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Critiques de Françoise Rey (127)
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La rencontre

Françoise Rey m'avait habitué à une des plus belles plumes érotique, mais là c'est un peu la déception et on est à 1000 année lumière de la femme de papier ou encore Nuits d'encre.

La rencontre aurait pu porter un autre titre comme le jeu de la vérité par exemple...

Pourtant le début était bien partie, une femme, deux hommes que de possibilités.On a Gina la désinvolte qui ne se fait pas prier pour se déshabiller ou plus, mais qui est un peu mystérieuse et mytho aussi, Philippe dont les femmes est son pêché mignon mais qui est tout en retenu et enfin Christophe l'évêque à l'esprit rock et moderne.

Arrivée à environ 300 pages, on change de décors on se retrouve avec l'histoire d'Emilienne qui n'a aucun rapport avec celle de nos trois protagoniste puisqu'elle se passe plus de 25 ans avant. On ne découvrira que vers la fin du roman que les deux histoires sont liées.



Françoise Rey, je dis oui mais avec le style Femme de papier svp Madame!
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En toutes lettres

Une oeuvre pas comme les autres, voilà ce qu'est En toutes lettres. Un roman exceptionnel, unique. J'ai particulièrement adoré le procédé épistolaire dans cette oeuvre qui permet d'assister à une correspondance endiablée entre une écrivain et celui qui deviendra son amant, un réalisateur.

Ils ne se connaissent pas, pourtant, devant nous, face à nous, ils vont se dévoiler, s'aimer, se déchirer, se haïr, jusqu'à la fin, jusqu'à ce que ce ne soit plus possible.



Un livre à lire et relire, bien qu'il ne soit plus édité depuis quelques années maintenant, ce qui fait de lui une oeuvre rare.
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La femme de papier

Entre erotisme et pornographie, une série d'histoires: vécues ou rêvées ou fantasmées?
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La femme de papier

« La femme de papier » : Françoise Rey (Pocket, 185p)

Françoise Rey déclarait à propos de ses romans : « Il y a les gens qui lisent parce que c'est du cul, et ceux qui ne lisent pas parce que c'est du cul. Très peu se rendent compte que ce n'est pas "que ça" ». Chez Françoise Rey, effectivement, ce n'est pas « que ça ». D'une part, il y a quelques jolies observations fines sur les comportements humains dans la vie ordinaire («Tous les jaloux te le diront ; le plus terrible de leurs souffrances, ils le doivent à l'imagination»). Et surtout, c'est vraiment très bien écrit, avec de l'humour, une jolie plume alerte et inventive. Chaque nouveau chapitre est l'occasion d'une nouvelle métaphore à filer, historique, guerrière, culinaire, horticole... et dans cet exercice de style littéraire elle déploie un joli talent.

Mais si ce n'est pas « que ça », c'est aussi quand même beaucoup et surtout « ça », elle ne quitte jamais son sujet. Et sur le fond, si j'ose dire, hormis l'un ou l'autre passage qui dépasse mon entendement (même fantasmatique), et malgré quelques longueurs, c'est globalement assez délicieux.

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La femme de papier

Un livre choisi il y a bien longtemps, un peu en catastrophe, pour honorer un contrat France Loisir extorqué peu de temps avant. Un choix heureux !





Sous la forme de lettres transmises de la main à la main, une femme dévoile à son amant ses fantasmes le concernant. Dans une relation où le dialogue semble absent - du moins ces courriers n'en font pas excessivement mention -, l'écrit prend le relais pour approfondir, revendiquer, offrir, imposer. Exister ?





Les récits colorés et osés qui semblent autant répondre à une profondeur sexuelle personnelle qu'à la curiosité, aux émotions et à la frustration réveillées par l'amant. De la diversité, de la simplicité, de la force.





J'en garde des souvenirs précis, ciblés, quelques images imprimées à jamais dans mon esprit comme une référence de ce que peut être la sexualité féminine assumée et sans fioriture.





Un ouvrage fondateur
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La femme de papier

Que de choses à dire sur ce roman d’un peu moins de trois cent pages. Chaque chapitre est dédié à un fantasme que notre héroïne transmet à son amant, et au fil des pages, les aveux se font de moins en moins sages, tout comme les illustrations accompagnant le récit. Le format est aussi flou qu’original, et il est souvent difficile de démêler la réalité du rêve, mais quoi de plus normal lorsqu’on parle de fantasme… Elle le dit elle-même, elle est une femme de papier et les significations sont plurielles : de l’invention pure à l’écriture à même la peau. La préface et l’interview de l’auteure présentes dans cette édition nous permettent d’en savoir plus sur ce roman très personnel, mais il reste pour moi très ambigü : c’est une femme éblouie par un mâle sublimé et fantasmé qu’on nous présente, dans une posture qu’on pourrait décrire comme servile et en même temps… J’ai trouvé que ce journal de bord féminin avait un aspect très libérateur. Françoise Rey nous laisse dans le flou, encore. Ce qui n’est pas pour me déplaire.



Le style est vraiment riche, mais je recommande tout de même aux fervents défenseurs de la suggestion de passer leur tour, puisque l’auteure n’hésite pas à utiliser le vocabulaire franc et direct de la pornographie sans toutefois se départir de métaphores filées assez géniales. Clin d’oeil à la cuisine, à l’art de la guerre et autres joyeusetés au programme ! La femme de papier se nourrit de plusieurs figures, réelles ou légendaires à la portée érotique certaine et il n’est pas rare de voir se dessiner l’ombre du Marquis dans les épisodes les plus… étranges. Et en même temps (on n’est plus à une contradiction prêt avec ce livre), une forme de pudeur est conservée jusqu’au bout. Exposition des corps, secret des coeurs, un grand classique certes, mais magistralement mis en scène ici.
Lien : https://prettyrosemary.wordp..
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Nuits d'encre

Avant de vous donner mon avis, je vous rappelle que ce livre s'adresse à un PUBLIC AVERTI.





Comme vous le savez, je suis une grande fan de Françoise Rey, je trouve qu'elle a une plume incroyable, et elle confirme son statut de matriache de l'érotisme contemporain à la française ! Oui, oui, je n'exagère pas, elle a une façon bien à elle de nous faire vivre ses histoires, à travers ses mots, ses phrases qui sont sa signature. Je n'ai pas encore trouvé d'auteurs qui l'ait égalé sur ce point et je ne sais pas si un auteur y arrivera, elle a placé la barre très haute...





Mais revenons un peu à nos moutons, ici l'auteur nous propose un livre de six nouvelles qui se lisent très vite, un peu trop peut-être ? Mais il n'en reste pas moins, que Françoise Rey nous fait vivre chaque histoire intensément, mais je dirai que celle de la "Nuit de noces" est vraiment pas mal, elle ressort du lot, en tout cas pour moi.





C'est poétique, enfin toute proportion gardée. L'auteur a pris soin de peser ses mots comme à son habitude, ses métaphores sont belles, c'est du pure Françoise Rey à l'état brut. Certains pourraient penser que c'est trop poétique, c'est trop phrasé mais absolument pas, c'est ce qui fait le charme de l'auteur, sa passion pour les mots, pour l'érotisme est conjugué avec adresse ici.





Un recueil que j'ai apprécié plus pour son contenant que pour son contenu, qui pourrait en dérouter plus d'un mais que je recommande malgré tout aux amateurs de l'auteur.
Lien : http://leslecturesdeladiablo..
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La femme de papier

Tandis que la liaison entre une femme et son amant devient plate, celle-ci décide d'écrire des lettres à cet homme. Mais pas n'importe quelles lettres ! Cette femme couche sur papier ses fantasmes et autres désirs pour réveiller l'appétit sexuel de son amant...

Son succès vient du fait que Françoise Rey existe et qu'elle a réellement envoyé ces missives à son partenaire sexuel. Pour une fois, dans nos contrées, une femme ne se cachait pas derrière un pseudo et exprimait clairement ses désirs !



Alors évidemment, la presse s'en est emparé et on en a beaucoup parlé à l'époque, le succès du livre vient de là. Mais pour un roman épistolaire érotique, je m'attendais à beaucoup, mais ce livre ne m'a pas plus émoustillée que cela. Les lettres restent du sexe pour du sexe, et ça ne va pas plus loin. L'auteure se met en scène avec son amant, installe le décors si besoin, rajoute des personnages quand l'envie lui en prend, mais, encore une fois, cela ne va pas plus loin.



Je m'attendais aussi à un style plutôt doux, pour une femme qui met en scène ses fantasmes. C'est le contraire, puisque les mots choisis sont violents. Il est question de plaisirs, mais la douceur n'est pas au rendez-vous, tant dans les actes que dans les dialogues des protagonistes. Cela s'explique peut-être par la crise que Françoise Rey a traversé avant de se lancer à l'écriture de La femme de papier ? En tout cas, elle a vocabulaire varié et riche, ce qui évite une certaine redondance entre chaque missive, et j'apprécie la diversité des fantasmes de Françoise, qui amène à voir certaines pratiques sous un autre œil.



Cette édition est agrémentée d'illustrations en noir et blanc, plutôt suggestives (Disons que le lire dans un train le soir n'est pas une bonne idée, surtout quand vous êtes côté fenêtre) (Et je noterais au passage que la petite dame des sièges d'à côté, d'un certain âge, ne devait pas avoir qu'une quinte de toux... Oups !). Alex Varenne met en scène des femmes, parfois seules, parfois accompagnées, cependant sans que cela ne colle avec le texte. Avec ces illustrations, on retrouve également une interview de l'auteure, ainsi qu'un dossier de presse datant de la sortie du livre, en 1989.



En bref, La femme de papier est un ouvrage intéressant d'un point de vue féministe : une femme qui se libère du carcan imposé par les hommes et parle librement de sexe, sans avoir à se cacher derrière un pseudo, on ne peut qu'applaudir la démarche. Cependant, il ne faut pas le lire pour chercher un récit hautement émoustillant, à moins que l'érotisme violent croisé avec des petits chatons plaise au lecteur. Cette édition avec l'interview de l'auteure permet de mieux comprendre sa démarche, et d'où a commencé ce récit pour le moins singulier.
Lien : http://onceuponatime.ek.la/l..
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Métamorphoses : Le sexe est un grand maître

Métamorphoses est la réunion de textes auxquels Françoise Rey attache une importance toute particulière, comme s'ils représentaient des instants clés dans sa carrière d'écrivain. Textes inédits ou déjà publiés, ils dessinent les contours et les grandes étapes d'une œuvre dédiée à la description précise et inventive des plaisirs de l'amour. Des premiers émois d'un adolescent patineur qui " rêve des filles ", à son vibrant hommage à la fellation, tous ces textes décrivent des univers où les sens règnent en maître. Du grand Françoise Rey.
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La femme de papier

Un roman très directe et détaillé, de la relation sexuelle entre une femme et son amant. J'adore ce livre. J'ai souvent entendu parler de lui et par hasard je l'ai trouvé dans une vente de rue à 50 sous (Canadiens). Je l'ai tout de suite acheté et lu ET j'ai adoré!
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Nuits d'encre

L'écriture est facile à lire mais les nouvelles bien plates.

Une nuit de noces interminable et totalement invraisemblable!

Les autres textes m'ont laissée totalement indifférente.

Ce fut une lecture d'été bien décevante.
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La brûlure de la neige

Depuis La Femme de Papier, Françoise Rey est considérée comme une des signatures de la littérature érotique. Par ce roman, elle confirme son talent dans cette catégorie.

Mais il y a un petit hic, un petit grain de sable qui enraille la machine...

Ce roman veut quitter son ghetto pour être un "grand" roman, sans y parvenir (comme coincé dans une télécabine à mi-chemin entre le bas des pistes et les sommets enneigés, pris dans une tempête, menaçant de basculer dans le vide).

Résultat ?

Une mise en abyme moyennement convaincant, des personnages torturés trop agaçants... mais il n'en demeure pas moins de belles pages d'érotisme.

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La brûlure de la neige

J'ai lu ce roman il y a déjà quelques temps, et il m'a bouleversée comme rarement un livre érotique ne le fait. Françoise Rey a fait ici un texte plein de sensibilité, qui m'a littéralement prise aux tripes. Si je devais faire un classement, je le mettrais juste derrière "La femme de papier".
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La femme de papier

C'est pour emporter ou consommer sur place ?

J'en ai consommé 7 chapitres sur les 14 et je n'irai pas plus loin.

Ce n'est pas que ce soit mal écrit, bien au contraire mais à l'instar d'un film porno, au bout d'un (rapide) moment, on se lasse (vite).

Pas d'intrigue, c'est virtuel et pour ne pas se répéter Françoise Rey traite tous les sujets, 1+1, 1+2, 2+1 (non ce n'est pas un livre de maths), dans un sens puis dans l'autre. Bref, il fallait essayer, c'est fait !

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La femme de papier

Entre jeux de rôle, plan à trois et fantasmes en tout genre, une femme écrit à son amant et décrit leur histoire. Témoin volontaire de cette liaison, de sa douleur et de sa sensualité, le lecteur est pris en otage. Entre voyeurisme et excitation, entre sensualité et avilissement. Quand finit leur liaison, l’auteur veut, doit accoucher de cette correspondance. Tout ce qui reste de ses amours avec cet homme. Car c’est bien cela pour elle : de l’amour. Un amour à sens unique qui justifie tout. De renoncer à son amour propre, de repousser les frontières de la décence.



Il s’agit d’un cri, celui d’une femme amoureuse qui va au bout de la sensualité, au bout de son envie de lui. Cet amant puissant, affamé et jamais rassasié. Sous la plume splendide de Françoise Rey, les corps et les émotions prennent vie. Les mots sont choisis, incisifs, touchants, jamais vulgaires.



C’est le contenu qui est parfois insoutenable. La femme qui dit non, crie qu’elle ne veut pas et l’homme qui la besogne néanmoins. L’infirmière qui aide son patient à accoucher… d’une merde. Le chaton qui est introduit bien malgré lui dans des jeux lubriques.



Il y a toujours une part d’avilissement dans une relation sexuelle ; volontaire ou pas, consciente ou pas, l’essentiel reste toujours le respect de l’autre, de sa volonté et de ses limites. Force est de constater, qu’ici, on en est parfois loin. Sans chercher un érotisme féministe, je regrette de n'avoir réussi jusqu’à maintenant à trouver sensualité ET respect de la femme.
Lien : http://leclubdesnatifsduprem..
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Ultime retouche

Tout d'abord, je tenais à remercier chaleureusement Babelio, pour ses éditions "Masse Critique" chaque mois, et les éditions "Tabou", pour m'avoir permis de découvrir "Ultime Retouche".



Disons d'entrée de jeu que je ne m'attendais pas du tout, mais vraiment pas du tout à cela. Je m'explique: je m'attendais à un policier avec des meurtres inexpliqués sous fond de romance... et en fait pas du tout. Dès l'ouverture de mon colis, j'ai de suite remarqué la mention "littérature érotique"...



L'histoire se déroule intégralement dans un "hospice". Plusieurs vieilles femmes sont retrouvées mortes, écrasées sur le sol. Tout porte à croire qu'elles se sont suicidées, pour fuir leur vie qui n'est réglée que par les repas, les soins et la toilette.

Chaque chapitre raconte l'histoire du point de vue des différents personnages, qui sont des membres du personnel de l'hôpital. On abordera l'histoire du gars de l'accueil, du "croque-mort", des infirmières, de la directrice assez "froide" et obsédée... Il y a pas mal de personnages, et je dois avouer qu'on perd vite le fil de la lecture.

Le livre est en fait une succession de scènes de sexe, sans grand intérêt et plutôt vulgaires. On ne sait pas vraiment comment s'y retrouver entre tout cela qui entrecoupe le récit et l'avancement de l'enquête policière, qui n'avance, pour ainsi dire, pas.

La fin est bâclée, la directrice a soigné ses souffrances par le sexe ? Euh ?! Dites moi alors si c'était elle la coupable concernant les meurtres ? Ou alors si c'était son employé jaloux qu'elle a accepté dans ses draps une seule fois...?

On assiste donc à une espèce de fin ouverte. Le récit n'a, au final, ni cul ni tête. Il entremêle des scènes sexuelles, et des descriptions morbides. C'était particulièrement écoeurant par moments.



A la quatrième de couverture, on peut lire que l'auteur est la maitresse de la littérature érotique ? C'est donc ça le mouvement érotique ? Ma foi, je n'ai pas envie de découvrir le reste alors... Les personnages ne sont pas attachants, ce ne sont que des obsédés, qui exercent le moindre rapport dès qu'ils peuvent et dans tous les coins de l'hôpital. La morgue ? Beurk !



Vite lu, vite oublié. Je vais tâcher de me renseigner dans les détails avant de faire des sélections de livres ! Non sérieusement, j'ai la joie de faire de nouvelles découvertes, mais disons que ce livre, ce ne doit pas être fait pour moi ! J'entamerai des lectures plus "soft" à l'avenir, avec un peu de sentiments quand même...
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La brûlure de la neige

Il a été le premier roman érotique que j'ai lu et je l'ai lu bien avant (des années) avant la vague de toutes les nuances érotiques que nous pouvons lire aujourd'hui (des livres que je n'ai pas lu et que je ne lirai pas!)



J'étais une adolescente ( 17 ans je pense) quand j'ai eu ce livre en main. Je voulais savoir comment on pouvait parler de sexe sur autant de pages. Comment renouveler le vocabulaire, les dialogues et les sensations éprouvées. Eh bien platement j'ai été sur le cul. C'est dingue le nombre (sans limite) de métaphores que l'on peut utiliser pour décrire la même chose. Dix chapitres et à aucun moment l'auteur ne s'est répétée, jamais, sur aucun mot. Chapeau! Ah si si, c'est une prouesse pour moi de savoir parler du sexe de façon si poétique et érotique, excitante et sensuelle. J'en ai appris des choses ce jour là.



Je n'ai jamais renouvelé l'expérience mais je choisirai sûrement à nouveau cet auteur tellement j'ai été charmée.
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La femme de papier

Ce roman sulfureux est un petit bijoux. Françoise Rey est une belle plume et maîtrise bien la littérature érotique. À lire ...âmes prudes s'abstenir.
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Métamorphoses : Le sexe est un grand maître

Tour à tour amusantes, touchantes, étonnantes, intrigantes, émoustillantes, ces courtes nouvelles nous montrent que l'amour et le sexe peuvent changer une vie. C'est bien écrit et très agréable à lire.
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L'amour en marge

J'ai découvert ce livre grâce à l'opération Masse Critique, je ne connaissais pas non plus l'auteur, Françoise Rey.

L'amour en marge appartient à la catégorie des livres "pour adultes avertis", bref, c'est un roman érotique. Effectivement, rien à redire, il tient ses promesses, l'auteur explore toutes les facettes des fantasmes qui nous trottent dans la tête (enfin, ceux et celles qui l'avouent), hommes ou femmes.

En l'occurence, dans ce roman, Françoise Rey fait rencontrer à son héroïne une belle brochette de marginaux en tous genres, tous prêts à céder à ses moindres désirs.

C'est un livre à lire à deux, j'ai beaucoup aimé le style de l'auteur qui mêle une pointe d'humour à ses scènes très crues, et finalement, pour Françoise Rey, le sexe est à la fois jouissif et ludique.

A ajouter, le livre est joli, avec une trés belle jaquette et une photographie en noir et blanc.
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