AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Critiques de Giorgio Faletti (33)
Classer par:   Titre   Date   Les plus appréciées


Je tue

Un bon policier mais beaucoup trop long. De très longues description des victimes, des personnages secondaires inutiles, pas grand chose sur le meurtrier et sa folie.

Dommage, j'avais commencé avec beaucoup de plaisir....
Lien : https://www.lesmotsjustes.org
Commenter  J’apprécie          10
Je tue

L’histoire se déroule dans la principauté de Monaco. Un soir, Jean-Loup Verdier, un animateur à succès de Radio Monté Carlos, reçoit durant son émission « Voices » l’appel mystérieux d’un inconnu qui se présente comme étant « un homme et personne » et qui déclare « Je tue », accompagné de quelques notes de musique, avant de raccrocher. Le lendemain matin, un champion de Formule 1 et sa compagne, championne d’échecs, sont retrouvés assassinés et atrocement défigurés sur leur voilier de luxe alors que le bateau a foncé dans la marina. Le tueur a signé son crime d’un « Je tue » sanglant…

Nicolas Hulot, le commissaire de la Sûreté Publique de Monaco qui est chargé de résoudre cette enquête va demander à Franck Ottobre, un agent du FBI avec qui il est ami depuis plusieurs années et qui réside dans la principauté, de l’aider. Les deux hommes vont alors se lancer dans cette chasse à l’homme non sans difficultés et courir après le temps alors que les victimes se font de plus en plus nombreuses…



Je dois avouer que je n’ai pas été plus emballée que ça par ce roman. Je lui ai trouvé beaucoup trop de longueurs – qui m’ont d’ailleurs poussé à sauter quelques passages, chose qu’il ne m’arrive que très très rarement de faire – et de raccourcis trop faciles. Je n’ai pas vraiment été passionné par le scénario, les personnages ne m’ont pas spécialement convaincus, tout comme le style de l’auteur. A cause de tout cela, j’ai vraiment eu du mal à terminer ma lecture mais j’ai persévéré jusqu’au bout, espérant comprendre pourquoi certaines personnes de mon entourage l’avaient apprécié… raté !
Lien : https://desflaneriesetdesmot..
Commenter  J’apprécie          10
Droit dans les yeux

Commentaire de ma collègue Geneviève Deschênes:





Fervente amateure de séries policières, je me souviens avoir déjà entendu un personnage souhaiter que le visage du meurtrier soit imprégné sur la rétine de la victime (je crois qu'il s'agit d'Angela Montenegro dans Bones). C'est une idée semblable qui a inspiré Giorgio Faletti dans son roman Droit dans les yeux et j'avoue que cela m'a bien plu.



L'intrigue est originale et se tient généralement bien (même si je me demande encore pourquoi la policière n'a pas appliqué les manoeuvres de réanimation cardiorespiratoires à l'homme en plein infarctus q'elle tenait entre ses bras). Les personnages sont diversifiés et si certains semblent stéréotypés, d'autres sont attachants et/ou surprenants. C'est le cas de Jordan Marsalis, ex-enquêteur du New York Police Département (NYPD) et de Lysa, son étrange colocataire.



L'auteur fait également preuve d'un humour sarcastique qui m'a beaucoup plu.



Le plus grand bémol de cette édition est la traduction franchouillarde, truffée d'anglicismes. La maison d'édition a beau avoir ajouté Québec et un fleur de lysé à son logo, la traduction n'a certainement pas été faite de ce côté-ci de l'Atlantique. En fait, le traducteur n'a nullement tenu compte de la francophonie à l'extérieur du vieux continent dans la réalisation de la version française. Si l'original avait été en anglais, j'aurais délaissé avec plaisir la version traduite dès la 86e page.





Je vous recommande tout de même cette lecture aux mordus de polar. Vous y trouverez votre compte.


Lien : http://letempsdlire.blogspot..
Commenter  J’apprécie          10
Je tue

Faletti Giorgio, - "Je tue" - J’ai lu, 2013 (ISBN 978-2290072981)



Encore un exemple parfait de roman verbeux surchargé d’un monceau de phrases aussi inutiles que lourdes, si bien que le texte pourrait être raccourci des deux tiers sans dommage aucun ; ce qui n’ôterait pas pour autant le côté aussi niais qu’invraisemblable de l’intrigue.

Commenter  J’apprécie          10
Je tue

Une fois qu'on a réussi à passer outre le fait que le flic s'appelle Nicolas Hulot, on est là face à un très bon thriller avec une qualité d'écriture incroyable (pour un coup d'essai c'est franchement fort)...

Et ce malgré le gros spoiler tout pourri posté sur Facebook à la mort (prématurée) de l'auteur en 2014, qui ne gâche presque pas le livre (l'identité du tueur y étant révélée aux 2/3 du bouquin) : on attend plutôt le dénouement comme la confirmation d'une idée excellente (s'il en avait été autrement ç'aurait d'ailleurs été super décevant).

S'ensuivent moult rebondissements et/ou explications dans le 3ème tiers, malheureusement nécessaires pour boucler la boucle et faire en sorte que le héros retombe sur ses pattes (même si ça reste tout de même légèrement tiré par les cheveux (...)

La suite ici :
Lien : http://www.delacritiquehyste..
Commenter  J’apprécie          10
Seuls les innocents n'ont pas d'alibi

Un mot pour résumé ce livre : BRAVO :)

Une découverte au hasard d'un présentoir, pourquoi pas ?

Et surprise, dès les premières pages un plongeon dans cette Italie qui est mienne pour moitié. Un polar mené tambour battant, tous les ingrédients y sont sans tomber dans copié/collé.

Encore BRAVO
Commenter  J’apprécie          10
Je tue

L'écriture est assez lourde, les personnages sont caricaturaux, l'histoire aligne les clichés et manque cruellement de suspense. Je ne conseille pas.
Commenter  J’apprécie          10
Seuls les innocents n'ont pas d'alibi

Lu et relu et à relire ! Un de mes coups de cœur de 2013 !

Je me suis littéralement vue emportée dans un film. Une histoire vraiment touchante dont on ne devine pas le dénouement…

Commenter  J’apprécie          10
Seuls les innocents n'ont pas d'alibi

Francesco Marcona dit "bravo" fournit de belles filles (volontaires ) à la haute bourgeoisie napolitaine ce qui lui permet de bien gagner sa vie et surtout d'oublier le drame de sa jeunesse : il a été émasculé et ne peut plus avoir de relations sexuelles.

Hélas pour lui , un drame se produit et 3 hauts personnages sont assassinés ainsi que les 3 filles qui les accompagnaient et que Bravo leur avait fournies ; très vite , les soupçons se portent sur lui et il ne sait plus en qui avoir confiance.

Un pollar bien ficelé qui nous entraine dans le milieu des terroristes et de la mafia

Commenter  J’apprécie          10
Droit dans les yeux

L’ex lieutenant Jordan Marsalis, démissionnaire par devoir politico-familial de la police new-yorkaise est officieusement chargé d’enquêter sur la mort de Gerald, le fils de son frère, maire de New York. Débute alors la traque aussi hasardeuse que problématique d’un assassin qui sème la mort dans de sinistres et spectaculaires mise en scènes. Si l'intrigue n'est ni surprenante ni vraiment palpitante, on peut tout-de-même découvrir une intéressante analyse des dérives fréquentes du milieu de la haute société et une réflexion passionnante sur l'art et son rapport latent à la violence comme à la déraison. Tout cela est associé à une trame policière teintée de paranormal, dont le sujet est loin d'être inintéressant, mais qui au final se révèle extrêmement décevante quant à son développement d'une ineptie totale. Si l’histoire qui s'apparente d'une certaine façon à un Giallo est engageante, le sujet en revanche n’est pas toujours très bien exploité. Une enquête plus conséquente, plus d’investigations, moins de fantastique et de commodités scénaristiques auraient donné davantage de perspectives, de rebondissements et de rythme au récit. Les révélations s’emboitent comme des poupées russes, sans cohérence ni plausibilité. Beaucoup de digressions sans objet, d’exposés inutiles, d’ambiguïtés inopportunes et d’heureux hasards improbables. On s’interroge même sur l’utilité réelle de certains des personnages, hormis le fait d’introduire dans l’intrigue une romance incertaine et des coups de théâtre confondants. La conclusion sommaire, à la fois très convenu mais contraire à la déontologie ne relève d'aucune façon le coté simpliste et invraisemblable de la trame. Giorgio Faletti se fourvoie dans des tergiversations psycho-sociales, des dilemmes sentimentaux et des rancœurs existentielles qui ne présentent guère d’intérêt pour l’histoire, si ce n’est des longueurs fastidieuses. Droit dans les yeux reste évidemment un roman convenable et plaisant, avec des idées originales comme le gang des Peanuts, ou la référence au film "les yeux de Laura Mars", mais, la structuration trop fantaisiste à l’opportunité douteuse laisse sceptique et déprécie l’ensemble.
Commenter  J’apprécie          00
Seuls les innocents n'ont pas d'alibi

Très bonne intrigue à l'époque des brigades rouges

Commenter  J’apprécie          00
Onze contre un

Un très bon petit roman qui se déroule dans le milieu du du football (une de mes passions). Il est ici question de corruption qui est malheureusement très présente dans ce sport. L'auteur nous fait pénétrer avec plaisir au sein d'u club moyen de série b italienne. Les personnages sont vraiment très intéressants quoique parfois quelque peu stéréotypés ,mais cela ne gène en rien la lecture de ce livre. J'essaierai de me procurer d'autres romans de cet auteur. Bonne lecture à toutes et tous.
Commenter  J’apprécie          00
Droit dans les yeux

Bon bah voilà! encore une fois on se laisse prendre par le récit et "le méchant" n'est pas du tout celui auquel on pensait.



Bien écrit, facile à lire, prenant, rythmé, du bon!!



Je recommande pour les amateurs.
Commenter  J’apprécie          00




Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de Giorgio Faletti (364)Voir plus

Quiz Voir plus

Paysage : Villes

Tolède. Ce peintre né en Grèce l'a quittée à vingt-cinq ans puis a travaillé près du Titien à Venise pour ensuite gagner l'Espagne et rejoindre Tolède où il réalise cette extraordinaire "Vue de Tolède" une des première représentation urbaine se réclamant comme telle (1597/99) :

B. E. Murillo
El Greco

10 questions
6 lecteurs ont répondu
Thèmes : peinture , histoire de l'art , littérature , classicisme , impressionnisme , paysagismeCréer un quiz sur cet auteur

{* *}