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Critiques de Frank Tallis (179)
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Les mensonges de l'esprit

L'histoire :

Vienne, 1903. Un jeune cadet de 16 ans est retrouvé dans la salle de sciences de l'école militaire de Saint-Florian. Dépêché sur place, l'inspecteur Oskar Reinhardt, accompagné de son fidèle ami Max Liebermann, constate que les causes de la mort sont apparemment naturelles. Pourtant, son intuition, et son statut de père de famille (la victime aurait pu être son fils), lui recommande de mener une enquête.



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Un roman délicieux où je redécouvre Vienne et son atmosphère inimitable. Le docteur Frank Tallis sait tenir en haleine le lecteur, beaucoup de scènes, de personnages, des femmes fatales, l'ombre de Freud, l'art de boire l'absinthe, mais une constante qui traverse l'histoire : les mensonges sont toujours dangereux, même les plus anodins. J'en redemande !
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La valse de Méphisto

Vienne, 1904. Un homme est retrouvé abattu d’une balle dans la tête et le visage détruit à l’acide. En face du corps, trois chaises alignées comme pour un jury d’honneur. Pour résoudre cette affaire, l’inspecteur de police Oskar Rheinhardt et son ami le médecin psychiatre Max Liebermann sont ouverts à l’utilisation des techniques les plus en pointe de l’époque : empreintes digitales pour Rheinhardt, analyse des suspects pour Liebermann, disciple de Freud. Nos héros seront amenés à enquêter dans les rangs des militants anarchistes qui prônent l’égalité femmes-hommes et l’amour libre et sont prêts à pratiquer des « actes de propagande par le fait » (= attentats) pour faire avancer leurs idées.



Voici une série que j’ai suivie depuis son premier épisode. En 2011 l’éditeur annonçait en quatrième de couverture de Petite musique de la mort que la série se terminait là. Je l’ai cru. Je découvre donc avec retard qu’un septième tome est paru en 2018. Aussitôt je le commande chez mon libraire. Je retrouve avec plaisir ce duo d’enquêteurs. Amateurs de musique, les deux amis se retrouvent aussi pour pratiquer : Max joue du piano et Oskar chante. Je trouve la description de leur vie privée fort sympathique. Amoureux d’Amelia Lydgate, une jeune scientifique britannique, Max hésite à la présenter à ses parents car elle n’est pas Juive. Epoux amoureux et père de famille attentionné, Oskar enseigne à sa fille comment se défendre contre une camarade harceleuse. C’est une lecture plaisante.
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La chambre des âmes

Je dois reconnaitre que je me suis lancée dans cette lecture par erreur. Franck Tallis, je le suis à travers Les carnets de Max Libermann. Je m’attendais à retrouver mes héros préférés. Et bien que nenni ! Comme quoi, lire la quatrième de couverture peut être utile. Même si le thème central reste la psychanalyse, nous sommes, ici, au cœur de celle-ci.

Nous voici transporté dans un hôpital psychiatrique dernière génération, enfin pour l’époque. Dans cet établissement, un traitement inédit y est testé : la narcose. Les patientes, et oui seules les femmes sont concernées par cette thérapie pionnière. Bref, les 8 patientes sont plongées dans un sommeil longue durée. Elles ne sont réveillées que pour manger et se laver. Le reste du temps, elles dorment artificiellement. Quelques séances d’électrochocs viennent pimentée leur endormissement. Si à ce niveau là tout va bien, il n’en est pas de même pour les autres patients. Ceux-ci plongent dans la terreur, ils semblent persécuter par des êtres invisibles et malfaisants. Qui est le poltergeist qui hante les lieux. C’est ce que va tenter de découvrir le docteur Richardson dans l’indifférence générale.

Cette lecture oscille entre Shinning et Shutter Island. Lectures que j’avaient adorées. Même si je ne suis pas fan de ce genre de lecture, j’aime de temps en temps me faire peur. Bon, là, je ne vais pas tourner autour de pot : je n’ai pas accrocher. J’ai trouvé cette lecture très longue, ennuyeuse. Même si quelques sursauts d’action sont venus me réveiller, je n’ai pas été happer par l’action. Même si l’atmosphère est pesante par moment, même si cette présence invisible nous interroge, j’ai trouvé le temps long. Il y a dès le début un problème avec notre bon docteur Richardson et franchement, la fin ne m’a pas trop surprise. Reste quand même la partie historique de la psychanalyse. Ces expériences, ces traitements complètement délirants qui rendent les malades encore moins réceptifs qu’ils ne le sont. Freudien et anti s’affrontent sans relâche et les patients servent de cobayes a toute sorte d’expérimentations. Frank Tallis étant du métier, cette partie est intéressante et on sent la maitrise du sujet. Tout y est parfaitement décrit : les traitements, les réactions des patients, la recherche, les conflits. C’est cela qui m’a permis de finir ma lecture et qui a suscité mon intérêt.
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Les mensonges de l'esprit

Oui, j’ai un faible pour Max Liebermann et alors ?

L’écriture de Tallis et le contexte historique (Vienne, début du XXe) sont, pour moi, un atout majeur pour cette saga.

Les enquêtes ne sont jamais linéaires, les rebondissements sont toujours bien écrits et les à-côtés personnels des protagonistes se mêlent toujours fort à propos aux éléments développés dans l’intrigue.

Pour ce troisième volet, Rheinhardt et Liebermann sont confrontés à un meurtre dans une école militaire de haut rang… malgré les causes naturelles, les deux amis ont un pressentiment… des bruits courent sur des exactions.

Outre l’enquête pure, toujours intéressante et envoûtante, il y a surtout le contexte de Vienne, de cet endroit palpitant de l’époque… les cafés, les parcs, les délicieux mets, le côté cosmopolite, la musique, les bals, et cette Vienne qui sent un peu la montée du fascisme…

C’est un bonheur de lecture, notamment l’échange avec le Dr. Freud lors d’un chapitre…

En sus, il y a la vie amoureuse un peu mouvementée (et un peu en ratage d’occasion) du Max Liebermann, limite midinette parfois… j’adooore… Autant il est bon pour analyser les états d’âme des autres, autant pour lui, c’est plus compliqué…

La plume de Frank Tallis est intelligente, agréable, percutante, ironique, parfois et légère comme certaines pâtisseries viennoises (si, si, je vous assure !).

Bref, vivement le prochain tome !

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La justice de l'inconscient

L'action de cette série de la collection "Grands détectives" se déroule à Vienne au début du 20° siècle. Son héros est Max Liebermann, jeune médecin psychiatre adepte des théories de Freud. Un choix professionnel qui le met dans une position difficile quand il s'oppose à son chef de service à l'hôpital, partisan de l'électrothérapie pour traiter l'hystérie. Max Liebermann est également pianiste et amateur de musique classique qu'il pratique régulièrement avec son ami, le baryton Oskar Rheinhardt, par ailleurs inspecteur de police.



Quand une spirite est retrouvée assassinée dans une pièce fermée à clef de l'intérieur; que l'arme du crime, un pistolet, a disparu ainsi que la balle qui pourtant n'a pas traversé le corps; Rheinhardt a fort à faire. Il fait appel aux talents d'analyste de son ami pour interroger les témoins, certains même sous hypnose. L'aide de Miss Lydgate, une ancienne patiente de Max, sera aussi décisive.



J'ai dévoré d'une traite cet excellent ouvrage. Les héros sont sympathiques, les personnages finement analysés ont une vraie profondeur. Le cadre de la ville de Vienne, ses cafés, la musique, est bien exploité. Frank Tallis, docteur en psychologie lui-même, écrit bien et avec humour.
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Du sang sur Vienne

Hiver 1902, à Vienne. Un tueur en série commence une vague de meurtres particulièrement atroces. Les victimes, d'abord des prostituées, sont mutilées et l'assassin laisse des signes -ou messages- étranges derrière lui. Chargé de l'enquête l'inspecteur Rheinhardt requiert l'aide de son ami, le psychiatre Max Liebermann, pour l'aider à interpréter les mises en scène du criminel et percer ainsi à jour sa personnalité.



Dans cette aventure encore plus passionnante que la précédente, nos héros vont se confronter à des théoriciens pangermaniques, officiers et intellectuels convaincus de la supériorité teutonne, véritables nazis avant l'heure. L'épisode où Liebermann rive son clou sur son propre terrain à un compositeur antisémite est particulièrement réjouissant.

Dans le même temps le bon docteur se pose de plus en plus de questions sur ses fiançailles. Il doute de son engagement et a bien des difficultés à prendre une décision.
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La valse de Méphisto

Un opus que j'ai trouvé un peu en deçà des autres. La faute je pense à une intrigue trop politique et peu fluide centrée sur les anarchistes. Tous les ressorts qu'on aime : policier, psychologie, musique et cuisine ressortent moins bien même s'ils sont toujours présents et fonctionnels. ça reste une lecture agréable et de qualité.
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Petite musique de la mort

Un opus savoureux qui fait la part belle à la musique tant dans l'intrigue principale que dans l'intrigue secondaire. L'histoire de Liebermann et Amelia Lydgate bouge enfin et on croise l'empereur François-Joseph. Une lecture savoureuse et instructive.
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Communion mortelle

Cinquième opus de la série des Max Lieberman, ce roman peut se lire indépendamment des autres mais je ne le conseille pas car cela fera manquer certaines nuances et gâchera certains détails des premiers. Apres le milieu du spiritisme (la justice de l'inconscient), celui des francs-maçons (du sang sur vienne), celui des écoles militaires avec leurs brimades (les mensonges de l'esprit) et celui de l'antisémitisme (les pieges du crépuscule), Communion mortelle nous fait découvrir celui de la haute couture avec les robes lâches qui libèrent des corsets. Surtout il est plus profondément psychologique que les précédents et nous fait pénétrer dans les méandres de l'esprit avec une exploration tortueuse du complexe d'Oedipe en plus des habituelles incursions dans les séances de Max (ici un homme hanté par son double). Plus sombre que les autres, il se dévore avec autant d'appétit que l'inspecteur mange ses gâteaux. Et on ne peut que désirer réécouter Schubert et ses lieds. Un seul regret: que la relation de Lieberman et Amelia Lydgate stagne depuis "les mensonges de l'esprit".
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Petite musique de la mort

Une soprano de l'Opéra de Vienne est découverte morte. Oskar et Max enquête dans le milieu très fermé de la musique et son confrontés à ses ramifications politiques. L'enquête est peu développée et c'est surtout le contexte historique (prémisses de la première guerre mondiale) qui se trouve au premier plan.
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Petite musique de la mort

Ce sixième tome des "Carnets de Max Liebermann" est peut-être le tome le moins haletant et qui m'a le moins emballé de la série, du fait de sa thématique, la musique classique (et la politique). Néanmoins, au coeur de l'époque viennoise du début du 20ème siécle, on retrouve avec plaisir le duo atypique de personnages principaux: l'inspecteur de police Oskar Rheinhardt qui va s'associer au brillant médecin Max Liebermann pour mener l'enquête. A travers ce dernier, l'auteur fait donc intervenir subtilement et judicieusement la psychologie dans les méthodes d'investigations classiques de l'époque afin de résoudre des affaires, ce qui permet de démarquer cette série d'autres séries policières historiques. Avec, certes, un petit manque d'action et de suspence dans ce livre, l'histoire reste plaisante à suivre.
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La justice de l'inconscient

pas mal mais pas au point de continuer la série
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Les pièges du crépuscule

4ème tome des aventures du tandem psy/pol : avec escapade à Prague et l’ombre du Golem ( non il n’est pas question de préssssssieux bande d’incultes) et toujours la montée de l’intolérance et la manipulation des haines par des politiciens sans scrupules ( ça ne vous rappelle rien ? )
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Petite musique de la mort

Dernier volume du cycle viennois des « Carnets de Max Liebermann » . Un lieder dans un cercueil , une cantatrice écrasée , la guerre qui approche mais aussi le « Baiser » de Klimt qui devient réalité , la musique de Mahler et l’envie de manger des abricots… Excellent !
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La valse de Méphisto

découverte de cet auteur qui donne envie d'aller voir ses autres "enquêtes"
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La chambre des âmes

Découvert par hasard, ce livre a été un vrai coup de coeur.

Je n'avais jamais lu de livre de ce genre avant mais je suis prête à retenter l'expérience de suite! J'ai dévoré ce livre.

Je voulais tellement savoir ce qui allait se passer, ce qui déclenchait ces phénomènes paranormaux. Ce roman m'a tellement pris aux tripes que j'en arrivais à avoir les frissons. La fin du roman est imprévisible et déroutante.
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Communion mortelle

Une nouvelle aventure policière de l’inspecteur Rheinhardt associé au psychiatre Liebermann, érudit de Sigmund Freud, fidèle aux autres tomes sous la plume de Franck Tallis, mais peut-être un cran en dessous de part l’enquête, son déroulement et son dénouement.
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Les mensonges de l'esprit

Cette fois, Max Liebermann se retrouve à utiliser des principes de la psychiatrie dans une école militaire, ou Rheinhardt enquête sur un meurtre d'un élève qui semblait être martyriser par les élèves. C'est ainsi qu'une enquête se déclenche autour de ce mystère, bien qu'il semblerait que l'adolescent soit mort naturellement. Je dois dire que je me suis bien fait eut au niveau du coupable, parce qu'on croit trop que c'est quelqu'un d'autre alors que non pas du tout. Vu qu'on voit ce qui ce passe et du côté de Max et d'Oskar et du côté de l'école militaire, enfin surtout du côté de Wolf et Drexler. Au niveau des personnages, j'ai encore plus adoré Liebermann qui nous présente encore des moyens de psychanalyses vraiment intéressants et surprenants, on apprend toujours pleins de choses et ça m'a fait trop plaisir. Y a juste quelques passages qui m'ont légèrement inquiétés, mais tout se répare alors tant mieux. Rheinhardt, quant à lui était super amusant, et j'aime vraiment ce personnage bien qu'il soit assez secondaire des fois par rapport à Max, surtout dans ce livre j'ai trouvé, c'est un peu dommage. Mais on voit aussi son adjoint et je l'ai bien aimé. D'ailleurs on voit vraiment plus von Bulow un méchant inspecteur que je trouve stupide et que j'ai pas aimé du tout. Pour les proches de la victime, je dirais juste que je trouve Wolf assez horrible, et qu'il m'a stressé et m'a même fait peur tiens. Mais Drexler était excellent, je l'ai trouvé trop mignon, et c'est mon personnage secondaire préféré de tout le livre ! Les autres étaient pas très intéressants, enfin ils avaient pas grand chose qui pouvaient retenir mon intérêt, même la violoniste (dont je me méfiais depuis le début). Je reproche juste le fait qu'on voit très peu Amélia Lydgate Encore une fois j'ai été ravie de lire un Frank Tallis, et j'ai vraiment envie d'en lire un autre ! Utilisant la psychologie et la psychanalyse pour les enquêtes, c'est vraiment intéressant à lire, et vraiment, comme je l'ai dit, on apprend beaucoup de chose sur ce sujet !
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La justice de l'inconscient

Un Vienne d'avant la guerre mondiale, un psychiatre, une médium tuée. Wouaouh, y a tout pour me plaire là dedans, me suis-je dit dès le début. Et en effet, j'ai adoré ce livre. Même si le début est assez long, que j'ai eut du mal à le poursuivre à cause de tous les noms et mots autrichiens auquels je n'était pas habitué. L'enquête se déroule bien et est vraiment intéressante, et en plus à côté on a une vue sur les débuts de la psychanalyse, et même Freud qu'on croise dans le bouquin m'a paru vraiment sympa même si je suis pas trop d'accord avec lui sur beaucoup de choses. Liebermann et le policier étaient vraiment des personnages extras et très intéressants, et Lydgate, m'a vraiment plu, j'espère d'ailleurs que si je relis des livres de Frank Tallis, de pouvoir la revoir. Par contre, il faut lire le livre d'une traite, car si on le reprend au fur et à mesure, on peut très facilement se perdre dans tous les noms des personnages qui se ressemblent parfois. Mais bon. Vraiment, ce livre était intéressant et je l'ai presque dévoré. Je le conseille.
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Les pièges du crépuscule

Très belle découverte pour moi dans le genre policier. L’auteur mêle, avec beaucoup de virtuosité dans l’écriture, roman historique et intrigue policière à suspense.

On est plongé dans la ville de Vienne au début du XXème siècle, confrontée à des crimes horribles…mais le talent de l’auteur réussit à nous embarquer dans cette enquête sans jamais faire sombrer le récit dans l’horreur ou le sordide…ce qui est un tour de force au regard de la cruauté des meurtres.

L’association du médecin psychiatre et de l’enquêteur policier couplée à l’arrière-plan culturel du roman très documenté (musique, politique, antisémitisme ambiant, vie sociale, condition des femmes, théâtre, lieux culturels, architecture, médecine, essor de la psychanalyse….) créent une atmosphère réaliste et nous transportent à Vienne. L’enquête reste au cœur du sujet mais on apprend aussi beaucoup du point de vue historique grâce aux nombreux détails et aux références culturelles distillées au long des pages. L’auteur accorde une place de choix à la musique (et quelle musique ! Schubert, Chopin…) puisque les deux héros ont la particularité d’être musiciens et mélomanes.

J’ai également été littéralement impressionnée par les détails sur les traditions et croyances religieuses des juifs extrémistes de la communauté hassidique. L’auteur a particulièrement soigné le contexte historico-religieux de l’intrigue. Le livre est très bien construit, l’écriture maîtrisée… et l’auteur nous entraîne dans un univers et une enquête palpitante dont le dénouement reste insoupçonné pour le lecteur jusqu’à la fin !

Après cette découverte grâce à ma participation au jury des lectrices de ELLE, c’est sûr, je lirai d’autres livres de cet auteur mettant en scène Reinhardt le policier et Liebermann le psychiatre.

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