refuse d’y mettre du sien et fait plein de bêtises. A l’issue du voyage, il est décidé qu’il restera dans la maison de campagne à la condition incontournable qu’il se calme enfin et ne paraisse jamais face aux parents de Mathilde.

Mon avis : Ce roman première lecture se lit très vite et est agrémenté de sympathiques illustrations en noir et blanc. Je dois pourtant reconnaître qu’il ne me laissera probablement pas un grand souvenir.

Public : à partir de six ans.
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Pourquoi ?

Wafa, 14 ans, petite fille raisonnable et obéissante prend la fuite de sa ville bretonne natale et emmene avec elle sa petite sœur Makeda dont c'est bientôt le 6eme anniversaire.

Pourquoi?

Pourquoi les femmes de leur famille ont-elles toujours ce regard triste?

Faut-il parler à quelqu'un de la disparition de Wafa et Makéda?

Ce sont les questions que se posent Cali et Abdourahim les petits frères de Wafa.

D'autant que leurs parents refusent d'en informer la police. Faut-il parler? se taire? Au risque de rendre très en colère leur grand-mère qui vit avec eux et qui se trouve être le chef de famille.

Un Moka différent des précédents puisque la peur n'est pas au rendez-vous. On veut juste comprendre ce qui se passe!

On suit Wafa et Makeda dans leur escapade à Paris et en même temps, les questions de plus en plus nombreuses que se posent leurs frères.

Personnellement, j'ai été très surprise par la fin et j'ai beaucoup aimé ce roman qui aborde des sujets de sociétés qui sont très importants encore et toujours dans notre monde contemporain.

Encore une fois, bravo!
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Vilaine fille

Romane est en 6ème, elle a du mal avec les maths, alors elle triche (un peu) sur sa brillante voisine. Elle adore les bijoux, mais dépense son argent de poche au fur et à mesure en bonbons... aussi est-elle très tentée de glisser cette jolie broche-lapin dans sa poche... Bref, elle a bien des défauts, mais aussi une conscience qui ne la laisse pas en paix. Alors, quand elle est injustement accusée de vol, ou qu'elle est récompensée tandis qu'elle estime ne pas le mériter, tout va mal...

Un mignon roman sur les bêtises de la pré-adolescence, les remords qui les accompagnent (parfois)... Bien vu : la séance piscine du collège avec déshabillage dans le vestiaire collectif, sans respect pour la pudeur des jeunes filles... Mais c'est parfois caricatural : le personnage de la grand-mère...



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Ah, la famille!

Oui, les enseignants mettent parfois les parents dans l'embarras quand ils demandent aux élèves de travailler sur leur généalogie : "A quoi pensent les maîtresses quand elles vous donnent des devoirs pareils ?" (p. 16). C'est l'occasion ici de déterrer des secrets enfouis, des tabous familiaux, des sujets qu'on évite soigneusement "parce que les enfants sont encore trop jeunes pour comprendre".

Ce petit roman fourmille de réflexions intéressantes, à lire avant/après votre enfant pour en discuter si le sujet vous touche aussi.



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Possession

Après avoir passé deux mois en « maison de repos » suite à un traumatisme (sa grande sœur est morte en tombant du toit de la maison familiale). Malo rentre chez lui, dans une ambiance non seulement chargée du deuil mais aussi d’autre chose de très pesant, voire angoissant… Les membres de sa famille sont de plus en plus étranges et la maison semble avoir une emprise sur eux. Heureusement, il rencontre Alice, à qui il va pouvoir confier ses doutes.



Un bon petit récit d’épouvante pour lecteurs d’une douzaine d’années. Le style est fluide, les personnages attachants, on a envie de connaître la suite.

Idéal pour les jeunes amateurs d’histoires de maison hantée.
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Oh ! Pénélope, tome 1 : Qu'est-ce qu'on atten..

Ma fille étant en sixième, je trouve ce livre très adapté à ce qu’elle ressent.

Ce qui est sûr, effectivement, nous n’avons vraiment pas la même génération, en si peu de temps, tellement de changements !!

Nous avons beaucoup de difficultés à comprendre l’ennui de nos enfants, ils ont tellement tout et ne s’en rendent pas compte.

Quoi qu’il en soit, je recommande ce roman.



Pénélope fait sa rentrée en sixième.

Elle a la chance d’être avec son amoureux Artus, le bel italien, qu’elle fréquente depuis le CM1, très complices tous les deux.

Elle a aussi une meilleure amie, Suzanne, et une nouvelle amie, Scarlett.

Pour un différent avec une professeure, Pénélope prend deux heures de colle avec son amie.

Par hasard, elles découvrent deux enfants fouillant dans les poubelles de l’établissement, à la recherche de nourriture.

Il n’en faut pas plus à Pénélope pour se lancer dans une enquête, son empathie étant trop forte.

Elle se posera énormément de questions et regardera son assiette de cantine différemment.



Un roman très complet, prenant en compte des tas de sentiments différents liés à nos adolescents, et où on y aborde le sujet délicat du gaspillage alimentaire, et aussi de la maladie, telle que la schizophrénie.

Eh oui, tout n’est pas rose dans la vie !
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Kinra girls, tome 1 : La rencontre des Kinra

J'ai lu quelques tomes de cette série sur les conseils d'une amie (la même qui m'a conseillé de lire "Harry Potter", il FAUT que j'arrête de l'écouter), alors je vais faire une critique générale de la saga.



Pour commencer, ce principe du pensionnat m'insupporte, il restreint les possibilités d'histoire. Mais peut-être aurais-je un jour une bonne surprise qui me fera changer d'avis. Ensuite, on nous dit que l'académie Bergström est une école d'art...mais Alexa fait de l'équitation, ce qui n'est pas comptabilisé dans les arts.



Les relations entre les personnages sont juste SURRÉALISTES. Les gamines se connaissent depuis une semaine et se déclarent déjà meilleures amies pour la vie, avec un code secret pour contrer "les pestes". Mais à part, les pestes, tout le monde est gentil. Les caractères des personnages sont calqués sur les stéréotypes concernant leur peuple :

-Idalina est espagnole et européenne, donc elle est romantique, fragile et tourte. C'est sûr qu'en France, en Italie et en Espagne, on passe son temps à jouer de la mandoline en contemplant la tour Eiffel. Dans ces pays, ce sont tous des obsédés sexuels (bah oui, ils sont pas puritains), qui déguisent leurs cochonneries derrière du romantisme !

-Alexa est australienne, donc aventureuse et moderne. Elle passe son temps à se mettre en danger et à commandailler les autres. Quelle leadeuse ! Ah, et aussi, elle maîtrise les techniques de pistage aborigène, tout en étant bien blanche et bien blonde (et bien chrétienne ?).

-Naïma est afro-américaine (mais pas descendantes d'esclaves, attention : son père est américain blanc et sa mère est née en Afrique), donc hé ben, elle est douée pour le cirque ! Vive le racisme !

-Rajani vient d'Inde, fait de la danse et, évidemment, est la petite-nièce d'un maradjah régnant. L'auteur remercie Fritz Lang dont les films "Le tigre du Bengale" et "Le tombeau hindou" lui ont fourni toute sa documentation sur le sous-continent indien.

-Kumiko est une chinoise japonaise qui dessine bien, parce que l'auteur a entendu parler des estampes que faisaient ces bridés communistes shintoïstes.

-Le Brésilien dont j'ai oublié le nom est un séducteur armé d'une guitare.

-L'Amérindien de service est gardien de nuit (qu'est-ce qu'un sauvage pouvait être d'autre ?), attribue des totems aux héroïnes et parle par énigmes.



Et l'intrigue, dans tout ça ? Ma foi, il n'y en a guère. Les histoires secondaires et les pseudos-découvertes des autres cultures sont tellement nombreuses qu'on oublie totalement quel est le fil rouge de la série. Même mon amie, qui a lu tous les tomes je crois, n'est pas capable de me restituer l'intrigue principale en entier et clairement, c'est dire ! D'après ce que j'ai compris, il y a une histoire de cheval maltraité (houlà, la SPA a fait du lobbying ?) et de lion d'or laissé par les propriétaires du château qui aurait inspiré un automate de Léonard de Vinci. Et il y a un rôdeur qu'on arrive jamais à démasquer.



Sérieusement, l'intrigue avance au mieux à pas d'escargots et au pire pas du tout. On enchaîne les clichés sur les peuples et les cultures non-américains du nord et non-australiens, on enchaîne les histoires inintéressantes et cousues de fil blanc, on enchaîne les morales débiles et on enchaîne les phrases mal tournées.



C'est plat, c'est mal écrit, c'est vaguement sexiste, c'est carrément raciste...c'est...c'est...c'est nul, même si cette appréciation n'est pas très constructive.
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Ma vie de star

Oui, "un livre pour enfants qui aiment déjà lire tout seuls". Mais qu'il serait bon que les parents qui poussent trop leurs enfants prennent aussi entre les mains. Remettre l'essentiel en avant-plan. Que le superficiel reste à une place mineure. Sans doute plus que jamais utile dans ce monde d'images et d'artifices, qui pèsent trop lourd.
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Possession

La petite histoire

Malo rentre à la " maison" après son séjour en soins psychiatriques. Le retour est compliqué dans ce lieu chargé d'émotions, de tensions...

Mon avis

Deux + ( dièses) pour l'ambiance très bien retranscrite et angoissante et le personnage de Malo. Un - (bémol) pour la fin décevante et précipitée.
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Un sale moment à passer

Nous retrouvons donc une protagoniste vivant pendant quelque temps dans un hôtel, étant donné que l'endroit où elle vivait à brûler (et s'en suit après de petites aventures...).



Je n'étais pas forcément prise dans l'histoire au début, cependant, la lecture étant assez simple (c'est logique étant donné que c'est un livre destiné pour la jeunesse bref) et le peu de chapitres qu'il y avait, je me suis dit qu'il fallait continuer.



Et je ne suis pas déçue de ce choix.



Je me suis retrouvée à m'attacher à la protagoniste (alors que ce n'était pas le cas au départ) et je me suis laissé embarquer dans cette petite histoire avec un mystère à résoudre.

Étant une grande fan des thrillers etc.. Ce petit mystère prend une tournure plus importante au fur et à mesure de la lecture, ce qui m'a vraiment plu &#xNaN;

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Golem, tome 2 : Joke

Au début de ce tome 2, je trouvais que l'intrigue n'apportait rien de nouveau, et puis les personnages secondaires ont progressivement pris de l'ampleur, multipliant les points de vue et ramifiant l'action principale. On suit toujours Jean-Hugues, le prof de français qui a "13 ans d'âge mental" et le petit Majid avec sa ribambelle de copains des Quatre-Cents (Samir, Sébastien, Aïcha, Lulu), mais viennent s'ajouter Nadia, la jolie prof de SVT qui zozote, Albert le concepteur du jeu Golem, Miloud et Rachid les cousins pas nets de Samir, et tous les truands de la MC: Karl et Eddie les tueurs à gages, BMW le gérant du Mondiorama, et même l'étrange PDG de la Mondial Compagny, M. William le nain obèse. Après Joke le monstre électrique et Bubulle le dragon, c'est au tour de Natacha la guerrière de se matérialiser dans la réalité... Le roman est ainsi animé par toute une flopée de personnalités qui rendent le récit très vivant.



Comme dans le tome 1, on oscille entre cauchemar (avec l'invasion des créatures de Golem, les scènes d'action autour des tueurs à gage, la manipulation mentale orchestrée par la MC) et une bonne dose d'humour car maintenant que "réel et virtuel s'emmêlaient", les héros plongent en plein "délire schizophrène"! Le comique atteint son apogée avec l'épisode du Mondial aréna, grand rassemblement de joueurs de jeux vidéo organisé (et ridiculement animé) par Bernard-Martin Weber ("Il est électrique! Il est électrique!") ainsi qu'avec le conseil de classe jubilatoire des 5e6 qui part en cacahuète à cause du pétage de plomb de Jean-Hugues, Nadia et Sébastien ("Y'en a beaucoup des comme ça dans l'enseignement?").



A la fin du livre, on est donc "de plus en plus mal"... Reste à savoir comment les héros viendront à bout de la multinationale "qui possède un quart du monde"!
Lien : https://www.takalirsa.fr/gol..
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Golem, tome 1 : Magic Berber

J'ai découvert la première édition de cette histoire il y a une quinzaine d'années et j'en gardais un très bon souvenir, alors quand j'ai vu qu'elle était rééditée, je me suis empressée de la racheter et de la relire! J'ai à nouveau été emballée par l'intrigue entre légende et nouvelles technologies, se déroulant dans le milieu plein de vie des cités, et associant surnaturel et humour.



Le point de vue alterne entre les différents personnages, donnant tour à tour la parole à Jean-Hugues, jeune prof de français "no life", accro aux jeux vidéo, qui vit toujours avec sa mère, et à l'un ou l'autre de ses petits élèves chahuteurs. J'ai beaucoup aimé la maman de Majid, Emmé, femme touchante faisant de son mieux pour apprendre le français et s'intégrer, et qui encourage son fils à travailler (en vain) afin qu'il ait un meilleur avenir que ses parents. Avec la petite Aïcha, on découvre "les conditions de vie très dures" des jeunes filles des cités, sous l'emprise d'un père violent et corvéable à merci chez elle, ce qui ne lui laisse pas la possibilité de s'investir dans sa scolarité. Quant à Samir "la forte tête" qui trempe dans les trafics illégaux de ses cousins, il va se révéler un frère protecteur et aimant avec sa petite sœur handicapée, Lulu.



Au départ il est juste question d'un jeu vidéo pirate qu'on ne trouve que sur internet et qui obsède Majid puis Jean-Hugues ("Te mettre dans des états pareils..."). Etrangement, le jeu propose des missions, des armes et des décors différents selon les joueurs. Et puis le roman prend une tournure fantastique inquiétante avec "des bruits infimes, une sorte de présence, de l'électricité statique" qui vont se concrétiser dans "le monstre des caves" de l'immeuble des collégiens. Clairement, il y a un lien entre le jeu et "la forme blanche qui lance des étincelles"... Mais d'où viennent-ils l'un et l'autre? Jusqu'où peut aller le pouvoir du monstre électrique? Et surtout, comment le combattre?



Quand Samir décide de faire appel à "ce bouffon de Sébastien", le premier de la classe qu'il méprise mais qui est spécialiste des phénomènes paranormaux, on se dit que l'aventure réunit peu à peu dans une belle solidarité des individus qui s'évitent au quotidien. Jean-Hugues a beaucoup de mal à tenir ses 5e6 en classe, comme en témoignent plusieurs scènes entre humour et désespoir. Mais là, ils se retrouvent tous ensemble "embarqués dans une drôle d'histoire" et l'entraide est indispensable pour s'en sortir.



J'ai vraiment beaucoup apprécié le ton du livre, tour à tour drôle (le prof qui se comporte comme un gamin chez lui, tombe amoureux de sa "golémette" Natacha; les attaques à peine déguisées envers l'hypermarché Mondiorama; l'obsession des petits comme des grands pour la pâte à prout; l'accent de Mme Badach...) puis plein de tension et de mystère dans les épisodes fantastiques. La fin du tome est même terrifiante car les protagonistes, qui "se prenaient pour Dieu" devant leur ordinateur, sont en train de devenir "esclaves du jeu" qui les domine toujours plus, y compris dans le monde réel... Vite, la suite!
Lien : https://www.takalirsa.fr/gol..
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Kinra girls, tome 1 : La rencontre des Kinra

J'ai reçu ce livre à l'occasion d'une Masse Critique Babelio. Sans ça, je pense que je ne me serais jamais lancé dans la lecture de ce livre que je ne connaissais pas du tout.



Dans ce premier tome, nous assistons à l'arrivée de 5 jeunes filles, provenant de pays différents, à l'académie internationale Bergstrom. Chacune d'elle y est afin d'intégrer une classe où elles pourront travailler sur leur passion : la danse, la musique, l'art, le cirque et l'équitation. Fraîchement arrivée, elles vont se rencontrer pour la première fois et leur amitié ne fait aucun doute.



Il s'agit d'un petit livre jeunesse vraiment sympa. L'histoire est intéressante, et c'est une belle histoire d'amitié qui commence. La fin duu premier tome donne vraiment envie de découvrir les suivants. Les illustrations sont très réussies, et c'est un véritable plaisir de lire ce livre.
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Kinra Girls, tome 8 : Le Royaume des Ombres

Comme tout les autres livres de la série,

je n'ai pas du tout aimée.

C'est un livre pas du tout accrochant.

Il ne fait pas partis de mes livres préférés.



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L'écolier assassin

Une lecture dont je n'attendais pas grand chose et qui, au final, s'est révélée être un excellent roman jeunesse.

L'autrice a été capable d'instaurer et de conserver tout au long du récit, une atmosphère de mystères et de magie assez glaçante.



J'aime assez le fait que l'on se concentre sur le mythe de la sorcière rebouteuse des campagnes, c'est un agréable retour aux sources qui n'est pas vraiment "à la mode" dans les lectures dédiées à la jeunesse.

De pus, les personnages sont assez appréciables et nous entraînent dans le récit très facilement.



Cependant, j'ai trouvé que la fin était précipitée, voir torchée. Seulement 5 pages alors que 10 de plus auraient permis une fin plus propre et au niveau du reste de l'histoire.


Lien : http://audreybookoverlife.ov..
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