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Critiques de Françoise Rey (127)
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La femme de papier

tres erotique certes, mais parfois lassant dans sa repetition...a ne pas lire d'une traite...
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La femme de papier

LA FEMME DE PAPIER est le premier roman de Françoise Rey, une professeur qui, à la suite de divers problèmes personnels, se tourne, à 35 ans, vers la littérature érotique, voire carrément pornographique. Depuis, elle est considérée comme « la grande dame de l’érotisme » en raison du caractère très littéraire de son œuvre.

Revenons à LA FEMME DE PAPIER : l’intrigue est minimale, typique du roman érotique : une femme raconte, à la première personne, ses aventures sexuelles avec son amant. Un classique de la romance mom porn puisque, durant près de 200 pages, le lecteur aura droit à de nombreuses variations sexuelles. Car le livre est cependant plus intéressant que les bluettes gnan gnan gentiment SM à la CINQUAND NUANCES DE GREY. Les fantasmes de Françoise Rey sont plus variés et inventifs : la narratrice se fait lécher par un petit chaton, plusieurs passages jouent sur le viol consenti, etc.

Le voyeurisme et l’exhibitionnisme sont également fort présent, notamment via une scène de sexe dans une maison de retraite devant un vieillard en bout de course. D’autres passages racontent masturbation diverses, triolisme, etc. Le passage le plus drôle reste « l’accouchement » scatologique imposé par notre jeune femme à un client lorsqu’elle se prostitue pour exciter son amant. Elle lève aussi un jeune homme dans un bar, se soumet à l’intromission d’un paquet de crayons, participe à des accouplement divers (notamment avec un travesti), etc. Bref, c’est plus varié qu’un porno de Marc Dorcel.

La principale qualité du récit reste toutefois cette forme épistolaire et cette plume vivante, qui joue de la métaphore ou se montre crue, avec des touches d’humour bienvenue. Les situations sont souvent excessives, déjantées et décalées, bref pas toujours crédibles ni même réaliste. Ce procédé inscrit le roman davantage dans le porno que dans l’érotisme, sans beaucoup de préliminaires mais avec pas mal de fantaisie.

LA FEMME DE PAPIER propose donc un peu moins de 200 pages de sexe pur et dur : à l’exception des dernières pages plus « apaisée, l’auteur ne parle que de cul, quasiment non-stop. Finalement, on perd le compte des frasques sexuelles de notre auteur chaude comme une baraque à frites. Le tout se distingue surtout par sa réussite littéraire qui élève ce roman au-dessus des vraies / fausses confessions style Média 1000. Mais, à la fin, on peut se sentir aussi un peu lassé devant ce qui relève surtout de l’exercice de style autocentré. Sauf qu’à tout prendre les aventures osées de Françoise Rey restent plus amusantes que les déballages de linges sales familiaux si prisés des « grands écrivains parigos ».


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Des camions de tendresse

Un très beau roman additif qui plaira a un grand nombre de lecteurs tous le monde peu le lire
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La peur du noir

Un roman unique publié par un éditeur qui porte un nom adapté, Tabou. Parce que oui, des sujets tabous y sont dépeints et la lecture de cette histoire ne peut laisser personne indifférent. ‘La peur du noir' a fait une pression forte sur mon coeur, j'avais le sentiment d'étouffer au fil de ma lecture. le fait que je sois nyctophobe a pu amplifier ce sentiment… Mais malgré ces horribles sentiments qui faisaient rage à l'intérieur de mon coeur je dois avouer que j'ai trouvé ce roman fascinant.



Il y a très peu de personnages dans ce roman, je dirais deux principaux, un ou deux secondaires et quelques figurants mais là encore, très peu. Toute l'histoire tourne autour de Jeanne et Roland bien que Claire et le bébé soient des personnages importants puisque c'est leur existence et le lien qui les unit aux personnages principaux qui rendent cette histoire limite obscène et malsaine.

Jeanne est une femme mature, la mère de Claire, victime du temps elle a de grandes difficultés à aimer le reflet que son miroir lui renvoie. Roland est son gendre, le mari de Claire, un artiste qui semble avoir perdu la tête en apprenant que son bébé ne serait peut-être jamais en mesure de voir. C'est Roland qui entrainera Jeanne dans une relation cruelle. Une relation où la vue n'a pas sa place et où les quatre autres sens combleront l'absence de lumière pour Roland.



Il est difficile pour moi de séparer les points positifs des négatifs car chaque élément se trouve dans les deux catégories, à mon sens. J'ai particulièrement aimé le fait de vivre l'histoire ‘les yeux fermés‘ et de découvrir avec ces deux amants les autres sens trop souvent oubliés. Cela m'a fait réaliser que nous nous concentrions trop souvent sur ce qui est visible sans nous rendre compte que ce que nous voyons n'est pas toujours une bonne chose. le point dérangeant de la chose c'est que contrairement à ce que la quatrième de couverture laisse penser, Roland choisit de ne plus voir. Bien sûr ses intentions sont pures — même si elles ne sont pas forcément décrites comme telles — mais cela reste quelque chose de dérangeant de voir un homme se rendre volontairement aveugle quand d'autres donneraient n'importe quoi pour recouvrer la vue ou découvrir l'effet que ça fait de voir.

Le plus malsain et en même temps le plus intéressant de cette histoire c'est cette relation entre la belle-mère et son gendre. Imaginez votre mère au lit avec votre partenaire, avouez que c'est franchement horrible pas vrai ? Ce n'est pas le problème de l'âge mais bien le fait qu'elle soit la mère de Claire qui est dérangeant. Une mère ne peut pas, ne doit pas faire quelque chose comme ça à son enfant, ça ne fait pas partie du contrat invisible mère/fille. Alors oui j'avoue avoir été légèrement choquée par cette relation mais paradoxalement Jeanne est une femme avant d'être une mère. C'est en réalisant ça que j'ai réussi à continuer ma lecture sans porter de jugement. Par ailleurs après avoir lu plusieurs romans de Françoise Rey je ne m'étonne plus de rien, cette auteure a un don pour parler de sujets tabou (mention spéciale à ‘Ultime Retouche', de la même édition, allier la mort et le sexe, encore quelque chose d'unique).



L'histoire est vraiment unique — je pense que c'est parce que l'auteur a un esprit unique elle aussi — et provoque des sensations extraordinaires. Je recommande aux gens de lire ce roman, c'est une histoire qui pèse lourd sur notre coeur au fil de la lecture, à cause de ce que j'ai mentionné plus haut mais aussi en raison des descriptions plutôt extrêmes, sexuellement parlant. Mais je reste convaincue que ‘La peur du noir' est une aventure personnelle extraordinaire. C'est comme vivre l'interdit à travers le papier, c'est malsain mais ça reste une expérience à vivre ne serait-ce que pour l'excellente exploitation des quatre sens, l'odorat, le toucher, l'ouïe et le goût.

Je déconseille cependant ce roman aux personnes dont la droiture ferme l'esprit, pour lire ce roman je reste persuadée qu'il faut plus qu'être simplement ouvert d'esprit, il faut s'accrocher émotionnellement. Parce qu'un livre ce n'est pas juste du papier, c'est un endroit dans lequel vous allez vous plonger et les sentiments écrits dedans viendront envahir votre être. Alors votre lecture risque de ne pas être agréable si vous n'êtes pas capables d'endurer la folie de cet ouvrage.



En dépit de tout, j'ai mis cinq étoiles à ce roman. A lire mon avis on pourrait penser que je n'ai pas apprécié mais c'est tout le contraire. Je n'approuve pas une relation de ce genre mais je ne peux nier avoir été fascinée par ‘La peur du noir' et pour avoir réussi à me faire ressentir tant de choses sans me dégoûter, je ne peux que donner la note maximale à ce roman qui jusqu'ici est mon préféré de Françoise Rey. Cela peut sembler fou mais ce roman est un de mes préférés, oui je pense que c'est fou. Disons simplement que la folie dépeinte dans les lignes de ce récit aura eu raison de moi.
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La femme de papier

Une histoire interessante mais qui manque de piment, même si les passages d'amour, que je qualifirais d'érotique, sont parfois un peut trop poétique à mon goût. En un mot, çà manque cruellement de scénario tout çà. Mais peut-être ce n'est pas le but recherché du livre, et qu'il sagit en fait d'une simple démonstration d'écriture érotique sans plus, et dans ce cas là c'est plutôt sympatique à lire.
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La Gourgandine

L'expression littéraire ne m 'a pas paru à la hauteur de l'histoire. Pourtant le récit est terrible, la douleur du personnage est perceptible mais la forme ne donne pas de force à cette confession.
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La brûlure de la neige

L’hiver commence. Romain est chauffeur de car à Valdoré, une station de sports d’hiver. Son boulot est de déposer les touristes arrivants à leurs hôtels respectifs. Sa vie est simple et tranquille. Il se considère comme assez quelconque, et cela dans tous les sens du terme. Cela surtout en opposition à son frère, Mario, qui se débrouille bien mieux que lui dans tous les domaines. Marié, sa femme est partie se reposer avec son fils à la côte. Mais cette vie fort banale va être chamboulée le jour où il se retrouve coincé dans une cabine de téléphérique. Il panique, mais pas autant que la jeune femme coincée avec lui dans la même cabine...



...



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Nuits d'encre

Dans un couple, toutes les nuits se suivent et ne se ressemblent pas. Parfois. Sinon, elles peuvent être d’une routine affligeante. Aussi y a-t-il les désirs et les fantasmes. Faut-il tous les explorer? Ne faut-il pas laisser une once de mystère et de rêve pour mieux vivre son couple? Cependant, peu importe que les personnes soient ensemble, leurs nuits leur appartiennent. Elles sont libres d’en faire ce qu’elles veulent et avec qui elles veulent. Qui sommes-nous pour nous permettre de juger? Ce recueil est une trame d’histoires où la sexualité, le plaisir, le fantasme, prennent tous leur sens.



Partons en balade dans ces nuits si semblables, si différentes. Allons faire tomber les tabous avec l’être aimé ou l’inconnu d’une nuit. Le plaisir ne s’explique pas. Il se donne et se reçoit tout simplement. Les personnages nous invitent à découvrir discrètement leurs délires d’une nuit. J’ai trouvé l’humour très plaisant, très subtil. Un humour qui permet de raconter une histoire sans complexes. De la dire en toute simplicité. Ce n’est pas tout. À aucun moment le lecteur ne se sent voyeur. Au contraire. Les récits sont si bien écrits que cela pourrait être la nuit de rêve d’une personne lambda.



Dans ce recueil, l’amour n’a pas de tabous. Il se donne et se reçoit tout simplement. C’est un jeu de séduction entre les personnes. Un jeu auquel le lecteur se laisse prendre. En toute innocence, si je puis dire. Sans aucun à-priori. Le vocabulaire est à la hauteur du partage. De l’échange. Du bonheur commun. Pas de fausse honte. Que du sentiment. Contrairement à ce que l’on pourrait supposer. Ces nuits sont d’encre. Pas pour cacher ce que l’on ne saurait dire ou montrer. Mais, pour permettre aux personnages d’oser. En toute intimité. Tout en pudeur. Ce sont des histoires simples de monsieur et madame tout-le-monde, qui se permettent d’ajouter un moment de folie. Ces récits sont faits de tendresse et de douceur. Jusqu’au bout de la nuit.
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Blue movie

On pourrait se dire qu'avec un roman érotique écrit à quatre mains, un tourbillon de sensations fortes et d'émotions allait m'enivrer. Le contrat pourrait être rempli pour les scènes de sexe, sans doute de la plume reconnaissable de Françoise Rey, mais ça n'en fait pas pour autant un ouvrage cohérent et impérissable.

Une sorte de livre dont vous êtes le héros en plein New-York, mêlant érotisme et intrigue policière, qui ne permet pas d'atteindre le Graal ni même vous procurer du plaisir pendant la quête ou l'enquête.

Préférez "la femme de papier" qui a plus de sens et d'unité dans le discours.

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Nuits d'encre

Je m'attendais à quelque chose de... ... de différent. Je m'attendais à une lecture érotique plus... Plus je ne sais quoi à vrai dire.

L'écriture n'est pas mauvaise, mais elle reste très déroutante pour moi. C'est... C'est poétique, enfin toute proportion gardée. On va dire que l'auteur a pris le soin de peser ses mots, ses métaphores. Au final, c'est beaucoup trop. Les images sont tellement détournées qu'on ne sait plus de quoi on parle, ou plutôt on en rigole, tellement les maladresses sont nombreuses. Parfois, il faut appeler un chat un chat, et faire simple.

Vous comprenez donc que je ne recommande pas cet ouvrage, et surtout j'ai abandonné.

Quel gâchis !
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Souvenirs lamentables

Attention, cette chronique est pour un public AVERTI !





Aujourd'hui, je vous parle d'un nouveau roman de la grande dame de l'érotisme ! Dans ce roman qui est clairement autobiographique, on découvre les histoires inavouables d'une femme au cœur tendre et à la chair faible. Françoise Rey nous raconte dans ce nouvel opus l'inracontable !





En effet, Françoise Rey a rencontré des hommes qui ont été parfois laids, parfois maladroits ou encore âgés. Et pourtant, avec eux, l'alchimie mystérieuse de l'attirance physique a fonctionné ! Incroyable n'est-il pas ? Dans ses "souvenirs lamentables" qui sont finalement très intime, l'auteur a eu la grandeur de nous révéler un pans de son jardin secret... Des secrets qu'en général les femmes n'osent pas livrer.





Avec le titre, aucun sens caché, vous savez à quoi vous attendre ; du moins dans les grandes lignes... Parce qu'après tout, seule Françoise Rey et peut-être vous serez ce qui s'est passé avec ces hommes.





Cet ouvrage s'adresse aux plus curieux d'entre nous, à celles et ceux qui ont envie de connaître l'auteur davantage et sous toutes les coutures si je puis dire. Je ne sais pas vous mais j'aime beaucoup la première de couverture qui reflète un côté femme/enfant que je trouve très mignon.





Un mot sur la plume de l'auteur ? Elle est toute simple, sans chichi. Un chat est un chat ! Et c'est ce qui donne à ce roman, ce petit côté attachant.





N'étant pas fan de voyeurisme car il faut bien se l'avouer, pour aimer lire le jardin intime d'une personne qui se livre à nu ainsi, il faut aimer voir. Je ne pense donc pas avoir appréciée pleinement ma lecture même si je dois vous avouer que certains passages mon beaucoup plu et piqués ma curiosité !
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Les attributs du sujet

Attention, cette chronique est pour un public ADULTE !





Je ne vous présente plus Françoise Rey, la matriarche de roman érotique ! Je me suis attaquée à un autre de ses bébés et vous parle aujourd'hui de "Les attributs du sujet".





Je dois vous avouer que ce qui m'a attiré par cette lecture est avant tout le titre et ce jeu de mots que j'adore particulièrement ! "Les attributs du sujet" ayant un double sens qui est plus ou moins proche selon comme on le voit...





Ici l'auteur flirte entre les fantasmes et la folie à l'état pure ! Un jeu va s'instaurer entre le lecteur et l'auteur pour savoir si ce cher Piotr en a dans le pantalon ! Pour cette quête du savoir, Françoise Rey va nous parler de couilles à travers son histoire. Cela peut être étonnant mais les couilles ont leur propre histoire ! L'auteur de par sa profession va s'amuser à jouer avec les mots avec des expressions comprenant le mot couille et autres synonymes.





Dans cet ouvrage, Françoise Rey nous prouve une fois de plus qu'elle a une grande plume et qu'elle manie les mots comme personne ! Sa maîtrise de la langue française est telle qu'elle joue avec aisance avec son lecteur sans que ce dernier ne s’aperçoive ou très peu des jeux de mots sur les attributs.





Le titre prend tout son sens et on se dit, bien jouée Françoise ! On ressent à travers ses mots, ses phrases tout l'amour qu'elle porte à la langue française et à "Les attributs de ses sujets" 😉. Elle a usé, abusé de son vocabulaire et on redemande ! Tous les amoureux de la langue française et de ses subtilités aimeront assurément le style de ce récit assez atypique.





Est-ce que j'ai passé un bon moment littéraire ? La réponse est un gros oui ! Est-ce que je recommande la lecture de ce livre ? Assurément ! Mais pas aux âmes sensibles ! Je pense que vous apprécierez tous le style littéraire de l'auteur, de sa plume fluide et de son amour des mots ! Le but premier de ce roman n'est pas l'érotisme à l'état brut, il est juste ce qu'il faut.





Si vous ne connaissez pas la plume de l'auteur et que vous souhaitez démarrer votre exploration, je pense qu'il faut commencer avec celui-ci, vous y découvrirez tout l'étendu de son talent !






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La femme de papier

Ce roman a subi plusieurs rééditions. Il a reçu bien des critiques autant sur son fond que sur celle qui l’a écrit, c’est pourquoi je me suis laissée tenter pour voir ce qu’avais dans le ventre, ce livre étant d’après les rumeurs : LE livre érotique que l’on doit absolument lire. Déjà, pour moi, il est bien au-delà de l’érotisme, on a vraiment des actes pornographiques sans limites encerclés par de l’érotisme hard.



Son contenu résume la relation d’une femme avec son amant qui commence à partir à la dérive, manquant apparament de piquant dans leurs parties de plaisir. C’est alors que la narratrice (l’auteur dans ce cas) décide, pour pimenter le tout, d’avouer dans des lettres brûlantes ses fantasmes les plus cachés. Au fur et à mesure de cet échange épistolaire, cette femme dévoile des pulsions ou envies chaque fois plus hard avec pour seule limite son imagination débridée.



Je ne suis pas du genre à être choquée par un roman érotique voire plus hot, mais celui-ci est trop dur pour moi !

Clairement, je me suis accrochée jusqu’aux trois quarts du roman pour l’abandonner. Je m’attendais à des scènes de sexe avec des moments doux, grave erreur ! Ici on est confronté à du sexe pur sans une once de tendresse ou d’amour. Par exemple, le fait de choper un mineur dans un bar ou encore des dérives vers la scatologie m’ont rebutée comme jamais, ça va beaucoup trop loin.



Sans m’en rendre compte, j’étais devenue spectactrice de cette relation épistolaire parfois malsaine. La plume de l’auteur est charnelle, embringuante, elle fonce les traits de ses récits en y ajoutant des partenaires ou des situations abracadabrantes tirées par les cheveux et révulsantes. Il y a certains points qui n’avaient pas lieu d’être dans un roman dit érotique.



Françoise Rey a pour sûr l’âme d’une écrivaine du genre pornographique, notre première rencontre se conclut par un abandon de ma part malgré mon essai pour terminer « La femme de papier ».
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Le bal des cochons

Avant de vous donner mon avis, ce livre et cette chronique SONT POUR UN PUBLIC AVERTI ! Âmes sensibles s'abstenir, passez votre chemin !





Que vous dire de cet ouvrage ? C'est une cochonnerie à se mettre sous la dent ! Ce livre qui n'est pas à mettre entre toutes les mains, pour les plus sages ou les plus chastes d'entre nous ne sauraient appréciés la lecture de ce livre et se trouveraient vite heurter mais pour les plus aguerris, Françoise Rey saura vous ravir ! Son langage est cru, il peut être choquant mais c'est tellement dans la lignée, tellement elle, que ça ne choque pas ! Du moins, ça ne me choque pas ! Et cette petite cochonnerie est à partager entre cochons...





Françoise Rey nous dépeint avec ses mots, la vie de tous les jours, un quotidien qu'elle nous présente avec son regard d'auteur cochon parce qu'au final, c'est bien ce qu'elle est non ? Ou alors, c'est ce qu'elle veut nous faire croire...





"Le bal des cochons" est son dernier bébé et ce n'est pas anodin si elle fait référence au cochon, cet animal rose, avec une queue en forme de tire-bouchon, bien en chair. Dès les premières pages, nous sommes mis dans le bain ! Soit ça passe, soit ça casse et pour ma part, c'est passé !





Dans ce livre, l'auteur nous décrit des situations comiques, de la vie de tous les jours lorsque l'homme et la femme se perdent dans les faiblesses de la chair. C'est cette notion qui est à retenir ici.





La plume de l'auteur est belle, fluide, aucunement vulgaire ! Ajouté à ça une touche humoristique, ça rend les descriptions de la vie quotidienne toute douce... Ou pas !





Vous connaissez "Scènes de ménage" ? Et bien, c'est "Le bal des cochons" avec du Q !





Un mot sur cette magnifique première de couverture, elle est vraiment splendide !! J'ai un vrai coup de cœur pour cette dernière et je veux bien le masque également !





Les amoureux de la plume de Françoise Rey ce livre est pour vous ! Un must have pour les collectionneurs de la grande Dame !





Vous voulez découvrir la plume de la Matriarche du "Cochon" ? "Le bal des cochons" pour commencer devrait vous convenir !
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Le bal des cochons

Françoise Rey est une romancière qui excelle dans la littérature érotique. J'aime beaucoup cet univers mais je pense être trop jeune pour apprécier ses écrits. Ce titre a poussé ma curiosité, l'auteure nous raconte des nouvelles très courtes qui parlent cochons de par le sexe. Certaines m'on fait rire , d'autres un peu surprise et pour certaines je n'ai pas poursuivi car l'auteure ayant de l'expérience en la matière pour écrire ces histoires, certaines m'ont laissé dubitative de par le vocabulaire expérimenté dont la signification m'est inconnue. Donc si vous êtes novice comme moi et assez jeune, ce n'est pas une lecture pour nous, par contre si vous avez l'expérience de ce genre de lectures alors foncez. Vous pouvez lire ce livre sans vous presser car chaque histoire est différente.
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Lettres à la novice

Au départ j'ai cru avoir dans les mains un livre à la fois érotique et humoristique. Le ton est léger, sympathique, on ressent une vraie bienveillance dans les paroles de cette cousine du début du siècle qui s'inquiète de voir la vie de sa cadette s'arrêter aussi brusquement à cause d'un trop plein de foi et qui s'amuse à la taquiner sur les choses de la vie qu'elle ne connait visiblement pas.



Cette correspondance à sens unique, car nous ne voyons jamais les réponses de Violette, est plutôt plaisante, jamais vulgaire malgré les thèmes abordés, et empreinte d'une douceur qu'on ne s'attend pas forcément à trouver dans une telle lecture.



Et puis, à un moment l'histoire prend un tout autre tournant, les lettres deviennent plus dures, plus grave, le sujet ne prête plus vraiment à rire et la mentalité des personnages évolue dans des directions que nous n'avions pas vraiment senti arriver.

J'ai été très surprise par cela. Au départ ça m'a un peu déstabilisée car ce n'est pas ce que je m'attendais à lire mais après réflexion je trouve cette fin plutôt très bien amenée et pensée.



Nous avons ici un bref roman épistolaire évidement érotique mais qui ose aller plus loin que ça. Pour moi c'est une agréable surprise et je pense que je n'hésiterais pas à lire un autre roman de l'auteure si l'occasion s'en présente.
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Des camions de tendresse

envoutant ...... à lire d'une traite ..j'ai adoré
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La femme de papier

D'abord un tout petit bémol. Si comme moi se retrouve entre vos mains la version Pocket "augmentée d'une confidence de l'auteur", passez directement au roman à proprement parler et évitez cette confidence qui n'a aucun intérêt et aucun lien avec l'histoire. Une fois ce préliminaire (T'as compris le double sens ? Hu hu) accompli, plongeons donc dans cette relation torride entre une femme et son amant, relation décrite de façon épistolaire.



Le fait est que c'est agréablement bien écrit et que ça se lit vraiment tout seul. Juste un détail assez agaçant, cette manie de mettre trois qualificatifs, synonymes, les uns à la suite des autres pour bien décrire quelque chose. N'étant pas totalement idiot, j'arrive à comprendre ce qui se passe avec un seul verbe ou adjectif. Que cette astuce d'exagération soit utilisée, pourquoi pas, mais qu'elle le soit à tort et à travers finit par être lassant.



Un mot de l'histoire, si tant est qu'on puisse parler d'histoire, le roman n'étant plutôt qu'un enchaînement de situations entre la femme et son amant. Chaque chapitre est ainsi une situation différente, que ce soit avec une autre femme, un autre homme, une relation BDSM, etc. On se retrouve au finale avec un "joli" catalogue de situations érotico-pornographiques différentes. Ca fait un peu cliché de film porno qui aligne ce genre de situations mais ça marche quand même puisque c'est par moments plutôt excitant.
Lien : http://croqlivres.canalblog...
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La femme de papier

Merci Babelio et masse critique.

J'avais testé le genre avec 50 nuances de Grey, j'ai voulu en lire un autre car un genre littérature ne s'arrête pas à un exemple .... Mais je ne vois pas où est l'érotisme dans ce livre, qui pour moi, est-ce le ton ? le vocabulaire ? la narration ? un peu de tout cela surement, tend plus vers le vulgaire .... mais je n'ai peut-être rien compris !

Alors oui je ne suis certaine pas une adepte de ce genre littéraire .... mais la romance et l'histoire autour est tout de même plus plaisante dans Grey ... mais surement car il y a plus de structure autour et que les 20 premières pages ne font pas l'éloge du clitoris et de "la queue" comme l'appelle l'auteure.

Je ne suis vraiment pas rentrée dedans ... et je n'ai pas pu finir ce roman
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La rencontre

Malgré une grosse déception en début de mois avec une première lecture d’un livre de cette auteure, j’ai voulu lui donner une seconde chance. Sans que ce soit un coup de cœur, je suis contente de l’avoir fait.

Le ton du livre est rapidement donné puisque la première scène est carrément érotique pour ne pas dire pornographique. Pour autant, il n’est pas seulement question d’érotisme, il y a aussi beaucoup de sensualité. Au cours des pages, on apprendre à mieux connaitre nos trois compagnons à travers leur enfance, leur adolescence, leur début dans la vie d’adulte et bien évidemment leur éveil à la sensualité, à la sexualité.

Je ne vous parlerais pas des personnages parce que les découvrir fait entièrement parti de ce livre et je vous gâcherais une partie de ce plaisir. Néanmoins, je vais vous donner un conseil : méfiez des apparences. Et oui, le dicton « l’habit de ne fait pas le moine » prend tout son sens avec cette histoire.

Le style de l’auteure était assez agréable à lire. Pour autant, quelque chose me dérangeait sans savoir quoi. A la fin de ma lecture, j’ai compris. L’histoire présente donne l’impression d’être d’un autre temps alors que d’après calcul par rapport au passé des personnages, elle se passe dans les années 1990. Je pense que Françoise Rey aime que son lecteur soit perdu. En effet, on ne comprend pas toujours tout. A la fin de ma lecture, certaines de mes questions sont toujours en suspens…

Pour conclure, une lecture sensuelle et érotique autour de la vie de trois personnes bien différentes et pourtant tellement liées par les hasards de la vie.
Lien : http://mabiblio1988.blogspot..
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