Erik Orsenna

J'avais adoré mme Ba mais je me susi ennuyée en lisant cette suite

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Onze ans après Madame Bâ, Orsenna donne une suite aux aventures de son personnage éponyme. Pédagogique et jubilatoire.
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Erik Orsenna revient au roman avec Mali, ô Mali, un conte lucide qui n'épargne aucune de nos illusions.
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Un récit haletant, au quatre coins du monde servi par une grande plume et une grande gueule (si l'on peut se permettre cette expression en parlant d'Orsenna). A lire et à relire

Son récit est allègre, léger, merveilleux comme celui d’un conteur doué mais aussi amer. Elle n’épargne personne. Nous avons besoin d’Afrique et de Mme Bâ. Lisez son histoire, vous serez enchantés.
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J'avais lu le précis sur l"eau. Le coton est aussi intéressant. Orsenna raconte ses voyages et c'est passionnant

A quand un grand roman comme Longtemps ou mme Ba. C'est interessant mais j'ai hâte de lire un vrai roman pour adulte.

Livre très intéressant, conduisant nécessairement à une réflexion sur la mondialisation et ses conséquences.

Livre intéressant qui nous donne envie d'en savoir plus. J'aurais aimé une recherche un peu plus poussée qui détaillerait plus les tenants et aboutissants.

J'ai parfois aussi un peu de mal avec le style de l'auteur qui est un peu trop imagé à mon goût et qui peut gêner la compréhension immédiate et donc la fluidité de la lecture.

Néanmoins, c'est un livre qui a le mérite de porter à la connaissance d'un large public, l'enjeu et les stratégies fabriquées ainsi que les conséquences du commerce du coton.

Un livre que je recommanderai donc volontiers.

Ce livre ressemble dans sa forme à un autre livre d’Orsenna, La grammaire est chanson douce. Plus qu’à simple roman, c’est un essai ludique sur l’histoire de la guitare. C’est vrai que d’habitude,
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Une histoire sans fin, cyclique, riche en allégories et métaphores, que l’on feuillette avec bonheur.
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J'ai cru reconnaître dans ce roman des passages autobiographiques. Ce n'est ni un mauvais livre ni un excellent texte. Je suis restée sur ma faim, un peu déçue, je m'attendais à beaucoup mieux.
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Notre écrivain-reporter a fait le tour du monde pour parler du papier. Un sujet vieux comme le monde, nouveau comme l’avenir le plus pointu.
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Orsenna affronte les grands froids, les mauvaises odeurs et les irascibles, se passionne pour les emballages, les déchets et le recyclage, s'enflamme, enfin, pour les hautes technologies [...].
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Vous n'ignorerez rien du papier, corps et âme: dans ce troisième tome de son «Précis de mondialisation», le nouvel encyclopédiste Orsenna rend hommage au papier matière comme au papier support, à la feuille comme à la page.
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Erik Orsenna n'oublie jamais le lecteur en route : son livre fourmille d'anecdotes et sa plume enjouée, sans chichis, en fait une balade passionnante, aux antipodes du pensum […].
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