François Place

Ce roman jeunesse entre lice pour le concours des Incorruptibles 2022-2023 auquel je participe avec une classe de quatrième.

Une jeune héroïne de seize ans, marquise de son état et orpheline, est libérée de son couvent pour être conduite, contre son gré, à l’autel d’un mariage arrangé par son tuteur cupide. Mais l’attaque de son carrosse lui permettra de s’échapper. Un peu comme dans Jacques le fataliste et son maître de Diderot, la fuite de l’héroïne permet à deux hommes de se rencontrer, de se lier d’amitié et de se narrer leurs aventures. En effet, il y a dans ce récit plusieurs histoires enchâssées qui tiennent en haleine les lecteurs puisque le récit emprunte plusieurs chemins, faisant écho à la difficulté de retrouver la jeune femme et marquant ainsi les jours qui passent. Dans cet univers hostile où vivre est une épreuve quotidienne, une grande place est faite à la superstition et l’obscurantisme qui légitimisent des actes abominables par des foules en délire qui se repaissent de la mise à mort d’autrui, surtout quand il s’agit de brûler une sorcière trop jolie au goût de certains.

La poétique de ce roman est au service du rythme et de la sonorité des événements : les mots claquent comme les sabots des chevaux sur les pierres, ils tranchent comme les épées ou glacent le lecteur comme la pluie nocturne ou le brouillard matinal. Rien n’est de trop dans ce récit jeunesse qui ne cherche pas la séduction par des temps ou du vocabulaire simplistes ou un lexique trop moderne pour relater une histoire du temps passé. J’espère que ce très bon roman retiendra l’attention de mes élèves.

Olympe est une jeune fille fort plaisante, courageuse, et qui ne s'en laisse pas compter du haut ses 16ans. On a dès le départ beaucoup de compassion pour elle, et on la soutient dans ses aventures, on la plaint quand il lui arrive malheur. Elle nous emmène vraiment avec elle dans tous ses détours.

J'ai beaucoup aimé le personnage de Décembre qui est plein d'humour et qui dédramatise et détend un peu les situations compliquées. Entre lui qui est drôle, Oost qui est un peu benêt, et Olympe qui est flamboyante et courageuse, on suit un trio vraiment complémentaire et qui fonctionne à merveille.

Si on tient compte des nombreux rebondissements, et des personnages qui évoluent au fil de l'histoire, on a tout les ingrédients pour passer un bon moment.

Olympe est au couvent depuis quatre ans, et la mort de son père, quand son ami d’enfance, le jeune comte Foulques de Saint-Mesmes, fils de son tuteur, vient la tirer de sa presque prison. Mais elle apprend hélas très vite que c’est pour l’épouser. Leur route est rapidement coupée par deux malfaiteurs, des jumeaux, Hercule et Ulysse, qu’heureusement un grand homme borgne, Décembre, parvient à désarmer et à attacher à un arbre. Mais pendant ce guet-apens, la jeune Olympe s’est enfuie dans la forêt. Le jeune comte promet à Décembre de l’argent s’il récupère la jeune fille. Décembre se met donc à la poursuite d’Olympe, et parvient à la retrouver au moment où elle dérobe les affaires et le baluchon d’un jeune homme, Oost, qui était en train de se baigner dans un ruisseau. Les deux hommes vont continuer la route ensemble, et rapidement se rendre compte que la jeune fille est menacée d’un sort encore moins enviable qu’un mariage forcé… Un roman d’aventures, de bagarres, mais aussi de mystères et de sentiments, qui plaira aux élèves de quatrième, mais qui nécessite un bon niveau de lecture en raison des nombreuses descriptions, des énigmes parallèles, des personnages nombreux et bien dessinés, et d’un vocabulaire riche.

Un texte lu d'une traite et savouré, réminiscences de saveurs d'enfance qui rejoignent mes propres souvenirs par bien des côtés. Odeurs de poêle, de poussières de moisson, de fumier ; courbures de silhouettes travaillées par le rude labeur de la terre ; simplicité du quotidien ; capharnäum d'outils et d'objets cassés ; moments épiques dans la 2CV familiale... et surtout découvertes d'enfant vivant pleinement dans le présent de ses vacances d'été. Allié à une écriture tonique, fluide, ce texte est une pépite à découvrir !

J ai passé un bon moment en compagnie de ce roman.

L écriture est agréable et l histoire originale, un mélange de genres.

Un soupçon de magie aussi !

La description des événements à Londres, le pays en deuil après la mort de la reine est très réaliste,

J ai adoré me balader à Camden avec l héroïne, la jeune Sam, la suivre dans ses rencontres et ses aventures.

God save the queen!

si on chantait ! est un roman de 12 romanciers et romancières.

Ambre et Louis sont les meilleurs amis du monde . Pourtant

tout les sépare . Pendant que l'un s'ennuie dans un manoir

l'autre vit dans un minuscule appartement avec ses sept frères et soeurs. La soudaine disparition de leur mère va-t-elle bousculer la fratrie ?

Cette histoire est pleine d'actions et de fantaisie !

Georges

Ambre et ses 7 frères habitent dans un tout petit appartement, alors que Louis-Edmond et ses parents richissimes habitent un gigantesque manoir. Un jour, la mère de la petite fratrie disparait avec son nouveau copain...



J'ai bien aimé ce roman car j'aime l'esprit de groupe et je le recommande pour ça et l'aventure.

Pour nous accompagner à travers le confinement, les treize auteurs ayant écrit "Si on chantait" au profit du Secours populaire lisent chacun le chapitre qu'ils ont écrit.

C'est une expérience étonnante que d'écouter ceux qui nous font tant rêver habituellement avec leurs écrits. On commence avec Susie Morgenstern et son charmant accent, qui pose les bases de l'intrigue de ce "roman exquis" : l'amitié entre Ambre et Louis-Edmond en dépit de leur différence d'origine sociale. Après un magnifique clin d'œil aux pires séries télé importées des Etats Unis, Timothée de Fombelle introduit l'odieux personnage de Sébastien qui va consciencieusement détruire le fragile équilibre de la vie d'Ambre. Puis c'est au tour de Clémentine Beauvais de prendre un délicieux accent snob pour nous emmener chez Louis-Edmond. Les parents sont totalement clichés mais c'est hilarant ! Yves Grevet donne un tournant plus grave, mais heureusement Anne-Laure Bondoux trouve l'astuce qui va sauver la famille Adamantin. Dommage que Stéphane Michaka tombe dans les clichés jusque-là évités du majordome hautain et de l'assistant social belliqueux. En revanche incursion "méta" de Victor Dixen est savoureux.

J'adore la voix de Jean-Claude Mourlevat qui, il faut le rappeler, est habitué à l'exercice car il s'occupe lui-même des versions audio de ses livres.

En conclusion, si l'histoire est totalement invraisemblable, le projet est à la fois intéressant dans sa forme et au service d'une cause respectable.

Une lecture facile et agréable dont il serait dommage de se priver.

A travers la petite escale forcée de son héroïne, François Place nous entraine dans une étrange balade, à la fois rapide comme l’éclair (toute l’intrigue se déroule sur trois jours) et qui semble s’étirer à l’infini alors que les obsèques de la Reine Elisabeth figent tout Londres. Il y a ceux qui sont accablés par le chagrin, ceux qui ont toujours rejeté le faste de la couronne, ceux qui en profiteraient bien pour se faire un peu d’argent… en tous cas personne n’échappe au deuil national et à cette nouvelle absence qui semble presque inconcevable. Tellement inconcevable qu’il se met à neiger en avril.



Sam ne trouvera jamais la vieille dame mais elle fera bien d’autres rencontres dans la grande ville mise sur pause.



J’ai vraiment beaucoup aimé l’atmosphère que François Place instaure dans son roman, restituant tellement l’esprit britannique et cette Londres cosmopolite, pleine de traditions et de contradictions aussi. J’aurais pu passer des heures auprès de Sam à déambuler dans Camden, où les rencontres sont infiniment plus précieuses que les souvenirs qu’on dégote dans les boutiques cheap. On oscille toujours entre réalisme et surréalisme, et on se perd dans la ville tentaculaire sans se lasser…



Et c’est peut-être pour ça que j’ai été un brin déçue par le tournant que prend assez rapidement le roman. Les personnages se multiplient et j’avoue que j’aurais préféré qu’ils gravitent autour de Sam. Au lieu de ça, les points de vue s’additionnent, les intrigues se superposent et l’auteur a fini par me perdre après cette petite errance si séduisante… Dommage parce qu’individuellement, tous les personnages et les éléments de l’intrigue sont hyper intéressants, mais la multiplicité des points de vue a un peu cassé la connexion qui s’était faite entre Sam et moi.



Ceci dit, j’applaudis l’originalité de l’histoire et les choix de l’auteur en termes de représentation puisqu’il y a encore trop peu de romans jeunesse avec des héroïnes noires ou évoquant des parcours d’immigration difficile comme celui de Nour et de son fils Khan.



Voilà, voilà, un bilan en demi-teinte pour un roman avec une foultitude de bonnes idées et surtout une atmosphère géniale mais qui s’éparpille un peu trop à mon goût…
Lien : https://prettyrosemary.wordp..

Le format géant est impressionnant.



Nous salivons d'avance, nous, amateurs des illustrations de François Place.



Encore plus d'espace illustré offert par l'auteur, un joli bonus.







Noté en 4 ème de couverture, " Découvrez comment le petit royaume de Minotruche va éblouir le monde entier. Avec la participation exceptionnelle de la baleine".



Il va y avoir du guest d'exception, rien que pour vous lecteurs.







En 1ère de couverture, "comédie tragique".



Cela va mal finir, pensons-nous. Certaines belles histoires d'amour finissent mal, dit une chanson connue.



Personnellement, nous sommes prèts à ouvrir ce livre et à la vivre cette histoire.







La présentation fait sourire, les héros s'alignent comme sur une scène de théâtre et c'est d'ailleurs le mode de narration qui sera choisi, celui d'une pièce de théâtre.



Donc, chut! Tournez la page et le rideau va se lever.







Le ton du texte est déja drôle, les personnages sont un peu désinvoltes, un poil naïf pour certains, un brin roublard pour d'autres, de quoi nous promettre un peu de facétie pour nous être agréable.



Il y aura du faste et peut-être un peu de ridicule.







Sigismond, neveu des fortunés Balthazar et Mirabelle, propose à ses protecteurs un banquet de renom, pour redorer le blason de la principauté de Minotruche.



Cela sera définitivement la fête incontournable, où l'on finira en plus d'y accueillir une monumentale baleine, toute fraîchement pêchée et prête à être goûtée.







Cela vous semble gros?



Sigismond ira t-il au bout de son projet?



Le neveu ne semble pas rechigner à la dépense, de la fortune de tonton et tata, rien que d'en parler.



Sigismond dit: construction d'un viaduc pour acheminer la baleine, rien n'arrêtera la folie des grandeurs de Minotruche et cette construction qui traversera tous les pays voisins.



Le monde parle déja du Marquis de la baleine et ...en rit déja.



C'est tragique, pour Minotruche, que l'on se torde de rire et c'est un régal pour le lecteur.



Nous attendons le moment où des lecteurs se sentirons inspirés de jouer cette pièce très enlevée.



En attendant, bonne lecture.

Un format tout en hauteur qui permet d'obtenir des double-pages carrées qui nous font le récit d'un prince africain qui va cheminer pour trouver son identité et calmer sa colère dû à son handicap qu'il n'arrive pas à assumer. Les dessins de François Place sont très expressifs et reflètent bien les états d'âme du prince. Couleurs chaudes et couleurs froides se succèdent pour encore une fois montrer la dualité de ce personnage, somme toute perdu, aveuglé par sa colère. Un petit conte de sagesse bien mené.

J'ai relu cet album jeunesse récemment, et j'ai retrouvé les mêmes émotions que dans mon enfance. L'histoire est très belle, très poétique et émouvante. Bien sûr, il y a un appel à la tolérance, à l'ouverture à l'autre, mais sans aucune leçon de morale appuyée, au contraire, le message passe par la douceur et par la mélancolie. Les illustrations rajoutent une part au rêve en guidant l'imagination.

J’ai aimé ce livre parce que le garçon Tojiro est patient. Il aime le dessin, il s’intéresse à tout.

Il y avait du vocabulaire difficile mais c’était compréhensible. Cela m’a donné envie de : dessiner, d’être plus patient, de m’intéresser à d’autres choses. Je vous le conseille vivement et bonne lecture ! Matthieu F

Le Prince semble avoir reçu tous les dons à sa naissance. Beau et fort, il excelle en tout, à la danse comme à la chasse et au combat. Mais, dès qu’il parle, il devient la risée de tous, car le Prince bégaie. L'orgueil du Prince enfle et se transforme en haine… Cet album poétique retrace un voyage initiatique de la guerre à l'amour en passant par la solitude.

Dans cet ouvrage joliment illustré, l'auteur nous fait découvrir un pays par lettre de l'alphabet. Pour chacun, il se place à travers le regard d'un personnage qui le parcourt et nous fournit donc une description précise de chaque élément de cette terre, qu'il soit géographique ou culturel ou légendaire. Ces descriptions, proche de celles réalisées par les explorateurs du XIXe s., sont teintées d'une subjectivité qui ancre le récit dans la réalité. Nous sommes donc face à un univers construit de manière cohérente et qui se croise régulièrement au fil des descriptions.

Enfin, le recours à un personnage différents pour chaque pays visité, qu'il soit indigène, qu'il le traverse ou qu'il soit missionné pour le visiter, donne à l'ouvrage l'aspect d'un recueil de contes, se déroulant tous dans un même univers. Un peu à la manière des Mille et une nuits.

C'est ainsi que pour chaque lettre se dessine un territoire et son histoire fabuleuse.

Voici le premier tome d'une série farfelue et incroyable, mélange de ton bon enfant et d'aventures au bout du monde. François Place garde une forme classique, avec un narrateur externe qui suit l'héroïne Lou sans oublier l'importance de la galerie de personnages évoluant autour d'elle. De même, les dessins sont en accord complet avec le texte.
Lien : http://www.ricochet-jeunes.o..

Une lecture agréable et dépaysante, un brin fantastique. Comme un retour dans l'ancien temps.



Ce livre est classé en roman jeunesse et en a obtenu d'ailleurs le prix du meilleur roman jeunesse en 2010.



Livre jeunesse, oui mais pas seulement ! Vous les adultes n'hésitez pas à vous lancer dans ce périple avec Gwen dans ce pays inconnu.



Oui l'écriture n'est pas simpliste, elle est belle, riche et poétique et l'histoire elle aussi vous emballera.



Je ne connaissais rien de François Place, en faisant ce billet comme à mon habitude j'ai farfouillé pour trouver des éléments pour "construire" mon billet et j'ai ainsi mieux compris pourquoi je trouvais que ce livre serait parfait en une adaptation BD, l'auteur est avant tout illustrateur et son écriture s'appuie sans aucun doute sur sa capacité à mettre en image ses histoires !



J'ai très envie de lire ses albums illustrés : Le vieux fou de dessin, Les derniers géants, Le secret d'Orbae (avec son magnifique coffret) et tant d'autres !



Les lieux sont décrits de façon agréable pour nous lecteurs, et nous laissent vagabonder dans ces villes et ses lieux imaginaires.



Le personnages de Gwen accompagné de son fidèle Pilbil : Daer (un oiseau très spécial) m'a charmé par son côté fragile mais aussi par son don, celui de guérir grâce à son fluide et ses mains (un rebouteux magnétiseurs !).



"Sous la bosse, je sentais tous ces petis os mal arrimés. ceux de la main, si légers qu'on aurait dit des brindilles. Un par un, par des glissements et compressions, je leurs fis reprendre leur place originelle, tout en surveillant le visage de Nils, le dernier à venir, celui qu'avait pointé Daer avec sagacité serait le plus douloureux. Et je ne savais pas comment il réagirais."





Gwen veut retourner dans son pays La Bretagne, il ne se sent pas chez lui dans ce pays étrange.



Jorn, le douanier volant, quant à lui m'a un peu désorienté ... méchant, gentil.... je ne savais plus si je devais comme Gwen lui accorder ma confiance ou au contraire m'en méfier comme de la peste !



De multiples personnages secondaires viennent peupler ce monde imaginaire, de vrais personnages de conte ( Silde, Saskia, Nez de cuir, le vieux Braz, le vieil Abraham...) et des personnages allégoriques : l'Ankou, les krakens entre autre.



L'histoire de ce passage dans cet autre monde (le lien avec la mort ne nous échappe pas) m'aura quand même laissé un soupçon égarée parfois ... Mais où était Gwen très exactement ???...



" Une troupe d'oies sauvages traversa le ciel en cancanant? Le V qu'elles formaient occupait toute une portion de nuages. Est-ce bien là où vont ceux qui nous quittent, dans ce grand vide qui nous surplombe, et qui scande nos vies en passant inlassablement du jour à la nuit ? Le curé de mon village l'affirmait, et moi je n'en croyais rien. Mais j'aurais tout donné pour battre des ailes, pour ne plus sentir ce poids qui nous colle à la terre, et qui nous laisse voir les étoiles que pour mieux nous faire regretter de ne pouvoir les atteindre." (pensée de Gwen page 283)





Les brumes ne se lèvent pas toujours sur le pays breton alors je laisse cette histoire faire son chemin dans mon imaginaire !



Je vous invite à vous laisser emmener de votre propre gré par la charrette de l'Ankou dans ce pays de l'Ailleurs !
Lien : http://imagimots.blogspot.fr..

ATTENTION, PEPITE LITTERAIRE !!



Vous avez quelques heures devant vous? Le feu crépite et votre fauteuil est libre devant la cheminée? Eteignez votre portable et plongez dans ce conte qui mêle l'aventure et le fantastique!



Bretagne, au début de la Grande-Guerre. Sur la lande battue par les vents, la vie n'est pas tendre pour Gwen le tousseux, le jeune orphelin. Mais le vieux Braz le prend sous son aile et lui apprend les secrets des rebouteux avant de mourir. Ce talent humaniste, c'est le seul bagage que Gwen emmènera avec lui sur la sinistre charrette de l'Ankou qui l'entraine dans un monde inconnu et peu acceuillant. La douane volante règne sur ce territoire, imposant sa loi et empêchant toute fuite. Gwen se retrouve alors asservi par l'ambitieux officier Jorn qui veut profiter du don du garçon. Avec un oiseau caractériel devenu son plus fidèle compagnon, Gwen traverse quatre années sur cette terre hostile, se formant à la médecine et tentant d'échapper à la perfidie des hommes et la cruauté du destin, gardant l'espoir de retrouver les rivages de sa Bretagne natale...



Des légendes bretonnes à l'expérience de la médecine, des ravages de la peste à la survie des gamins chiffonniers, François Place nous peint ici un roman initiatique envoûtant, il nous éblouit par son talent de conteur. Dans cet univers sombre et impitoyable, mais terriblement humain, le jeune "Gwen" est bien l'étoile "blanche" que l'on suit sur les chemins de bruyère, sur les canaux gelés, dans son laboratoire de simples ou dans les tavernes mal famées sur les tables desquelles danse un oiseau qui parle breton...



On parie que vous aimerez?




Lien : http://petitesmadeleines.hau..

Un joli roman-chorale avec une fin poétique et des personnages attachants ! Les romans "ados" permettent vraiment plus de libertés en décloisonnant les genres, c'est agréable :) Par contre, gros bémol pour les nombreuses coquilles et fautes d'orthographe qui parsèment le texte !

Une bonne lecture !



J'ai bien aimé ce livre, on entre très facilement dans l'histoire et tous les personnages sont attachants.



Je connais quelqu'un qui l'a lu avant moi et qui n'avait pas vraiment aimé (la personne a abandonné sa lecture). Mais j'ai tout de même voulut tenter ma chance et j'ai plutôt bien aimé.



J'aime bien la façon dont les choses évoluent, l'intrigue, les personnages... L'écriture est fluide. Les suites et les conséquences celle-ci s'enchaîne très bien les une après les autres.



Je me suis un peu perdu à la fin du livre, où je n'étais pas très concentré et me suis embrouillé dans certains passages.



Mais l'histoire est très bien et l'auteur écrit très bien.



Un livre à lire si vous aimez les histoires sur Londres, la reine et les histoires d'amour.

Très bon livre !